Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - [Chro]Le retour des dragons?
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[Chro]Le retour des dragons?
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Dernière réponse le 30/04/2004 à 13:14

humain Par Traag, le Parrain  le 01/01/1970 à 01:00

Une lettre m’était parvenue du Nord, des terres naines.
Orphée avait été capturé, mes bagages vites fait, je commençais mon voyage pour les rejoindre.

Je laissais Parium et mes compagnons SA retenir les elfes qui s’amassaient aux portes de Lardanium.

Plusieurs fois sur le chemin, je du faire des pauses et tenir des conversations télépathiques avec Rowen, la situation se pressentait mal.
Par trois fois nous dûmes batailler ferme pour accepter de se rapprocher de la paix, par trois fois cela fut rompu.

La colère montait de plus en plus, pourquoi toujours en venir aux mains, est ce le seul moyen de résoudre les problèmes. A croire que les peuples d’Olympia ne savent pas rester en paix.

J’envoyais un mot a Parium, je ne m’occuperais plus du conflit actuel avec les Astoriens. En retour, j’appris la démission de Rowen.
Mon amie, toi aussi, tu voulais un monde de paix, toi aussi tu as été déçue par les peuples de ce monde.

Sigdil était en vue, mais je n’y fit pas de pause, je devais sauver mon maître. Lui seul saurait réussir à me redonner la foi, mais pour cela je devrais lui retrouver une âme, et ce quitte à sacrifier la mienne.
Je le dois pour Olympia.

Et maintenant, mon crane me faisait mal, le rire de Zapan résonnais à mes oreilles.
-Je t’avais prévenu mon garçon, ton sang ne peut être nié, tu me rejoindras, regarde autour de toi, rien n’est digne d’être sauvé.

-Nooooooooooooooon, tais-toi Zapan, laisse-moi.


Un jeune homme se posa devant moi, il me tendis une missive d’Haplo. Je lui répondis, la haine me faisait oublier la diplomatie. Je l’ai menacé, n’ais pas recherché de moyen de réconciliation.
Que m’arrive t’il ? Ma vision est floue. Ares est devant moi, un sourire aux lèvres,
Il est l’heure pour toi de montrer tes talents guerriers. L’arène t’attend

Je me retrouvais sur le sable de l’arène, mon épée dégainée, j’avançais sans réfléchir vers mon adversaire. Je reconnu de suite Tanis, un astorien. Une haine se faufila en moi, je sentais mon sang bouillir.
Un coup d’œil rapide sur mon bras gauche me permis de reconnaître une cicatrice, ce n’est pas la mienne, c’est celle de Zapan.
Il s’est substitué à moi, mes doutes lui ont permis de me posséder.

Le combat débuta contre Tanis, je pliais ma volonté pour reprendre contrôle de moi-même.
Tanis profita de mon hésitation pour lancer ces sorts les plus efficaces. Je reculai0s. Zapan ne pouvait pleinement profiter de l’occasion, je le bloquais et la violence des sorts de mon adversaire l’empêchait de se concentrer pour me vaincre.

Je reculais. Tanis disparu de ma vision, la surprise me laissa le temps d’attaquer Zapan. Je m’effondrais au sol, la douleur arriva soudain. J’avais récupéré mon corps.

- Traag, laisse moi te contrôler, laisse moi te donner la puissance des dragons.
- Non, jamais. Je ne veux pas de ta haine, je ne veux pas avoir à tuer mes amis et mes proches. JE NE SUIS PAS COMME TOI.


Je retournais vers le centre de l’arène, il me fallait vite finir ce combat. Que je trouve enfin un moyen de repousser à jamais cet être immonde de Zapan.



nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/01/1970 à 01:00

La suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Traag, t'as pas le droit de couper là!!!!!!!
c'est dégeulasse!!!!!!


ENCORE!!!ENCORE!!!ENCORE!!!
ENCORE!!!ENCORE!!!ENCORE!!!
ENCORE!!!ENCORE!!!ENCORE!!!
ENCORE!!!ENCORE!!!ENCORE!!!



olymp Par sam  le 01/01/1970 à 01:00

"tu voulais un monde de paix, toi aussi tu as été déçue par les peuples de ce monde. "

voila pourquoi lutte l'OMMEGA, la paix des peuples!!!!


stp la suite, je pourrai pas dormir avant d'avoir la suite!!!

