Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - Loin de chez soi.
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Loin de chez soi.
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Dernière réponse le 13/01/2004 à 10:58

humain Par Midnightknight  le 01/09/2004 à 19:14

Tout commence ici


Cela faisait maintenant un moment que l’ex maréchal de la CdF s’était téléporté sur Olympia, cette planète mythique d’où viennent les dieux.

Il recherchait Emmy sa bien aimée, qui était partie ouvrir le portail a bord d’un vaisseau de type cuirassé. Elle n’avait pas répondu, cela faisait des jours qu’elle ne donnait pas de nouvelles … L’amour fait parfois faire de magnifiques erreurs.

Bien sur que je ne pouvais la sentir … Bien sur qu’on ne pouvait recevoir ses messages … elle avait fait un bond de plus de milles ans dans le passé. A cette époque personne n’aurait plus recevoir les émissions radios. Ma téléportation … Tout d’abord je cru à un gros fiasco … Une faille spatial qui a amené un golem dans ce monde, une arrivé qui a du se faire sentir à des kilomètres. Emmy qui s’est sauvée au moment même ou elle m’a vu …
Pourtant c’est sûrement la plus difficile que je n’ai jamais entrepris. Un voyage d’une distance record aussi bien au niveau de l’espace que du temps.

Mais peut importe … Comment trouver la force de revenir ? Emmy c’est tout d’abord fait posséder par Hadès, puis par une puissance encore plus grande et plus sombre. Comment est ce possible ma douce … Tu étais tellement plus puissante et plus droite que moi …
Je ne t’ai pas revue depuis mon arrivée sur Olympia … Tu m’as fuit, mon cœur brisé, j’ai tenté d’oublier tout ça. J’ai tenté d’oublier que j’étais loin de chez moi, sans possibilité de rentrer.

J’ai tout d’abord essayé de sympathiser avec diverse peuplades d’Olympia, mais toutes plus barbares les unes que les autres, je fis toujours une cible facile pour leur soif de sang et de carnage. Que pouvais je bien faire ? Je ne suis n’étais pas habitué à ce climat, cet environnement … Et Aménous qui refusait de fonctionner.

C’est à ce moment que j’ai rencontré Deimos … Plus rien ne m’intéressait vraiment. Elle était belle, un sang divin et une présence imposante. Nous nous somme aimé, ou plutôt elle m’a consolé, en échange je lui ai offert mon âme et ma vie, elle lui serait plus utile qu’a moi. En échange je pouvais tout oublier quand j’étais dans ses bras.

Oui je suis un faible … Mais ce fût quelques moments de repos. Pourtant tout à une fin, malgré les nombreux avertissement, elle réveilla Ténébre, l’enferma dans son propre corps … Avec l’aide de nombreuse âmes corrompu sur Olympia, et Zeus sait que cela ne manque pas, il prit le dessus et l’enferma dans une gemme. J’ai essayé de discuter avec Ténébre, savoir comment faire pour rendre son corps à mon aimée, chercher à le mettre en confiance …

J’y étais presque … Mais je ne sais à quoi je dois remettre mon échec. Les SA qui sont intervenu à se moment, menaçant celui qui avait pouvoir de vie ou de mort sur ma maîtresse et avec qui je du me battre. Andine, qui cherchait une bonne occasion de me faire la peau, Les autres HS qui se foutait bien de se que je pouvais ressentir. Moi qui ai périt sous les coups par manque de volonté.

Maintenant que j’ai fais une croix sur elle je me sens de nouveau seul et désœuvré, n’est ce pas ironique pour un leader comme moi, qui trouve toujours les mots pour remonter le moral des troupes ? Plus récemment Séverina, pourquoi ces avances ? Je ne fonctionne pas comme les habitants d’Olympia, il ne me suffit pas d’un mot doux pour me passer la bague au doigt.
Je voulais voir ce que valaient les vampires d’Olympia … Le premier contacte n’est pas très réussit, elle me fait des avances puis m’annonce juste après que finalement elle va se marier avec celui que je déteste le plus en ce monde…

Terre belle planète bleu, tu me manques… Je maudis le jour ou Emmy décida d’aller dans le repère des dieux.
Je n’ai rien fait de bon ici, j’ai amené un golem qui se fit tuer par les habitants de cette planète. Je n’ai pas réussit à sauver Emmy, ni les autres voyageurs qui l’accompagnaient.

