Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - Lak'nos, histoire d'une malédiction
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Lak'nos, histoire d'une malédiction
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Dernière réponse le 19/08/2004 à 15:23

nain Par Mortimus  le 01/01/1970 à 01:00

Cette histoire est celle de Mortimus et de Lak'nos, racontée par le père de Mortimus.


Ainsi donc il est revenu à la vie. Ainsi donc, le sceau a été brisé…


L’histoire que je vais vous conter est mon histoire, celle de Gal ‘ash Grimdel, père de Mortimus Grimdel, roi des montagnes d’Endora.

J’étais encore un jeune nain quand je rencontra pour la première fois ce qui allait devenir le fardeau de notre famille.
Mon père, Glamus Grimdel me contait souvent cette histoire quand j’étais enfant. Celle d’un démon nommé Lak’nos, le démon de la nuit et des ténèbres. Plus je grandissais et moins je croyais en cette légende que me racontais mon père.

Pourtant, un matin d’hiver, alors que j’allais chercher du bois pour nourrir l’âtre de notre chaumière, je fus étonné de n’entendre aucun bruit dans la forêt de SylveNoir. D’habitude à cette heure ci matinale, les oiseaux sortaient de leur torpeur et commençaient à gazouiller comme pour remercier Mère Nature de leur donner un autre jour de vie.
Restant sur mes gardes, je m’enfonçais dans la forêt afin d’y trouver quelques arbres à couper.
Plus je m’enfonçais dans cette forêt, plus la lumière avait du mal à passer.

J’étais courageux mais pas téméraire à l’époque et une fois le travail accompli, je me dépêchais de revenir auprès de ma femme et de mon fils.

Contant l’histoire à Isuldin, ma femme, je me rendais compte que j’avais agi en lâche.
Comment moi, un nain, avais-je pu fuir ?

Cette histoire me tracassa pendant une semaine entière. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil.

Pour la première fois de mon existence j’avais peur.
Peur de quoi me dirais-vous. Eh bien à dire vrai, je ne le savais pas moi-même. L’ombre qui planait sur la forêt m’avait effrayé.

Pourtant, je reprenais le dessus sur ma peur jour après jour. Et au bout d’une semaine, je me décidais enfin à revenir dans cette forêt.
Un matin, je pris mes affaires, embrassa ma femme et alla voir dans la chambre de mon fils. Il dormait à poings fermés le bien heureux. Je souriais.

Puis, je pris le chemin de SylveNoir. Ma femme, au perron de notre chaumière agitait un mouchoir blanc, des larmes perlaient sur son doux visage. Je fus pris d’un doute à la vue de cette image.

Avais-je raison de repartir dans la forêt ?
Mon devoir de mari n’était-il pas de rester auprès de ma famille ?
Et s’il m’arrivait quelque chose ?


Secouant la tête comme pour faire sortir toutes ces idées, je tournais les talons et me dirigeais vers SylveNoir.

Arrivé à la lisère de la forêt, je marquais un temps d’arrêt. Puis je repris mon chemin.

Voilà une semaine que je n’étais pas revenu dans cette forêt et cette dernière avait déjà changé d’aspect. Des ronces avaient poussé, les fougères envahissaient un chemin autrefois dégagé.

La lumière autrefois abondante se faisait rare. Le vent se mit à souffler.

Bizarre me dis-je alors

En effet, l’atmosphère pesante que j’avais ressentie lors de ma dernière venue avait disparu. Mieux ! Les oiseaux chantaient.

Je me mis à rire.

Sot que je suis. J’ai eu peur du silence.

Je me décidais alors à rentrer chez moi.

Une fois de retour, je racontais ma GRANDE peur à ma femme. Nous rîmes tous deux de bon cœur devant les yeux éberlués de notre fils.

Les semaines s’écoulèrent. Aucune ombre ne vint ternir le tableau. Je passais alors les plus belles semaines de mon existence auprès de ma famille.

Pourtant, un soir, alors que j’étais auprès du feu, en train de fumer la pipe, on frappa à ma porte.

