Par Darigaaz - Serviteur des Titans le 01/01/1970 à 01:00 [hrp : Cette chronique se déroule au moment où les olympiens attaquaient Luminae 
Désolé pour le retard, fallait le temps de l'écrire ^^ Une suite viendra. ]
Luminae, abri des hommes sauvages, peuple pour qui Darigaaz n’éprouvait aucune amitié, ni aucune haine, juste de la neutralité… Comme dans ses habitudes, l’olympien était accompagné de son ami Templière, qui perfectionnait son entraînement à l’arc, alors que lui s’instruisait à l’école de magie de la ville. Les hommes sauvages avaient une connaissance et une maîtrise des arcanes magiques qui dépassaient toutes les autres races. La ville quant à elle, semblait accueillante. Un air doux et reposant y circulait, et la bonne humeur primait en général. Néanmoins, l’ambiance était toute autre à l’extérieur…
Depuis peu, les combats faisaient rage entre des olympiens abusés par les comportements et dires d’ombres, et des hommes et femmes sauvages, tentant de défendre leur cité en stoppant la frénésie olympienne. Dans les deux camps, les pertes s’accumulaient…
Darigaaz passait neutre au milieu de ce conflit. Les deux Templiers sortaient juste de Luminaë et continuaient leur chemin vers Astoria. L’olympien reconnaissait des visages de frères ensanglantés, d’hommes sauvages pareillement défigurés, mais aucun ne l’interpellait. Aucun sauf lui…
L’homme sauvage fut projeté a juste quelques mètres devant Darigaaz, par une salve provenant d’un olympien, d’un mage, de Dilandau ! L’olympien l’observait sans sourciller gémir de douleur et il s’apprêtait à passer son chemin, lorsque l’être poilu releva la tête en direction du champion olympien avant de croiser le regard de Darigaaz de son visage ensanglanté. Le choc fut difficile à encaisser…
Ce regard, cette façon d’être, ces vêtements… Tout cela ne mentait pas… Et comment un élève pouvait il oublier son maître ? Cela ne se pouvait… Celui qui venait d’être blessé devant lui n’était personne d’autre que Kléanthès, anciennement Siguire Graad, celui à qui il devait tout. Darigaaz s’agenouilla auprès de son ami, lui donnant à boire, et lui procurant quelques soins magiques très rapides. Néanmoins dans son dos, personne n’avait une once de considération ou d’inquiétude pour Kléanthès. On aurait dit qu’ils étaient fiers de leur acte…
L’olympien se releva lentement et fixa Kléanthès :
- Reposes toi mon ami, tu en as besoin…
Puis il se retourna, et observa les olympiens, toujours si hargneux… Il leva les yeux au ciel, demanda pardon intérieurement et défit doucement sa cape de Templier, tout en parlant tout bas…
- Vous pouviez massacrer qui vous vouliez, je n’aurai rien dit…
Puis il haussa le ton :
- MAIS JAMAIS VOUS N’AURIEZ DU TOUCHER A KLEANTHES !
Pris d’une colère sans précédent, l’olympien fit vaciller sa cape ornée de la croix rouge, symbole des Templiers et dégaina son épée.
- Puisque vous voulez la guerre, vous l’aurez !
Darigaaz se lança aussitôt sur Airik, lui assenant une succession de six coups avant de reculer quelque peu. Le champion olympien qui jusque là ne présentait aucun signe de faiblesse, sourcilla sous les coups de l’ancien Templier.
- Arrêtes Darigaaz, les attaques sur Kléanthès étaient une erreur, laisses nous faire ce que l’on a à faire et va-t-en !