Que l’éternité est pesante dans ces cas là … J’aimerais tant être mortel…



hs Par Kalik, âme errante  le 01/09/2004 à 19:31

HRP:Très bien écris, félicitations!fin HRP
Que de tristesse... Tant de souffrance pour une seule personne est franchement horrible. Si le temps guérit bien des souffrances, celles ci dureront, pour le meilleur et pour le pire... Peut être que cette expérience te rendras plus fort, mais si ce n'est pas le cas, il faudrat que tu trouve quelqu'un pour t'aider, car ces lamentations prouvent combien rester seul nuit à soi même.

Arkus, nain parallèle.



ldf Par Ploplo, le Lutin lourd, mais lourd...  le 01/09/2004 à 19:38

HRP : encore mieu que moi ... c trestrestres bo ... /HRP

oui , je suis d'acord avec toi Arkus ... tant de souffrance ne devrai pas exister chez certain hommes ...



hs Par Kalik, âme errante  le 01/09/2004 à 19:44

En fin de compte, je suis un peu comme lui, un exilé de mon monde...
Toujours seul... Et j'ai finit par m'y habituer, et même me plaire ici.
/ Une larme coule le long du visage...
Et bien que je regrette mon chez moi, je suis ici et je n'y peut rien. Alors qitte à rester, autant voir le coté positif des choses.



nain Par KardanAmath, l'Anarchitecte  le 01/09/2004 à 20:10

terrestrement bien orchestré

mid' nous montre une autre facette de sa personnalité, à quand le stip' lol.
Tu y arrivera bien un jour humain, continu ta quête n'est pas veine.



humain Par Traag, le Parrain  le 01/10/2004 à 00:35

Je sais ce que vous allez me repondre cher Midnight, mais si vous recherchez un lieu de repos, tu sais que tu es le bienvenue a Sigdil.

Tu y sera en paix et personne ne viendra te deranger, de plus tu y gardera ta liberté d'action (du moment que tu respectes la zone de non-combat )




Par Azash - Pandora  le 01/10/2004 à 00:52

HRP : Haplo mieux que toi, c possible de faire pire ? /HRP

Midnight, chez nous tu trouveras l'honneur, à défaut de paix



humain Par Midnightknight  le 01/10/2004 à 14:45

Le soir était tombé, l’humain nettoyait sa lame taché du sang d’un elfe, une gourde empli de ce liquide à coté de lui. « C’est quand même un peu dégueux » se disait il, mais bon il avait dit qu’il ferai un cadeau à Sévèrina, même si celle-ci l’a déçu, il ne comptais pas se présenter sans rien, de toute façon il fallait qu’il passe ses nerfs sur quelque chose, et il n’avait jamais aimé les elfes.
Puis un flash, il se voyait replongé dans le passé, un passé bien long, un bond de plusieurs années en arrière.

J’étais dans mes appartements, à l’intérieur du quartier général de la base alpine. Des kilomètres de galeries creusées sous la chaîne de montagne, offrant une protection contre tout ce qui pouvait advenir à l’extérieur. Je regardais par la fenêtre, le cœur de la ville souterraine s’étendait sous l’énorme voûte de roche. La porte glissa, je vis le reflet d’Emmy sur le verre.
-Qu’est ce qui t’amène en mon antre ? *lui dis-je*
-Tu n’as pas une idée Mid ?
-Non.
-Toi, tu ne vas pas bien, ça se sent, tu devrais un peu moins penser aux autres et plus à toi, écoutes les conseils d’une grande maréchale fraîchement nommée ô maréchal suprême.
-Ne m’appelles pas comme ça, on se connaît bien maintenant, et je n’ai pas envie que mes amis mettent des titres quand ils me parlent, je déteste ça ...
-Tu est le chef, il faut assumer, et ne détourne pas la conversation s’il te plait.
-Je pense à moi, si c’est ce que tu veux savoir, je ne fais rien qui me déplaise.
-Vraiment ? Je n’en crois pas un mot. Tu te coupes toujours en quatre pour les autres, il faut toujours que tu aides ceux qui sont en difficulté, tu es incapable de laisser les autres se débrouiller seul. Et si ça te plaisait tant que ça tu ne serais pas dans cet état.

Emmy s’était approchée doucement de moi, je finis par lui faire face, mon regard plongea dans le sien, à peine une demi seconde, puis je détournais déjà les yeux. Je n’arrivais pas à lui mentir, ce regard avait suffit à la conforté dans ses pensées, comme si elle avait lut en moi.

-On ne peut rien y faire c’est comme ça …
-Si on peut y faire quelque chose, comment peux tu aider les autres si tu n’arrives pas à être heureux ? Fais ce dont tu as envie, arrêtes de te préoccuper un peu des autres. Là maintenant, fais ce dont tu as envie Mid, je ne suis pas bête, je vois quand un homme me regarde comme tu le fais, n’ai pas si peur, ai confiance en toi un peu.