Grimdel ! Ouvre ! C’est urgent !

Je me leva alors de mon siège et alla ouvrir la porte.
Devant moi se tenaient les notables de la ville.

Qu’y a-t-il de si urgent pour que je ne finisse pas ma pipe tranquillement dis-je alors

Vil’hak est mort me répondit alors le chef de la ville que je n’avais pas encore aperçu.

A ces mots, mon sang se glaça, comme si je savais ce qui allait être dit.

La forêt dis-je alors.

Comment le sais-tu me rétorqua alors villageois.

Je laissa alors tomber ma pipe. Mes membres se figèrent.

Je repris mes esprits en fit entrer mes camarades dans mon humble demeure.

Asseyez-vous et racontez moi ce que vous savez dis-je alors que je m’apprêtais à servir un alcool fort à ces nains qui semble-t-il en avait bien besoin.

Le chef du village prit alors la parole.



nain Par Mortimus  le 01/01/1970 à 01:00

Comme tu le sais Grimdel, les fêtes en l’honneur de Njordr ont lieu dans une semaine je continuais à l’écouter n’osant le couper.

Et donc, nous avons envoyé Vil’hak dans la forêt de SylveNoir afin qu’il nous trouve des arbres robustes pour faire le bûcher.

Le récit continua quelques minutes et je me permis d’intervenir.

Viens en au fait, je te prie

j’y arrive, j’y arrive continua-t-il

A l’énoncé de son histoire, je failli choir. Le chef raconta comment il avait recueilli Vil’hak, l’un des plus puissants guerriers de notre village, les bras en sang, le visage tuméfié et comment il avait recueilli ses dernières paroles.

Prenant un visage grave il dit alors

Et ces dernières paroles furent « La forêt ! Cette chose ! » Puis il s’éteignit dans un dernier râle.

Tout le monde autour de la table serra les mâchoires. Des cris retentirent de part et d’autres.

Nous devons y aller ! dirent les uns !
Mais nous ne savons même pas de quoi il retourne répliquèrent les autres.

Le ton monta et je fus obligé de les rappeler à l’ordre, leur rappelant qu’il se trouvait dans ma chaumière, près de la chambre de mon fils.

Au moment ou je prononçais ces paroles, Mortimus entra dans la pièce, les yeux encore tout embrumé.

Que se passe-t-il père ? Que font tous ces gens chez nous ?

Ce n’est rien mon fils, va te recoucher lui répondis-je alors


Je priais alors mes convives à quitter les lieux afin de ne pas trop perturber la quiétude de ma chaumière.
La discussion continua alors à la taverne.

Apres quelques pintes de bières, je décidais de monter une équipe de fiers guerriers pour aller voir ce qu’il se passait dans la forêt.

Rendez-vous fut pris le lendemain matin.


Au matin donc, après avoir avisé ma femme de la situation, je me dirigeais vers le centre du village ou m’attendais déjà Afferson, Krieg et Jomär, trois guerriers des plus aguerris.

Nous fîmes alors provision de nourriture et d’eau et nous nous dirigeâmes vers SylveNoir.

Nous frayant un chemin tant bien que mal parmi les ronces et les fougères, nous arrivâmes à une clairière aux alentours de midi.
Nous decidâmes alors de nous reposer un peu tout en savourant un repas.


Ce sentiment de malaise qui m’avait envahi quelques mois auparavant refit surface.
On nous épiait, j’en étais sur mais je ne voulais pas alerter mes camarades.
Je restais donc sur mes gardes tout en engloutissant mon repas.

Tout à coup, les feuilles se mirent à tournoyer autour de la clairière. Puis formant un amas assez compact, elles se dirigèrent vers Jomär.
J’eu à peine le temps de lui sauter dessus pour lui sauver la vie qu’un autre amas de feuilles frappa Afferson de plein fouet.

Nous primes alors nos épées, prêts à en découdre avec cet ennemi pour l’instant invisible.

Je me retournais alors vers mon ami pour me rendre compte que ce dernier gisait inanimé. De multiples blessures parcouraient son corps.

