Par Tidus le 01/01/1970 à 01:00 Tidus naquît dans un petit village, situé à quelques lieues de Lardanium. Sa mère mourut en le mettant au monde, c’est pourquoi, Tidus fut élevé et éduqué par son père. Dès son plus jeune âge, il lui apprit les rudiments de la lecture et de l’écriture. Son père lui donna une éducation intellectuelle : il apprendrait bien vite les malheurs et les guerres qui se passent sur Olympia. Il vécu donc une enfance paisible, pendant laquelle il n’eu pas conscience des maux qui frappaient Olympia, pensait-il.
Le père de Tidus était un fier vaillant guerrier olympien. Il était régulièrement appelé à Lardanium, pour effectuer des missions de routine. Pendant ses absences, de plusieurs semaines souvent, il confiait son fils à un vieil ermite.
Tidus l’aimait particulièrement bien. A son contact, il apprit de nombreuses histoires et légendes s’étant déroulé sur Olympia. Tidus voulait toujours en savoir plus, et posait de nombreuses questions lors de leurs conversations. Le jeune olympien était captivé par ces contes anciens, et surtout par le passé des Olympiens, ainsi que de leur cité : Lardanium.
Un jour, l’ermite amena à Tidus de nombreux ouvrages contant l’histoire de Lardanium. Il les tous très vite, et fut fasciné par la cité olympienne, qu’il n’avait alors jamais vu. Depuis cet instant, il se promit de s’y rendre, un jour et de contempler la majestueuse cité olympienne.
Le jeune olympien demandait régulièrement à son père, si il l’emmènerait avec lui voir Lardanium.
- Un jour, tu verras la cité de tes propres yeux, et tu y pénètreras. Je t’y emmènerais, je te le promets, répondait son père.
Vînt un jour, un envoyé de Lardanium porta une lettre. Le père de Tidus la lut. Il endossa alors son armure, prit son heaume et son glaive et partit en direction de Lardanium, en toute hâte. Il semblait inquiet. Tidus le questionna.
- L’heure est grave, là-bas, je dois y aller. Nous vivons une sombre époque. Ne sois pas triste, je reviendrais dès que je le pourrais. Attends-moi.
Tidus était inquiet. Il avait un mauvais pressentiment. Son père ne devait pas y aller. Il le savait. Cependant, il savait aussi qu’il ne pouvait pas l’empêcher de désobéir aux ordres, et de trahir ses supérieurs. Le jeune olympien pressentait le trépas de son père, au fond de lui. Mais les dernières paroles de son père l’apaisait cependant : « Attends-moi ».
Il attendit donc le retour de son père. Mais après quelques jours déjà, il perdait espoir et patience. L’anxiété le gagnait.
- Et si mes soupçons se révélaient se révèlent exacts ? pensait-il. Que deviendrais sans lui ?
Un jour, alors que Tidus particulièrement angoissé, le vieil ermite se présenta à la porte de sa maison :
- J’ai de mauvaises nouvelles. J’ai reçu un message hier. Ton père est mort, il a succombé à ses blessures. Je suis désolé.
Ton père m’a envoyé ce message pour toi avant son décès. Cela t’est destiné. Le voilà. Il t’appartient désormais.
Il sortit une lettre cacheté de sa toge brune, et la tendit à l’enfant olympien, qui le saisit.
- Je désire être seul, maintenant.
L’ermite sortit, et ferma la porta. Tidus fit sauter le cachet, et commença la lecture.
« Cher Tidus, mon fils,
Je suis désolé de ne pas avoir tenu ma promesse. Je ne pourrais pas revenir, désormais, t’emmener avec moi voir Lardanium. Je suis mort, mais pas en vain. Je suis heureux d’être mort pour ma peuple. Mon honneur est sauf. J’ai toujours voulu te préserver de la guerre, et des fléaux menaçant Olympia, mais j’ai réalisé, aujourd’hui, que c’était impossible. Les guerres sont inévitables. Elles sont nécessaires, même parfois. Tu l’apprendras sûrement pas toi même très bientôt, je pense. Mais tu dois tout de même te battre pour la paix et la fraternité, car les conflits n’ont jamais rien apportés, à part le malheur et la désolation. Rends toi à Lardanium. Protèges cette cité comme tu as toujours voulu le faire. Réalise ton rêve désormais.
Ton père, qui est fier de toi. Adieu »
Tidus tremblait en lisant la lettre. Il était ému. Il se mit à verser de grosses larmes sur la lettre de son père. Il resta là, seul au milieu de sa maison, pendant de longues minutes.
- Je ne te décevrais pas, je te le promets. Je suivrais ton exemple.
Il avait alors prit sa décision. Il regroupa tous ses biens, et s’en fut en direction de Lardanium. Malgré le décès de son père, il se sentait serein, comme jamais il n’avait été. Son père n’était pas parti, il l’honorerais par ses futurs actions, et exploits. Il n’était pas triste. Il ne devait pas l’être. Il devait être digne de son père.
Il arriva, finalement, après plusieurs jours de marche, devant les remparts de la ville. Il contempla la cité, de longues minutes, émerveillé et enchanté. Dans les livres de son vieux Maître, il avait lu l’histoire de Lardanium, et des Sages d’Athéna, protecteurs de la cité, et garants de la paix.
