Le nain magicien | |
Topic visité 3 fois Dernière réponse le 14/05/2004 à 16:20 |
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Ceci est une petite compile des chronques qui ne concernent que ma petite personne...
Deux inédites et deux déjà parues... |
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O-C était en maraude, à la recherche de quelque malheureuse proie sur laquelle il pourrait s'exercer à la magie.
La magie est un art très difficile, surtout pour les nains peu doués dans ce domaine, et O-C devait sans cesse s'entraîner, pour maintenir un niveau plus que médiocre par rapport aux mages des autres races. Ses sorts offensifs étant très peu puissants, il utilisait surtout ses pouvoirs pour créer des illusions, faire apparaître de la bière, ou lire l'avenir dans la fameuse bière naine. Pendant les combats, il faisait un grand usage de sa hache, qui rattrapait largement les dégâts qu'il ne pouvait faire par la magie. Mais il adorait faire descendre les elfes des arbres à coups d'éclairs précis et rapides. Il cherchait donc des elfes perchés, ceux au sol ne l'intéressant pas ; un combat trop facile n'attire aucune gloire et s'appelle un meurtre. Il avançait le plus rapidement et le plus discrètement que ses petites jambes et son corps tout en muscles lui permettait. Son passe-temps favori l'avait aguerri à ce genre de progression, et les elfes se faisaient très souvent surprendre. Un arrêt, un coup d'œil à gauche, un coup d'œil à droite. Pas d'elfes dans le périmètre proche. Mais méfiance, les êtres qui peuplent la forêts sont nombreux et rusés. O-C s'avance de plus en plus loin dans la forêt. Il n'est pas vraiment rassuré, il n'est jamais allé aussi loin. Snif, snif… L'odeur de cet affreux parfum. Pouah, comment peuvent-ils se mettre ça sur le corps. Comment se reconnaître les uns des autres ? Immondes créatures. Ecartant prudemment les branchages, O-C se rapproche de la source de son trouble olfactif. - Zut, ils sont deux. Et puis ils sont au sol. Ils n'ont pas l'air très solides. Bon, ils sont deux, ça équilibre un peu. Mais d'un autre côté… Bof, je sais pas. Ma hache a soif de sang, mais elle réclame beaucoup trop. Pendant qu'O-C s'interrogeait de la sorte, les eux elfes s'étaient rapprochés d'un point d'eau au bout de la clairière où ils se trouvaient. Ils commencèrent à se déshabiller, visiblement dans le but de plonger. - Ho, et puis ils vont encore se laver, comme si ils étaient sales !!! Regardez moi ça, je veux pas voir ses larves nues. Encore que, ça pourrait être marrant de comparer. Sur ce projet sans doute très amusant, et toujours friand d'une nouvelle histoire à raconter, O-C décida de se rapprocher pour observer l'anatomie elfe, et se moquer plus tard avec ses amis. Il entrepris dans ce faire le tour de la clairière, et pu se dissimuler sur un banc de rocher, promontoire en hauteur du plan d'eau. - Ouaaahhh, mais c'est pas des elfes, c'est des elfes !!! En effet, il s'agissait de deux jeunes elfes du sexe féminin, et que n'importe quel elfe aurait juger plus que charmante, ce dont O-C se rendait vaguement compte lui aussi, même si ses critères différaient. - Mais c'est que c'est pas si moche que ça, une elfe. C'est même complètement pas mal. Les deux elfes jouaient à s'éclabousser, sautant aux milieux de gerbes d'eau, dans un tableau tout à fait touchant, voire plus. - Hum, mais ça vous réconcilierais presque avec les elfes, ça. Enfin, au moins avec ces deux là. Je m'inviterais bien, quitte à me mouiller. Mais, qu'est-ce qu'elles font ? Les deux elfes se tenaient enlacées l'une à l'autre, et très vite l'une d'entre elles, plus experte ou plus entreprenante, caressa lentement l'autre. O-C, de son poste d'observation