Par ZoliveR le 06/12/2004 à 04:58 Je naquis il y a bientôt 19 ans dans la vallée de l'Olympiade. Je ne me rappelle pas beaucoup de mon enfance, à part de la verdure, des plaines, des montagnes, des chevaux de feu, et mes parents qui couvaient du mieux qu'ils pouvaient le charmant enfant que je fus... Ils n'étaient pas trop riches mais savaient se débrouiller.
Nous les Olympiens, nous étions fort doués en magie, et c'est pourquoi mes parents décidèrent de m'inscrire dans une des prestigieuses écoles de magie. Ils se sacrifièrent beaucoup pour moi et je leur dois beaucoup aujourd'hui. Je fus très impressionné lors de mon apprentissage à l'école et j'appris beaucoup de sorts là bas. J'appris aussi qu'il ne fallait pas se servir de la magie olympienne pour de mauvaises intentions, sous peine qu'elle se retournerait un jour contre celui qui jette un sort et qui n'a pas le coeur pur. Etant un ange et ne voulant faire que le bien, je sus que cela ne me poserait aucun problème.
Les années passant, je grandis et devins très cultivé en magie, mais mon niveau de concentration n'était pas encore suffisant pour assurer une force suffisante à mes sorts. Ceci dit, si bien des Olympiens avaient besoin d'une baguette pour faire de la magie, je pouvais le faire avec mes mains. Car (je ne le sus que plus tard de la bouche de mon oncle) j'appartenais à une famille dont les ancêtres étaient magiciens et les parents transmettaient à leurs enfants le don de magie dès leur naissance. A ma 3ème année d'école (j'avais 9 ans), un drame survint. Des êtres maléfiques vinrent en pleine nuit dans mon petit village et tuèrent mes parents (ma mère était enceinte). Je me réveillai soudain et entendit du bruit et des coups. Je sortis de ma chambre et je vis mes parents se débattre et s'effondrer par terre. Ces monstres les avaient tué. Ils étaient des orcs. J'ai crié de toutes mes forces, et avant que l'un d'entre eux se précipite sur moi pour me tuer, je fus pris à la fois d'un sentiment de colère, de haine, mais aussi de tristesse et d'injustice, à la vue de mes parents gisant sur le sol. Un grand hurlement jaillit de ma bouche, et je laissai éclater ma colère, qui se transforma en énergie. Je sentis celle-ci entourer mon corps. Je pointai mon index vers ces orcs et rugis:"Monstres! Comment avez vous osé vous en prendre à mes parents". Alors une énergie puissante et incontrôlable fusa de mon index et frappa avec une force inouïe ces monstres qui avaient tué mes très chers parents. Ils ne purent parer mon attaque et s'effondrèrent sur le sol. Ils étaient morts. Je sentis alors mon énergie me vider, et je tombai sur le sol, inconscient.
