Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - L'Odyssée du troubadour.
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L'Odyssée du troubadour.
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Dernière réponse le 24/09/2003 à 21:21

hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

/ HRP : Haaa la méprise Orphée/Morphée !! Voilà ce qui en coute à toujours vouloir aller plus loins dans les jeux de mots... :P ^^ /


Odyssée du troubadour * Jour 15 * Position : Sommet du Mont Olympe

...

" ... RAPPELLE-TOI... ... MORTMORT ... ET ... HEHE ... MORT, MORTMORTMORTMORT ... ... ...
FEUMORTSANG, SANGFEUMORT, MORTSANGFEU !!!
TOUT CA N'EST ...
...
... ...
...
................................................



BOUH !! "

...



Ce matin là, je me réveillai en sueur. J'avais cauchemardé, de ce genre de rêves si horribles que plus on essaye de se les remémorrer, plus notre subconscient fait des efforts pour les effacer...
Alors que la montagne n'avait pas encore repris sa position définitive dans mon regard, je distingai Orphée et Lancelune, afferés à lever le camp.
Au bout de quelques instants, la sensation de vertige cessa, et nous parvinmes à reprendre la route. Bientôt, nous arrivâmes à l'orée d'une forêt.

La marche allais bon train. Les doigts nus de mes pieds nus dans l'herbe se baladait comme à l'époque de mes petites ballades dans ma forêt natale. Je me surpris à contempler tout en marchant les feuilles de tel arbre, les ailes de tel oiseau, le bourdonnement de tel insecte, comme avant.
Comme avant...
Malgrès une légère nostalgie, cette forêt était un bol d'air frais parmis une longue marche. Bien sur, le sol était toujours pentu, mais j'aurais put courir des heures durant du moment que j'avais de la mousse pour me porter. C'est la différence entre la roche d'avant, et l'herbe de maintenant. Ce lieux, cette forêt, ces arbres, sentaient la vie.
Le plus drôle, c'est qu'ici certaines racines dépassaient du sol pour aller parfois sur le chemin, mais pas une fois je ne tombas...
Je ne sais pas si ce fut le lieux qui me donna cette impression de plénitude, ou si c'était mon esprit qui était encore trop choqué, mais à certain moment, j'avais l'impression de voir Lancelune et Orphée alors qu'ils n'étaient pas dans mon champ de vision. Pour être plus précis, je ne pouvais savoir où ils étaient, hors je le savais avec une grande précision. J'entendait leur soufle inaudible, et je percevait certaint de leurs sentiments comme je sentait la vie dans cet endroit.
Hum. Cela devait provenir du lieu, mais ce n'était pas plus mal si j'était quelque peu revigoré avant mon entrevue avec d'éventuel dieux.

Nous continuâmes ainsi à traverser cet havre de sérénité, jusqu'a ce que les feuilles ne laissent plus passer la lueure tamisée du soleil. Une fois je pensa me saisir de ma guitare, mais, mue par je ne sais quel intuition, je n'osa la toucher.
Et alors que nous sortions de la forêt, nous nous rendîmes compte que nous étions finalement parenus au bout du chemin.

" Nous voici donc au sommet de l'Olympe...
- Oui, Lancelune.
- Heu... Je sais que ça va paraître bête comme question, mais... Que faisons nous maintenant ? "

Orphée se tournas alors vers moi et me dit, un leger sourire aux lèvres :

" Nous prions. "



geant Par Tëtram  le 01/01/1970 à 01:00

Si jamais les salles enfumées, où l'alcool coule à flots, vous manquent, vous serez les bienvenus dans mon auberge, qui ouvre demain soir -soit dit en passant...
Ne connaissant aucun barde ou musicien de talent, considérez cela comme une invitation...

Tetram
Aubergiste du Donjon des Quatre Vents



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

Tëtram j'en suit flaté et il y à fort à parier que mon Odyssée mon conduiras un jour au porte de votre auberge. Bien que n'ayant jamais connus de salles enfumées ( par contre l'alcool j'ai quelque déboire avec lui ) ça feras toujours une expérience nouvelle...

Bon, passons aux choses sérieuses...

Odyssée du troubadour * Jour 16 * Position : Sommet du Mont Olympe

Un journée bien remplie.
Ce genre de journée qu'un elfe énervé en manque d'action ne suporterais jamais.
Prenez l'exemple du poisson. Un petit poisson. Il est patient, car l'océan lui parait sans limite. Maintenant prenez un requin. Qui à fin en plus. Un grand requin, très malin, qui à déjà visité toutes les côtes de tous les océans. Et puis, on force le poisson et le requin à ne pas bouger de la journée. Le poisson, lui, ne s'ennuie pas, rien que son champ de vision lui suffit. Mais le requin, ui, il veut aller ailleur, il ne supporte pas l'immobilité forcée... Peut-être prcque contrairement au poisson il à connus la vraie liberté. Ou peut-être pracqu'il ne l'a jamais connue. Mais ce qu'il sais, c'et qu'il à fin, et que là, il veut se nourir d'autre chose que d'images. D'autant plus qu'il sais où se trouve les poissons à manger.
Evidemment, ils n'étaient pas côte à côte, sinon, le requin aurait fort put s'attaquer au petit, ce qu'il aurait fait au bout d'un moment de toute façon.
Et bien aujourd'hui, le petit poisson Tokakeke s'est retrouvé au sommet du Mont Olympe. Et après une brève hésitation, il à pris sa guiatre - ce qui à son grand soulagement ne provoqua aucune halucination - et commenças à prier à la façon de certains troubadours Homme Sauvages. Personne n'entendit sa chansons alors.
Personne, sauf les dieux qui voulurent bien l'écouter.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

/ HRP : Ils se pourrait que j'ai quelques difficultés à venir jouer car notre ordi bug de plus en plus, et on à presque réussit, ma mère et moi, à convaincre Rowen ( qui est pour ceux qui ne l'avait pas encore comprs mon père ) d'emmener l'ordi chez le marchant histoire de faire jouer la garantie... Mais d'ici que ça se produise, il y à du temps. Mais si ça continue à buger, il se peut que je n'arrive tt simplement plus à venir ici ( on à déjà plus de son - à mon grand dam - et la souris à fait la souris commencer à se transformer en insecte... )
En plus, les dieux, ces vilains, ne m'ont pas répondus, donc... /

Odyssée du troubadour * Jour 17 * Position : Sommet du Mont Olympe

Exploit de l'Humanité Sauvage, ayant entré dans une sorte de transe méditato-comtemplative à caractéristique mistico-divine ( ou, en plus court, fesant ma prière ) j'ai réussit à ne pas sentir le passage du temps ni de la fin aujourd'hui. Je ne savais pas si ça allais durer, mais n'ayant encore reçus aucun signe, je continuai de prier. Ne voyant certes déjà plus le monde physique, je sentais toutefois qu'Orphée et Lancelune étaient encore à mes côtés, sans savoir s'il resterais longtemp...
En tous les cas, je continuai de prier.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

La suite dans " L'Ody du trouba J 17 et suivants... "



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