Par Mars le 01/01/1970 à 01:00 HRP : pour situer le moment, cette histoire se déroule au moment où l'armée Olympienne se dirigeait vers Luminae. Bien sur, cette chro a été écrite avec Enyla qui se débrouille bien mieux que moi 
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La nuit était tombée depuis quelques heures déjà. Mars n'arrivait pas à trouver le sommeil ; ces derniers temps, il ne participait pas beaucoup au combat, et n'avait pas besoin de dormir longtemps. Il se baladait dans une prairie de Lardanium tout en contemplant les étoiles lorsque son attention fut attiré par une douce mélodie.
En observant plus attentivement autour de lui, il aperçut une silhouette un peu plus loin et décida d'aller à sa rencontre. En s'approchant, il reconnut la voix : c'était celle d'Enyla, sa petite protégée.
Arrivé à quelques pas d'elle, il s'arrêta pour écouter les paroles : son chant parlait de ses parents qu'elle n'avait pas connu. Les paroles étaient très tristes et une certaine mélancolie s'en dégageait.
Mars s'avança aux côtés d'Enyla pendant que celle-ci continuait de chanter ; le remarquant enfin, la jeune Olympienne parut gênée, marquant une légère pause, mais reprit. Après tout, elle connaissait Mars depuis déjà quelques temps et ce n'est pas lui qui se moquerait d'elle. Mars l'observait ; il se rendit compte que jusqu'à présent, il ne l'avait jamais vraiment regardé. Le fait d'avoir été son "maître" l' avait obligé à porter un regard neutre sur elle.
Enyla finit son chant et se tourna vers Mars. Ce dernier put profiter du clair de lune pour observer son visage ; ses yeux bleus- nuit étaient particulièrement magnifiques, les étoiles s'y reflétant.
- C'est un chant très joli, et aussi très triste.
- Oui. Depuis que je suis à Lardanium, je pense souvent à mes parents. J'ai eu envie de créer une chanson pour m'adresser à eux. A chaque fois que je chante, j'espère qu'ils m'entendent là où ils sont et qu'ils sentent que je pense à eux.
- Je te comprends. Tout comme toi, je voudrais bien connaître mes parents. Mais certains m'ont dit qu'il y a des choses du passé qu'il ne vaut mieux pas connaître. Du coup je suis tiraillé entre deux choix : dois-je chercher mon passé, ou plutôt le laisser derrière moi et aller de l'avant ?
- Je ne sais pas vraiment. Il est évident que l'on ne doit pas rechercher son passé au détriment de son avenir. Mais il est vrai aussi que l'histoire de nos ascendants peut nous aider à avancer.
- Hum... certainement.
Un doux silence s'installa entre eux. Une petite brise se faisait sentir et ondulait le bas de la robe d'Enyla. Pas un bruit ne troublait ce calme. Tous les deux s'observaient du coin de l’œil, puis Mars se décida à briser le silence :
- Enyla, tu es très jolie. Je te connais depuis très longtemps et pourtant, jusqu'à ce soir, je ne m'étais jamais permis d'avoir des sentiments pour toi.
Maintenant, c'est différent... Tu as pris en maturité et je ne suis plus ton maître. Je peux maintenant te dire ce que je pense de toi.
Enyla rougit :
- Euh... c'est gentil Mars. Depuis mon arrivée, tu as rempli les rôles de conseillé, professeur ou guide auprès de moi. Ton soutien m'a été d'un grand réconfort. Puis, au fil du temps, nous sommes devenus amis.
Enyla fit une pause et regarda Mars dans les yeux, puis ajouta :
- Tu es quelqu'un de grand, Mars. Tu as créé les guerriers de l'effroi pour rassembler tes amis ; tu nous a fait intégrer l'AOL afin d'écraser nos ennemis et maintenant tu intègres la Garde Impériale du nouveau Prince de Lardanium, Orphée le Thesprôtien.
Tes responsabilités sont grandes et les plus illustres chefs, tout comme certains Dieux, te respectent et reconnaissent la place importante que tu occupes chez les Olympiens.
Je suis très fière d'être ton amie et je t'admire beaucoup.
- Merci Enyla pour tous ces compliments. Il est vrai que je suis reconnu par certains, cela essentiellement grâce à Zeus à qui je dois beaucoup et qui a su m'apporter beaucoup de choses ; mais mon chemin est encore long avant d'atteindre les niveaux d'Airik, Parium ou Orphée.
Mais là n'est pas le sujet que je voulais aborder...
Un nouveau silence s'installa.
Tous deux se regardaient hésitant, tendrement.
Inconsciemment, Mars pris doucement les mains d'Enyla dans les siennes ; il la sentit frémir au moment du contact et elle sourit de plaisir.
Ils se rapprochèrent petit à petit l'un de l'autre. Mars entendait son cœur battre la chamade et la respiration d'Enyla s'accélérer.
- Tes grandes mains protectrices me rassurent et ton calme m'apaise, dit Enyla en mettant une des mains de Mars sur sa joue. Elle ferma les yeux et soupira. J’aime être près de toi. Tes beaux yeux enflamment mon cœur dès que j’ose te regarder, et à être trop près de toi, je ne contrôle plus vraiment mes pensées… susurra t-elle avec un sourire.
- Et bien, je ne pensais pas te faire un quelconque effet, répondit Mars un peu intimidé. Puisque nos sentiments se rejoignent, penses-tu que l’on pourrait aller plus loin tout les deux ?
Enyla rougit de plus belle et approcha son visage de Mars afin de lui livrer un doux baiser.
Mars pris sa belle dans ses bras et la serra tendrement contre lui. Ils n'avaient plus besoin de se parler pour se comprendre. Ils s'allongèrent sur l'herbe, dans les bras l’un de l’autre et continuèrent à s’embrasser sous la voûte étoilée. Seules les constellations seront témoins de leur passion.