privilégié, n'en perdait pas une miette, et gravait ses images dans sa mémoire entraînée à apprendre des formules magiques. Le spectacles dura quelques dizaines de minutes, pendant lesquelles il ne bougea pas d'un poil de nain, malgré les crampes qu'ils ne sentaient mêmes pas. Arriva enfin un moment stratégique. Les deux elfes poussaient de petits cris plaintifs, et, sortant de l'eau, se roulèrent dans l'herbe. O-C, pour ne pas les perdre de vue, et pour avoir un meilleur poste d'observation, se hissa en avant, juste au bord du rocher. En bas, l'action atteignait sont paroxysme. Se penchant encore en avant, O-C senti de petites pierres rouler sous lui. Il étendit les bras pour les retenir, pour ne pas qu'elles tombent dans l'eau. Perdant tout point d'appui, il se mit à glisser en avant, et très vite, dans un grand cri, tomba la tête la première dans la petite cuvette naturelle qui venait d'être le témoin des ébats elfiques. Les deux elfes cessèrent aussitôt toute activité, et regardèrent médusée un petit homme sortir difficilement du bassin. Comprenant rapidement la situation, elles se mirent à rougir, puis coururent à leurs arcs, posés non loin. O-C, qui venait enfin de sortir de l'eau, ruisselant, regarda un instant les deux naïades, puis comprenant le danger de la situation, tenta de se sauver le plus vite possible. Son départ fut accueilli par une pluie de flèches, dont quelques unes se fichèrent dans son dos. Il avisa néanmoins un elfe en haut d'un arbre, qui avait du lui aussi observer de plus loin la scène, et le fit descendre plus vite que l'autre ne l'aurait voulu. Puis il prit définitivement la fuite, tout en réfléchissant à l'étrange situation dans laquelle il venait de se trouver… |
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Enfin. Après toutes ses années. Il va enfin savoir.
Ca a été dur, bien sûr. Il faut dire qu'il n'est pas doué pour ça, il ne l'a jamais été, et il y a peu de chances pour qu'il le soit un jour. Après cinq ans, il va enfin savoir. Pour arriver à ses fins, il avait du être extraordinairement patient. Il avait remarqué que les hommes sauvages pour se protéger des attaques dévastatrices des nains projetaient des images d'eux mêmes. Ainsi, ils paraissaient deux fois plus nombreux, alors qu'ils ne se déplaçaient qu'en petit groupes, ce qui pouvait effrayer les olympiens ou les nains s'ils étaient peu nombreux et peu expérimentés. Ce sort leur facilitait grandement la vie, on ne savait jamais quelle cible frapper. Et un nain qui tape dans le vide est un nain très énervé. O-C avait tout de suite comprit l'utilité qu'il pourrait tiré de cette illusion. Pour l'apprendre, il n'avait pas hésiter à capturer un homme sauvage, et avait su lui arracher son secret. Après un long entraînement, il parvient à animer une image à sa ressemblance. Il parvint même à la diriger à distance. Mais ce n'était qu'une image, et il ne pouvait interagir à distance avec son environnement. De plus, entretenir une telle illusion lui demandait d'incroyables ressource magiques, et il ne possédait pas la capacité de récupération des hommes sauvages. Il devait donc rester parfaitement immobile et concentré pendant le rituel, et ne pouvait en aucun cas faire autre chose que d'animer son avatar. Les temps étaient durs, et aucun endroit n'était vraiment sûr. Il se fit surprendre plus d'une fois, et pendant que ses frères défendait leur territoire contre les elfes de plus en plus nombreux, il lui arriva très souvent de tomber sous les coups de l'ennemi en voulant les dérouter par une image holographique. Cependant, une fois sa technique mise au point, il put rester continuellement au contact de ses frères en se rendant virtuellement à leur