I) Le virage:


Ankyriel était parti...

Seuls restaient Aetius et Baaldhum aux commandes de ce chariot lancé à pleine vitesse qui fonçait tout droit dans le mur... Ils devaient tout faire pour que la faction fasse obstacle aux multiples causes éventuelles de fin du monde... Bien évidemment, cela ne sera pas de tout repos... La Seven, tout d'abord...Un ramassis de vermines qui avaient succombé au poids de tout les péchés de la terre. L'AGIR, enfin, avait finit par succombé à la pire meace que les Guetteurs ont put identifier...

Apocalypse!

Une entité qui date de la création du monde, et qui sera l'instrument de sa fin...

Aetius regardait l'horizon depuis les remparts de Sigdil, d'où l'on pouvait voir la poussière que soulevait, à l'horizon, les cavaliers de l'Apocalypse...

Aetius pleurait...

De rage...
De tristesse...
De colère...

Il regardait l'horizon, et se mit à marmonner:

"c'est facile, hein!!! Tu nous abandonnes comme ça, à la première occasion venue... Tu crois que nous n'avons pas souffert de réaliser que nous nous étions trompé! Tu crois que je n'ai pas voulu tout abandonner moi aussi!"

Ces yeux s'étaient mis à rougeoyer, et la voix du paladin montait en intensité...

"Mônsieur a décidé qu'il avait échoué! Mônsieur a décidé de quitter le navire dans les rapides, alors Mônsieur se noie...Mônsieur trouve qu'il était orgueilleux! Très bien! Mais était-ce une raison!"

Il s'était maintenant mis à hurler, et dressa le point vers le ciel...

"Et vous! Dieux de pacotilles! Toi, Arthorius, qui m'a banni sur Olympia afin que j'y retrouve mes frères pour mieux les perdre de nouveau! Vous, Zeus, Athéna, Arès et les autres! Vous, qui avez laisser faire CA!!! Alors que vous savez très bien que le monde court à sa perte et que peut-être nous pouvions le sauver!"

Un bruit lointain de foudre sembla répondre à son blasphème...

Le paladin reporta alors sa rage et sa détresse sur son ami disparu...

"Espèce de Salaup!! Tu nous abandonne comme un lache! Tu nous quittes alors que nous avions fait tant de chemin ensemble, alors que nous avions besoin de toi maintenant!"

Comme pris par un spasme, le paladin s'écroula en sanglot sur le chemin de ronde...

"Alors que j'avais besoin de toi, murmura-t'il, comme s'il ne voulait être entendu de personne..."

Comme rendu ivre par le chagrin, le paladin tituba jusqu'au monastère...Un bourdonnement familier parvint à ses oreilles... Heureusement, le médaillon était encore là pour le conseiller...


A SUIVRE

Hrp belle chro !!
J'aurai presk des remords
/HRP

hrp mince je savais pas qu'Aetius était gay.. J'ai rien contre mais il aurait pu me le dire quoi :'(

Non sans blagues, j'ai bien apprécié^^ je te devrais en prendre de la graine et synthétiser mes textes/hrp

hrp: c'était très joli, et j'aime bien les chros joyeuses comme ca, qui détendent et font sourir... /hrp

II) Dans la cellule:

Cela faisait maintenant plusieurs jours que le paladin était enfermé dans sa chambre...
Cela ne faisait maintenant aucun doute que celui-ci ne s'était pas retiré dans sa cellule uniquement pour se remettre du départ d'Ankyriel...


Cela faisait maintenant trois jours qu'un bourdonnement incessant(caractéristique de celle que le paladin appelaitla Dame du Médaillon) était perceptible de l'autre coté de la porte...

Baaldhûm Dum avait bien essayé de rentrer dans la salle, mais la porte en chêne massif était solidement fermée et semblait barricadée...

Cela faisait maintenant trois jours qu'Aetius ne mangeait plus...
Depuis qu'il avait été vu de tous sur les remparts de Sigdil, Aetius s'était retiré dans sa cellule.On ne savait ce qu'il faisait...

