Par Tanith le 11/12/2004 à 20:00 Avant ma venue sur Olympia, j’étais l’un des fondateurs d’une race qui s’appelait « les esprits de la Terre ». Ces esprits fabuleux faisaient parti d’une race lointaine et oubliée de tous depuis des temps immémoriaux.
Nous vivions sur une très grande île, au-delà des mers et des océans, qui s’appelaient dans notre langue, « Dor-Lomin la belle ». Notre capital était Gondolin, le royaume caché et sa technologie, aboutissement de siècles de labeur, protégeait notre royaume de toute intrusion du mal par un dôme tissé par les plus sages d’entres nous.
Notre civilisation était basée sur le respect d’autrui et la paix. Nous construisions des choses qui dépassaient en beauté tout ce que l’on avait pu voir et même nos plus petites villes rivalisaient avec la beauté d’un soleil d’un se couchant sur les montagnes, enflammant le ciel d’un orangé vif ou avec la beauté d’un paysage enneigé, scintillant de toute part. La paix est la fraternité était sans cesse présente et le mal était inconcevable dans la tête de notre race. La beauté et la magie nous entouraient.
Je fus comme je l’ai dit, un des fondateurs de ma race. Les citoyens de mon île m’appelaient le premier car je fus le premier à naître et à vivre. Je suis né dans un temple perdu dans les profondeurs de la terre. Je fus créé par une autre race que nous appelons les anciens. Les trois autres personnes qui furent créée avec moi, deux femmes et un hommes, étions le seul recours de ces gens dont les légendes racontaient que lorsqu’il ne resterait qu’une poignée d’entres eux, ils devaient réalisé un rite très compliqué pour maintenir la terre en vie et créée une nouvelle race chargée de leur succédé après leur avoir enseigné leur savoir et leurs valeurs. Ils finirent par mourir et les sages, les premiers et les plus anciens de ma race leur succédèrent pour veiller à la paix de la terre jusqu'à ce que d’autres races vivantes puissent le faire.
Nous étions immortel, vivant pendant des millénaires. Nous étions invisible à tout vivant de par notre nature (nous étions des esprits) et seul les quatre premiers pouvaient se rendre visible pour servir d’ambassadeur s’il le fallait.
Comme j’étais né le premier, nous décidâmes que je gouvernerais mon peuple et que les êtres qui étaient né avec moi seraient mes princes et mes conseillers. Nous étions les plus beau et les plus nobles de notre race. Nous prospérâmes pendant des millénaires et même pendant que ma race déclinait en population, nous continuions à prospérer. Ce déclin nous était annoncé d’avance car nous savions que lorsque les races primitives de la terre parviendraient à subvenir à leurs besoins et à ne pas mettre en danger la terre mais la sauvegarder de tout mal, nous allions nous éteindre.
Après qu’il ne reste plus qu’une poignée d’entre nous, dont les trois autres premiers, nous décidâmes de ce que nous allions faire. Les frères de ma race choisir de finir leur vie, bien qu’ils étaient immortels, sur notre île bien aimée. Quand à moi, je choisis de connaître le monde d’Olympia puisque des rumeurs nous étaient parvenu que de grands peuples s’y étaient formés. Je pourrais aussi garder, grâce à cet exil, la mémoire de mon peuple et la transmettre le jour venu pour s’il le faut, de nouveau sauvegarder la planète et veiller sur elle.
Je choisis donc de réincarner en olympien, créature descendante des dieux. Cette race était ce qui me correspondait le plus car elle avait une certaine noblesse et une certaine beauté. De plus, c’était une la race de cette planète.
J’apparus à côté de Sigdil la belle qui est la première ville en laquelle je rentra et qui m’accueillie chaleureusement sans m’assaillir. Elle était un reflet de ma lointaine île, comme Lardanium. Depuis ce jour, elle reste très chère à mon cœur et c’est pour cela que je meurs pour elle.
J’y resta quelques jours, le temps de mieux comprendre le monde qui m’entourait puis je fis ma demande d’intégration à la Légion des voies divines, sans trop de conviction, en prêtant serment aux dieux et mon prince Orphée. Tel ne fut pas ma surprise et ma joie de voir que j’avais été enrôlé. Etant désormais citoyen de Lardanium, je me dirigeais vers cette belle capitale pour la protéger. Les temps était incertains, il lui fallait une défense, si maigre pouvait paraître la mienne. Le prince Orphée, la GI et des personnes qui leurs étaient loyal se dirigèrent vers Luminaë pour la délivrer d’être malfaisant. Ils réussirent après quelques jours. Pendant ce temps, des troupes armées, dont principalement les Apocalypses, attaquaient Sigdil, seulement trois jours après que je l’ai quitté.