Quand je revins à moi, j'entendis la voix de mes parents. Je n'en croyais pas mes oreilles... D'une voix lointaine et étonnée, je murmurai: "Vous êtes vivants?!". Ils me dirent que non, qu'ils avaient été autorisés à rester encore un peu dans le monde des vivants. Je me levai, frottai mes yeux ébahis et constata que mon regard ne m'avait pas trompé. Leurs corps gisaient sur le sol mais leurs esprits flottaient devant moi. Ma mère me dit alors d'ouvrir le tiroir du bas de l'armoire de gauche se situant dans ma chambre. Sachant qu'il était toujours fermé à clef, je lui demandai où elle se trouvait. Elle me dit alors d'une voix mielleuse:"ZoliveR, la clef c'est toi. Elle ouvrira bien des portes dans ton avenir. La porte de la connaissance, la porte de l'amitié et la porte de l'amour. Pour ouvrir ce tiroir il te faudra toucher la serrure avec tes deux index". Quand ce fut fait, j'entendis un déclic et le tiroir put s'ouvrir. Il y avait une grande boite. Je la sortis et l'ouvris. Je vis un livre de sorts assez vieux mais résistant. Je vis également un lourd objet en forme de T, il était métallique et avait une opale incrustée en son centre. Je vis aussi des vêtements légers, des bottes et des gants, et une médaille. Mon père et ma mère me parlèrent longuement pendant dix minutes, et je sus ce que contenait la boite. Le livre (qui était un banal livre de sorts) vieux de trois cent ans contenait un feuillet en cuivre, mince mais résistant, sur lequel étaient inscrits tous les sorts de ma famille, de mes ancêtres. L'objet en forme de T s'avérait être en fait une épée magique très puissante qui appartenait à mon arrière-arrière grand-père. Je ne devais l'utiliser qu'en cas de nécéssité absolue si ma magie n'était pas assez puissante face à l'ennemi. En appuyant sur l'opale, son détenteur (qui devait absolument être de la famille) libérait une énergie bleue flamboyante. Elle était surnommée L'opaline de Pathôkyr (c'était ainsi que se nommait mon ailleul). Je pensais que la médaille ne servait à rien, mais mes parents me dirent qu'elle contenait l'énergie de tous mes ancêtres et que je pourrais en avoir besoin. Les vêtements étaient destinés à me protéger des sorts de mes ennemis. Les bottes avaient plusieurs usages (marche rapide, lévitation), et mes gants serviraient uniquement au cas où je devrais utiliser l'opaline (elle serait ainsi moins lourde à porter).
Ayant fini les explications, ils me dirent qu'ils devaient partir, mais qu'ils seraient toujours près de moi. Je fondis en larmes. Je n'acceptais pas leur départ prématuré, mais je n'avais pas le choix. Ma mère me dit d'essuyer mes larmes et d'être fort. Je vis leur image se fondre et disparaitre, et leurs énergies sortirent de leurs corps inertes et allèrent en moi, dans la médaille et l'opaline. Une petite voix lointaine et familière (celle de ma mère) me dit alors: "ZoliveR, nous aurions aimé encore rester auprès de toi et te remettre la boite à tes 14 ans, mais la vie en a décidé autrement. Tu nous a étonné en te battant contre ces orcs. On ne pensait pas que tu étais capable de faire ce que tu as fait. Après tout c'est normal, le sang de tes ancêtres coule en toi. Et nous sommes sûrs à présent que tu feras de grandes actions dans ton avenir. Tu n'as que 9 ans et il te reste encore 5 ans avant que tu puisse être autonome. Il te faudra maintenant habiter chez ton oncle. Rassure toi tu pourras toujours continuer ton éducation dans la même école. Nous serons toujours près de toi, et si tu as besoin de nous parler, touche deux fois la médaille en pensant à nous. Nous t'aimons. Au revoir". Je fis mes bagages (je laissai le vieux livre des sorts, bien trop lourd et inutile) et allai chez mon oncle, non sans gaité de coeur.
Pendant cinq ans je progressais lentement mais surement. Mon oncle m'aidait énormément et il m'apprenait beaucoup de choses concernant ma famille et mes ancêtres. Jovial mais sévère, aimable mais dur, il était juste avec moi. J'ai eu un peu de mal à m'accoutumer avec lui mais j'y suis parvenu et après un an on s'entendait fort bien. Un beau jour, j'eus quatorze ans et mon oncle me dit qu'il m'avait tout appris et qu'il ne me restait plus qu'à partir, à voyager dans le monde et à progresser dans la magie... Ce jour là il était fort fatigué et je fus inquiet. Après avoir fait mon paquetage, il s'assit, épuisé, et me tendit une lettre avant de mourir. Cette lettre, courte mais explicative, m'apprit bien des choses sur mes parents et sur mon oncle. Au fil de sa lecture, mon visage devint de plus en plus sombre, et une haine s'installa en moi. J'appris que les orcs qui tuèrent mes parents furent envoyés par un clan de magiciens nains malfaisants qui avait pour nom Dwarf Arcanum. Et j'ai su aussi qu'il y a 3 mois mon oncle avait reçu à l'épaule une flèche de poison lent, envoyée par un lutin de leur clan. Sachant sa fin proche il avait décidé de m'en parler au dernier moment, par cette lettre. Je me jurai alors de massacrer ceux qui ont osé tuer mes parents et mon oncle.