lieu de réunion favori, la "Taverne Bruyante". Ensuite, il se mit en quête de quelqu'un qui pourrait lui enseigner comment découvrir le secret. De ses amis nains et géants, aucun ne pu l'aider. Les olympiens refusèrent de l'aider, et O-C en déduisit qu'eux aussi étaient impuissants. Il décida de se rendre à Sigdil, afin de voir des sages qui disposaient sans doute de grands pouvoirs. Mais il n'y parvient jamais. Il s'entraînait à lancer de décharges électriques sur un buisson sans voir qu'une prêtresse Sigdilite avait justement choisit se buisson pour faire ses besoins. La sentence tomba, implacable, la mort pour l'imprudent. Extrêmement vexé, O-C se jura de ne plus remettre les pieds à Sigdil avant longtemps. En désespoir de cause, il parti rendre service à ses frères en allant défendre les mines Tulamor envahies par les elfes en Krystania. Il ne pu pas faire grand chose, à part se mesurer à la déesse Athéna et y rencontrer une fidèle alliée, Deimos. Il vit aussi de loin la terrible elfe Cixi, qui a la tête de ses troupes était très impressionnante. Il comprit qu'elle était celle qui pourrait l'aider. Il essaya plusieurs fois de la capturer, sans succès. Quand elle prit avec sa vieille copine Deimos la tête des Vautours sanguinaires, il décida de s'engager dans cette jeune faction pour se rapprocher d'elle. Puis, grâce à son image holographique, il réussit à entrer en contact avec elle. Depuis sa dernière aventure à Sigdil, il se méfiait. Il décida donc de ne rien dire à Cixi, et de ne pas lui révéler son secret. Au contraire, il essaya tant bien que mal d'arracher ceux de Cixi, avec sa permission, bien sûr. Ce qu'il fit, tous les soirs, sous ses directives. Il se révéla être un élève extraordinairement peu doué, voire complètement nul. Cependant, à force de persévérance, il finit peu à peu par apprendre. Enfin, le grand jour est arrivé. Il a réussit, il va pouvoir connaître le secret. Hier soir, Cixi lui a dit : "Cette fois, tu sais lire"… |
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Mon Fils
J'espère que tu saurais te montrer fort, comme je te l'ai toujours appris. Je vais te faire une série de révélations sur des choses dont tu as oublier jusqu'au souvenir. Tu vois, je n'ai même pas eu le courage de te le dire en face, et il faudra que tu attendes que je sois mort pour enfin apprendre la vérité. Tout d'abord, et pour commencer, je ne suis pas ton père. Oui, je sais, j'ai été un gros hypocrite. Mais ne m'en veux pas, c'était aussi pour ton bien, même si c'est l'excuse habituelle dans ces cas là. Je vais donc te raconter l'histoire de tes parents, et tu verras qu'elle n'est pas très joyeuse. Il était une fois une naine, réputée comme étant la plus belle et la plus forte de toutes les naines. Mais elle était très prétentieuse, et jugeait les nains qui lui faisaient des avances comme indignes d'elle. Je faisais partie de ceux là, mais je ne lui en veut pas, aucune naine n'a jamais voulu de moi, un nain ne sachant même pas manier les armes. Vint un jour où un Olympien arriva dans notre village, à l'entrée de nos mines. Il sortait d'un combat avec des elfes ou des dragons, ou les deux, mais toujours est-il qu'il était très blessé, tout puissant guerrier qu'il était. Comme je suis un peu guérisseur, enfin officiellement, il a été amené chez moi. J'habitais à l'époque une petite grotte à la sortie du village, près de chez ta mère. Quand elle m'a proposé de m'aider à soigner le guerrier, j'ai tout de suite accepté, je pensais qu'elle s'intéressait enfin à moi. En fait, je me suis très vite rendu compte qu'elle n'avait d'yeux que pour le bel Olympien. Celui-ci à du la trouver à son goût, car il a fini sa convalescence chez elle. Il a d'ailleurs