Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - Sévèrina RP recompilé
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Sévèrina RP recompilé
Topic visité 2 fois
Dernière réponse le 11/05/2004 à 19:37

olymp Par Sévèrina - La Buveuse de Sang  le 05/11/2004 à 19:37

HRP Je profite de ce nouveau forum pour sortir mon rp compilé HRP


Première partie : La naissance

Tout à commencé à Rosenoeudville. Avant toute chose je me doit de vous présentez mes parents, Christelle était une femme d’une beauté divine, issue d’une famille noble elle était destinée à épousée plus tard un noble, mais elle rencontra un jour Gustave mon père et tomba folle amoureuse de lui, Le père de Christelle s’opposant totalement à cette union Gustave enleva ma mère et l’épousa sans l’accord de son beau père. Désespéré mon grand père se trancha les veines et maudit à tout jamais mes parents.
Nous somme le 24 Octobre et un grand événement va bientôt avoir lieu, je vais naître. Mon père aurai aimé avoir un garçon mais j’était une fille, mais cela ne gâchait rien de leur bonheur, ils étaient tellement heureux, ils ne savaient pas que cette enfant qui venais de naître était leur malédiction. L’accouchement fût long et déjà je fit énormément souffrir ma mère. Suite à ces difficulté ma mère me nomma Sévèrina ce qui veut dire dans la langue ancienne « La femme qui inflige la souffrance ». Après m’avoir mit au monde ma mère ne put plus jamais avoir d’autre enfant. Les années passait très vite à cette époque, nous étions heureux et ces moment de bonheur furent plus que rare par la suite. J’avais douze ans quand le cauchemar commença , mon père tomba gravement malade, il resta alité pendant près de deux moi, se fût donc à ma mère et moi de s’occuper de la récolte. Mon père fini par guérir mais il perdit son bras droit il fallut que je l’aide dans ses travaux tout les jours. Ces années furent très difficile pour nous tous, les saison passèrent les récolte était de plus en plus mauvaise. J’avais seize ans quand la peste ravagea notre ville, et emporta mes parent, je survécu difficilement pendant ce temps mais on aurai dit que ni la maladie ni la mort ne voulais de moi. Et un jour quand les corps furent tous enseveli et que la mort se soit retiré, un homme vint me cherché en carrosse. Cette homme n’était autre que mon oncle Alfred, il habitait une grande villa ou ils menaient un vie aisé avec ma tante Océane. J’était à présent une jeune femme et mon charme n’échappa au regard pervers de mon oncle, déjà il m’avait fait des avances que j’avait par plusieurs fois repoussé gentiment, mais je me doutait que cela ne s’arrêterai pas là, ma tante quand à elle était avec moi d’une gentillesse extrême avec moi, je la considérais comme ma mère. Mise à part le comportement de mon oncle la vie était plutôt belle en se temps, j’avais une vie de château des domestiques et tout les jour à mangé dans mon assiette.
Et un jour alors que je rentrait dans le bureau de mon oncle pour cherché ma tante, il entra après moi et ferma la porte du bureau derrière lui, je le regardait terrifié, je savait pertinemment ce qu’il avait derrière la tête, je fouillai le pièce du regard cherchant un échappatoire, mais il n’y en avait aucun. Il s’approcha de moi lentement, je sentait mon cœur qui battait, il me regarda dans les yeux passa sa main dans mes cheveux et dit :
- Tu est aussi belle que ta mère.
Aurifié pas cette morbide comparaison, je repoussa ca main d’un geste brusque et je tenta de courir vers la porte, mais rien n’y faisait il m’attrapa par les cheveux et me tira voilement en arrière, je cria de douleur.
- Tu est sous mon toit ici alors tu va te taire et apprécié.
