Par Balhîn Tulamor le 01/01/1970 à 01:00 Hrp : cette chronique est la suite du changement de nom de Ienien, il est devenu Balhîn, fils de Fundhin et maintenant… à vous de lire. Bonne lecture ! 
: Hrp
Cette histoire remonte à l’époque où Drach faisait entrer dans la terreur toute la planète. Tout Olympia était menacé par ce terrible monstre ; Lardanium était en feu. Les serviteurs et généraux de Drach attaquaient cette merveilleuse cité qui se défendait tant bien que mal, comme elle pouvait, avec les moyens du bord car elle avait déjà subit de multiples attaques et par chance elle était toujours debout. Les habitants de la cité étaient épuisés et complètement découragés car plus personne n’avait d’espoir. Plus personne ne croyait que quelqu’un est le courage de se révolter contre la puissance démoniaque de Drach et ses serviteurs. D’autant plus, que plusieurs personnes, qu’elle soit naine, elfe, géant, olympien ou homme sauvage avait succombé à la tentation du mal, à l’attraction des sirènes de Drach car ce monstre faisait tout pour nous monter les uns contre les autres. Mais c’est à ce moment là qu’un groupe de personnes composé de toutes les races ont décidés de se révolter pour détruire ce monstre en voulant ouvrir une porte afin que l’on puisse se rendre là où Drach commandait son armée de serviteurs démoniaques. C’était le grand tourbillon qui allait ouvrir les enfers, le lieu de séjour de Drach.
Et c’est à ce moment là, pendant l’ouverture de la bouche des enfers que Ienien (c’est ainsi qu’il se nommait à l’époque) vu son père qui habitait dans une dimension encore pire que les enfers. Il essayait de survivre dans cette dimension avec plusieurs autres grand nom du passé, qui avait vaincu un adversaire encore plus terrible et cruel que Drach. Il l’avait vaincu et malheureusement, ce terrible ennemi les avait emprisonné à jamais dans sa dimension et personne ne pouvait les libérer. Même pas le grand mage nain du nom de O-C.
C’est ainsi que son père lui raconta l’histoire de son passé et comment il s’appelait réellement. Il lui décrit son ancien village et la bataille contre cet ennemi aujourd’hui dans les livres d’histoire de la bibliothèque de Lardanium. Enfin, il lui révéla comment il s’appelait réellement, de son vrai nom Balhîn. Mais Balhîn voulut lui poser une dernière question qui lui tournait dans sa tête mais il n’eut malheureusement le temps de la lui poser car son père du nom de Fundhin avait déjà disparu. Balhîn resta un moment dans la rue en feu de Lardanium immobile en pensant à ce qui venait de se passer et repris enfin le combat contre les serviteurs.
Plusieurs années s’étaient déjà écoulées depuis la victoire contre Drach et le jour de ce mystérieux évènement, mais Balhîn était toujours intrigués par une chose : comment pouvait s’appeler sa famille ? C’était une question qui lui tournait dans la tête depuis cet évènement. Il connaissait son père mais ne connaissait toujours pas le nom de sa famille, car au moment où il voulut poser la question à son père, il avait déjà disparu. La chose qu’il savait c’est qu’il était Balhîn fils de Fundhîn et petit fils de Buldhîn. Mais quel était le nom de ce grand père mystérieux et ce père qu’il lui était apparu comme pas magie ?
C’était une question qu’il se posait toujours à notre époque. C’est pourquoi pendant les fêtes naines de Bharr-Touhass Al-Helfe, Balhîn décida de partir en faire un grand voyage sur les terres d’Olympia pour connaître enfin le nom de sa famille, de ce père qu’il lui est apparu en pleine guerre comme par magie. Balhîn s’éloignait donc, déterminé à retrouver le nom de sa famille.
Alors qu’il parcourait les terres de ce monde, il rencontra un vieil homme qui vivait dans une forêt paisible et retirée de ce monde. On y entendait que le chant des oiseaux et l’eau qui coulait dans la rivière, c’était un lieu tranquille et reposant. Le vieil homme faisait ses réserves d’eau pour les trois ou quatre jours qui venait et se retourna en entendant le nain arriver.
_ Que vient tu faire par ici, nain ? lui dit le vieil homme.
_ Je suis en voyage vers la grande cité de Lardanium, lui répondit le nain.
_ Oh ! C’est encore loin tu sais !
_ Je sais, mais ce que je vais y faire est très important.
_ Et que vas-tu faire là-bas ?