Qui es-tu et que nous veux-tu ? dis-je alors

Je n’eu pour réponse qu’un bruissement de feuille et un craquement d’arbre.

Attention mes amis, ça approche dis-je en regardant les deux autres guerriers.

Leur visage était grave.

Puis j’entendis un râle derrière moi, je me retourna et je vis Krieg, aux prises avec un être difforme.

Je m’apprêtais à lui foncer dessus lorsque j’entendis une voix dans ma tête

Qui es-tu pour vouloir m’affronter ? Qui es-tu pour venir dans MON domaine ?

L’ombre derrière Krieg semblait sourire.
Puis elle serra son étreinte sur la gorge du malheureux.
Les yeux de Krieg se gonflèrent de sang et on entendit sa nuque se rompre.

Il ne restait plus que Jomär et moi. Ce dernier, se dirigea vers l’ombre en hurlant.
La lame de son épée traversa le corps de l’ombre de part en part

Je t’ai eu !!! cria-t-il alors.

L’ombre se dissipa et Jomär se retourna vers moi. On pouvais voir un sourire de fierté illuminer son visage. Mais son visage prit alors une expression de douleur. Il lâcha l’emprise de son épée et son regard se dirigea vers son ventre.

Une lueur noire sortait de ce dernier.



nain Par Mortimus  le 01/01/1970 à 01:00

Puis Jomär me fixa de nouveau et dit dans un souffle Fuis mon ami, fuis pour ta vie !

L’ombre se reforma derrière le corps de mon ami et dit alors Qui a eu qui ?

Mes doigts se crispèrent sur la paume de mon épée.

Mais qui es-tu ? Et que veux-tu à la fin criais-je alors

Il est vrai que je ne me suis pas pressé La voix semblait venir de partout.

Mon esprit s’embruma. Mes forces me quittaient.

Je suis Lak’nos, démon de la noirceur et de la destruction et tu dois être Gal’ash Grimdel

Comment ce démon connaissait-il mon nom ?
Et que diable venait-il faire dans notre région ?

Tu te pose bien des questions maître nain. Et je vais répondre à ces interrogations. Tout d’abord sache que je sais beaucoup de choses, bien plus que tu ne pourras en apprendre durant toute ta vie. Ensuite, ce que je suis venu faire ici, et bien je garderais cette réponse pour moi. Mais je suis bien rustre, je ne me suis même pas dévoilé sous ma véritable identité.

A ces paroles, l’ombre disparut.

Derrière toi, maître nain

Je me retournais alors et je découvrais pour la première fois le démon sous sa véritable apparence.
Des yeux de renards, d’un jaune intense, des griffes a la place des ongles. Une taille qui n’était pas bien plus grande que la mienne mais ce démon avait le dos courbé. Des bras fins et élancés.

Voilà donc ton vrai visage, démon criais-je alors

Tu m’as l’air bien sur de toi, Gal’ash dit-il d’une voix narquoise
SAIS-TU AU MOINS QUI JE SUIS ? la voix se répercutait dans toute la forêt.

Tu es celui qui va mourir aujourd’hui lui répondis-je calmement pour ne pas lui montrer qu’au plus profond de mon être j’étais effrayé.

Puis Lak’nos se mit à rire. Il me toisa de son regard profond puis il dit Eh bien soit, montre moi ce que tu sais faire

A ces mots, le démon se jeta sur moi. Il m’attaqua avec une vitesse telle que j’eu du mal a l’esquiver. Je resserrais alors l’étreinte sur le pommeau de mon épée.

Puis je me mis a courir dans sa direction. Il m’esquiva à son tour mais je réussi quand même a l’égratigner.
Impossible dit-il alors.

Je te présente Aludril, mon épée dis-je alors cette épée qui fut forgé par mère nature

Ainsi donc, ce combat n’en sera que plus intéressant dit alors Lak’nos tout en souriant.

Je m’apprêtais a mener le combat le plus long de ma vie. J’avais raison. Le combat dura quatre jours et quatre nuits sans qu’aucun de nous deux ne prenions l’avantage sur l’autre.
Bien sur, nous fûmes tous deux blessés. Mais alors que les blessures me rendaient plus faible, celles de mon adversaire semblaient le ravir.

