Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - Douloureux passé
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Douloureux passé
Topic visité 7 fois
Dernière réponse le 14/09/2004 à 19:47

geant Par Odin  le 09/11/2004 à 19:01

(Allez...Go pour une nouvelle chro )

Retournons dans le passé. Oui. Le passé de Odin. Oui voilà, quand elle est née, comment a t-elle apprit la faux. Oui c’est ça. Bon je commence à me répéter. Peut-être cela n’intéresse personne ? Et bien ! Vous n’avez pas qu’à lire cette chronique. Bon. On connaît pas les dates a cet âge là. Et Odin, vu qu’elle fut orpheline, n’a jamais su sa date de naissance.
C’est par-là…

Odin naquit la nuit. A minuit. Déjà, cela portait à confusion. C’est le seul détail dont elle se souvient. Donc sa date de naissance est minuit. C ‘est Ethra, une fort joli géante qui portait ce bébé aux yeux ébène. Mais, a l’heure de sa naissance, tout ceci se fut mal voir. Une personne ayant assisté à l’accouchement le savait, et le répéta à un autre. Celui-ci le répéta à un autre, puis un autre. Sans le vouloir, le peuple des elfes avait inventé le bouche-à-oreille. Donc, ce qui aurait du arriver arriva : L’enfant était seule. Personne ne l’approchait à par sa mère. Son père était un humain, venu d’où ? On ne sait pas. Elle n’en a jamais entendu parler. Il disparut pendant la guerre des elfes. Il laissa une mère avec des fils et des filles sur Olympia. Seuls.
Quand un jour, un jour de pluie et d’orages, vint une troupe d’elfes aux yeux violets prunes et aux cheveux ondulés blonds. Les 8 enfants se blottirent au fin fond de la pièce, la bougie presque éteinte leur dévoila la moitié du visage. Tous tremblaient. La bourse d’un des elfes se faisait entendre jusqu’au fond de la pièce. Il voulait acheter un ou deux enfants. La mère refusa…
« Vous n’aurez jamais Odin, Elfes ! Nul, j’ai bien dis nul ne va l’approcher !
-C’est ça ou la mort cherrr madameeee….. La voix rauque de l’elfe raisonna dans la salle.
Une silhouette épaisse s’était jointe au groupe, et cette voici, c’est une voix tonitruante qui était sortit de l’énorme bouche :
« On a la bonté de vous l’acheter.
-Vous ne comprenez rien ! ! Je préfère me sacrifier pour…
Une lame transperça le corps d’Ethra. Odin, horrifiée, se cacha derrière les autres. L’elfe a la voix rauque gémit un rire.
-Or…dures… »Etait le dernier mot de sa mère. Elle s’écroula. Morte. Pour bien s’assurer de sa mort, une elfe a grand nez et aux grands yeux verts coupa la tête de la Géante et donna un coup de pied dedans. Malchance. Heure de traumatisme. La tête de sa mère arriva en roulant doucement aux pieds d’Odin. Elle ne put crier. Elle ne put parler. Elle ne put pleurer. Un sentiment étrange envahit l’âme de l’enfant. Sentiment de haine et de tristesse mélangés. Une brume noire se s’infiltra, peu a peu, dans l’âme si innocente et si pure de l’enfant.
« La moitié des enfants suffira. Tuez les autres. » L’énorme elfe prit 3gamins, et tua les 4 autres. Cris. Hurlement. Sang. Peur. C’est finit. Les lèvres d’Odin remua. De colère et de haine. Ensevelit sous les cadavres de ses frères et sœurs. Une odeur de cadavre s’éparpilla dans la pièce. Et non. Ce n’étaient pas finit. Les elfes s’empressèrent de mettre le feu à la maison. La fumer arriva dans les narines de l’enfant, et la firent pleurer malgré elle. Elle voyait floue. Une quinte de toux s’entama. Les poumons d’Odin ne fonctionnaient pas normalement. De la fumée pénétra dans ces derniers. Elle rampa à la sortie. Les yeux en feux, la bouche sèche. Les mains parsemées de cendres, d’objets en bois ou autre. Le bois craquait sous son corps léger. Entourée de flammes. Le sentiment de croire à la mort, de tout recommencer. L’envie intense de sortir. Vite. Son pied fut pris au piège, et vite, elle prit la cape de sa mère pour la mettre dessus. Il s’en étais fallut de peu. L’incendie redoutable était monter à l’étage. Les jouets des enfants brûlèrent. Les si beaux dessins d’Ethra, portraits de son mari et de ses enfants, furent réduits en cendres. Tout avait cramer. A pars un cœur et une âme en peine, alors qu’elle était encore a l’intérieur de son corps. L’enfant avait réussi à rejoindre la sortie. L’herbe se plaqua à son visage gris. Le vent se faufila parmi les nombreux contours de son corps. Sa respiration se fit courte. Rapide. Puis lente. Et vite.
« Survivre » était son premier objectif. Plusieurs blessures du plancher avaient blessé la petite fille. Souillée. Recouverte de sang, de cadavres et de cendres.