_ Je suis à la recherche d’une chose très importante pour moi, rétorqua Balhîn.
_ Et quelle est cette chose importante ? lui demanda le vieil homme.
_ Je recherche le passé de ma famille, enfin son véritable nom. Je ne le connais pas et je voudrais enfin le connaître.
_ Si se n’est que ça, je pourrais peut être t’aider.
_ Et comment pourriez vous m’aider au milieu de rien ? dit en ce moquant Balhîn.
_ Oh ! Mais sache que je n’ai pas toujours vécu comme un ermite. Et sache que j’en sais sûrement plus que toi, sur ce triste monde.
_ Et que pourriez vous me dire, ou m’indiquer comme renseignement vieil homme ?
_ Que ta famille est à côté de toi depuis toujours et que ne l’as jamais vu.
_ Comment ça ?
Mais en se retournant, le vieil homme avait disparu comme par enchantement. Le seau qu’il lui servait à remplir son eau avait également disparu. Balhîn crut que c’était un rêve, qu’il n’avait parlé à personne et que tout ceci venait du fait qu’il était épuisé, mais étrangement la marque du seau était présente sur l’herbe. Ca voulait donc dire qu’il avait réellement parlé à cet étrange personnage. Mais alors, que voulait-il dire dans « ta famille est à côté de toi depuis toujours et ne l’as jamais vu ». Que voulait dire cette phrase, le nain n’en savait rien. Mais ce qu’il savait par contre, c’est qu’il n’avait pas rêvé en voyant cette personne. Après plusieurs minutes à se poser des questions, Balhîn décida de continuer son chemin vers la grande bibliothèque de Lardanium. Son chemin était encore très long, et il fallait qu’il se hâte.
Plusieurs jours passèrent après la scène de l’étrange personnage. Plus il avançait vers Lardanium et plus il se disait qu’il connaissait cette personne. Balhîn ne pouvait y croire car son père lui avait dit qu’il ne le reverrait jamais. C’est impossible que se soit lui se disait-il. Mais un étrange sentiment continuait tout de même à le tourmenter.
Après une longue route, Lardanium était enfin en vue. La grande cité Olympienne se dressait devant lui. Balhîn s’approcha de la grande tour Nord-ouest et le garde le reconnaissant le laissa entrer sans problème. La lourde porte s’ouvrait lentement et petit à petit les maisons, auberges et commerces en tout genre faisait leur apparition. Les gens y vivaient heureux. Balhîn se sentait comme chez soi. Mais rapidement le nain se remit en marche sans s’arrêter voir son vieil ami Traag et sans même aller faire un tour au temple, trop presser de connaître enfin le vrai nom de sa famille.
Il entra dans la vieille bibliothèque et entreprit ses recherches. Ca faisait maintenant des heures qu’il cherchait toujours en vain. Rien, pas le moindre indice. Quand tout à coup, il repensa à ce que le vieil homme lui avait dit dans la profonde campagne perdue « ta famille est à côté de toi depuis toujours et ne l’as jamais vu ». « C’est impossible » pensa à voix haute Balhîn, « je suis le dernier membre de ma famille encore vivant. Tous les autres sont morts lors de cette horrible bataille ». Il continua à réfléchir en disant sans cesse à voix haute ce que le vieil homme lui avait dit : « ta famille est à côté de toi depuis toujours et ne l’as jamais vu ». Il resta dans la même position à dire cette phrase pendant plusieurs minutes. Mais, d’un seul coup, il se leva et se précipita dans un rayon de la bibliothèque, et sortit un livre. Il parlait des parents de Drohir et comprit alors de quelle famille il venait.
« Le frère de mon grand-père est Khrao Tulamor. Ce qui fait qu’il s’appelait Buldhîn Tulamor. Mon père est donc Fundhîn Tulamor et moi Balhîn… Tulamor. » Dit-il à voix haute avec difficulté tellement l’émotion était grande. « Je suis donc un membre de la grande famille naine, la célèbre famille Tulamor et Drohir est donc un cousin, éloigné certes, mais mon cousin. »
Balhîn resta un moment immobile avec le livre à la main dans la bibliothèque. Au bout d’un certain temps, il reprit ses esprits et se décida enfin à bouger. Il avait retrouvé sa famille, le nom de sa famille. Drohir, O-C, usergrosnain et les autres aujourd’hui dans un autre monde étaient ses proches. Balhîn était ravit, il était le nain le plus heureux de cette planète. Avant de repartir chez les siens, il passa par le temple, voir si rien avait bougé et repartit voir les siens et sa famille enfin retrouvé.