SAM


Edit : Si Traag est a Sigdil c'est pour quoi a ton avis?



olymp Par Kradyor  le 01/01/1970 à 01:00

...Traag...

...c'est tout simplement Immoral, une hcronique comme cela!!!!

Vous êtes dans l'obligation de délivrer la suite sous peine de dégoutement de tout ceux que lise le morceau...!!!!

Encore!!!

Si je peux t'aider, ton assistant sera toujours là...



hs Par Strange Spirit  le 01/01/1970 à 01:00

Hey ! t'as pas oublié la fin là Traag ???

J'me sens frustrée de pas connaitre la suite !!!

LA SUITE ! LA SUITE !!!



elfe Par Tanis  le 01/01/1970 à 01:00

HRP : La fin... Traag est fort mais je ne le crois pas encore capable d'ecrire le futur...



Traag venait de s'effondrer sur sol cailloteux de l'arène. Semblant lutter contre une force inconnue, se battre contre une partie de lui même.

Tout cela était effrayant, de lourde gouttes de sueur perlaient sur ma joue. J'étais alors en proie à un terrible dilemne : attaquer Traag maintenant et profiter de ce sordide avantage, ou bien attendre pour pouvoir enfin comprendre de quoi il en retourne.

Je lançais donc un sort d'illusion sur ma propre personne, et me dissimula à la vue de mon adversaire du jour. Profitant de ce moment où Traag semblait avoir reprit une partie de sa conscience :


Traag !! Je ne sais ce qu'il t'arrive, et cela ne me regarde en aucune façon ! Mais je ne peux t'attaquer dans ces conditions !!


Mon adversaire ne semblait pas être au meilleur de sa forme, le venin, que la vipère invoqué par mes soins lui avait infligé, rendait son fardeau plus lourd encore.
Mais je n'avais pas le temps de me soucier de son etat, du sang ruisselait de mon bras gauche, touché à maintes reprises !! Et que dire de mon abdomen ! La fleche qui s'y trouvait figée, était enfoncée très profondément.
En un puissant râle, qui se fit ressentir jusqu'aux frontières de l'Outland, je tirais puissament sur ce projectile, afin de l'extraire de ma peau.
Mon sort se dissipa suite à cet acte, plus moyen de me cacher à sa vue, il me fallait maintenant reprendre le combat, quoi qu'il advienne !

Un simulacre de rictus déssiné sur les lèvres, je me décidai alors à incanter...



humain Par Traag, le Parrain  le 01/01/1970 à 01:00

L’incantation de Tanis raisonnait a mes oreilles, je sentais crisser le sable sous mes pied, chaque souffle de vent me paraissait hurler a mes oreilles, ma vue se brouillait.

Ares se posa à nos cotés, un rictus déformait son visage. Je couru sur l’elfe, celui-ci concentré par sa puissante incantation et ne s’attendant pas a ce que je soit aussi vif ne put esquiver mes coups.
Ma lame pénétra loin dans sa chair, et je fini par lui perforer un poumon.
Dans un râle, Tanis s’effondra doucement au sol. Un sentiment de bonheur me parcouru les veines, une envie de ramasser le cadavre de mon adversaire et de lui dévorer le cœur me pris.
Je reculais d’un pas, tendant mon esprit au maximum, je réussi a garder le contrôle.
-Traag, mange, dévore ta victime. Tu prouves ton existence en détruisant celle d’autrui. Laisses parler ton cœur et ton sang, laisses toi aller.


Je me tournais vers Ares, le dieu de la guerre.
-Ares, renvois moi près des miens, près d’Airik mon compagnon.

Mes forces me quittaient petit a petit, la lutte contre Zapan était dure. Combien de temps allais-je tenir ?
Je fermais les yeux quelques instant, en les re-ouvrant, j’étais sur Olympia, entouré d’Olympiens. Je pouvais souffler, Ankyriel et Airik s’approchèrent de moi, s’inquiétant de ma pâleur.

