Par skrymir le 11/04/2004 à 12:39 Skrymir n’avait jamais connu son père, il vivait seul, en autarcie dans les montagnes, en compagnie de sa mère, une vieille géante un peu mystique nommée Ozdia dont l’esprit avait quitté Olympia il y a déjà fort longtemps. Skrymir ne connaissait le monde qu’à travers les récits que lui en faisait sa mère. Et il essayait de s’imaginer a quoi pouvait réellement ressembler ces êtres aux descriptions bizarre parmi lesquels les elfes, sveltes aux oreilles pointues et les nains dont « la taille est si petite en comparaison de leur grande force qu’il était dans leur nature de laisser celle–ci s’échapper par leur bouche en s’exprimant fortement » et surtout il rêvait souvent de Sigdil, une ville merveilleuse symbole de paix et de tolérance.
Titan I était bas sur l'horizons alors qu'Ozdia dans un dernier soupir dis a son fils ces derniers mots:
"skrymir, ton nom s'inscrira un jour dans l'histoire d'Olympia, porte le avec fierté et fait honneur au tien. Il est temps pour toi d’aller enfin découvrir le monde par toi-même."
Cela c'était passé il y a deux jours à peine et même si Skrymir le géant a toujours pensé que sa mère vouais en lui seulement l'admiration que toute mère porte a son fils, il n'avais plus rien a faire ici seul dans cette chaumière, a l'écart des cités, loin de tout. Il se mit donc en route en direction de Sigdir la grande.
Ainsi commence les chroniques de Skrymir .
Chemin faisant j'aperçu un de mes semblables engagé dans un combat contre un homme-sauvage l'occasion étais belle de me faire un compagnon de route et aussi d'apprendre a combattre sans risqué de me faire occire trop rapidement. L'adversaire était bien plus fort que moi mais il souffrait déjà des coups reçus par l'autre géant. Je n'eu besoin que de décocher une flèche pour l'abattre, chose qui m'étonna moi-même.
"Il semblerai que la chance soit de mon coté et que les dieux veillent sur moi", pensai-je mais bien vite je me ravisai:
"Et si ce géant a qui je viens d'ôter le plaisir d'envoyer son adversaire en enfer passait sa rage sur moi?"
Car il faut l'admettre ce géant ne semblait rien avoir d'un novice. Et même si je ne lui avait pas demander la permission de faire passer a trépas son adversaire je préférais le remercier de m'avoir permis d'abattre cet homme-sauvage. La chose ne paru pas l'offusqué le moins du monde et il me proposa même de me joindre à lui pour faire quelques saignées le long de sa route.
"Je vais en direction de Sidgil, lui dis-je, qu'elle est ta route?
-Je me dirige vers Sidgil moi aussi, me répondit-il, il y a un sacré front là-bas!"
-Ainsi donc Sigdil était en guerre!? Comment cela pouvait-il être possible? Qui aurait osé? »
Je me devais d'en savoir plus.
"-Et si Mére disait vrai?..." ne pus-je subitement m'empêcher de penser, "...ainsi donc ma destiné guide mes pas".
Je quittais a peine mon existence paisible et insignifiante que déjà les rouages du destin m'invitaient dans leur danse. Jusqu'a quel point Mére avait dit vrai sur ma destiné? Ces questions s'immisçaient à peine en moi que déjà je me devais de les chasser. J'avais vécu toutes ces années à écouter les histoires de Mère. Aujourd'hui, le temps était à l'action.
Titan I était bas sur l'horizons alors qu'Ozdia dans un dernier soupir dis a son fils ces derniers mots:
"skrymir, ton nom s'inscrira un jour dans l'histoire d'Olympia, porte le avec fierté et fait honneur au tien. Il est temps pour toi d’aller enfin découvrir le monde par toi-même."
Cela c'était passé il y a deux jours à peine et même si Skrymir le géant a toujours pensé que sa mère vouais en lui seulement l'admiration que toute mère porte a son fils, il n'avais plus rien a faire ici seul dans cette chaumière, a l'écart des cités, loin de tout. Il se mit donc en route en direction de Sigdir la grande.
Ainsi commence les chroniques de Skrymir .
Chemin faisant j'aperçu un de mes semblables engagé dans un combat contre un homme-sauvage l'occasion étais belle de me faire un compagnon de route et aussi d'apprendre a combattre sans risqué de me faire occire trop rapidement. L'adversaire était bien plus fort que moi mais il souffrait déjà des coups reçus par l'autre géant. Je n'eu besoin que de décocher une flèche pour l'abattre, chose qui m'étonna moi-même.
"Il semblerai que la chance soit de mon coté et que les dieux veillent sur moi", pensai-je mais bien vite je me ravisai:
"Et si ce géant a qui je viens d'ôter le plaisir d'envoyer son adversaire en enfer passait sa rage sur moi?"
Car il faut l'admettre ce géant ne semblait rien avoir d'un novice. Et même si je ne lui avait pas demander la permission de faire passer a trépas son adversaire je préférais le remercier de m'avoir permis d'abattre cet homme-sauvage. La chose ne paru pas l'offusqué le moins du monde et il me proposa même de me joindre à lui pour faire quelques saignées le long de sa route.
"Je vais en direction de Sidgil, lui dis-je, qu'elle est ta route?
-Je me dirige vers Sidgil moi aussi, me répondit-il, il y a un sacré front là-bas!"
-Ainsi donc Sigdil était en guerre!? Comment cela pouvait-il être possible? Qui aurait osé? »
Je me devais d'en savoir plus.
"-Et si Mére disait vrai?..." ne pus-je subitement m'empêcher de penser, "...ainsi donc ma destiné guide mes pas".
Je quittais a peine mon existence paisible et insignifiante que déjà les rouages du destin m'invitaient dans leur danse. Jusqu'a quel point Mére avait dit vrai sur ma destiné? Ces questions s'immisçaient à peine en moi que déjà je me devais de les chasser. J'avais vécu toutes ces années à écouter les histoires de Mère. Aujourd'hui, le temps était à l'action.
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