Pendant qu’elle entendait ses frères et sœurs se faire torturer, un elfe renégat esclave de ses congénères chantait un air a la flûte de pan.
L’enfant, en même temps que d’écouter l’elfe, ferma les yeux. Ne voulant pas voir sa maison cramer. Elle rampa un tout petit peu plus…Pour voir des cadavres et des armes.

***
Le lendemain, la pluie réveilla l’enfant. Un décor peu joyeux avait été offert à Odin. Elle se releva. Un mal de crâne redoutable avait pris emprise de sa tête. La géante trouva une rivière, et après s’y être baignée pendant toute la journée, regarda la lune.
« Un jour, quand je vais être heureuse… Cette lune je vais la contempler, et la marquer d’un temps nouveau…Et d’une vie nouvelle. Je pense qu’il me reste du temps pour dire ça. »
Le surlendemain, elle franchit les lignes d’Olympia pour s’entraîner. Zagnfoar ?Darzanard ? Elle ne sait plus le nom de cette fameuse ville. Plusieurs personnes livrées à leurs courses ne se préoccupaient pas de la gamine orpheline.
« J’ai…faim. » Avait t-elle pensés. Jusqu’à ce qu’un vieux bonhomme, longue barbe blanche, yeux plissés, rides d’expressions seulement, habillés d’une tunique bleue et orange regarda étrangement la jeune fille. Il inspirait confiance et gentillesse.
« Méfions-nous quand même. A 6ans, les adultes nous croient naïfs. »
« Bonjour, jeune fille. Je ne veux pas t’apeurer. J’aimerais savoir pourquoi tu es seule dans une ville pareille ?
-Heu…C’est que…
-Je ne vais pas te manger, ne t’inquiète pas.
-Mes parents sont morts… Fit-elle en baissant les yeux
-Ah…Je vois. C’est difficile.
-Assez…
-Tu as envie de les venger ?
-………..
-Oui ou non ?
-Est-ce vraiment nécessaire ?
-C’est a toi de voir
-Oui.
Un sourire s’agrandit sur le vieux visage.
-Tu es toute maigre. Que c’est t-il passer ?
-Je n’ai pas vraiment pus manger ces derniers temps…
-C’est a dire ? Il y a deux heures ?
-Heu…Non…Quatre jours environs.
Le vieux bonhomme afficha un air surpris
-Quelle est ta raison ?Pas d’argent ?
-Je vous l’ai dit, plus de parents. On a mis le feu a ma maison.
-Ah… Dis moi, tu ne veux pas apprendre un moyen de te venger par hasard ?
-…Pourquoi cette question ?
-Car je cherche des élèves aptes a apprendre la faux.
-La faux ? Pourtant, c’est très rare comme arme. Seul Hadès parvient à la maîtriser !
-Et bien non. J’ai sélectionner plusieurs élèves, et seul un va parvenir à magner la faux comme il se doit. Tu veux être dans cette fameuse sélection ? C’est facile, tu t’inscris.
-Je…Bon…C’est d’accord…
-Je me présente. Maître Tchaoa. Mon nom est bizarre, je sais. Alors voici l’adresse de notre école.. Il marqua une adresse, qui se trouva au bout de la ville.
-Moi c’est Odin…
-Parfait !Viens t’inscrire demain alors ! Bienvenue parmi nous ! » Il l’a salua, et disparut au bout de la ville rejoindre l’école de faux.
« Je ne dois pas suivre d’inconnu. Je ne dois pas donner mon prénom. Je ne dois rien dire sur moi, maman. Mais, maman… J’ai été obliger. Maman, qu’ai-je à perdre ?Maman, si je t’ai perdu, je peux tout perdre, il n’y a plus rien. Alors, maman. Je mise ma vie sur cette dernière chance. J’aurais essayé de te venger,maman… »

