"Zagnadar...

Un cité que je n'aurai pas dû connaitre en temps normal...

Cela fait longtemps que je suis sur cette terre. Aprés ma fuite des enfers j'ai accomplie une partie de la prophétie, j'ai rassemblé des adepte en un seul et même peuple comme le prophète me l'avait annoncé.
J'ai mené mes frères aux combats pour leur donner l'experience des batailles et la douleur qu'elles proccurent.
Pour forger mon peuple au combat je decidais de faire une alliance avec un autre peuple qui était bien plus sombre que le notre: L'apocalypse.
Le principal objecif de cette alliance était de donner à mon peuple plus d'identité et d'expérience dans ce monde car il n'était pas encore prét pour accomplir la prophétie. Ce faisant la totalité de mon peuple prit part à une bataille en Zagnadar alors que les Spectres de l'apocalypse partaient vers d'autres cités en soife de conquêtes.

Depuis ce jour les Morts sont les gardiens de Zagnadar et attendent la fin de cette guerre.

Cette guerre...parlons en! Elle est trés longue mais j'en vois déjà la fin dans mon esprit. Mon peuple de cédera pas et j'en suis certain, les envahisseurs ne pourront pas faire grand chose face à mon peuple en Zagnadar, rare sont ceux qui ont réussit à vaincre un peuple de Morts. Les Morts ne trouvent jamais le repos et reviennent toujours dans le monde des vivants.
Cette guerre en Zagnadar m'a vraiment donné le désir de poursuivre au plus vite la prophétie...celle qui pourrait redonner au peuple des Morts le repos eternel.
Une fois Zagnadar protegée on pourra contempler un nuage sombre se rassembler au abord de Zagnadar et commençant une marche à travers Olympia...

Les Morts marcheront d'un seul et même pas vers leur objectif!
Moi Memnarch, héretique de l'enfer je conduirai mon peuple vers sa destiné et personne ne pourra m'en empecher. Je forgerai son identité dans la bravoure et le combat si telle est sa destiné.

Memnarch pose sa plume et referme un épais livre sombre avec de multiples gravures sur son flan, on pouvait y lire "Livre des Morts". Sur la partie la plus basse à droite du livre il y avait une incription gravée par les flammes: "Hadès".

Memnarch quitte ses quartiers pour arriver devant le spectacle des champs de batailles qu'offrait la cité de Zagnadar.

Pas mal mais une suite (avec description d'une bataille se serait parfait).

je ne dirait qu'une chose ...

la plus longue vie est la mort

tres chouete , continu

"enfin...


Il ne restait plus grand chose de nos adversaires...là sur le sol je contemplais une dépouille dont le corp était garnit par les flèches de mon général d'armée. Je m'approchais de Kamahl et du reste de mon peuple pour decouvrir le corp qui jonchait le sol de Zagnadar, du bout de ma lame je retournais lentement le cadavre du guerrier pour laisser apparaitre un visage sanglant. Je dechirais un bout de ma cape pour laver le sang qui ne permettait pas de reconnaitre le guerrier. Autour de moi, les Morts attendais de savoir qui Kamahl avait terrassé...une fois le visage de l'homme reconnaisable je decoupais soigneusement un morceau de chaire que j'embalais dans mon bout de cape.
A ce moment precis je me suis levé vers mon général et je lui ai tendu le tissu tout en parlant à l'enssemble des personnes presentes autour de moi:

-"Mes frères, je donne à Kamahl le trophé qu'il a merité...mais cette mort n'est pas seulement le travail de votre général, mais travail collectif. Aujourd'hui nous avon vainçu mes frères et demain nous vaincront encore!
Sur ces dernier mots, on pouvait entendre une seule et même ferveur raisonner dans toute la cité...

Donner à mon peuple la force de continuer, c'était la meilleur chose que je pouvais faire. Ils avaient tous donné de leur personne et je me devais de leur rendre cette honneur.

Par la suite je m'engagais dans le couloir que formait mon peuple pour saluer le reste des combattant. Je pouvais voir au loin Arual restant droit comme un rock et les bras croisé me faire un signe de la tête pour répondre à mes remérciements. Non loin j'aperçevais Elsred'Gaarch qui en fit autant. Je n'oubliais pas de remercier le reste de mes allié avant de rejoindre mes quartiers...

Une journée bien complète que celle-ci, je pense que Zagnadar va pouvoir souffler un peu. Je ne regrette pas d'avoir protégé cette cité...puisse tu contempler nos exploits Hadès, et voir enfin que notre déstiné nous eloigne de ton emprise!

Epuisé, Memnarch pousse le "livre des Morts" sur le coin de sa table.
Fixant le livre Memnarch remarque que la signature d'Hadès avait changé de position...

-"Je sais que tu peux me lire mais tu ne peux pas me faire revenir!

Memnarch souffle sa bougie et espère trouver le repos quelques instant.

"Le vice.....



"Je sais que tu es là! Je ne peux plus trouver le repos depuis quelques temps. Autour de moi il n'y a que toi, mort et désolation...
Tu te montre sous ton visage le plus fourbe et tu frappe sans me prevenir?
Jamais! M'entends tu? Je te dis que jamais tu n'a été aussi lache que ce dernier siècle.
Je me souviens des origines aux grandes fosses des Morts, tu te tenais devant tout les peuples de l'enfer et comme un père tu leur donnais l'espoir de construire un avenir meilleur, l'envie de travailler outre la douleur, et une passion tel que tout ces peuples réunient offrirent leur ames pour te donner cette vie que tu ne mérité sans doute pas...
Je me revois regardant le majestueux monstre athletique me parlant d'avenir que je cherche encore aujourd'hui.

Depuis, tu na pas changé. Tu parles encore à tes serviteurs avec la même passion et la même verve. Moi j'ai changé et je t'entend d'une oreille differente. Mon peuple va me suivre que tu sois ou pas de mon avis! Je n'ai certe que la chaire de mes frère mes les ames que tu detiens ne sront bientôt plus tiennes. Ce monde va faire profiter à mon peuple de sa puissance vitale dans le but de le defaire de ton emprise, et ça sans que tu puisse intervenir.

Au lieu de regarder les choses en face et de de ne pas insister sur notre héresie tu viens quand même rôder sur ce monde dans le but de nous barrer le chemin. Je te dis non! tu ne pourra en aucun cas utiliser de tes pouvoir sur terre.
Je vois que tu parle aux Morts...il viennent me voir et ne trouve plus la foie en la prophétie...tu utilises donc tes vieux discours pour tromper mon peuple. Il ne cedera pas à tes belles paroles saches le.
Quitte les lieux sur le champ et ne reviens plus voir ce que tu as déjà perdu!!


Suite à ces paroles Memnarch ferma le livre des Morts d' une vilolence telle que le livre traversa la pièce sur plus de deux mètres...

S'approchant du livre Memnarch le prit dans ses main pour y rajouter quelque ligne...On pouvait voir les pages du livre blûler d'un rouge sang. Faisant come si de rien n'était Memnarch posa une dernière fois sa plume sur l'une des pages...

"Tu ne sais pas pleurer, comme nous ne le savons pas non plus."


Memnarch referme le livre lentement et le repose sur la table...