Il commença à déchirer ma robe, je tentais de me débattre sans résultat, ma robe était en lambeaux et il me caressait bestialement, prise de panique je lui mordit le poignet, je sentit le goût de son sang se répandre dans ma bouche. Il hurla et me frappa voilement au visage, un filet de sang sortit de mon nez et j’alla m’effondrer au sol, il écarta mes jambes nu, et il me prit ici sur le sol sauvagement, tenant mes poignet d’une main au dessus de ma tête, je criais, je pleurais, je l’implorais d’arrêté, quand il eu fini, il relâcha son étreinte, se rhabilla, et partit me laissant pleuré au sol. Un peu plus ma tante rentra dans la pièce, s’accroupis vers moi, sortit un mouchoir et nettoya mes larmes et mon sang comme elle pouvait. Elle me releva, je tentait de me couvrir comme je pouvais avec se qui restai de ma robe, et elle me conduit à ma chambre sans rien dire.
Je me coucha ainsi et je dormi jusqu’au lendemain, çà l’heure du dîné, on servait habituellement le repas à midi précise mais je ne bougeait pas de ma chambre aujourd’hui. Et quand une heur sonna à la grande pendule, Alfred entra dans ma chambre, je ne m’était toujours pas rhabillé je portait encore ma robe qui laissait dévoilé certaines parties de mon corps, il s’approcha de moi, je ne bougea même pas, il glissa sa main sur ma jambe et il pût profité moi sans même que je fasse un mouvement. Quand il c’est enfin retiré, il partit. Je remonta difficilement ma robe me leva de mon lit, et descendît l’escalier, je me rendit dans le jardin, je marchait tout droit sans me posé de question, j’avançai ainsi jusqu'à la fontaine, puis jusqu’au parc, puis jusqu’au bois, sans savoir pourquoi je rentrai dans se bois, à moitié nu, et j’avançai toujours tout droit, j’avança ainsi jusqu'à ce que mes jambes n’ûrent plus la force de me porter. Et je me coucha au sol et m’endormit. Mais quand je me réveillais j’était dans une crypte ancienne, un humain se tenais à mes côté, je n’avait jamais vu d’humain sur ses terres qu’il était beau, il avait le teint pâles et les yeux jaune vif, ses dents de devant dépassait légèrement de sa bouche.
- J’ai entendu ton appel au secours à des kilomètres. Me dit l’étrange individu
- Qui êtes vous ?
- Je suis l’homme qui va mettre fin à la douleur et à la souffrance.
J’était assise au sol, habillé d’une nouvelle robe rouge très serré. L’humain s’accroupis me regardant droit dans les yeux et reprit :
- Pour toi la vie n’a aucun sens, tu haie tous tes proches, les aliment n’ont aucun goûts, la vie n’a aucun sens, et si je t’offrais une nouvelle vie quand dirai tu ?
- Je pense qu’elle ne pourrai pas être pire que celle qui m’accable en se moment. Mais qui est tu étranger ?
- Je m’appelle Lestate et je suis à présent ton mentor et compagnon !
A ses mots il saisit ma main, je ne sait pas pourquoi mais il m’inspirait confiance, il ouvrit une large bouche remplit de crocs long et pointu, qu’il me planta dans le poignet, je sentait petit à petit mes forces m’abandonner, et alors que je croyais ma vie terminé il m’offris son sang et l’immortalité. Pendant 25ans nous vécurent une vraies vie de couples, il cédait à tous mes petits caprices, notre première action fut de capturé mon oncle et de le torturez pendant près de deux jour, puis nous brûlions la villa, ensemble nous fîmes le tour du monde, répondant mort et désolation partout ou nous allions. Mais un jour une milice de plusieurs dizaine d’homme nous tomba dessus, comme d’habitude je restait de côté regardant mon chéri répandre au sol les tripes de ces imbéciles. Mais un homme surgissant de nul part sortit une hallebarde et décapita mon bien aimé, trop novice pour me battre il me capturèrent et m’enfermèrent dans une tombe, il m’enterrèrent je ne sais où mais il me fallu 10ans pour en sortir, et c’est sur Olympia que je me retrouverais, j’était prête à tout reprendre à 0 mais il me faudrait des allié car je n’y arriverai jamais seule, et surtout il me fallait un nouveau mari, la vie de couple est la seule chose que j’aime en se bas monde.