Les paroles qu’elle m’avait lancé percèrent avec le plus de facilité toutes les armures de mon cœur, me laissant complètement perdu, mes yeux cherchèrent alors quelque chose à quoi se raccrocher, et la seul chose qu’ils trouvèrent furent les yeux marrons de la jeune femme, plein de confiance et de tendresse. Je fis un pas vers elle, mes bras glissèrent le long de sa taille, un sourire se dessina sur son visage. Elle me serra doucement contre elle, une jambe passant entre les miennes, nos lèvres s’effleurèrent.

Midnight revint alors à lui, son épée tombée au sol, ses yeux fixés sur son alliance, il se secoua et rangeât ses affaires. On entendit juste un « Passé quand tu nous tiens » avant qu’il ne disparaisse au loin.



olymp Par Raziel le Vampire  le 01/10/2004 à 17:33

intéressant, je donnerais plus de détails quand tu acheveras ta chronique



humain Par Midnightknight  le 01/01/1970 à 01:00

Midnight se revoyait, face à cet homme à la stature imposante qui portait une armure lourde comme on en faisait au moyen age.
« Nous avons besoin de toi » avait il dit, ajoutant juste « Zeus et Poséidon, les maîtres de l’olympe », comme si il cherchait à dissiper ma perplexité. Il tirai derrière lui une armure emballée dans du tissus, elle semblait encore plus bizarre que la sienne, le métal semblait presque être du givre.

- Elle est à toi, si tu acceptes la tache qui t’est confiée.
- La tâche qui m’es confiée ?
- La terre va mal, les dieux ne peuvent pas garder un œil en permanence dessus, et d’autres en profitent.
- Super … Je suppose que je n’ai pas le choix de toute façon.
Je me rappelais ce qu’on m’avait toujours appris, ne jamais contrarier les fous, surtout quand ils sont armés.

Plusieurs jours passèrent et il finit par me convaincre qu’une bonne partie de ces dires étaient la vérité, le fait qu’il ai su exactement où me trouver, à quel moment, une période om une absence de plusieurs jours ne se remarquerait pas auprès de mes proches. Je fût entraîné au combat, à maîtriser les pouvoirs que me conférait le don des dieux, puis j’en appris plus sur ce qu’on me demandait.

Un point noir vint pourtant tout gâcher le troisième jour où il m’annonça que sa venue sur terre n’était pas passée inaperçu et qu’un ennemi très puissant allait venir, je devais fuir alors qu’il le retiendrait. Bien sûr je ne l’entendais pas de cet oreille, à nous deux nous pouvions vaincre quiconque, enfin je le croyais.

Il finit par arriver, lui aussi portait une lourde armure, ses yeux orangers et sa stature imposante semblaient presque irréel, « d’où débarque t-il celui là ? », il s’approcha de nous en silence un sourire aux lèvres. Mon ‘maître’ voulu le retenir pour que je puisse partir, mais il ne le retînt pas longtemps, quelques secondes peut être. Je prît alors la direction de la sortie la plus proche, j’entendais un souffle derrière moi, la lumière du jour, puis tout se voile.

Alors que je tombait au sol d’un mouvement parabolique bien étudié, je pus l’apercevoir, il flottait au dessus du sol, sont poing levé, comme attendant que ma course s’arrête pour frapper et en finir. Ce moment vînt enfin, dans une statue de pierre, en un bloc à même le sol, juste le temps de relever la tête et voir dans une vue brouillée qu’elle représentait un chevalier à l’allure inquiétante.

Mon poursuivant s’arrêta comme pétrifié, prit d’une peur panique je ne compris d’abord pourquoi jusqu'à se que la pierre qui me soutenait se mit en mouvement, me laissant tomber par terre. Une jambe passa devant moi, armurée d’une plaque d’ébène recouverte d’une fourrure aussi sombre, puis une deuxième. L’ancienne statue brandissait sa lame haut dans le ciel.
- Il est temps pour toi de mourir Azraël, les dieux viennent reprendre la place qui leur est due.
- Comment as-tu pu te matérialiser ici sans que la porte soit ouverte ?!!

En seule réponse, la Black Blade s’abattit en fendant l’air, brisant l’épée, et fendant le crâne l’armure et le corps qui lui faisait obstacle dans sa course effreinée. Je perdis alors connaissance, a mon réveil tout avait disparût, seul un profond sillon dans le sol m’indiquait que tout n’était pas un rêve.

Plus de deux siècles plus tard j’étais enfin arrivé sur Olympia, le domaine des dieux, mais un problème de courbure du temps rendait les choses bien difficiles.



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