-Mes amis, je vais au nord sauver mon ancien maître Orphée, si vous voulez m’accompagner, vous étés le bienvenue, il est possible que nous soyons rejoins par Rowen et Gollorthind, mais ils viendront en paix, ne vous inquiétez pas.

Je rengainai mon épée. Un peu de repos me fera du bien.




olymp Par Airik - disciple d’Athéna  le 01/01/1970 à 01:00

Après les derniers évènements avec les elfes au sud de Lardanium je recu une lettre de Traag demandant mon aide pour aller secourir Orphée,
Avait t'il trouvé un moyen de le sauver ? regardant autour de moi les troupes se dispercer, tout se calmer j'espère que sa va aller mieux ici maintenant...

je remontais très vite à la ville pour prendre seul le chemin de Sigdil là où l'on avait apercu pour la dernière fois Orphée, Traag devait me rejoindre tout de suite après l'appel d'Ares.

Ankyriel me rattrapa vite dans la journée, la jeunesse ça court et rien ne leur échappe d'ailleurs disais je en souriant, un compagnon de route est mieux qu'être seul, tu peux me croire ! Sa présence était la bienvenue, des compagnons devraient nous rejoindre plus tard, sa changerait en tout cas des combats incessant

Airik apercu dans un voile de lumière la silhouette de Traag jaillir à côté de lui, il comprit qu'il revenait victorieux de son duel, ce fut un soulagement pour moi mais qui fut vite enlevé en apercevant le visage de Traag.

Il n'y avait pas là que les blessures d'un simple combat, Traag n'était pas le même lorsqu'il était parti, à peine avait il la force de se porter, son corps était bien affaiblie et fébrile...je le saisie par l'épaule, son regard était transparent presque vidé et inerte...Ankyriel, on s'arrête pour aujourd'hui trouvons un endroit pour la nuit, le coin à l'air plutot calme

Ankyriel trouva une petite clairière entouré d'arbre très proche du chemin, ce qui ferait très bien l'affaire

Je commencais à déposer Traag, le soulagea de son fardeau, il baffouillait des paroles totalement imcompréhensible, il délirait
il a l'ai bien plus fatigué que je le croyais...Ankyriel demain nous reprendrons la route plus tard dans la journée le temps de le laisser récupérer, autant y arriver en forme, moi aussi j'ai encore quelques souffrances des derniers combats

La nuit allait être paisible au coin du feu, Traag semblait déja dormir à poings fermés...c'est étrange tu trouves pas Ankyriel ?? Traag ferait tout pour sauver celui qui fut son mentor, j'ai beau y réfléchir seul Hades peut y remédier mais c'est bien la seule chose impossible...non Orphée ne peut pas rester prisonnier...mais que ferons nous lorsque nous nous retrouverons devant lui ?

Ce soir là, la nuit de son ciel noir impénétrable laissa l'olympien dans une profonde réflexion, beaucoup d'inquiétude face à tout ces problèmes...Puisse trouver un brin d'espoir dans tes paroles Traag, le dénouement approche et je serais à tes cotés pour t'aider sois en sûr...



humain Par Traag, le Parrain  le 01/01/1970 à 01:00

Le soleil me reveilla, mon crâne me semblait être comprimé par une enclume.

Plusieurs messages m'etaient parvenus, les premiers apportant de bonnes nouvelles, si nous continuons d'avancer, nous retrouverons Orphée et ses gardiens dans la journée.
A la lecture des derniers messages, la colère se reveilla en moi. UN Olympien, autorisé par le senat à sejourner en Lardanium avait été assassiné dans les faubourgs de la ville suite à une rixe, et ce par un géant fort connu : Haplo

- Airik, as tu eu la nouvelle?
- Oui, j'ai fait une excursion pendant que tu dormais, je l'ai blessé, mais ce géant n'est pas facile à vaincre.
- Nous rejoindrons Orphée un peu plus tard, il faut apprendre à Haplo de respecterles lois des autres un peu. Je respecte l'AGIR, en général les géants respectent les lois, sauf Haplo.
- Traag, tu n'est pas au mieux de ta forme tu es sûr de vouloir combattre, je préfèrerais m'en occuper et te savoir auprès d'Orphée.
- Non, je vais bien.