: Hrp
Cette histoire remonte à l’époque où Drach faisait entrer dans la terreur toute la planète. Tout Olympia était menacé par ce terrible monstre ; Lardanium était en feu. Les serviteurs et généraux de Drach attaquaient cette merveilleuse cité qui se défendait tant bien que mal, comme elle pouvait, avec les moyens du bord car elle avait déjà subit de multiples attaques et par chance elle était toujours debout. Les habitants de la cité étaient épuisés et complètement découragés car plus personne n’avait d’espoir. Plus personne ne croyait que quelqu’un est le courage de se révolter contre la puissance démoniaque de Drach et ses serviteurs. D’autant plus, que plusieurs personnes, qu’elle soit naine, elfe, géant, olympien ou homme sauvage avait succombé à la tentation du mal, à l’attraction des sirènes de Drach car ce monstre faisait tout pour nous monter les uns contre les autres. Mais c’est à ce moment là qu’un groupe de personnes composé de toutes les races ont décidés de se révolter pour détruire ce monstre en voulant ouvrir une porte afin que l’on puisse se rendre là où Drach commandait son armée de serviteurs démoniaques. C’était le grand tourbillon qui allait ouvrir les enfers, le lieu de séjour de Drach.
Et c’est à ce moment là, pendant l’ouverture de la bouche des enfers que Ienien (c’est ainsi qu’il se nommait à l’époque) vu son père qui habitait dans une dimension encore pire que les enfers. Il essayait de survivre dans cette dimension avec plusieurs autres grand nom du passé, qui avait vaincu un adversaire encore plus terrible et cruel que Drach. Il l’avait vaincu et malheureusement, ce terrible ennemi les avait emprisonné à jamais dans sa dimension et personne ne pouvait les libérer. Même pas le grand mage nain du nom de O-C.
C’est ainsi que son père lui raconta l’histoire de son passé et comment il s’appelait réellement. Il lui décrit son ancien village et la bataille contre cet ennemi aujourd’hui dans les livres d’histoire de la bibliothèque de Lardanium. Enfin, il lui révéla comment il s’appelait réellement, de son vrai nom Balhîn. Mais Balhîn voulut lui poser une dernière question qui lui tournait dans sa tête mais il n’eut malheureusement le temps de la lui poser car son père du nom de Fundhin avait déjà disparu. Balhîn resta un moment dans la rue en feu de Lardanium immobile en pensant à ce qui venait de se passer et repris enfin le combat contre les serviteurs.
Plusieurs années s’étaient déjà écoulées depuis la victoire contre Drach et le jour de ce mystérieux évènement, mais Balhîn était toujours intrigués par une chose : comment pouvait s’appeler sa famille ? C’était une question qui lui tournait dans la tête depuis cet évènement. Il connaissait son père mais ne connaissait toujours pas le nom de sa famille, car au moment où il voulut poser la question à son père, il avait déjà disparu. La chose qu’il savait c’est qu’il était Balhîn fils de Fundhîn et petit fils de Buldhîn. Mais quel était le nom de ce grand père mystérieux et ce père qu’il lui était apparu comme pas magie ?
C’était une question qu’il se posait toujours à notre époque. C’est pourquoi pendant les fêtes naines de Bharr-Touhass Al-Helfe, Balhîn décida de partir en faire un grand voyage sur les terres d’Olympia pour connaître enfin le nom de sa famille, de ce père qu’il lui est apparu en pleine guerre comme par magie. Balhîn s’éloignait donc, déterminé à retrouver le nom de sa famille.
Alors qu’il parcourait les terres de ce monde, il rencontra un vieil homme qui vivait dans une forêt paisible et retirée de ce monde. On y entendait que le chant des oiseaux et l’eau qui coulait dans la rivière, c’était un lieu tranquille et reposant. Le vieil homme faisait ses réserves d’eau pour les trois ou quatre jours qui venait et se retourna en entendant le nain arriver.
_ Que vient tu faire par ici, nain ? lui dit le vieil homme.
_ Je suis en voyage vers la grande cité de Lardanium, lui répondit le nain.
_ Oh ! C’est encore loin tu sais !
_ Je sais, mais ce que je vais y faire est très important.
_ Et que vas-tu faire là-bas ?
_ Je suis à la recherche d’une chose très importante pour moi, rétorqua Balhîn.
_ Et quelle est cette chose importante ? lui demanda le vieil homme.
