Par Kahlash le 05/12/2004 à 10:51 C’est comme un souvenir de marcher sur ce monde.
C’est comme un souvenir d’arpenter Olympia.
Il marche lentement, encore peu assuré sur ses jambes, il a un peu mal à la hanche, il ne comprend pas.
Il s’est éveillé, ce matin, couché à même le sol dans une crevasse. Il se sentait très faible mais en quelques minutes il est allé mieux, il a pu se lever et marcher, et maintenant il ne sait où aller.
Il n’a pas l’impression d’être amnésique, d’avoir oublié un quelconque passé, il sait qu’il n’a pas de « passé », qu’avant l’instant de son éveil il n’existait pas. Ce qui n’explique pas le moins du monde cet Eveil.
Il avait regardé autour de lui, le soleil levant éclairait peu à peu les terres d’Olympia, si belles, il avait humé l’air, le laissant emplir ses poumons et lui apporter la vie, et il avait choisi, choisi d’aller au nord. Alors il s’était mis en marche, vers le nord, l’inconnu, mais il sentait que c’était par là, qu’il fallait aller, que ce n’était qu’au nord qu’il finirait par comprendre.
Il marcha un moment, puis un mouvement à sa gauche attira son attention, un être tenant quelque chose en main le regardait d’un air féroce.
Sale Nain, entendit-il.
Une flèche vola vers lui, un mouvement rapide lui permit de l’esquiver, l’être ne s’avoua pas vaincu, il leva l’autre bras et se déchaînèrent les éléments. Mais il trouva la faille, y fit passer son esprit et frappa, le sort s’éteint dans un dernier rugissement. De colère, l’être lança une nouvelle flèche qui n’atteint pas son but avant de s’enfuir.
Un Nain, ce mot résonna un moment dans son esprit, oui c’était ce qu’il était. Et depuis quelques minutes, il sentait l‘appel de ses frères, au nord, loin au nord, dans les montagnes.
Il se remit en route, décidé à y arriver, coûte que coûte.
hrp : suite à venir
C’est comme un souvenir d’arpenter Olympia.
Il marche lentement, encore peu assuré sur ses jambes, il a un peu mal à la hanche, il ne comprend pas.
Il s’est éveillé, ce matin, couché à même le sol dans une crevasse. Il se sentait très faible mais en quelques minutes il est allé mieux, il a pu se lever et marcher, et maintenant il ne sait où aller.
Il n’a pas l’impression d’être amnésique, d’avoir oublié un quelconque passé, il sait qu’il n’a pas de « passé », qu’avant l’instant de son éveil il n’existait pas. Ce qui n’explique pas le moins du monde cet Eveil.
Il avait regardé autour de lui, le soleil levant éclairait peu à peu les terres d’Olympia, si belles, il avait humé l’air, le laissant emplir ses poumons et lui apporter la vie, et il avait choisi, choisi d’aller au nord. Alors il s’était mis en marche, vers le nord, l’inconnu, mais il sentait que c’était par là, qu’il fallait aller, que ce n’était qu’au nord qu’il finirait par comprendre.
Il marcha un moment, puis un mouvement à sa gauche attira son attention, un être tenant quelque chose en main le regardait d’un air féroce.
Sale Nain, entendit-il.
Une flèche vola vers lui, un mouvement rapide lui permit de l’esquiver, l’être ne s’avoua pas vaincu, il leva l’autre bras et se déchaînèrent les éléments. Mais il trouva la faille, y fit passer son esprit et frappa, le sort s’éteint dans un dernier rugissement. De colère, l’être lança une nouvelle flèche qui n’atteint pas son but avant de s’enfuir.
Un Nain, ce mot résonna un moment dans son esprit, oui c’était ce qu’il était. Et depuis quelques minutes, il sentait l‘appel de ses frères, au nord, loin au nord, dans les montagnes.
Il se remit en route, décidé à y arriver, coûte que coûte.
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