Explication entre partie :

Sévèrina c’était prit d’affection pour Midnightknight, elle avais déjà bu de son sang à plusieurs reprise. Mais elle se trouvais désépéré de ne pas choisir un côté ou un autre.


Deuxième partie : La Colère


Je sent mon corps se distordre, je suis dans une sorte de tourbillon noir, je me souvient de ce qu’il sait passé, je me souvient du visage de Midnightknight, je voulais qu’il me rejoigne dans l’obscurité pour l’éternité, et j’ai bien failli l’avoir. Mais il restait encore un fond d’humanité en moi, et mon seigneur la tout de suite ressentit. Il m’a laissé une dernière chance de me rattraper, ma tache était simple, je devais soit l’attirer soit l’exterminer, et au moment ou ma quête allais enfin touché a son but au moment ou j’allais enfin l’attirer avec moi pour toujours mes sentiment on prit le dessus. C’est alors que j’ai sentit la plus atroce des douleur j’ai sentit mon corps se déformé, mon seigneur l’avais attiré dans mon corps pour me remettre dans le droit chemin. Il à invoqué Razorbak en moi pour finir ma tache, et mêmes les sentiment que j’éprouvais pour cette humain ne pouvais que m’attirer vers le fond, et quand même sous l’apparence repoussante de la Razorbak Mid ma prit dans ses bras. J’ai combattu de l’intérieur de se corps la créature qui tentais de me contrôlé, et je l’ai vaincu. Et quand enfin elle a quitté se corps, je croyais que j’allais enfin pouvoir reprendre le dessus, je l’ai ressentit, il a rappelé mon âmes, je me suis retrouvé devant lui. Je n’ai même pas essayé de me justifié, je m’attendais a ce qu’il me détruise a tout jamais mais il n’en a rien fait, il à fait bien pire, j’ai été envoyé dans le gouffre de la douleur, là ou une heure humaine passe comme dix mille ans, et j’y ai été torturez, j’ai appris la signification du mot douleur. J’ai essayé de hurlé mais je n’avais déjà plus de corps et un jour je ne sais pas pourquoi le seigneur à décidé que m’a punition avais assez duré, il reconstruit mon corps comme il pouvais, et il fusionna définitivement mon âmes et celle d’une créature dont la haine était tel que même le diable aurais eu l’air d’un enfant de cœur à côté, il nous réintégra en tant que Banshee toute les deux dans ce corps damné, comme si nous n’avions pas encore assez souffert.


Nous voilà arrivez, mes souvenir son très vague à présent je me retrouve entouré de personne dont je me souvient à peine, et parmi cette foule je reconnais celui que j’ai appris à haïr, plus que tout au monde.

Il se tenais en face de moi, en le voyant je sentit mon sang bouillir dans mes veines, j’avais perdu tout mes pouvoir de vampire.
Et c’est alors que je poussa pour la première fois mon horrible cri de la Banshee tous s’effondrèrent au sol, se tordant de douleur.

Cette fois si je serais sans pitié


Explication entre partie :

Sévèrina étant devenu une créature maléfique ayant pour seul objectif tué Midnightknight, l’humain décida qu’il était tant de mettre fin à la souffrance de son ancienne amour. Mais heureusement la vampire avais en elle le pouvoir de se réincarné dans le corps des serviteur de Drach.