Des lueurs verdatres pulsaient de dessous la porte et par le trou de la serrure...
Les GA, dont la curiosité était légendaire, avait d'ailleurs tenté de regarder par celle-ci, mais la clé qui y était enfoncé empéchait toute vision de l'intérieur, et ils avait du se résigner...



Cela faisait maintenant sept jours que le paladin ne s'était pas alimenté...
Arngrim pensait qu'il était grand temps d'agir, car l'Olympien, en refusant encore et toujours de s'alimenter, et ce, de façon de plus en plus frustre(l'on était passé d'un refus poli durant les premiers jours à quelque chose qui ressemblait de plus en plus à un grognement), mettait sa vie en danger...

Et Arngrim avait raison...

Alors que tous étaient, au soir du septième jour en train de rentrer au monastère afin d'y coucher, un cri inhumain se fit entendre...
Le bourdonnement avait cessé...

Course vers la porte de la cellule.

Lumières folles qui s'agitaient sous la porte.

Cris des Guetteurs qui répondaient aux hurlements d'Aetius.

Coups répétés d'Arngrim et Baaldhûm-Dûm contre la porte.

Eclats de bois qui se dispersent dans la salle.

Vison inconcevable pour tous...

Pour Baaldhum, ce fut comme s'il y avait deux personnes dans la pièce, et l'une d'entre elles avait été aspirée par le médaillon que le paladin ne quittait jamais...
Pour Lia, qui était derrière le nain et le géant-mais qui n'avait pas eu à enfoncer la porte-c'était comme si la pièce était redevenu la cellule, et qu'auparavant, il y avait eu autre chose, comme un dessin que l'on avait gommé incroyablement vite...
Pour Shao, c'était des lumières bizarres...

Pour tous, ce fut la vision d'Aetius, allongé sur le sol, la bave aux lèvres, qui s'aggrippa au bras de Baaldhûm à s'en faire blanchir les phalanges, et lui murmura :
"J'ai vu, mon frère..J'ai vu..."
Avant de sombrer dans l'inconscience...


A SUIVRE

III) Coma:

Aetius était dans le coma...Veillé par les autres guetteurs qui se relayaient autour de son lit, ou il gisait, débarassé de son armure(les Guetteurs avaient eu d'ailleurs beaucoup de mal à l'enlever, celle-ci n'étant pas de facture Olympienne).

De temps en temps, son corps tressautait, comme parcouru par une vague d'énergie qui tentait de ranimer son corps, mais rien ne semblait y faire...

Rien ne semblait pouvoir réveiller Aetius, et seule sa très faible respiration prouvait qu'il était encore en vie...


Pourtant l'esprit du paladin était encore actif, depuis qu'il avait perdu connaissance, dans les bras de Baaldhûm...Passée l'incompréhension liée à l'absence de toute perception, Aetius chercha à comprendre ce qui lui arrivait.

Le phénomène qu'il avait vécu dans la chambre était sans précédent, et l'excitation qu'il avait ressentit l'avait poussé à pècher par imprudence...Il ne regrettait pourtant rien.

Et maintenant qu'il était dans le coma, elle pourrait se manifester, elle qui le guidait depuis qu'il était revenus sur Olympia... Ses premières paroles résonnèrent à nouveau en lui...

"Nous étions les Premiers, nous étions les Guetteurs...
Il y avait Dhaaartis le Brave, qui avait abandonné son trône pour affronter son destin,
Jhalv l'Impitoyable, qui redécouvrit la Prophétie,
Dakaborg le Géant, qui tomba sous le poids des masses incrédules,
Et moi Briéçlam la Sage, qui enferma ma propre âme dans la gemme des Temps,
Pour guider les Guetteurs à venir dans leur découverte..."

Elle les avait guidé?! Elle n'avait même pas sus les prévenir de la menace d'Apocalypse, de l'incarnation des sept péchés capitaux sur terre, et de la perte de nombres d'êtres chers...Il s'était enfermé dans sa cellule pour l'écouter, pour chercher, pour méditer...