mit beaucoup plus de temps à guérir que normalement, surtout qu'il avait l'air plutôt solide. Enfin, après quelques mois, elle a commencé à grossir : elle attendait un enfant. Ils étaient très heureux, et faisaient beaucoup de jaloux. Mais après quelques mois de bonheur, le guerrier Olympien a déclaré qu'il sentait que sa ville était attaqué, et qu'il devait être aux côtés de son peuple pour les soutenir. Les pleurs de la naine n'ont rien fait, et il est parti le lendemain. Il a fait promettre à son aimée d'appeler leur enfant alpha, et de lui faire tatouer un signe magique de son peuple sur l'omoplate. Ce signe ressemble à un O et un C collés ensembles : regarde ton dos. Tu commences à comprendre ? La fin de l'histoire est encore plus triste. Ta mère (car c'est bien elle) à accoucher d'un beau garçon (toi). Elle a fait tatouer le signe magique sur ton omoplate, et tu t'es appelé Alpha. Tu es très vite devenu célèbre dans la région, même au-delà de nos mines. Les elfes et les géants avaient entendu parler de ce que beaucoup jugeaient comme une abomination. Si bien qu'un soir, des elfes, accompagnés de nains et de géants extrémistes, sont venus à votre porte. Tu avais un peu plus d'un an. Plusieurs sont tombés sous les coups de hache de ta mère, mais ils ont fini par la repousser à l'intérieur, et ayant condamné toutes les issues, ils ont mis le feu au toit de chaume. Je t'ai dit que j'habitais à côté, j'ai tout vu, et je n'ai rien fait. Mais quand j'ai vu qu'ils allaient vous brûler vivants, je suis intervenu. Discrètement, que pouvait faire un pauvre nain magicien contre une bande de brutes avinées ? Je suis rentré par une fenêtre non surveillée, en éteignant quelque peu le feu autour de moi à l'aide de ma maigre magie. La maison commençait à s'effondrer, les murs s'écroulaient et les poutres tombaient autour de moi comme la neige. J'ai eu très peur, et j'allais rebrousser chemin quand j'ai entendu un grand cri. Ta mère était dans la pièce d'à côté, et venait d'être assommée par une poutre. Je t'ai saisi dans mes bras, et je me suis pratiqué un chemin à grand coups de magie, abandonnant ta mère à une mort horrible. J'ai réussis à sortir, épuisé par l'utilisation massive de tant de sorts. Je ne pouvais pas rester avec toi au village, je me suis donc enfui dans la foret, ou je t'ai élevé en me faisant passer pour ton père. Je t'ai appeler O-C, pour ne pas qu'éventuellement on te reconnaisse, et pour qu'on oublie toute cette histoire. Je t'ai appris à utiliser la magie, tout comme moi, et tu es devenu un des très rares nains magiciens… Bientôt le seul, puisque je sens que la vie me quitte. J'aurais pu te raconter tout ça de vive voix, mais je ne me sens pas la force de supporter ton regard. Je ne veux pas partir avec mon secret, tu as le droit de savoir. J'ai donc tout écrit ce que je savais ici. Cherche ton père, je sens qu'il n'est pas mort, peut-être ne t'a-t-il pas oublié. N'oublie jamais ce qui a été fait à ta mère, et garde toi bien de tes préjugés. Je te souhaite bonne chance pour la suite, fils. Tu ne sera pas un paria, comme moi. Tu ose annoncer à tous que tu es un nain magicien. Je crois que tu tiens beaucoup de tes parents. La maigre éducation que je t'ai donner à quand même porter ses fruits. Mais, j'y pense, je ne t'ai pas appris à lire… Je crois que tu devras mériter ces confidences, fils… |
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Depuis cette fois de nombreuses années, O-C parcourait le monde, aidé de sa magie. Que de chemin parcouru depuis que son père adoptif était mort. Il avait réussit à imposer sa conception du combat. Un nain magicien au milieu de tout ces fiers guerriers, cela faisait parfois sourire ses amis.
