Par Kalik, âme errante le 01/01/1970 à 01:00 Cette fois ci, je ne vous raconterait encore une de mes galères, mais tout simplement un petit extrait de mon enfance...
Quand j'était petit, j'ai toujours eut la réputation d'être un enfant assez turbulent, pour un ouiou un nom, je piquais ma crise... Puis, un jour, mon père en eut marre et décida de réagir en m'offrant un petit marteau et un sac de clous. Il me dit alors:
Chaque fois que tu en voudras à quelqu'un, tu planteras un clous de ce mur de notre grotte...
J'avais toujours pensé que mon père était fou, alors autant faire plaisir aux fous, comme ça, on a moins d'ennuis...
Le premier jour, j'ai planté une trentaine de clous pour des raisons qu'aujourd'hui je trouverai absurde, comme par exemple, j'ai perdu à des jeux avec mes copains, ou alors mon frère a eut un meilleur dessert que moi... Enfin bref rien de quoi vraiment s'énerver...
Le deuxième jour, j'en replantait une vingtaine... Les raisons restaient les même, un rien m'énervait... Et de jours en jours, le nombre de clous planté diminua, jusqu'à ce qu'au bout de trois mois, je put rendre le marteau à mon père...
Mon père me dit alors:
A présent, chaque fois que tu ne perdras patience, tu enlèveras un clou.
Je regardait le mur, il devait y avoir une centaine de clous... J'avais l'air malin moi, enfin bon, tant pis, autant faire plaisir aux fous...
Au bouts de quatres mois, il n'y eut plus de clous dans le mur, et mon père me dit:
Fils, tu t'es bien comporté, mais regarde ce mur à présent, il est parsemé de trous... Vois tu, ce mur est comme une personne, chaque clous est comme une insulte et cause une blessure à cette personne. Tu pourras t'excuser auprès de lui, tu lui retireras en quelques sortes un clou, mas comme ce mur, il gardera toujours une blessure en lui. Tu auras beau t'excuser auprès de cette personne, même si il te pardonne, il gardera sa blessure et ne te percevra plus comme avant...
Depuis ce jour, je suis relativement calme ou du moins, essaye. Je perçois les choses dfférement, je sait qu'il ne faut pas s'en prendre à ses amis ou encore à ceux qui peuvent changer. Mais je sais surtout une chose, c'est que ceux que l'on considère comme les plus fous détiennent la plus grande des sagesses.
Hrp: Cette chronique a été inspirée d'un tantra venant du nord de l'Inde, mais j'estime que le message qu'il contient vaut la peine de le manieret le transformer en une chronique. /Hrp
Quand j'était petit, j'ai toujours eut la réputation d'être un enfant assez turbulent, pour un ouiou un nom, je piquais ma crise... Puis, un jour, mon père en eut marre et décida de réagir en m'offrant un petit marteau et un sac de clous. Il me dit alors:
Chaque fois que tu en voudras à quelqu'un, tu planteras un clous de ce mur de notre grotte...
J'avais toujours pensé que mon père était fou, alors autant faire plaisir aux fous, comme ça, on a moins d'ennuis...
Le premier jour, j'ai planté une trentaine de clous pour des raisons qu'aujourd'hui je trouverai absurde, comme par exemple, j'ai perdu à des jeux avec mes copains, ou alors mon frère a eut un meilleur dessert que moi... Enfin bref rien de quoi vraiment s'énerver...
Le deuxième jour, j'en replantait une vingtaine... Les raisons restaient les même, un rien m'énervait... Et de jours en jours, le nombre de clous planté diminua, jusqu'à ce qu'au bout de trois mois, je put rendre le marteau à mon père...
Mon père me dit alors:
A présent, chaque fois que tu ne perdras patience, tu enlèveras un clou.
Je regardait le mur, il devait y avoir une centaine de clous... J'avais l'air malin moi, enfin bon, tant pis, autant faire plaisir aux fous...
Au bouts de quatres mois, il n'y eut plus de clous dans le mur, et mon père me dit:
Fils, tu t'es bien comporté, mais regarde ce mur à présent, il est parsemé de trous... Vois tu, ce mur est comme une personne, chaque clous est comme une insulte et cause une blessure à cette personne. Tu pourras t'excuser auprès de lui, tu lui retireras en quelques sortes un clou, mas comme ce mur, il gardera toujours une blessure en lui. Tu auras beau t'excuser auprès de cette personne, même si il te pardonne, il gardera sa blessure et ne te percevra plus comme avant...
Depuis ce jour, je suis relativement calme ou du moins, essaye. Je perçois les choses dfférement, je sait qu'il ne faut pas s'en prendre à ses amis ou encore à ceux qui peuvent changer. Mais je sais surtout une chose, c'est que ceux que l'on considère comme les plus fous détiennent la plus grande des sagesses.
Hrp: Cette chronique a été inspirée d'un tantra venant du nord de l'Inde, mais j'estime que le message qu'il contient vaut la peine de le manieret le transformer en une chronique. /Hrp
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j'ai bien aimé zooky 
/hrp
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