Suite au prochain épisode.
Nous les Olympiens, nous étions fort doués en magie, et c'est pourquoi mes parents décidèrent de m'inscrire dans une des prestigieuses écoles de magie. Ils se sacrifièrent beaucoup pour moi et je leur dois beaucoup aujourd'hui. Je fus très impressionné lors de mon apprentissage à l'école et j'appris beaucoup de sorts là bas. J'appris aussi qu'il ne fallait pas se servir de la magie olympienne pour de mauvaises intentions, sous peine qu'elle se retournerait un jour contre celui qui jette un sort et qui n'a pas le coeur pur. Etant un ange et ne voulant faire que le bien, je sus que cela ne me poserait aucun problème.
Les années passant, je grandis et devins très cultivé en magie, mais mon niveau de concentration n'était pas encore suffisant pour assurer une force suffisante à mes sorts. Ceci dit, si bien des Olympiens avaient besoin d'une baguette pour faire de la magie, je pouvais le faire avec mes mains. Car (je ne le sus que plus tard de la bouche de mon oncle) j'appartenais à une famille dont les ancêtres étaient magiciens et les parents transmettaient à leurs enfants le don de magie dès leur naissance. A ma 3ème année d'école (j'avais 9 ans), un drame survint. Des êtres maléfiques vinrent en pleine nuit dans mon petit village et tuèrent mes parents (ma mère était enceinte). Je me réveillai soudain et entendit du bruit et des coups. Je sortis de ma chambre et je vis mes parents se débattre et s'effondrer par terre. Ces monstres les avaient tué. Ils étaient des orcs. J'ai crié de toutes mes forces, et avant que l'un d'entre eux se précipite sur moi pour me tuer, je fus pris à la fois d'un sentiment de colère, de haine, mais aussi de tristesse et d'injustice, à la vue de mes parents gisant sur le sol. Un grand hurlement jaillit de ma bouche, et je laissai éclater ma colère, qui se transforma en énergie. Je sentis celle-ci entourer mon corps. Je pointai mon index vers ces orcs et rugis:"Monstres! Comment avez vous osé vous en prendre à mes parents". Alors une énergie puissante et incontrôlable fusa de mon index et frappa avec une force inouïe ces monstres qui avaient tué mes très chers parents. Ils ne purent parer mon attaque et s'effondrèrent sur le sol. Ils étaient morts. Je sentis alors mon énergie me vider, et je tombai sur le sol, inconscient.
Quand je revins à moi, j'entendis la voix de mes parents. Je n'en croyais pas mes oreilles... D'une voix lointaine et étonnée, je murmurai: "Vous êtes vivants?!". Ils me dirent que non, qu'ils avaient été autorisés à rester encore un peu dans le monde des vivants. Je me levai, frottai mes yeux ébahis et constata que mon regard ne m'avait pas trompé. Leurs corps gisaient sur le sol mais leurs esprits flottaient devant moi. Ma mère me dit alors d'ouvrir le tiroir du bas de l'armoire de gauche se situant dans ma chambre. Sachant qu'il était toujours fermé à clef, je lui demandai où elle se trouvait. Elle me dit alors d'une voix mielleuse:"ZoliveR, la clef c'est toi. Elle ouvrira bien des portes dans ton avenir. La porte de la connaissance, la porte de l'amitié et la porte de l'amour. Pour ouvrir ce tiroir il te faudra toucher la serrure avec tes deux index". Quand ce fut fait, j'entendis un déclic et le tiroir put s'ouvrir. Il y avait une grande boite. Je la sortis et l'ouvris. Je vis un livre de sorts assez vieux mais résistant. Je vis également un lourd objet en forme de T, il était métallique et avait une opale incrustée en son centre. Je vis aussi des vêtements légers, des bottes et des gants, et une médaille. Mon père et ma mère me parlèrent longuement pendant dix minutes, et je sus ce que contenait la boite. Le livre (qui était un banal livre de sorts) vieux de trois cent ans contenait un feuillet en cuivre, mince mais résistant, sur lequel étaient inscrits tous les sorts de ma famille, de mes ancêtres. L'objet en forme de T s'avérait être en fait une épée magique très puissante qui appartenait à mon arrière-arrière grand-père. Je ne devais l'utiliser qu'en cas de nécéssité absolue si ma magie n'était pas assez puissante face à l'ennemi. En appuyant sur l'opale, son détenteur (qui devait absolument être de la famille) libérait une énergie bleue flamboyante. Elle était surnommée L'opaline de Pathôkyr (c'était ainsi que se nommait mon ailleul). Je pensais que la médaille ne servait à rien, mais mes parents me dirent qu'elle contenait l'énergie de tous mes ancêtres et que je pourrais en avoir besoin. Les vêtements étaient destinés à me protéger des sorts de mes ennemis. Les bottes avaient plusieurs usages (marche rapide, lévitation), et mes gants serviraient uniquement au cas où je devrais utiliser l'opaline (elle serait ainsi moins lourde à porter).