Sur ces paroles, je me préparais, le combat allait être rude, les talents d'archer du géant étant fort reconnu.
J'envoyai une missive aux gardiens de Lardanium. Hapo est désormais interdit de passage en Lardanium.

Au moment de partir, Zapan s'adressa a moi:
- Tu vois ce n'est pas si dur que ça de se laisser aller a la colère, prend plaisir à ce combat, nous en reparlerons après mon petit.
- J'accomplirai mon devoir sans sentiments. Jamais je ne prendrais plaisir a faire couler le sang ou a enlever une vie.

Édité par Orphée : correction



olymp Par Kargan Lessiac  le 01/01/1970 à 01:00

Ankyriel avait apris la nouvelle .Il attendait la reaction de Traag mais, il avait deja composer le message qu'il enverrai au Guetteurs les plus proches .

Raziel avait confiance, et ,c'est sans se mefier qu'il etait venu a lardanium .Aux dernieres nouvelles, il ne faisait que traverser la ville .

- Je trouve bien dommage qu'un guerrier de l'AGIR se comporte de la sorte .Lardanium ne peut laisser qui que ce soit tuer impunement en ses murs .

Comprennant alors la situation, Ankyriel tandis un rouleau a son faucon qui s'envola a la recherche des deux Guetteurs.

Orphée pardonne nous, nous risquons d'etre en retard .Peut etre meme, pour certains, de ne jamais arriver ...



Par Google  

elfe Par Tanis  le 01/01/1970 à 01:00

Les limbes, ce chemin si long à remonter et dont je venais encore de m'extirper, après mon combat contre le consul Olympien, je venais de trouver une nouvelle fois la mort.

Une grotte, ce fut ma porte de sortie, mon passage vers cette terre tant chérie. Il me fallait me hâter maintenant, ma présence était requise à Astoria.

Mais, quel est ce lieu ? Il m'est inconnu. De longues plaines bordées d'une majestueuse chaîne de montagne. Ce doit être Karda Hek, le royaume des seigneurs nains que j'apperçois au loin.. Un frisson me parcourt rien que d'y penser.. Calme toi Tanis.. Tu ne dois pas paniquer, respire et laisse toi guider par ton instinct !

Le soleil avait maintenant atteint son zenith, ses rayons éclairaient mon visage, qui resplendissait alors de clarté. Un court coup d'oeil aux environs me fit discerner les formes avoisinantes, plusieurs nains rodaient, il n'était guere indiqué de rester près d'eux, espérons qu'il ne m'aient pas aperçu !
Mais quelque chose était cependant étrange, d'habitude si prompt à se lancer dans une joute face à un elfe, ces nains ne semblaient me porter que très d'attention.

Un aura semble se démarquer de celui des autres, il m'est connu, je peux facilement reconnaître la peur qui m'envahit rien qu'à la vue de cette personne. Lorsque j'ai eu l'honneur de combattre contre lui dans l'arène, sa seule prestance m'avait rabaissé au simple rôle de figurant.
Mais il faisait piètre en ces lieux, enchainé, pieds et poings liés, Orphée gisait au sol.. Un de ses geôliers tirait sur sa chaîne pour l'obliger à accelerer le pas. Cette vision atroce, d'un puissant guerrier, réduit à la simple condition d'une bête sauvage !!

Paralysé, je ne trouvais même pas la force de me mettre à couvert...

Édité par Orphée : correction



nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/01/1970 à 01:00

Dès la recéption du message, je me hâtais de prendre la route quittant Lardanium avec un empressement qui fît que tous s'écartèrent sur mon chemin.
Je ne faisais que courir, lorsque je vis un de mes frères attaqué par un nain nommé Gromrill.Je fit une courte halte,lui octroyant une giffle et l'invectivant comme un charretier...

Puis je repris ma route,sans m'être reposé,sachant bien que ce que les nains n'ont pas en vitesse,ils le compensent par l'endurance...