Mais ses ennemis ne souriaient jamais longtemps. Comme sourire avec une boule de feu à la place du crane, me direz-vous ? Cependant, O-C était assez malheureux. L'utilisation de la magie lui permettait de nombreux tours spectaculaires. Il réussissait bien souvent à faire fuir ses adversaires à grands renforts d'effets sonores et visuels. Mais son palmarès réelle était faible. Même s'il avait participé à de nombreux massacres, il restait cependant affreusement faible pour on age. Tous les nains de son expérience ne comptaient plus le nombres de leurs victimes. O-C, lui, ne comptait plus le nombre de fois ou des ennemis lui avaient tendu une embuscade. Cette fois, c'en était trop. Il lui fallait apprendre à se battre non seulement comme un magicien, mais aussi comme un guerrier. Il deviendrait ainsi un modèle. Non content d'être le meilleur mage nain, il voulait en plus être un des meilleurs guerriers. Il utilisa tous ses pouvoirs de divination, et utilisa comme à son habitude de la Tulamor XXXXX pour y lire son avenir. Il y vit bien pour lui une possibilité d'apprendre l'art des armes. Il décida de se trouver une arme, tout d'abord. Lui qui ne s'était jamais battu qu'à mains nues devait faire un choix. Il se remémora toutes les armes qu'il avait déjà contemplées. Les épées, comme celle d'Orphée ? Non, trop tranchant, trop net, pas assez de spectacle. Des rochers ou des arbres, comme les géants ? Non, trop contraignant, et l'entraînement serait trop exigeant. Un arc ? Beurk, autant se battre avec un lance-pierre, comme un de ses amis lutin. Un fléau, comme Drohir ? Ouais, ça serait classe !!! O-C entrepris donc de convaincre Drohir de lui céder son fléau, pour essayer. Quand il se fut assommer une bonne dizaine de fois, il qu'il du se cautériser à la décharge électrique avant de perdre trop de sang, il changea vite d'avis. Il décida de prendre une hache, comme le reste de la famille Tulamor. Cependant, après quelques essais, même si le résultat était concluant, O-C n'était pas satisfait du résultat artistique. Il entrepris donc de se forger lui-même une arme. Il se concentra longtemps, invoquant des tas d'anciens forgerons décédé pour lui donner le génie et la force, et l'aide d'Azash pour le reste, il commença à faire chauffer le minerai. Du minerai de fer de la famille Tulamor, bien sûr. Le meilleur, évidemment. Quand l'ensemble commença à devenir visqueux et à prendre une couleur blanche, O-C commença à frapper. Il frappa, frappa encore, frappa toujours. Quand il s'arrêta, il plongea son arme dans un baquet prévu à cet effet. Sa création le combla d'aise. Il l'emmancha immédiatement au bout d'un os de Dragon, et parti s'entraîner sur les elfes qu'il croiserait. Il explosa ses meilleures statistiques. Deux elfes en deux coups. Un résultat tout à fait honorable, inespéré avec la magie. Pour lui donner plus de force, il enchanta son arme. Tout heureux de sa trouvaille, il rencontra sur le chemin du retour Bugman qui avait entendu le bruit du combat et venait vérifier. - Tiens, c'est quoi ce truc que tu portes sur l'épaule ? - C'est ma nouvelle arme, une Krakboum. - Jamais entendu parler… - C'est moi qui viens de la forger. Regarde, là un côté tranchant pour couper, ici un coté plat pour écraser, et là un coté bosselé pour éclater, et un long manche pour brasser la bière, ou servir de piquet de tente. - Et c'est efficace ? - Regarde les deux elfes, là-bas. Ben voilà. - Pas mal. Ca s'appelle comme tu dis ? - Une Krakboum. |
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HRP/
MEGALOL delamortkitusonchvalavantdetrarivecteconneldevraferlechminapied.... C'est impressionnant comme la connerie appelle la connerie Terribels les chroniques... |
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Toutes plus nulles les unes que les autres ![]() Si vous voulez essayer le syle, n'hésitez pas !!! Ne vous prenez pas la tête... |
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Non, moi je trouve qu'elles sont sympa! |