Ayant fini les explications, ils me dirent qu'ils devaient partir, mais qu'ils seraient toujours près de moi. Je fondis en larmes. Je n'acceptais pas leur départ prématuré, mais je n'avais pas le choix. Ma mère me dit d'essuyer mes larmes et d'être fort. Je vis leur image se fondre et disparaitre, et leurs énergies sortirent de leurs corps inertes et allèrent en moi, dans la médaille et l'opaline. Une petite voix lointaine et familière (celle de ma mère) me dit alors: "ZoliveR, nous aurions aimé encore rester auprès de toi et te remettre la boite à tes 14 ans, mais la vie en a décidé autrement. Tu nous a étonné en te battant contre ces orcs. On ne pensait pas que tu étais capable de faire ce que tu as fait. Après tout c'est normal, le sang de tes ancêtres coule en toi. Et nous sommes sûrs à présent que tu feras de grandes actions dans ton avenir. Tu n'as que 9 ans et il te reste encore 5 ans avant que tu puisse être autonome. Il te faudra maintenant habiter chez ton oncle. Rassure toi tu pourras toujours continuer ton éducation dans la même école. Nous serons toujours près de toi, et si tu as besoin de nous parler, touche deux fois la médaille en pensant à nous. Nous t'aimons. Au revoir". Je fis mes bagages (je laissai le vieux livre des sorts, bien trop lourd et inutile) et allai chez mon oncle, non sans gaité de coeur.
Pendant cinq ans je progressais lentement mais surement. Mon oncle m'aidait énormément et il m'apprenait beaucoup de choses concernant ma famille et mes ancêtres. Jovial mais sévère, aimable mais dur, il était juste avec moi. J'ai eu un peu de mal à m'accoutumer avec lui mais j'y suis parvenu et après un an on s'entendait fort bien. Un beau jour, j'eus quatorze ans et mon oncle me dit qu'il m'avait tout appris et qu'il ne me restait plus qu'à partir, à voyager dans le monde et à progresser dans la magie... Ce jour là il était fort fatigué et je fus inquiet. Après avoir fait mon paquetage, il s'assit, épuisé, et me tendit une lettre avant de mourir. Cette lettre, courte mais explicative, m'apprit bien des choses sur mes parents et sur mon oncle. Au fil de sa lecture, mon visage devint de plus en plus sombre, et une haine s'installa en moi. J'appris que les orcs qui tuèrent mes parents furent envoyés par un clan de magiciens nains malfaisants qui avait pour nom Dwarf Arcanum. Et j'ai su aussi qu'il y a 3 mois mon oncle avait reçu à l'épaule une flèche de poison lent, envoyée par un lutin de leur clan. Sachant sa fin proche il avait décidé de m'en parler au dernier moment, par cette lettre. Je me jurai alors de massacrer ceux qui ont osé tuer mes parents et mon oncle.
Suite au prochain épisode.
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J'ai mis 2h à faire un "torchon" (selon vous)
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