Il fait jour, je le sais , je le sens, car les bruits de métal qui s'entrechoquent
et les souffles des boules de feu retentissent a nouveaux.

- Attention !!! Vous allez m'écrasez !!

Voici les réflexions qui sont sorties de ma bouche le plus souvent ces derniers temps.
J'ai l'impression d'être retourné dans les cavernes de mon enfance.
Entouré de toutes les races existantes, je ne vois plus la soleil.
Je crois n'avoir jamais vu autant de monde si proche de moi, et cela ne me rassure pas pour autant.

- Anéantissez moi ce démon !!!

Une voie puissante, recouvrant les tumultes des combats, se fait entendre au loin.

Je la reconnais, c'est le commandant lui-même, le grand Airik, qui ferait frémir même les morts,
qui donne ses ordres.

Regroupés avec mes proches, nous attendons que ca se calme un peu, derrière les tours
formées par les fiers défenseurs de la Cité.
A nouveaux, les jaillissements de feu et de glace se font concurrence, et pendant un court instant,
ma vue m'abandonne, mais ni le froid, ni le feu ne m'ont atteint cette fois-ci.

- Zola !! Lève toi ! Sauves toi dans la ville !

Je crie de toutes mes tripes pour qu'elle réagisse et se protège.
Suis-je un monstre pire que ceux que l'on tente de repousser, pour avoir amené ma soeur dans ce brasier.

Ma petite Zola se lève tant bien que mal, et cela malgré la paralysie de ses membres gelés.
Deux larmes se font la course pour se rejoindre a l'extrémité de ma courte barbe.

Je ne suis pas a ma place. Nous ne le sommes pas. J'ai toujours voulu aider les autres, mais j'ai le présentiment que ce sont mes proches qui souffrent, et le village natal de notre amitié a été détruit par des Ombres bien nommées.

Le vent emporte soudain mes larmes qui s'enfuient dans ces terres usées par les pas. La douleur de ces marches frénétiques, pour protéger ces deux joyaux de la civilisation, refont surface.

Nous sommes trop jeune. Je pensais que la guerre nous apprendrait a survivre, mais mes responsabilités me semblent bien lourdes a porter tout d'un coup. Que nenni, j'ordonnerai a mes troupes, si succintes soit elles, de rentrer a la maison.

Un rayon de soleil perce a travers l'épais brouillard, et se pose ironiquement sur mon lourd ceinturon qui montre mes grades.

La fierté qui s'était quelque peu evanouit, resurgit comme je brandis la hache de mon père, et je me jure de ne pas décevoir mon chef, que dis-je, mon Roi, Airik, qui m'a appris plus en ces instants, que je ne le saurai jamais.

- Pour Airik et Sigdil !!!!!

Et ce fut la dernière charge de ce jeune nain dans cette bataille.


Logan.

Logan, la réalité est dure. Je suis sur Olympia depuis fort longtemps, affrontant les batailles les unes après les autres sans rencontrer la mort et, tout comme toi, je ressens la souffrance de mes proches. Cela faisait un petit bout de temps que nous étions côte à côte toi et moi, mais le combat ne nous a jamais laissé le temps d'échanger quelques mots. J'espère que nous pourrons mieux nous connaître, en des temps meilleurs. A bientôt je l'espère !

hrp/chapeau l'artiste .
passe le bonjour a Zola de ma part \hrp

Comme te l'as dit Mars, la réalité est parfois brutale. Comme toi, je me suis soumis au Roi Airik pour l'aider dans sa tâche, me dévouant corps et âme à son être. N'écoutant que ses paroles, je me suis engagé dans la bataille qu'il menait avec ses hommes. Mes nouvelles responsabilités m'ont alors jouée des tours, je me suis vu trop fort, trop puissant pour mourir et la réalité m'a rattrapé. Au détour d'un bosquet tout près de Lardanium est surgi un géant, me sentant en sécurité avec un être de ma race, je n'y prêta aucune attention et ce fût la plus grande erreur de ma vie, il me donna la mort...