Je choisis de prendre un raccourcis, afin de couvrir la distance me séparant de mes compagnons en un minimum de temps.
J'apercus le matin suivant le faucon d'Ankyriel qui m'apporta la sinistre nouvelle...
-"De tels actes ne peuvent être tolérés...Raziel est un grand guerrier qui possède un code de l'honneur qui manque à tant de personnes sur ce monde...Son assassinat ne peut rester impuni...
J'engage mon honneur à tenter d'accomplir la quête de sa vengeance,et a rétablir l'ordre des choses sur les terres olympiennes..."

Il est clair qu'Haplo possède une certaine réputation, réputation qu'il cultivait lui-même auprès des autres pour la plus grande satisfaction de son égo sur-dimensionné, mais nous ne devions pas douter, le bon droit est avec nous et, si les Ancêtres nous regardent, ils loueront notre courage et nos actions...

-"Seigneur Orphée, toi qui m'as accueilli au sein de la Cité aux murs blancs, je ne puis te laisser dans l'état que tu subis actuellement,je fais serment de chercher ton âme où qu'elle se trouve et s'il le faut, d'aller en enfer défier Hadès afin que tu redevienne l'homme tant admiré par son peuple...
Ta sagesse nous manque, Orphée et n'oublie pas que le serment de vassalité que je t'ai fait a mon arrivé fait que je ne connaîtrai pas le repos tanat que tu souffriras de cette "malédiction"...


Une fois ma décision prise, je me jettais sur le chemin, en direction du géant...Je sentais monter en moi la fureur qui rongeait mon âme depuis quelques jours...
-" La peste soit de Sèvérina!!!! M'avoir infligé sa malédiction qui fait de moi une bête!!! Qu'elle soit trois fois maudite!!!!!!

Édité par Orphée : correction



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

/ HRP : siffle, fiou, c'est beau tout ça.
Ces temps-ci je trouve qu'il y a pas mal de chro sympa... Enfin, bravo à vous. ^^ /



olymp Par Raziel le Vampire  le 01/01/1970 à 01:00

/hrp en effet tres joli je suis juste surpris qu'on parle de moi ^^/hrp



humain Par Traag, le Parrain  le 01/01/1970 à 01:00

Le soleil venait de dépasser son zenith lorsque l'attaque fut lancée, le géant se debattit avec force, mais le nombre le dépassait, il ne pouvait que se defendre.

Sur un message de ma part, un des geants de Sigdil nous vint en aide achevant la masse de geant de l'AGIR.
Le corps encore fumant, je sentais Zapan exulter de ce meurtre.

Avions nous reellement besoin d'en arriver la?
Est ce que j'avais reellement bien examiner la situation ou bien Zapan m'avait il poussé sans que je m'en rende compte pour que je tue un allié.

Le soleil se couchait, Orphée et ses gardiens nous rejoignirent.
Sami me transmis la chaine qui tenait Orphée, celui qui fut mon premier maitre.
Je le regardais, ces yeux n'etait remplis que de haine, ce n'etait plus le meme olympien que ce qu'il avait été de par le passé.

Nous devons absolument tout faire pour retrouver Orphée le Sage, pourvu que mon idée marche, et qu'importe si je peris dans cette histoire.
Les nains gardiens attendait a mes cotés, je leur avait promis une recompense.
- Sami, Sam, Nomrak, je vous donnerais ce que j'ai promis, accompagnez nous en Larda et vous serez recompensé.
Ils acquisèrent d'un bloc.

Le soir etait deja la, la journée etait passée si vite. Un message me parvint, Mastok, Gardien Sacré de l'AGIR désirant s'entretenir avec moi de la mort d'Haplo.

Je m'isolai un court instant et contactai le venerable Mastok, la conversation fut longue et houleuse. En revenant au campement, je me demandait si je n'aurais pas pu etre plus 'diplomate'.

Que m'arrivais t'il?
- Zapan, qu'essayes tu de me faire faire? Je sais que tu es derriere ca, que complotes tu?
- Tu crois que je vais te le dire, luttes mon petit, luttes, ma victoire n'en sera que meilleure. Et n'oublie pas, rien n'a meilleur gout que le sang.
- Jamais tu ne me ferais apprecier le sang.