_ Je recherche le passé de ma famille, enfin son véritable nom. Je ne le connais pas et je voudrais enfin le connaître.
_ Si se n’est que ça, je pourrais peut être t’aider.
_ Et comment pourriez vous m’aider au milieu de rien ? dit en ce moquant Balhîn.
_ Oh ! Mais sache que je n’ai pas toujours vécu comme un ermite. Et sache que j’en sais sûrement plus que toi, sur ce triste monde.
_ Et que pourriez vous me dire, ou m’indiquer comme renseignement vieil homme ?
_ Que ta famille est à côté de toi depuis toujours et que ne l’as jamais vu.
_ Comment ça ?
Mais en se retournant, le vieil homme avait disparu comme par enchantement. Le seau qu’il lui servait à remplir son eau avait également disparu. Balhîn crut que c’était un rêve, qu’il n’avait parlé à personne et que tout ceci venait du fait qu’il était épuisé, mais étrangement la marque du seau était présente sur l’herbe. Ca voulait donc dire qu’il avait réellement parlé à cet étrange personnage. Mais alors, que voulait-il dire dans « ta famille est à côté de toi depuis toujours et ne l’as jamais vu ». Que voulait dire cette phrase, le nain n’en savait rien. Mais ce qu’il savait par contre, c’est qu’il n’avait pas rêvé en voyant cette personne. Après plusieurs minutes à se poser des questions, Balhîn décida de continuer son chemin vers la grande bibliothèque de Lardanium. Son chemin était encore très long, et il fallait qu’il se hâte.
Plusieurs jours passèrent après la scène de l’étrange personnage. Plus il avançait vers Lardanium et plus il se disait qu’il connaissait cette personne. Balhîn ne pouvait y croire car son père lui avait dit qu’il ne le reverrait jamais. C’est impossible que se soit lui se disait-il. Mais un étrange sentiment continuait tout de même à le tourmenter.
Après une longue route, Lardanium était enfin en vue. La grande cité Olympienne se dressait devant lui. Balhîn s’approcha de la grande tour Nord-ouest et le garde le reconnaissant le laissa entrer sans problème. La lourde porte s’ouvrait lentement et petit à petit les maisons, auberges et commerces en tout genre faisait leur apparition. Les gens y vivaient heureux. Balhîn se sentait comme chez soi. Mais rapidement le nain se remit en marche sans s’arrêter voir son vieil ami Traag et sans même aller faire un tour au temple, trop presser de connaître enfin le vrai nom de sa famille.
Il entra dans la vieille bibliothèque et entreprit ses recherches. Ca faisait maintenant des heures qu’il cherchait toujours en vain. Rien, pas le moindre indice. Quand tout à coup, il repensa à ce que le vieil homme lui avait dit dans la profonde campagne perdue « ta famille est à côté de toi depuis toujours et ne l’as jamais vu ». « C’est impossible » pensa à voix haute Balhîn, « je suis le dernier membre de ma famille encore vivant. Tous les autres sont morts lors de cette horrible bataille ». Il continua à réfléchir en disant sans cesse à voix haute ce que le vieil homme lui avait dit : « ta famille est à côté de toi depuis toujours et ne l’as jamais vu ». Il resta dans la même position à dire cette phrase pendant plusieurs minutes. Mais, d’un seul coup, il se leva et se précipita dans un rayon de la bibliothèque, et sortit un livre. Il parlait des parents de Drohir et comprit alors de quelle famille il venait.
« Le frère de mon grand-père est Khrao Tulamor. Ce qui fait qu’il s’appelait Buldhîn Tulamor. Mon père est donc Fundhîn Tulamor et moi Balhîn… Tulamor. » Dit-il à voix haute avec difficulté tellement l’émotion était grande. « Je suis donc un membre de la grande famille naine, la célèbre famille Tulamor et Drohir est donc un cousin, éloigné certes, mais mon cousin. »
Balhîn resta un moment immobile avec le livre à la main dans la bibliothèque. Au bout d’un certain temps, il reprit ses esprits et se décida enfin à bouger. Il avait retrouvé sa famille, le nom de sa famille. Drohir, O-C, usergrosnain et les autres aujourd’hui dans un autre monde étaient ses proches. Balhîn était ravit, il était le nain le plus heureux de cette planète. Avant de repartir chez les siens, il passa par le temple, voir si rien avait bougé et repartit voir les siens et sa famille enfin retrouvé.
trés bien faite, j'aime, mais j'ai quand mm un penchant pour ton changement de ienen a balhin, je sais pas j'la préfère 
/hrp
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