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La nuit était tombée depuis quelques heures déjà. Mars n'arrivait pas à trouver le sommeil ; ces derniers temps, il ne participait pas beaucoup au combat, et n'avait pas besoin de dormir longtemps. Il se baladait dans une prairie de Lardanium tout en contemplant les étoiles lorsque son attention fut attiré par une douce mélodie.
En observant plus attentivement autour de lui, il aperçut une silhouette un peu plus loin et décida d'aller à sa rencontre. En s'approchant, il reconnut la voix : c'était celle d'Enyla, sa petite protégée.
Arrivé à quelques pas d'elle, il s'arrêta pour écouter les paroles : son chant parlait de ses parents qu'elle n'avait pas connu. Les paroles étaient très tristes et une certaine mélancolie s'en dégageait.
Mars s'avança aux côtés d'Enyla pendant que celle-ci continuait de chanter ; le remarquant enfin, la jeune Olympienne parut gênée, marquant une légère pause, mais reprit. Après tout, elle connaissait Mars depuis déjà quelques temps et ce n'est pas lui qui se moquerait d'elle. Mars l'observait ; il se rendit compte que jusqu'à présent, il ne l'avait jamais vraiment regardé. Le fait d'avoir été son "maître" l' avait obligé à porter un regard neutre sur elle.
Enyla finit son chant et se tourna vers Mars. Ce dernier put profiter du clair de lune pour observer son visage ; ses yeux bleus- nuit étaient particulièrement magnifiques, les étoiles s'y reflétant.
- C'est un chant très joli, et aussi très triste.
- Oui. Depuis que je suis à Lardanium, je pense souvent à mes parents. J'ai eu envie de créer une chanson pour m'adresser à eux. A chaque fois que je chante, j'espère qu'ils m'entendent là où ils sont et qu'ils sentent que je pense à eux.
- Je te comprends. Tout comme toi, je voudrais bien connaître mes parents. Mais certains m'ont dit qu'il y a des choses du passé qu'il ne vaut mieux pas connaître. Du coup je suis tiraillé entre deux choix : dois-je chercher mon passé, ou plutôt le laisser derrière moi et aller de l'avant ?
- Je ne sais pas vraiment. Il est évident que l'on ne doit pas rechercher son passé au détriment de son avenir. Mais il est vrai aussi que l'histoire de nos ascendants peut nous aider à avancer.
- Hum... certainement.
Un doux silence s'installa entre eux. Une petite brise se faisait sentir et ondulait le bas de la robe d'Enyla. Pas un bruit ne troublait ce calme. Tous les deux s'observaient du coin de l’œil, puis Mars se décida à briser le silence :
- Enyla, tu es très jolie. Je te connais depuis très longtemps et pourtant, jusqu'à ce soir, je ne m'étais jamais permis d'avoir des sentiments pour toi.
Maintenant, c'est différent... Tu as pris en maturité et je ne suis plus ton maître. Je peux maintenant te dire ce que je pense de toi.
Enyla rougit :
- Euh... c'est gentil Mars. Depuis mon arrivée, tu as rempli les rôles de conseillé, professeur ou guide auprès de moi. Ton soutien m'a été d'un grand réconfort. Puis, au fil du temps, nous sommes devenus amis.
Enyla fit une pause et regarda Mars dans les yeux, puis ajouta :
- Tu es quelqu'un de grand, Mars. Tu as créé les guerriers de l'effroi pour rassembler tes amis ; tu nous a fait intégrer l'AOL afin d'écraser nos ennemis et maintenant tu intègres la Garde Impériale du nouveau Prince de Lardanium, Orphée le Thesprôtien.
Tes responsabilités sont grandes et les plus illustres chefs, tout comme certains Dieux, te respectent et reconnaissent la place importante que tu occupes chez les Olympiens.
Je suis très fière d'être ton amie et je t'admire beaucoup.
- Merci Enyla pour tous ces compliments. Il est vrai que je suis reconnu par certains, cela essentiellement grâce à Zeus à qui je dois beaucoup et qui a su m'apporter beaucoup de choses ; mais mon chemin est encore long avant d'atteindre les niveaux d'Airik, Parium ou Orphée.
Mais là n'est pas le sujet que je voulais aborder...
Un nouveau silence s'installa.
Tous deux se regardaient hésitant, tendrement.
Inconsciemment, Mars pris doucement les mains d'Enyla dans les siennes ; il la sentit frémir au moment du contact et elle sourit de plaisir.
Ils se rapprochèrent petit à petit l'un de l'autre. Mars entendait son cœur battre la chamade et la respiration d'Enyla s'accélérer.
- Tes grandes mains protectrices me rassurent et ton calme m'apaise, dit Enyla en mettant une des mains de Mars sur sa joue. Elle ferma les yeux et soupira. J’aime être près de toi. Tes beaux yeux enflamment mon cœur dès que j’ose te regarder, et à être trop près de toi, je ne contrôle plus vraiment mes pensées… susurra t-elle avec un sourire.
- Et bien, je ne pensais pas te faire un quelconque effet, répondit Mars un peu intimidé. Puisque nos sentiments se rejoignent, penses-tu que l’on pourrait aller plus loin tout les deux ?
Enyla rougit de plus belle et approcha son visage de Mars afin de lui livrer un doux baiser.
Mars pris sa belle dans ses bras et la serra tendrement contre lui. Ils n'avaient plus besoin de se parler pour se comprendre. Ils s'allongèrent sur l'herbe, dans les bras l’un de l’autre et continuèrent à s’embrasser sous la voûte étoilée. Seules les constellations seront témoins de leur passion.
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