Il s'était enfermé dans sa cellule pour trouver une solution...Et maintenant, son esprit était enfermé dans ce corps mort, et Briéçlam pourrait de nouveau lui parlé...Il avait bien essayé de communiquer d'âme à âme avec elle, au bout d'une semaine de jeune et de méditation passé à écouter le murmure de l'âme enfermée dans son médaillon, mais la puissance de la volonté de Briéçlam avait ravagé son corps et lui avait fait perdre connaissance...

Il était désormais enfermé dans son corps, tout comme Briéçlam l'était dans la pierre au reflet bleuté...

Il allait pouvoir communiquer avec elle...

Le néant de sensations s'effaça peu à peu...

Au silence, succéda le sifflement d'un vent violent;
A l'absence d'odeur, succéda celle que l'on pouvait sentir après un giganstesque brasier...
Le paladin recommençait sentir contre sa peau le vent brulant qui parcourait le lieux où son âme se trouvait...
Enfin, à l'obscurité la plus totale succéda la vision d'une lande désolé, parsemée de ruines, où l'on pouvait voir une jeune femme qui s'avançait vers lui: Brièçlam!

"Bonjour Aetius"


A SUIVRE

hrp je lis je commente à la fin, donc ne perds pas espoir /hrp

On attends la suite avec impatience

IV) Apocalypse!

"Brièçlam!, lança le paladin, mais où suis-je donc?"

"Mais tu es dans la cité que tu appelles Lardanium, Aetius, tu ne la reconnais pas?"

Le paladin avait beau chercher, il ne voyait aucun point commun avec ce qu'il avait vu...
Les jardins luxuriants proches du Sénat n'avaient rien de commun avec les quelques arbres calcinés que l'on pouvait voir çà et là...
Les murs de la ville était tombés, et la vent brûlant que l'on pouvait sentir n'était qu'une faible réminiscence de celui-ci qui avait noirci les pierres de tailles qui étaient littéralement parsemées dans les rues...Comme si un enfant avait fracassé de ses mains un chateau de sable...

Et soudain il le vit...
A ses pieds, il le vit...Un bas-relief à moitié effrité, où l'on pouvait voir une armée de personnes semblables en tout points qui affrontait une coalition de tout les peuples olympiens.
Un bas relief qui ne lui était aucunement étranger...

Il l'avait vu à Lardanium.


Le paladin, bizarrement(il était dans le coma), sentit ses jambes se dérober sous ses pieds...

"Cela ne se peut, Brièçlam! Tu me mens! Tu joues avec mon esprit! Tu...
-Silence, Aetius! Si tu as tenté de me contacter, c'est bien parce que tu ne savais plus quoi faire, non?"

Le paladin se sentait de plus en plus perdu.

"Evidemment... Mais tu sais, entre l'Apocalypse, le départ d'Ankyriel, et tout le reste, j'étais égaré, je...
- Et c'est pour ça que tu as tenté de parler âme à âme avec moi?
- Oui... Et également pour obtenir des réponses.
-Sur ? lança-t-elle, mutine, comme si elle ne savait pas vraiment de quoi l'on parlait...
- Sur l'avenir! sur l'Apocalypse! Sur la façon de sauver le monde, Brièçlam... Je n'ai pas le temps de plaisanter car je ne sais pas combien de temps mon corps tiendra encore...
- Ton corps? mais tu n'as aucn soucis à te faire... Cela fait deux semaines que tu es inconscient, mais c'est tout...Regarde...

La Première traça un cercle dans le vide, et la poussière commença à virevolter dans l'air. Progressivement le cercle qu'elle avait tracé de ses mains prit forme.
D'autres particules de poussières se soulevèrent du sol et tracèrent un tableau saisissant:

Aetius était allongé sur le lit de sa cellule, en toge, et Sans-Quartier, son apprenti, le veillait et passait de temps à autre un tissu humide sur son front.