Troisième partie : La mort et réincarnation


Où suis je ? Pourquoi ne suis je pas encore morte ? L’âme de Sévèrina flottais au dessus de son corps morcelé, elle regardais Midnightknight s’en allez avec l’âme que son seigneur avais rajouté dans se corps, et c’est alors que L’ex vampire compris, son seigneur n’avais pas faite cela pour la punir mais pour la sauvé. Et c’est dans ce plan étrange bercé par la brise que Sévèrina vue pour la première fois le « visage » de son seigneur, il n’avais rien d’humain il n’était qu’un flot de nuage coloré en mouvement constant. « tu m’a beaucoup déçu ses dernier temps Sévèrina, il y a quelque temps de cela j’avais vu ce qui allais ce passé, je me suis montré clément en sauvant ton âme, sache une chose néanmoins, je ne veux plus jamais te revoir, a présent tu est libre, mais tu devra te débrouillé toute seule pour trouvé un nouveau corps », « mais comment vais-je faire cela seigneur ? » « Tu à des amis n’est-ce pas et deplus il y a en ses terres de nouvelle créature qui ferais d’excellent réceptacle ».
La créature étrange qu’étais son maître se dissipa comme un nuage de fumé dans l’air pure.


Explication entre partie :

Sévèrina s’était incarné dans le corps d’un serviteur de Drach, elle était à présent à la tête d’une puissante faction


Quatrième partie : Mort de la réincarné et début des regret

Je ne savais pas pourquoi ni comment, mais j'étais arrivé dans ce collisé.


Arès était en face de moi souriant, il sortit sa longue lance de derrière son dos sans dire un mot.
Sa terrifiante arme fendit l'air, terrifié, je voulu fuir en reculant, mais mon chemin était bloqué par une jeune femme répondant au nom d'Emmy.
Le Dieu me regardais, il se décida enfin a brisé le silence pour prononcé ses mots :
" Désolé mais il est grand temps pour toi de tiré le rideau ! On ne manque qu'une fois de respect a un Arès dans sa vie "
Comprenant qu'il n'y avais aucune échappatoire , je dégaina mon arme.
Malheureusement elle ne m'aida pas beaucoup, je fut la cible d'une pluie incommensurable de sort provenant de mes deux adversaires.
Tordu de douleur je m'effondrais au sol, Arès me chargea en hurlant de rage ca lance pointée en ma direction, je tentais de l'éviter en effectuant une roulade sur le côté, mais ce fût peine perdu, son arme perfora mon épaule de toute sa longueur.
Je m'effondrais au sol hurlant de tout mon être.
Arès me saisi par le coup d'une main et me leva du sol.

A ce moment précis ou tout espoir était perdu, j'eût l'étrange impression que le temps s'arrêtait.

Je me remémorais toutes ses choses qui m'avaient tant rendu heureuse, a tous ses gens que j'avais apprécier et qui m'avaient apprécier, toutes ses choses qui allaient être réduites à néant dans une seconde par cette créature.

Je venais de comprendre une chose, je venais de comprendre à quel point j'avais été stupide de vouloir détruire ses terres.
Je venais de comprendre que j'aurais mieux fait de défendre la vie, car c'est le plus beau cadeau que l'ont puissent recevoir.

Si seulement je pouvais revenir en arrière...
Je sentais mes forces m'abandonner,
Je sentais cette main froide se serré autour de ma gorge,
Je savais que j'allais disparaître pour toujours...

Des larmes dévalaient le long de mes joues, des larmes de sang et de remords.
Je regardais autour de moi comme pour dire adieu à ces terres.
Je remarquais pour la première fois de mon existence la beauté de ses lieux.

Ma vision commençait à s'assombrir, je sentais mes cervicales craquées,
Je me battais, je ne voulais pas partir, je voulais rester pour réparer toutes ces choses stupides que j'avais pût faire. Mais il était trop tard.

Je réunis mes dernières forces, pour bredouiller ces mots "je regrette ".
Je savais comment tout cela allait se terminer, mais le faite d'avoir dit cela,
Je me sentais libérer d'un fardeau, comme si j'avais fait le premier pas de la longue Rédemption qu'il m'aurait fallu faire.
Le plus délicieux de mes sourires illuminais mon visage quand il sépara ma tête de mon corps.

Adieu mes amis
Adieu Olympia


Mais l’histoire ne s’arrête pas là car la suite ne saurais tardé…