Les mercenaires sont nés, mais ne mourront pas... | |
Topic visité 10 fois Dernière réponse le 16/10/2004 à 14:05 |
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Un matin, je me suis réveillé, à l'aube très tot, froid comme un mort à cause de la basse température de cette nuit qui fut sans lune et sans étoile. Je récuperais mes affaires quand j'ai vu, au loin, la flamme naissant de Sigdil, le cité brillait, illuminée par les premières traces de vie.
Je me remis à marcher, quelques heures, en chemin je croisais des citoyens récoltants leurs champs, quelques autres personnes, un peu moins biens gattées, mendiant et volant. Arrivé à Sigdil, je rejoignais mes deux confrères, le géant et l'olympien, qui m'attendaient, assis à coté d'un temple. Je me souviens de ce jour qui semblait sans fin, un jour comme tant d'autres, identique et pourtant si différent...Je voyais les volets s'ouvrir, les rues se remplir, l'auberge s'animées et Paurt, sortait de sa forge en soupirant, il n'avait pas dormi de la nuit, il avit travaillé comme un acharné sur ce nouveau métal récemment découvert: l'addamentium. je sentais la rosée fraiche du matin sur les pavés de la ville, et le soleil se levant en faisant de l'ombre sur les grdes qui faisaient leur ronde sur les murailles de la ville. Je me dirigea vers les deux personnages, le tableau méritait une gravure, et je les abordais lorsque... |
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Le cor de la ville retentit. Les soldats grouillaient dans la ville et préparaient leurs armes, les Seven et l'Apocalypse arrivaient de tout les cotés brisant les murs pour passer. Je me préparait au pire, la bataille fit rage. Je me battais du mieux que je pouvais, et je voyais le géant faucher les ennemis les uns après les autres, il se battait avec acharnement pour arreter la deferlent énnemie. Klong, l'olympien, courrait en direction de la banque tout en invoquant les puissances divines poiur ce frayer un passage dans la masse grouillante de chair adverse. Ses sorts affluaient comme le sang qui coule, et, en gardant un oeil autour de moi, je continuais à frapper.
Je vis les ennemis se diriger lentement en direction de la tour et la prirent d'assut. La ville incendiée, ne reposait désormais plus que sur le courage d'une poignée d'hommes enragés luttant pour la liberté de la ville. C'est alors que Gourlx, l'imposant géant, fondu parmis l'apocalypse, s'interposa entre la tour et les adversaires, il continuait à se battre, mais, u bout de quelques heures de combat déchainé, il tomba sous les coups adverse qui reprirent la tour. Mais je partis vers la tour, maintenant aux mains de la seven, le baton en avant, et, poussant un cri, je brisait les os de mes ennemis en me frayant un chemin parmi ces antoganistes malins. Arrivé aux abords de la tour je continuais à me battre, regardant de temps en temps vers les quatres coins du batiment; et je vis Klong courrir à son tour vers la tour, il arriva et lança quelques sorts dans la masse. Mais, quelques heures suffirent à me faire tomber à mon tour, et, lorsque j'agonisais, couché sur le sol, je vis la SA arriver de leur pas lourd et frapper l'ennemi qui prit la fuite rapidement... |
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Je me suis réveillé, à ma grande surprise, en prison...
Je me suis expliqué avec le responsable de cette erreur et j'ai réussi à m'en sortir. Mais la diligence qui me ramenait a été attaquée par des bandits, et a été détruite, livré à moi même je devais retourner à Sigdil; Un messager pass pas loin de moi et je lui demanda de me ramener, il me répondit qu'il ne pouvait pas, il devait aller dans une ville assez loin: Je lui remit simplement une lettre que j'avais écrit en prison. Seul, au milieu de nul part, je me mis à marcher, j'étais à cinquante kilomètres de la forme de vie la plus proche, et j'ai mis dix jours à parvenir jusqu'à un lieu civilisé. La lettre proposait aux deux personnages que j'étais allez rencontrer à Sigdil de créer une faction de mercenaires, car je trouvais que cela manquait. En arrivant à Sigdil, je retrouva mes deux alliés. Mais nous fumes expulsés de Sigdil. Je me fis de nouveau tuer, en quittant l'enfer je suis arrivé à Lardanium, d'où je du aller à un endroit de rendez-vous fixé par nous même. Cela fait deux semaines que je n'ai pas vu mes alliés. Les mercenaires sont aujourd'hui une dizaine et ils sont prêt à vous servir. Mes salutations, les mercenaires recrutent... |