"Tu vois, tu n'as aucun soucis à te faire pour ton corps... Elle marqua une pause, inspira profondément, puis reprit: Bon, je suppose que ce que je vais te dire ne vas pas te plaire... L'Apocalypse va avoir lieu.
- Euh...
- Oui, la fin des temps, ou plutôt, la fin du cycle...
- Du cycle?
- Oui, Olympia telle que nous la connaitrons ne sera peut-être plus, mais le monde ne sera pas détruit...
- Et?
- Par contre tout ceux que tu connaissais ne serons plus... Mais cela n'a pas d'importance...
Tu ne seras plus, toi aussi.

Le paladin, était désemparé...
Son image, dans cette dimension particulière était en train de faiblir, et, dans le cercle, Sans-quartier était en train d'essayer de controler les spasmes du Paladin. Il allait abandonner... A quoi bon vivre...

"Les Guetteurs, notre quête...Tout cela n'aura servi à rien...
-Non Aetius, il vous incombe une ultime tache!

L'image du paladin redevint plus nette.

"Que pouvont nous faire? Dis-le moi!
- Es-tu sûr de vouloir suivre le chemin que nous, les Premiers, avons suivi à la fin du cycle précédent?
- Oui, maintenant que le vin est tiré, il faut le boire. Dis-moi ce que les Guetteurs peuvent faire."

Le décor autour de lui était en train de se désagréger lentement, et Aetius, qui l'observait attentivement, se rendait compte toujours plus à chaque instant qu'il était bien sur une Olympia d'après la fin des temps...
Derrière Brièçlam, se matérialisait progressivement d'autres silhouettes, disparates et pourtant formant un groupe cohérent.

Il s'agissait des Premiers Guetteurs.

Il ne restait maintenant presque plus rien autour du paladin et des Premiers.

Brièçlam s'approcha d'Aetius, l'embrassa sur le front, et lui dit:

"Tu devras te lancer dans un dernier combat qui déterminera l'issue de la fin de ce cycle.
Tu devras te lancer dans le dernier combat des GA, l'Armaggeddon..."

Aetius voulut ouvrir la bouche pour poser d'autres questions à Brièçlam, mais il ne commandait plus à son corps... Sa vue se troublait, mais il put entendre très faiblement:
" Ne t'inquiète pas, Aetius, nous serons bientôt réunis, et nous nous reparlerons d'ici peu"

L'instant d'après, le paladin se retrouvai à nouveau dans le noir le plus total, perturbé par quelques bruits...
"Eh, venez voir, il a bougé! Il s'est réveillé!!"
Aetius, reconnaissait la voix de Sans-Quartier, mais le premier visage qu'il vit, lorsqu'il eut enfin la force d'ouvrir les yeux, fut celui de son fier compagnon d'armes, la tête désormais sertie d'une couronne, Baaldhûm.

A ces cotés se trouvait de nombreux visages familier, et d'autres qui l'était moins.

La faction avait grandi, de jeunes gens s'étaient présenté au monastère pour intégrer la compagnie ou les Nordiques.
Orphée avait rejoint les GA.
Il n'empêche...

Aetius se redressa de toute ses forces pour s'assoir.

Il demanda un repas. Il allait falloir qu'il leur parle de la fin des temps et du Dernier Combat qu'ils allaient mener côte à côte.

Il allait devoir leur parler de la Sainte Croisade, de l'Armaggeddon.

FIN DE LA PREMIERE PARTIE

HRP/
La suite arrive sous peu...
J'essayerai de tenir des délais plus stricts la prochaine fois...
Désolé.../HRP

Baaldûm s'était levé tôt ce matin là, sa peau, beaucoup plus pâle que celle des autres membres de sa race, semblait parcheminée par la vieillesse...
Il avait été mis a rude épreuve ces derniers temps, se retrouver a la tête d'une fraternité telle que la leur n'est pas de tout repos...De la fenêtre de ses appartements du château, il voyait parfaitement des troupes s'avancer vers les terres naines, et il n'en savait que trop peu sur elles pour les laisser passer sur les Terres Sacrées du peuple Nain.Il ordonna le blocus des terres naines car il présentait de sombres moment a venir...