- Je veux donner ma vie et mon courage pour la défense de cette cité, pensait Tidus. Je veux devenir un Sage d’Athéna.
Il entra alors à Lardanium...
Le père de Tidus était un fier vaillant guerrier olympien. Il était régulièrement appelé à Lardanium, pour effectuer des missions de routine. Pendant ses absences, de plusieurs semaines souvent, il confiait son fils à un vieil ermite.
Tidus l’aimait particulièrement bien. A son contact, il apprit de nombreuses histoires et légendes s’étant déroulé sur Olympia. Tidus voulait toujours en savoir plus, et posait de nombreuses questions lors de leurs conversations. Le jeune olympien était captivé par ces contes anciens, et surtout par le passé des Olympiens, ainsi que de leur cité : Lardanium.
Un jour, l’ermite amena à Tidus de nombreux ouvrages contant l’histoire de Lardanium. Il les tous très vite, et fut fasciné par la cité olympienne, qu’il n’avait alors jamais vu. Depuis cet instant, il se promit de s’y rendre, un jour et de contempler la majestueuse cité olympienne.
Le jeune olympien demandait régulièrement à son père, si il l’emmènerait avec lui voir Lardanium.
- Un jour, tu verras la cité de tes propres yeux, et tu y pénètreras. Je t’y emmènerais, je te le promets, répondait son père.
Vînt un jour, un envoyé de Lardanium porta une lettre. Le père de Tidus la lut. Il endossa alors son armure, prit son heaume et son glaive et partit en direction de Lardanium, en toute hâte. Il semblait inquiet. Tidus le questionna.
- L’heure est grave, là-bas, je dois y aller. Nous vivons une sombre époque. Ne sois pas triste, je reviendrais dès que je le pourrais. Attends-moi.
Tidus était inquiet. Il avait un mauvais pressentiment. Son père ne devait pas y aller. Il le savait. Cependant, il savait aussi qu’il ne pouvait pas l’empêcher de désobéir aux ordres, et de trahir ses supérieurs. Le jeune olympien pressentait le trépas de son père, au fond de lui. Mais les dernières paroles de son père l’apaisait cependant : « Attends-moi ».
Il attendit donc le retour de son père. Mais après quelques jours déjà, il perdait espoir et patience. L’anxiété le gagnait.
- Et si mes soupçons se révélaient se révèlent exacts ? pensait-il. Que deviendrais sans lui ?
Un jour, alors que Tidus particulièrement angoissé, le vieil ermite se présenta à la porte de sa maison :
- J’ai de mauvaises nouvelles. J’ai reçu un message hier. Ton père est mort, il a succombé à ses blessures. Je suis désolé.
Ton père m’a envoyé ce message pour toi avant son décès. Cela t’est destiné. Le voilà. Il t’appartient désormais.
Il sortit une lettre cacheté de sa toge brune, et la tendit à l’enfant olympien, qui le saisit.
- Je désire être seul, maintenant.
L’ermite sortit, et ferma la porta. Tidus fit sauter le cachet, et commença la lecture.
« Cher Tidus, mon fils,
Je suis désolé de ne pas avoir tenu ma promesse. Je ne pourrais pas revenir, désormais, t’emmener avec moi voir Lardanium. Je suis mort, mais pas en vain. Je suis heureux d’être mort pour ma peuple. Mon honneur est sauf. J’ai toujours voulu te préserver de la guerre, et des fléaux menaçant Olympia, mais j’ai réalisé, aujourd’hui, que c’était impossible. Les guerres sont inévitables. Elles sont nécessaires, même parfois. Tu l’apprendras sûrement pas toi même très bientôt, je pense. Mais tu dois tout de même te battre pour la paix et la fraternité, car les conflits n’ont jamais rien apportés, à part le malheur et la désolation. Rends toi à Lardanium. Protèges cette cité comme tu as toujours voulu le faire. Réalise ton rêve désormais.
Ton père, qui est fier de toi. Adieu »
Tidus tremblait en lisant la lettre. Il était ému. Il se mit à verser de grosses larmes sur la lettre de son père. Il resta là, seul au milieu de sa maison, pendant de longues minutes.
- Je ne te décevrais pas, je te le promets. Je suivrais ton exemple.
Il avait alors prit sa décision. Il regroupa tous ses biens, et s’en fut en direction de Lardanium. Malgré le décès de son père, il se sentait serein, comme jamais il n’avait été. Son père n’était pas parti, il l’honorerais par ses futurs actions, et exploits. Il n’était pas triste. Il ne devait pas l’être. Il devait être digne de son père.
Il arriva, finalement, après plusieurs jours de marche, devant les remparts de la ville. Il contempla la cité, de longues minutes, émerveillé et enchanté. Dans les livres de son vieux Maître, il avait lu l’histoire de Lardanium, et des Sages d’Athéna, protecteurs de la cité, et garants de la paix.
- Je veux donner ma vie et mon courage pour la défense de cette cité, pensait Tidus. Je veux devenir un Sage d’Athéna.
Il entra alors à Lardanium...
( bien rendu d'ailleur ) maintenant ya de quoi creuser ...
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