Par Orphée le Thesprôtien - Prince des Olympiens le 01/01/1970 à 01:00 Tanis, le demi-Elfe, était face à moi dans le Colisée. Pour protéger son honneur, soit disant bafoué par Ætius, il avait défié ce dernier.
Piètre manœuvre que de défier un jeune paladin, qui n'a de loin pas son expérience...
Je me suis fait le champion d'Ætius. La position de Tanis s'est trouvée alors inversée par rapport au défi lancé. Mais il a accepté le challenge. Ce qui est tout à son honneur, il est vrai.
Ce qui m'étonne beaucoup de Elfe de la FORCE ; quoiqu'il avait dit agir juste en son nom, et non en Elfe, ou en membre de la FORCE.
Tanis aurait-il été respectable et honorable, ne fut-ce qu'une journée ?
Car le soleil ne se sera pas levé deux fois au dessus des protagonistes. Nous sommes entrés sous le soleil au zénith. Le demi-Elfe aux cheveux et à la barbe rousse me faisait face. Chacun fixait l'autre, le jaugeant, guettant le moindre mouvement.
Comme toujours depuis ma déchéance, je portais ma lourde et sombre armure, me protégeant au plus fort de la mêlée. Le cuir de la garde de mon épée, humide de sueur, n'avait quitté ma main depuis des lustres. Avec les Ombres, le combar était incessant. La lame noire, aux entrelacs carmins laissés par mes victimes, détenait un fort pouvoir. Mes séjours, mes combats en Enfer contre ses gardiens, puis contre Olympiens déchus qu'était les serviteurs, me l'avait montré. Me je ne savais quel était se sombre pouvoir.
Allais-je devenir aussi perdu qu'eux ?
J'ai vu Tanis s'élancer...
À ma grande suprise, il s'éloignait de moi, vers le mur opposé du Colisée. Les hauts murs de moellons, surplombés par les gradins vides de spectateurs, nous confinaient en ce lieu. Pourquoi fuir ?
Je m'élançai vers Tanis et portai le premier assaut. Sans armure, n'étant pas un combatabt aguerri, il ne pouvait que vainement tenter de me repousser. Acculé dans le coin de l'arène, il portait les blessures que je lui avait infligé en me toisant, plein de mépris.
Sa magie n'allait pas tarder à se déchaîner sur moi. il s'écarta et tenta de m'empêtrer dans ses sorts, restant à bonne distance. Je me sentais faible, confus, mes mouvements étaient lourds...La douleur s'imprégnait en moi...
La nuit tombait sur le Colisée. Les arches crénelant l'enceinte projetaient leur ombre autour de nous. Je rejoins Tanis, et sans émotion, je l'accablais d'estoc de Psukêkléphiêdz, ma noire épée, et regardais son cadavre s'affaisser mollement sur le sable.
Piètre manœuvre que de défier un jeune paladin, qui n'a de loin pas son expérience...
Je me suis fait le champion d'Ætius. La position de Tanis s'est trouvée alors inversée par rapport au défi lancé. Mais il a accepté le challenge. Ce qui est tout à son honneur, il est vrai.
Ce qui m'étonne beaucoup de Elfe de la FORCE ; quoiqu'il avait dit agir juste en son nom, et non en Elfe, ou en membre de la FORCE.
Tanis aurait-il été respectable et honorable, ne fut-ce qu'une journée ?
Car le soleil ne se sera pas levé deux fois au dessus des protagonistes. Nous sommes entrés sous le soleil au zénith. Le demi-Elfe aux cheveux et à la barbe rousse me faisait face. Chacun fixait l'autre, le jaugeant, guettant le moindre mouvement.
Comme toujours depuis ma déchéance, je portais ma lourde et sombre armure, me protégeant au plus fort de la mêlée. Le cuir de la garde de mon épée, humide de sueur, n'avait quitté ma main depuis des lustres. Avec les Ombres, le combar était incessant. La lame noire, aux entrelacs carmins laissés par mes victimes, détenait un fort pouvoir. Mes séjours, mes combats en Enfer contre ses gardiens, puis contre Olympiens déchus qu'était les serviteurs, me l'avait montré. Me je ne savais quel était se sombre pouvoir.
Allais-je devenir aussi perdu qu'eux ?
J'ai vu Tanis s'élancer...
À ma grande suprise, il s'éloignait de moi, vers le mur opposé du Colisée. Les hauts murs de moellons, surplombés par les gradins vides de spectateurs, nous confinaient en ce lieu. Pourquoi fuir ?
Je m'élançai vers Tanis et portai le premier assaut. Sans armure, n'étant pas un combatabt aguerri, il ne pouvait que vainement tenter de me repousser. Acculé dans le coin de l'arène, il portait les blessures que je lui avait infligé en me toisant, plein de mépris.
Sa magie n'allait pas tarder à se déchaîner sur moi. il s'écarta et tenta de m'empêtrer dans ses sorts, restant à bonne distance. Je me sentais faible, confus, mes mouvements étaient lourds...La douleur s'imprégnait en moi...
La nuit tombait sur le Colisée. Les arches crénelant l'enceinte projetaient leur ombre autour de nous. Je rejoins Tanis, et sans émotion, je l'accablais d'estoc de Psukêkléphiêdz, ma noire épée, et regardais son cadavre s'affaisser mollement sur le sable.
Par Tanis le 01/01/1970 à 01:00