L’olympien observa Airik qui reçut alors un nombre incalculable d’attaques qui finirent pas le tuer. Regardant son cadavre, Darigaaz murmura alors :
- Personne ne m’ordonne jamais rien… C’est trop tard…
Et il se relança à l’assaut de ceux qu’ils ne considéraient plus comme ses frères, mais juste comme des bouts de chairs à découper… Sa folie destructrice était enclenchée…
Désolé pour le retard, fallait le temps de l'écrire ^^ Une suite viendra. ]
Luminae, abri des hommes sauvages, peuple pour qui Darigaaz n’éprouvait aucune amitié, ni aucune haine, juste de la neutralité… Comme dans ses habitudes, l’olympien était accompagné de son ami Templière, qui perfectionnait son entraînement à l’arc, alors que lui s’instruisait à l’école de magie de la ville. Les hommes sauvages avaient une connaissance et une maîtrise des arcanes magiques qui dépassaient toutes les autres races. La ville quant à elle, semblait accueillante. Un air doux et reposant y circulait, et la bonne humeur primait en général. Néanmoins, l’ambiance était toute autre à l’extérieur…
Depuis peu, les combats faisaient rage entre des olympiens abusés par les comportements et dires d’ombres, et des hommes et femmes sauvages, tentant de défendre leur cité en stoppant la frénésie olympienne. Dans les deux camps, les pertes s’accumulaient…
Darigaaz passait neutre au milieu de ce conflit. Les deux Templiers sortaient juste de Luminaë et continuaient leur chemin vers Astoria. L’olympien reconnaissait des visages de frères ensanglantés, d’hommes sauvages pareillement défigurés, mais aucun ne l’interpellait. Aucun sauf lui…
L’homme sauvage fut projeté a juste quelques mètres devant Darigaaz, par une salve provenant d’un olympien, d’un mage, de Dilandau ! L’olympien l’observait sans sourciller gémir de douleur et il s’apprêtait à passer son chemin, lorsque l’être poilu releva la tête en direction du champion olympien avant de croiser le regard de Darigaaz de son visage ensanglanté. Le choc fut difficile à encaisser…
Ce regard, cette façon d’être, ces vêtements… Tout cela ne mentait pas… Et comment un élève pouvait il oublier son maître ? Cela ne se pouvait… Celui qui venait d’être blessé devant lui n’était personne d’autre que Kléanthès, anciennement Siguire Graad, celui à qui il devait tout. Darigaaz s’agenouilla auprès de son ami, lui donnant à boire, et lui procurant quelques soins magiques très rapides. Néanmoins dans son dos, personne n’avait une once de considération ou d’inquiétude pour Kléanthès. On aurait dit qu’ils étaient fiers de leur acte…
L’olympien se releva lentement et fixa Kléanthès :
- Reposes toi mon ami, tu en as besoin…
Puis il se retourna, et observa les olympiens, toujours si hargneux… Il leva les yeux au ciel, demanda pardon intérieurement et défit doucement sa cape de Templier, tout en parlant tout bas…
- Vous pouviez massacrer qui vous vouliez, je n’aurai rien dit…
Puis il haussa le ton :
- MAIS JAMAIS VOUS N’AURIEZ DU TOUCHER A KLEANTHES !
Pris d’une colère sans précédent, l’olympien fit vaciller sa cape ornée de la croix rouge, symbole des Templiers et dégaina son épée.
- Puisque vous voulez la guerre, vous l’aurez !
Darigaaz se lança aussitôt sur Airik, lui assenant une succession de six coups avant de reculer quelque peu. Le champion olympien qui jusque là ne présentait aucun signe de faiblesse, sourcilla sous les coups de l’ancien Templier.
- Arrêtes Darigaaz, les attaques sur Kléanthès étaient une erreur, laisses nous faire ce que l’on a à faire et va-t-en !
L’olympien observa Airik qui reçut alors un nombre incalculable d’attaques qui finirent pas le tuer. Regardant son cadavre, Darigaaz murmura alors :
- Personne ne m’ordonne jamais rien… C’est trop tard…
Et il se relança à l’assaut de ceux qu’ils ne considéraient plus comme ses frères, mais juste comme des bouts de chairs à découper… Sa folie destructrice était enclenchée…