J’étais extenué, mais je me devais de continuer.


Au matin du quatrième jour et alors que mes forces me trahissait, je me rendis compte que durant notre combat, Afferson s’était relevé et avait fui.

Sans doute est-il allé cherché des renforts pensais-je alors.

Renforts ? Quels renforts ? dit alors Lak’nos.
Voyant mon étonnement il continua Je te rappelle que je peux lire dans ton esprit maître nain.

Ainsi donc il était au courant. Je me devais de le retenir jusqu'à l’arrivée des renforts.

Notre combat continua. Je sentais que je n’en avais plus pour longtemps.
Une attaque, peut-être deux, voilà tout ce que je pouvais faire.

J’avais perdu espoir. J’allais perdre la vie. Mes pensées allèrent vers ma famille, ma femme et mon fils.

Quelle jolie famille. Une fois notre combat fini j’irais m’occuper d’eux. dit alors le démon.

A ces mots, mon sang bouillonna.
Comment pouvait-il mêler ma famille à tout cela ?

Démon, ton existence prendra fin aujourd’hui dis-je en me relevant.

Je lançais mes dernières forces dans la bataille. Mais le démon m’esquiva et je tombais à terre.
Je n’avais plus de force pour me relever. De larmes commencèrent à perler sur mes joues.

Lak’nos s’approcha de moi, puis me prit la tête avec un main tandis qu’il brandissait l’autre, prêt à me donner le coup de grâce.

Tu fus un vaillant adversaire, Gal’ash. Les souffrances de ta famille seront courtes, fais moi confiance. dit-il alors en souriant.



nain Par Mortimus  le 01/01/1970 à 01:00

Je vis son bras fondre sur moi. Mais il s’arrêta net. Je remarqua alors qu’un carreau d’arbalète s’était figée dans son épaule droite.

Lâche-le démon, lâche-le immédiatement je reconnaissais la voix. C’était celle de Kalim, le maître archer du village.

Puis d’autres voix vinrent se mêler a celle de Kalim.

La village…..ils sont la dis-je alors tout en crachant mon sang. je t’avais prévenu Lak’nos, tu ne peux gagner


Le démon se releva et rugit Je vous écraserais tous, vermines, TOUS, jusqu’au dernier !

Tout le village se rua vers le démon. Je me relevais avec peine et j’aperçu quelque chose qui me fit sourire. Les Anciens étaient venus eux aussi. Les Anciens qui détenaient la magie de Njordr.

Ils se disposèrent tout autour de la clairière. Soudain je compris leur stratagème.
Un stratagème qui était lourd de conséquences. Ils avaient envoyé le village entier pour détourner l’attention du démon, le temps qu’ils préparent leur rituel.

Chacun commença alors à incanter.
Le temps était limité tant la différence de puissance entre le démon et l’ensemble du village était flagrante. De nombreux corps gisaient maintenant dans la clairière. Les derniers encore debout résistaient tant bien que mal.

Je décidais malgré mes nombreuses blessures à jouer le jeu des Anciens et à retenir le plus possible Lak’nos.
Nous échangeâmes à nouveaux quelques coups mais je vis avec effroi que le démon n’avait pas faibli.

Tous mes espoirs reposaient alors sur les Anciens et leur rituel.

Puis je tomba à nouveau, à bout de force. Lak’nos s’approcha une nouvelle fois de moi. Dans un dernier élan, je réussi à lui planter Aludril dans les flancs.

Le démon poussa un cri horrible.

Puis, les yeux injectés de sang, il me fixa et dit Ta vie s’arrête ici


Soudain, la terre se mit a trembler, l’incantation, touchait à sa fin.

Des traits de lumière vinrent frapper le démon.

Impossible ! cria-t-il

Soudain on me prit par les épaules et on m’emmena hors de la clairière.
JE me relevais une nouvelle fois, hors du champ de bataille. Je vis au sol, le symbole du pentagramme. En son centre Lak’nos, se tordait de douleur.