Sur ce, je vis une lame foncer en ma direction, par pur reflexes ma lame bloqua l'impact. Monty, le PanzerDrach etait deavnt moi, j'esquiva a nouveau sa lame mais ne put parer sa derniere frappe qui m'entailla la jambe.

Monty resat quelques instant a me fixer puis repartit, je n'etait probablement pas une cible suffisament interressante pour lui.

Quelle journée décidement, vivement Lardanium et la tranquillité.
- TRAAG CA VA?
- Tiens Tetram que fais tu la je croyais que tu ne venais pas?
- J'AI EU UN MAUVAIS PRESSENTIMENT.
- Ah Tetram, tu ne changera pas, tu es arrivé trot tard, mais ne t'inquietes pas ca va je gere, je suis juste un peu stréssé.
- OK, TU VEUX T'ENTRAINER UN PEU?
- Ok vas y je t'attends.


C'est completement épuisé que je m'endormis, Orphée attaché non loin de moi.

A l'aube, je fut reveiller par la nature, les oiseaux chantant.

Il existe tant de belles choses en ce monde, pourquoi tout vouloir détruire, pourquoi la haine est telle tapie dans le coeur de tous et attends le bon moment pour se liberer.
Bon ce n'est pas le moment de philosopher, nous vons une âme a récuperer.


/Hrp Merci a ceux qui sont deaj intervenu, ca fait toujours plaisir de se savoir lu et de voir les autres participer a tout ca
La suite bientot ^^



nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/01/1970 à 01:00

Avant même que je n'arrive sur les lieux, l'assassin était déjà mort... Mes compagnons, avaient fait preuve d'une célérité remarquable.
Mais un autre géant commenca a faire des siennes en s'en prennant a Traag et a mon frère, Aetius.
Il fallait que je m'interpose...Je m'abbatti sur lui comme un faucon frappant sa proie et ne lui laissait le temps de rien faire...Je voulais m'assurer qu'il comprendrait qu'il ne faut pas attaquer les gens qui ont recu la mission d'escorter Maître Orphée,d'autant plus si cette personnes est mon frère.
Aetius secoua la tête,sonné par le bout de bois jetté par Faust,puis se releva et partit aussi au corps a corps afin de marquer dans la chair et dans l'esprit de notre ennemi que nous faisions corps devant l'adversité....

Pendant ce temps, Gromrill avait fini par tuer Unkfull, autre membre de notre confrèrie...S'en était trop!!!!! Si personne ne semble nous prendre au sérieux,cela va cesser!!!!!! j'ordonnais a tous mes frères de tuer ce nain a vue, ne lui laissant même pas la possibilité de s'expliquer, il est trop tard a présent....

Tandis que nous nous dirigions a nouveau vers Lardanium, nous pouvions entendre les bruits d'un combat non loin de là....



olymp Par Airik - disciple d’Athéna  le 01/01/1970 à 01:00

...et vint le moment de la rencontre avec les détenteurs d'Orphée, des nains aussi robustes que leurs haches dont ils faisaient bon usage...Orphée était là, telle une bête corrompue par la soif de haine et de sang...

Traag s'en suivit d'une discussion avec les nains pour le service rendu, Traag, Aetius, Ankyriel, Baaldûm-Dhûm et moi même accompagnés par la compagnie naine Nomak le Noir, Sam le pirate, Sami qui, en guise de remerciement pour la prime que Traag leur avaient laissé, nous escortèrent sur le chemin de retour vers Lardanium.

Trois longs jours avaient passé depuis la rencontre des nains détenteurs d'Orphée...la vision d'Orphée me rendait dans un triste état, bien que prisonnier il arrivait à trouver le moyen de laisser derrière son passage cadavres et sang...

Tard dans la nuit nous continuions notre avancée jusqu'à ce que je distingue au loin les lumières raillonantes, transpercant les sombres ténèbres de la nuit, les tours de garde de notre chère ville nous éclairaient notre chemin!

