Sur le chemin menant au rassemblement de l’armée d’Ares, Berserker s’arrêta à l’aube d’une clairière proche de Lardanium. La hache à la main comme à son habitude il se tenait prêt à en découdre avec n’importe qui, il avait donné sa parole à Ares qu’il mènerait ses troupes à la guerre, contre tous les peuples d’Olympia mais Ares ne l’entendait pas de cette oreille. Parmi l’un des plus puissants dieu, Ares n’avait nul confiance en ce nain malgré ses capacités au combat rapproché, il n’avait aucun contrôle sur lui et se demandait bien pour quelles raisons il le servait.


Sur l’Olympe, Ares convoqua ses deux filles Enyo et Eris.


Ares : « Mes filles, j’ai besoin que l’une d’entre vous aille sur Olympia pour mener les plus grands guerriers, faîtes de cette Terre un champ de ruines et vous me comblerez ! »

Sans hésitation Enyo la sanglante pris la parole

Enyo : « Mon père je serais ravie d’accomplir cette mission ! »

Eris : « Enyo ne penses tu pas que j’ai plus d’expérience que toi pour mener à bien cette guerre ? Tu as toujours eu besoin de mes talents pour semer la discorde entre les peuples et il est temps que notre père soit reconnu des autres dieux. »

En entendant ces mots Ares fît un bon, foudroyant Eris du regard

Ares : « Eris, c’est d’accord, tu iras sur Olympia et tu dirigeras ces braves guerriers mais ne me déçoit pas !!! Dès ton arrivée tu t’occuperas de Berserker, fais attention, ce nain n’est pas le premier venu, il a tué plus de guerriers à lui seul que nombre de mes anciens généraux.

Pour cela voilà mon épée, c’est mon bien le plus précieux, elle te procurera puissance et maîtrise, je t’envoie de suite sur Olympia tuer ce nain, ne me déçois pas... »

Enyo vexée d’être passée inaperçue, partie, la rage au ventre, avec une seule idée en tête, créer un bain de sang, tandis qu’Eris fut téléportée par son père à coté de Berserker.



De nouveau sur Olympia

Le ciel changea de couleur, passant d’un beau bleu azur à un noir ténébreux, des éclairs jaillirent de toute part, le tonnerre gronda comme si Zeus déchaînait sa colère dans les cieux, mais ce ne fut le cas, un halo lumineux apparu à coté du nain, surpris il serra sa hache prêt à bondir.
Une olympienne se tenait devant lui, une épée à la main, le foudroyant du regard.

Eris : « Meurs !!! »

Comme un éclair, la lame d’Eris frappa par trois fois Berserker qui se coucha net, le combat était fini…

Eris : « Quand je pense que mon père m’a dit qu’il fallait se méfier… »

Elle regarda autour d’elle, le ciel était redevenu bleu, le cadavre du nain à ses pieds, elle essuya sa lame sur l’herbe fraîche et commença à marcher vers le rassemblement des troupes de son père.


HRP: merci à Orphée pour la correction de fautes /HRP

Sympa