... Et il avait raison...

Il se prépara a acceuillir les émissaires de cette "armée rebelle", en fait un ramassis hétéroclite de gens qui semblaient déterminés a éradiquer le mal sur Olympia...

"Stupidités!!! On ne peut éradiquer le mal!!! L'équilibre qui régit l'Univers en serait affecté, et ce serait la fin des Temps...Nous pouvons lui infliger une défaite, mais pas l'éliminer...

Ils n'avaient pas compris...Ils ne pouvaient se rendre compte de toutes les batailles qui eurent lieu par le passé pour aboutir a celle-ci, ce n'était qu'une série d'escarmouches auparavent, mais Sigdil l'Erudite devait déjà faire face a des assauts journaliers, et l'ambiance de la ville était mausade...

Il se tourna et contempla longument la couronne posée sur le cousin a côté de son lit.Il avait du mal a se faire respecter des autres Nains,il n'était pas persuadé d'avoir "ce qu'il faut" pour être le Roi de ce Peuple qu'il chérissait tant...
Il but a sa gourde, prélevant le strict nécéssaire de sang pour qu'il se sente dans un état normal, et la reboucha, il allait devoir tuer une fois de plus pour pouvoir survivre...Sévèrina croisera forcément un jour son chemin et il tiendrait sa vengeance...

Il s'approcha du râtelier d'armes au mur et enfila son armure ouvragée de runes, elle lui avait, de nombreuses fois,sauvée la vie.
Il salua respectueusement la hache de Cristal reposant sur le piedestal au centre de la piece servant d'entrée a ses appartements puis sortit.

Il sortit de la ville pour rejoindre les limites du Territoire ancestral de son peuple.Il rejoignit les guerriers venus s'assurer de la bonne conduite de leurs "visiteurs".

Et cela dérapa...Le Patriarche, un Elfe Noir, le frappa, déclenchant les hostilités entre les deux bandes armées qui se faisait face... Certains des membres de l'armée rebelle avaient les coeur pur et de bonnes intentions, mais d'autres, les elfe noirs, n'étaient là que pour lui...

C'est certainement l'assassinat le plus meurtrier qui eu lieu, puisque l'armée rebelle dut se replier face a la fureur vengeresse des Nains...Mais les assassins avaient réussit leur coup, Baaldûm gisait au milieu du champ de bataille, le corps encore parcouru d'arcs d'énergie magique qui avaient provoqué sa mort...

Il fit un étrange rêve avant de se réveiller dans ses appartements, il avait vu Dhaartis le Brave, un des premier Guetteurs, et celui-ci lui révella sa tâche, son rôle...

" Ton époque touche a sa fin, tu dois assurer a tes descendants qu'ils soient libres sur leur terres et non asservis par les Nihilistes, les forces du Chaos... Pour cela, tu vas devoir mener a bien un entreprise plus périlleuse que jamais, tu vas rassembler autant de combattants que possible, et vous allez lancer l'ultime assaut contre les agents de l'anarchie, vous devez réussir a leur faire goûter a l'amer sensation de la défaite, nul ne devra pouvoir se gausser de vos actes, l'Histoire s'écris en ce moment, et elle est écrite par les vainqueurs...
Va...Va et trouves le Porteur, trouve celui qui sera digne de combattre avec le Croc de Glace, il sera notre champion durant le combat...

Il s'éveilla et tourna vers le ciel gris un regard triste...

" La mort prendra encore nombre de mes amis et frères avant la fin du Combat, je dois leur faire savoir...
Il se leva avec hâte, courant presque jusqu'a la salle où l'on redigeait les messages partant de Karaz-A-Gorog jusque partout sur Olympia, et commenca a rédiger une missive:

"Mon cher Frère Aetius,..."