"Enfin ! Loué soit cet instant que j'attendais tant !"
Airik fit signe de sa présence, très vite il fut rejoins pas Sarko et Anrash solarii

J'entrevis un instant une discussion avec Traag qui passa près de moi...

"Traag...combien de temps penses tu que sa va durer encore..."
Traag me regarda, son regard était perplexe
"Je n'en n'ai aucune idée...tout ce que je sais c'est qu'une fois à l'abris des murs de Lardanium, tout devrait se passer pour le mieux..."
"Pour le mieux ? me dis je dans ma tête...il y a bien longtemps que beaucoup de choses devaient aller pour le mieux...Traag..."

Inutile d'approfondir la discussion de crainte d'une dépréciation, ce n'était pas le moment, la fatigue gagné sur l'olympien.

"Je te le souhaite Traag...je me sens un peu coupable pour Orphée, si nous avions été là ce jour maudit nous n'en serions pas là aujourd'hui...j'ai foi en toi Traag, je comprend qu'Orphée te tienne à coeur, étant ton mentor mais pense qu'un jour on peut arriver face à ce qui est peut être "impossible" seul, nous sommes là, n'oublie pas...."

Airik repris le devant du convois, apercevant les nains gromelant de cette marche incessante...

"Courage compagnons ! une fois arrivé nous nous ferons un plaisir de vous offrir hospitalité dans notre auberge !"

Édité par Orphée : correction



humain Par Traag, le Parrain  le 01/01/1970 à 01:00

La petite equipée repartit.
Je regardais Orphée attaché comme un criminel qui me suivait, les nains ne le quittait que pour se reposer et boire une bière.

Plus d'une fois, mon maître en profita pour déchaîner sa rage sur des personnes passant a côté de nous...
Je fut obligé de le frapper pour qu'il cesse.

Arrivé devant les murs de la capitale, je parti devant laissant les gardiens devant.
Je me dirigeais directement vers le temple, une partie de mon âme y était, c'était le meilleur endroit pour y tenter de rendre l'âme du plus grand de tous les olympiens.

Des GA étaient posés non loin du temple, ils nous regardèrent passer sans un mot.
Une question muette était sur toutes les lèvres, tous se demandaient comment j'allais faire.

Une fois dans le temple, je desarmais Orphée, posait mes propres amres un peu plus loin. le regard d'Orphée semblait perdu loin.

je me rappelais mes journées d'apprentissage à son coté, toujours prêt à aider, toujours là quand on en avait besoin.
Jamais je n'aurais pu le laisser dans cet état. Et après tout au pire, c'est moi qui mourrais, quelle importance, j'aurais au moins fait mon devoir.

Debout devant le Sage Orphée, mes yeux se fermerent et je commençai à prier.
Mais Zapan brisa ma concentration.
"-Tu sais ce que tu vas tenter là?
- Oui, pourquoi, aurais tu peur?
- Non, ce n'est pas ça. Tu atttises ma curiosité, et ... non rien
- Dans cas pour une fois, tais toi être immonde."

Je me remis à prier, concentrant toute mon énergie. Je sentais la présence immobile d'Orphée devant moi.
J'imaginais l'enfer tel que je l'avais aperçu lors de l'invasion de Drach.

Hadès, Dieu des Enfers, Toi qui commande aux morts, écoute ma prière et réponds moi.

La porte du temple claqua en se fermant, toutes les bougies furent soufflées en même temps.

Édité par Orphée : correction




Traag et Airik me maîtrisait. Je ne pouvais échapper à leur étreinte. Pour m'être souvent battu à leur côté, je connaissais bien leur force.

Dans les ongues ombres du crépuscule naissant, ils me traînaient à travers les rues pavées de la blanche cité de Lardanium. Les habitants nous observaient passer, restant inconnus dans les ombres des hautes tours de la ville.

Mes deux gardes du corps m'emmenaient vers un bâtiment resplendissant, élevé il y a peu de temps. Élevé à la gloire des dieux, m'a-t'on dit. De hautes colonnes blanches nous accueillaient du haut d'un volées de larges marches de marbre.