Il est vrai que l'idée de se battre auprès de quelques personnes que se soit, aussi grande soit elle, peut apporter la gloire mais la déchéance également. Je ne suis pas depuis très longtemps sur Olympia mais suffisament pour m'y trouver en confiance car je n'ai pas souvent affronter la mort mais j'y est appris une chose très importante: Aussi fort que tu sois, aussi grand, aussi puissant, aussi intelligent, aussi sur de toi que tu sois, tu n'est jamais à l'abri de la mort.

Quelques fois, battre en retraite n'est pas un signe de faiblesse mais plutôt de grande sagesse car comme tu le dit nous sommes trop jeune pour mourrir et la fuite est parfois la meilleure des solutions si nous tenons à la vie. De plus, la vie de ta petite soeur est en jeu. Et la famille, encore plus sur Olympia, est une chose sacrée car nous savons tous que c'est réellemnt la seule chose que nous possédons alors essayons de ne pas la perdre par un sursaut d'orgeuil...

La décision de partir du front de Sigdil n'appartient qu'à toi mais sache que je reste persuader que les personnes intéressées sauront que tu étais présent et que tu as combattu à leurs côtés. Cependant n'oubli pas que la FFS compte sur toi

Longue vie à tous

Le roi comme certain l'appelle, le grand guerrier pour d'autre, viens de sombrer dans l'obscurité après la grande démonstration des très grands pouvoirs d’ARES dieu de la guerre. Ce dernier ayant fait part temporairement part de ces pouvoirs a une elfe ! Oui cet être sans grand intelligence !! celle ci ayant envoûté notre valeureux guerrier par un sort dont seul ARES et cette Elfe connaissaient la formule. Même nos plus grand mage ne pouvaient inverser la tendance. Un jour Airik tu regrettera de servir le mal !

Pour certain, oui l’obscurité car on ne peut qualifier autrement un peuple voulant envahir une ville par la force et la violence donc la Guerre. Et c’est pour cela que tout Olympia ne comprend pas le choix de son dieux ZEUS qui soutient le mal dans toute sa grandeur !

Allez nous le peuple d’Olympia allons donner notre aide a la cité de Sigdil afin que ces êtres
Repartent vers leur terres sans vies ! Nul n’a le droit de venir ainsi envahir cette cité.

Et maintenant un seul message A la vie A la mort pour Olympia

Misérables cloportes,

un jour vous comprendrez l'erreur que vous êtes en train de faire, votre confiance aveugle vous y guidera soyez en sûr,

ce jour là il sera trop tard pour sauver vos âmes...

Jadis il fut un Grand guerrier qui sauvait des vies.
Il etait aimé de tous, et sa puissance n'égalait que sa sagesse.
Cependant, tel la plume qui pourfend l'épée, le charme brise l'armure de métal et le bouclier du plus Fort des Chevaliers.

Encore une fois, je vous salue, ami d'un instant, chef d'une bataille.
Triste bien sûr, a été mon réveil. Alors que je savourais le calme de la nature, mon cauchemar réapparut a mes yeux: Mon roi etait mort, et Sigdil brûlait.
Non, en effet, ce n'était qu'un mauvais rève. Du haut de toute ma petite taille, j'apercevais l'éclat du soleil levant se posant sur les immenses tours de la ville libre.

Mais pire que la mort, la traîtrise s'est insinuée dans votre coeur.
et je suis persque heureux d'être mort sous vos ordres, que sous votre main.

Adieu, et que nos chemins ne se croisent jamais, car nos armes seraient du voyage également.

Je vous avais pourtant mis en garde : en quittant nos terres éloignées, nous avons diviser nos forces, et voici le résultat : les plus courageux sont arrivés sur un front de bataille où il faut être parfaitement entraînés pour pouvoir survivre. Les plus sages (les plus peureux diront certains) sont restés bien éloignés des combats, pensant éviter ainsi des combats inutiles, ce sont fait massacrer par des ombres sortant de nul part.

Dorénavant, ceux qui sont au front s'apercoivent d'une chose : ils ne sont peut-être pas aussi forts qu'ils pouvaient le penser en arrivant. Ceux qui sont restés au camp d'entrainement poursuivent la guerre contre les ombres de la haine. Ces deux groupes ont donc appris quelque chose, et doivent bien retenir que c'est en restant groupés que l'on peut s'en sortir et non en se séparant.

Nicotei