Par Khisanth le 27/08/2006 à 00:12 Khisanth s’était installée à son bureau d’études. Un chandelier à 5 bougies éclairait la pièce peinte en blanc pour accroître la luminosité. De multiples étagères regorgeaient de livres et de petits pots contenant plantes séchées, poils divers et autres ingrédients d’inspiration ésotérique. Dans un coin de la pièce se tenait un mannequin d’entraînement qui avait déjà essuyé nombre d’attaques magiques sans sourciller.
Ouvert devant elle, se trouvait son précieux livre de magie, dans lequel la petite fille inscrivait toutes ses observations et expérimentations magiques.
Qui s’y frotte s’y pique…
Ce proverbe courant chez le Peuple Sauvage était vieux comme Gaïa la Mère.
Un sourire commença à fleurir sur les lèvres de la fillette qui était fière d’avoir découvert (le pensait-elle) ses origines dans la magie du Peuple Sauvage.
Le sort Dard…
Khisanth invoqua mentalement le processus d’exécution de ce sort. Ce sort était pour ainsi dire inscrit dans les gênes de son peuple. Un enfant Sauvage n’a en effet besoin que d’une petite leçon pour appréhender les forces cosmiques pour être capable de trouver le chemin du sort Dard.
L’enfant tendit sa main gauche vers le mannequin d’entraînement puis relâcha lentement sa respiration. Et le sort qu’elle avait formé dans son esprit se déchaîna. Son sourire atteignit alors ses petites oreilles à la vue de sa cible qui ressemblait jour après jour de plus en plus à un hérisson humanoïde. Cependant après un moment d’hésitation, la tête du mannequin tomba et roula par terre, faisant retrouver à la magicienne une expression plus pensive.
hum…
Elle nota dans un coin de son esprit qu’elle devra demander à son père de changer son ami d’entraînement puis elle se replongea dans son livre.
Qui s’y frotte s’y pique…
Le sort Aiguillon…
Khisanth relut rapidement les notes qu’elle avait prises dans son livre de magie. Le sort Aiguillon était en quelque sorte une évolution du sort Dard. Pour lui aussi son principal effet se manifestait par une intense douleur provoquée par la virulente piqûre d’un objet perforant.
Satisfaite, le petite fille décida d’aller faire une pause dans le jardin après avoir soigneusement consigné le fruit de sa réflexion.
Une fois dehors, Khisanth observa des abeilles affairées à butiner le nectar des fleurs du jardin. A l’extrémité de leur abdomen, elle cru deviner la présence de leur aiguillon et sourit à nouveau :
Ce proverbe, ces sorts, c’était un héritage de Gaia, Dame Nature…
Ouvert devant elle, se trouvait son précieux livre de magie, dans lequel la petite fille inscrivait toutes ses observations et expérimentations magiques.
Qui s’y frotte s’y pique…
Ce proverbe courant chez le Peuple Sauvage était vieux comme Gaïa la Mère.
Un sourire commença à fleurir sur les lèvres de la fillette qui était fière d’avoir découvert (le pensait-elle) ses origines dans la magie du Peuple Sauvage.
Le sort Dard…
Khisanth invoqua mentalement le processus d’exécution de ce sort. Ce sort était pour ainsi dire inscrit dans les gênes de son peuple. Un enfant Sauvage n’a en effet besoin que d’une petite leçon pour appréhender les forces cosmiques pour être capable de trouver le chemin du sort Dard.
L’enfant tendit sa main gauche vers le mannequin d’entraînement puis relâcha lentement sa respiration. Et le sort qu’elle avait formé dans son esprit se déchaîna. Son sourire atteignit alors ses petites oreilles à la vue de sa cible qui ressemblait jour après jour de plus en plus à un hérisson humanoïde. Cependant après un moment d’hésitation, la tête du mannequin tomba et roula par terre, faisant retrouver à la magicienne une expression plus pensive.
hum…
Elle nota dans un coin de son esprit qu’elle devra demander à son père de changer son ami d’entraînement puis elle se replongea dans son livre.
Qui s’y frotte s’y pique…
Le sort Aiguillon…
Khisanth relut rapidement les notes qu’elle avait prises dans son livre de magie. Le sort Aiguillon était en quelque sorte une évolution du sort Dard. Pour lui aussi son principal effet se manifestait par une intense douleur provoquée par la virulente piqûre d’un objet perforant.
Satisfaite, le petite fille décida d’aller faire une pause dans le jardin après avoir soigneusement consigné le fruit de sa réflexion.
Une fois dehors, Khisanth observa des abeilles affairées à butiner le nectar des fleurs du jardin. A l’extrémité de leur abdomen, elle cru deviner la présence de leur aiguillon et sourit à nouveau :
Ce proverbe, ces sorts, c’était un héritage de Gaia, Dame Nature…
8 ans et toutes ses dents...