Puis un cristal de lumière vint l’englober. S’en était fini de lui, fini de ce démon.

Le cristal emprisonna Lak’nos qui continuait de crier Un jour je reviendrais ! Un jour j’aurai ma revanche !

Puis le cristal devint boule de lumière.

Un Ancien s’approcha alors de moi et me dit nous avons du effectuer un ancien rituel mais pour le parfaire il faudrait sceller le démon dans un corps robuste

Prenez le mien dis-je alors.
C’est malheureusement impossible. Ton âme et celle de tout ceux qui ont combattu aujourd’hui est souillé par le démon. Il serait trop dangereux de le sceller dans ton corps ou dans celui d’un guerrier ici présent.

Mais alors….dans quel corps allons-nous le sceller ? demandais-je avec angoisse me doutant de la réponse.

Il n’existe qu’un seul réceptacle pour le démon….et c’est …..ton fils, Mortimus dit-il alors d’une voix grave.

Je sentis alors le sol se dérober sous mes jambes. Mais je devais accepter la réalité telle qu’elle était. Seul Mortimus pouvait recevoir ce sceau.

Puis on fit venir Mortimus qui ne savait pas ce qu’il arrivait. Il me regarda, les yeux en pleurs
Papa, que vont-ils me faire, papaaaaaaaaaaaa !!!!!!

Je ne pouvais retenir mes larmes. Mais c’était la seule issue possible pour en finir une bonne fois pour toute avec ce démon.

On amena donc Mortimus au centre du pentagramme et on scella le démon a l’intérieur de son corps.

Tout ce qu’on peut faire pour lui me dit alors l’Ancien c’est lui ôter une partie de sa mémoire de façon à ce qu’il ne se rappelle pas cet événement.

Faites donc répondis-je avec abnégation.

Les semaines qui suivirent cet evenement je ne pouvais pas poser les yeux sur mon fils. Je le faisais souffrir, j’en suis conscient maintenant mais revoir son visage me rapellait trop quel fardeau il aurait à porter.
Pourtant il réclamait mon amour. Je le voyais tous les jours. Ma femme souffrait aussi de cela. Elle pensait que je l’avais trahis en désignant notre fils comme porteur du sceau maudit.

Je n’eu jamais la force ni le courage de lui avouer la verité.

Quelques mois après, je décidais de partir seul, en ermite, afin de me retrouver, afin d’être en paix. J’avais conscience que je fuyais la réalité mais elle était trop lourde à partager.

Un matin, je pris mes affaires et laissait pour seul mot sur la table de la cuisine Je suis désolé de tout le mal que j’ai pu vous faire. Pardonnez-moi.




Voilà mon histoire, je te la lègue mon fils. Tu connais tout sur ton passé. Sois fort, résistes. Je t’aime.



nain Par Chevalier Kidini  le 01/01/1970 à 01:00

Bon puisque personne ne semble répondre à cette merveilleuse chronique si bien écrite (avec toute fois quelques invraissemblances dont j'ai fait part à l'auteur ) je me permet de féliciter l'artiste bien que ce ne soit pas mon genre de répondre aux chroniques que je lis en général. Cela déguisera en quelque sortes un up pour éviter que cette fabuleuse histoire ne tombe dans l'oubli d'olympia avant que suffisemment de personnes n'en aient pris connaissance pour la faire survivre à l'esprit.



nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/01/1970 à 01:00

Bien joué, Kid', au premier passage, je l'ai raté...Mortimus, magnifique....



olymp Par Raziel le Vampire  le 01/01/1970 à 01:00

Bah moi je l'avais déjà lu et j'en avais déjà parlé sur MSN alors...



nain Par KardanAmath, l'Anarchitecte  le 01/01/1970 à 01:00

C'est vrai trés sympa ^^
Bah c'est bien tous ces changements ^^ ca fait plaisir, puis quand c'est bien fait en plus, j'avoue que parfois j'ai presque voulu arrêter, mais aprés coup ca passe trés bien ; -)