Airik et Traag, chacun d'un côté, me tenaient les bras fermement. Alors qu'un jeune prête les saluait, je me démenai et me libérai de leur emprise. Immédiatement, j'assaillis l'humain, lui infligeant quelques blessures, mais à eux deux je ne pouvais leur échapper. ils eurent vite fait de me saisir et me désarmer, puis me trainèrent dans le temple des âmes.

Le temple des âmes...Quelle ironie !

Après avoir rapidement traversé le patio, nous arrivâmes devant de lourdes portes de bronze ornées de fine gravures. Nous les franchîmes pour entrer dans ce lieu silencieux, protégé du tumulte des habitants de la capitale des Olympiens.

Ils me jetèrent à terre au milieu du lieu de culte. Tout autour étaient représentés, gravés dans la pierre, les dieux de l'Olympe. Ces dieux que j'avait priés lors de l'Odyssée de Tokakeke, ces dieux que j'ai prêché...Ces dieux qui ne m'apporte rien, en fait.

Le vide, le néant, la mort sont en moi à présent.

Au fond de ce lieu de prière se trouvait un autel, vers lequel se dirigea Traag. Airik restait près de moi, me défiant de tenter quelque nouvelle tentative d'évasion.

Traag se mit à prier.



olymp Par jason l'olympien  le 01/01/1970 à 01:00

Super!!!
Bravo!!!
LA SUITE!!!



Par Google  

humain Par Traag, le Parrain  le 01/01/1970 à 01:00

Le silence régnait dans le temple. L’air était lourd.

Les espoirs de tout un peuple étaient sur mes épaules. Pour tous les Olympiens, pour tout Olympia, je me dois de réussir.

«Hadès, réponds-moi.
- QUI OSE ?
- Hadès, moi humble Traag d’Argon, Sage d’Athéna, j’ai une requête à vous présenter.
- UN MORTEL ! ET QU’ESPÈRES TU DE MOI, TRAAG, TU DÉSIRES DE LA PUISSANCE ?
- Non, vous possédez l’âme d’Orphée, je viens ici vous la réclamer.
- ME LA RÉCLAMER ? TU AS DU CRAN, ET POURQUOI ACCEPTERAIS-JE DE TE DONNER CETTE ÂME ?
- Car j’ai quelque chose à vous proposer en échange, quelque chose que vous ne pouvez refuser.
- AH, ET QUELLE EST DONC CETTE CHOSE QUE TU AS ET QUE JE POURRAIS DÉSIRER ?
- Lisez en moi et vous comprendrez.»

J’eus l’impression que ma chair était à vif sous le regard du dieu des morts, il lisait en moi comme dans un livre ouvert.

«JE VOIS, UN ÉCHANGE JUSTE QUE TU ME PROPOSE LA PETIT HUMAIN, L’ÂME DE CET ORPHÉE CONTRE CECI.
- Vous acceptez donc ?
- CERTAINS NE VONT PAS APPRÉCIER CE QUE TU FAIS
- Je sais, mais je n’ai pas le choix.
- TA DÉVOTION FAIT PLAISIR A VOIR, SOIT J’ACCEPTE TA PROPOSITION»

J’ouvris les yeux, j’avais réussi, il avait accepté. Le stress et la fatigue engrangée des derniers jours se relâcha soudainement.
Pour la première fois, je cherchai le contact avec Zapan.

«Tu as tout suivi j’imagine ?
- Oui, bien évidemment, je ne pensais pas que tu oserais lui proposer ça. Mais bon, félicitation. Il ne me reste plus qu’à te montrer que ma vision des choses est la meilleure et tu seras mon digne successeur.
- Je pensais que tu réagirais plus violemment.
- Bon, finies ces simagrées, si on allait massacrer un peu
- NON
- Tu n’es pas en état de me résister. Alors fais ce que je te dis ou je prends le contrôle.
- Tu ne peux pas faire ça…»

Ma vue se brouillait, mes forces m’abandonnaient. Je manquais de m’effondrer au sol, mais un bras me rattrapa, celui d’Orphée. Son regard était comme avant, mon maître, le plus sage d’entre les sages est enfin de retour.

Avant de m’évanouir, j’entendis Zapan me souffler, «bientôt, tu y es presque».

Édité par Orphée : correction