Le lendemain, elle arriva a la réception. Une réceptionniste, brune, yeux verts, un peu ridés, pris en compte l’inscription de la jeune fille.
« Quel age avez vous mademoiselle ?
-Je… J’ai 6ans.
- N’êtes vous pas un peu trop jeune pour cet art ?
Tout s’effondra. Une fraction de seconde de désespoir pur, jusqu’à ce que Maître T. arrive.
-Laissez, Zerana. Prenez en compte les renseignements de cet enfant.
-Bien maître. Jeune fille, vous habitez… ?
-Heu… A Zagnadar.
-Votre matricule d’identification pour LDDOS(Les Douanes d’Olympia Sécurité) ?
-342.
-Avez vous un tatouage ?(hrp--Blason)
-Non, pas encore.
-Vos ennemis ?
-Les elfes.
-Désirez vous habiter ici ?
-Bien sur.
-Ce sera 28PO pour l’inscription.
-Je…Je n’ai pas d’argent.
Un regard discret de Maître T. rencontra celui de la réceptionniste.
-Heu… A vrai dire c’est gratuit ! Votre chambre est en 342-875
-Au revoir. »
Au départ, quand Odin et entrer dans l’école, sur le mur de droite il y avait marquer en gras et en doré, légèrement argentés « Ecole de La Faux et de l’Esprit. ». L’accueille avait des murs en bois ou ornaient des tableaux de faux, d’Hadès, d’anciens élèves et de Maître T. plus jeune. 10 grandes bougies disposées sur un lustre en or éclairaient la pièce. La jeune enfant, vêtue de haillons, entra dans le couloir très chic. Tout de suite Maître T. lui donna des vêtements neufs. Celui-ci retourna dans son bureau, ce qui fait qu’Odin visita seule sa chambre. Un lit était installer prés d’une fenêtre. A gauche, une table de nuit en bois et en peau d’elfe. Les tapis en velours laissaient un effet apaisant après avoir marcher dessus. Un placard, et une énorme étagère avec gravé en ambré dessus : Collection de faux.

Avançons dans le temps. Odin est la plus petite des autres élèves. Depuis son arrivée, aucun sourire n’avait été offert par celle-ci. Que du sang, de la sueur et des cris.
Elle remporta tous les concours, tous les combats a mort. Ce fut un des derniers élèves de Maître T.


16ans ce sont écoulés. A s’entraîner. Rien de plus.
Dans son sommeil, la jeune femme brune entendait quelqu’un monter. Maître T..
Les rideaux bougeaient à cause de la fine brise de dehors. C’est le printemps…
« Odin. Réveille-toi.
-Hmm…Oui…Quoi ?
-Aujourd’hui. C’est le grand jour.
-De quoi ? Demanda lentement la géante en essayant de se mettre assise sur son lit.
-Olympia. Ta vengeance. Je t’ai appris tout ce qu’il fallait. Désormais, c’est à toi de te munir de tes « griffes » pour te défendre.
-Mais…Je ne suis pas prête !Pas prête encore pour errer seule dans Olympia, Maître ! ! !
-Tu es pourtant forte…
-Pas assez ! ! !
A ce moment là, la brise vint fouetter le visage d’Odin en larme. Elle rajouta des sanglots dans la voix :
« Je ne peux pas. Je suis traumatisée vie. J’ai faillit mourir plus d’une fois. Je ne veux pas…
-Il le faut…
Alors, elle du partir. Elle prit toute sa collection de faux dans sa mini-vitre en verre et s’apprêta à emprunter le vortex pour Olympia. Elle fit un dernier signe d’adieu a son Maître… Car ses derniers jours étaient proches. Et puis, elle ne regarda plus jamais derrière elle. Jamais.


Fin (j’en ai la larme a l’œil )



geant Par Odin  le 01/01/1970 à 01:00

up
(comment ça j'ai pas le droit?Bon bon...Je vais poster un vrai post pour me rattraper )
Heuu...Ben voilà quoi Naan je pollue pas