Par Kalik, âme errante le 10/12/2004 à 21:05 ... Mais le renouveau est présent à chaque fois.
Voila peu de temps que j’avais retrouvé ma vue...
A vrai dire, j’ignore comment cela c’était vraiment cela s’était vraiment passé, mais je savais que Gaïa, mère de tout les Femmes et Hommes « Sauvages » y était pour quelques chose.
Mais le réveil fut dur. A l’aube d’une journée nouvelle en Astoria ou mes pas m’avaient guidé la veille, le noir revint. Pourquoi Gaïa m’avait fait cela ? Moi qui voulais la servir du mieux que je pouvais, me voilà non pas dans l’incapacité de la servir, mais fortement handicapé, comme je le fût par le passé. Toute la journée je fut guidé à l’aveuglette comme les jours qui précédèrent. Encore une journée dans le noir, qu’avais je donc fait pour déplaire à Gaïa ? La question trotta dans ma tête toute la journée.
La nuit revint mais pas la vue. Cette sensation des couleurs que j’avais ressenties étaient-elles une manifestation de mon don de perception dont l’expérience m’avait fait don? Je ne voulais y croire… Toute la soirée je priais Gaïa pour que ce don de la vue ressentie la veille ne fût pas juste une illusion. Les couleurs que je revoyais pour la première fois depuis des années, me manquèrent dès la première heure ou le noir était revenu.
Gaïa ne pouvait pas me laisser pas dans cette situation… Chaque mot que je prononçais me faisait parcourir un frisson dans mon corps. Aucune mère ne ferait ceci à ses enfants, et surtout pas Gaïa pour qui je me dévouais corps et âme.
Le matin renouveau, au bas du palais d’Astoria fut comblé de surprises mais heureusement de bonheur. La vue était de retour mais lorsque j’aperçu mon reflet je cru voir quelqu’un d’autre.
Au début j’ai pensé qu’il s’agissait d’une personne de l’autre coté de la vitre, mais en me rapprochant, je m’aperçut que j’étais dans le tort.
Mon corps anciennement velu avait laissé place à celui d’une personne totalement imberbe néanmoins couvert de tatouages dessinant divers arabesques dans les tons bleus.
Je me doutais que mes yeux auraient changés suite aux brûlures mais cette couleur rouge restait surprenante.
C’est couvert de ma vieille robe d’archimage, quelques anneaux à l’oreille, une bourse au niveau de la taille et mon fidèle bâton Okeau en main que j’arpentais sous une nouvelle forme la ville elfique, Astoria.
L’apparence nouvelle semblait faire peur aux jeunes elfes ainsi qu’à leurs parents, après tout, une créature qui ressemble à ce que je suis à présent m’aurait moi-même fait éprouver du dégoût par le passé. Mais je sais que à présent, l’apparence ne compte pas, l’on doit faire avec. Et malgré mon corps digne de certains démons, je continu ma quête, le cœur plus léger que jamais, car je savais que Gaïa guidait mes pas.
Voila peu de temps que j’avais retrouvé ma vue...
A vrai dire, j’ignore comment cela c’était vraiment cela s’était vraiment passé, mais je savais que Gaïa, mère de tout les Femmes et Hommes « Sauvages » y était pour quelques chose.
Mais le réveil fut dur. A l’aube d’une journée nouvelle en Astoria ou mes pas m’avaient guidé la veille, le noir revint. Pourquoi Gaïa m’avait fait cela ? Moi qui voulais la servir du mieux que je pouvais, me voilà non pas dans l’incapacité de la servir, mais fortement handicapé, comme je le fût par le passé. Toute la journée je fut guidé à l’aveuglette comme les jours qui précédèrent. Encore une journée dans le noir, qu’avais je donc fait pour déplaire à Gaïa ? La question trotta dans ma tête toute la journée.
La nuit revint mais pas la vue. Cette sensation des couleurs que j’avais ressenties étaient-elles une manifestation de mon don de perception dont l’expérience m’avait fait don? Je ne voulais y croire… Toute la soirée je priais Gaïa pour que ce don de la vue ressentie la veille ne fût pas juste une illusion. Les couleurs que je revoyais pour la première fois depuis des années, me manquèrent dès la première heure ou le noir était revenu.
Gaïa ne pouvait pas me laisser pas dans cette situation… Chaque mot que je prononçais me faisait parcourir un frisson dans mon corps. Aucune mère ne ferait ceci à ses enfants, et surtout pas Gaïa pour qui je me dévouais corps et âme.
Le matin renouveau, au bas du palais d’Astoria fut comblé de surprises mais heureusement de bonheur. La vue était de retour mais lorsque j’aperçu mon reflet je cru voir quelqu’un d’autre.
Au début j’ai pensé qu’il s’agissait d’une personne de l’autre coté de la vitre, mais en me rapprochant, je m’aperçut que j’étais dans le tort.
Mon corps anciennement velu avait laissé place à celui d’une personne totalement imberbe néanmoins couvert de tatouages dessinant divers arabesques dans les tons bleus.
Je me doutais que mes yeux auraient changés suite aux brûlures mais cette couleur rouge restait surprenante.
C’est couvert de ma vieille robe d’archimage, quelques anneaux à l’oreille, une bourse au niveau de la taille et mon fidèle bâton Okeau en main que j’arpentais sous une nouvelle forme la ville elfique, Astoria.
L’apparence nouvelle semblait faire peur aux jeunes elfes ainsi qu’à leurs parents, après tout, une créature qui ressemble à ce que je suis à présent m’aurait moi-même fait éprouver du dégoût par le passé. Mais je sais que à présent, l’apparence ne compte pas, l’on doit faire avec. Et malgré mon corps digne de certains démons, je continu ma quête, le cœur plus léger que jamais, car je savais que Gaïa guidait mes pas.