De son côté, un groupe de Seven menaçait Lardanium et j’y resta au moins trois jours pour la défendre et attaquer des ennemis jusqu »a ce que des alliés plus fort que moi arrivent pour la défendre. Je partis donc, à la demande de mon chef Airik, pour attaquer Sigdil, que les Apos venaient de prendre. Après quatre jours de marche, j’arrivais dans son territoire. Je continua à faire mes preuves dans la Légion en attaquent l’armée des morts. Mes premières preuves avaient été faites en défendant Lardanium.
Cette armée des morts riposta mais je réussis à m’en sortir avec un peu de vie pour aller en vue des remparts de Sigdil. Un ordre venait de nous parvenir et nous disait de nous replier pour mieux s’organiser, ce que je commençai à faire. Les tours ne trouvant pas de cible ennemie plus forte, elle m’attaquèrent et me tuèrent. Je venais d’avoir mon deuxième grade. Je repawmais en enfer et je fus étonné de la noirceur et de la simplicité de ce lieux que je redoutais. Après deux jours de marche harassant, je réapparus à Lardanium et je me dirigeai de nouveau vers Sigdil pour la délivrer. J’arrivai à environ 10 lieues de Sigdil pour attaquer les ennemis qui s’y étaient postés pour retarder notre avancée. Une mauvaise organisation de nos troupes, qui ne respectaient pas le damier, fit de nombreux mort et de nombreux blessés parmi nos rangs.
Après quelques jours de lutte sanglante, les ennemis étant mort ou s’étant retirés à Sigdil, nous nous rapprochâmes de la ville. Mais des traîtres et des espions s’étaient infiltrés dans nos rangs et à cause du surplus d’informations qui nous arrivaient et que certains ne lisaient pas, notre assaut failli. L’ennemi était au courant de nos ordres, à causes des traîtres ZURMA et TANIS et d’un espion Apos. Ils étaient donc nombreux dans a ville. De plus, peu d’alliés lisaient les messages et donc notre assaut ne pu avoir lieu car trop peu de monde était au courant du jour et de l’heure alors que nous étions en supériorité sur l’ennemi.
Je rentrais dans Sigdil le lendemain de l’assaut mais je n’y restais qu’une journée et curieusement, en ne subissant que deux petites attaques qui firent peu de dégâts. Un ordre de notre chef nous était parvenu dans la journée pour demander aux forces de la Légion présentent dans Sigdil de nous regrouper pour se réorganiser. Je m’exécutais donc. Mon chef, ne croyant pas ses yeux en voyant ressortir un soldat de la Légion de l’intérieur de Sigdil, me vint en aide pour me protéger et me permettre de rester en vie. Depuis ce moment, je ne peux m’empêcher de verser une larme en repensant à cela car je ne pensais pas qu’il m’aiderait puisque étant de rang deux, je ne représentais pas grand-chose. Mon chef sait depuis ce jour là, qu’il dispose d’un soldat qui lui restera loyal et qui exécutera ses ordres du mieux possible. Ma gratitude lui est désormais toute accordée.
Le soir même, je reçus un contre-ordre de notre chef Airik car Orphée lui avait demander d’écourter la retraite et de renvoyer son armée dans Sigdil pour la délivrer le plus tôt possible. Le lendemain matin, à l’aube, je retournais dans Sigdil, à l’insu de l’ennemi qui dormais encore. Je transmis quelques informations utiles et j’attendis patiemment mon heure. Après quelques heures de lutte acharnée, je tomba et je réapparu en enfer. Je sus enfin ce qu’était de mourir pour un pays, une ville, une armée, des idéaux qui n’aurait pas du être bafouer par l’ennemi. Mais j’étais mort pour la gloire, l’honneur de servir mon prince et pour la paix.
Je suis resté deux jours en enfer. Au bout du deuxième, je pus ressortir par les portes, qui m’envoyèrent dans ma ville, Lardanium. En ce moment, je repars vers Sigdil pour faire payer aux ennemis leur parjure d’avoir pris la capitale de la paix et de l’anti-racisme.
Quand le moment sera venu (sûrement après la prise de Sigdil), je créerais une compagnie : « la confrérie de la paix », pour pouvoir aider à la sauvegarde d’Olympia et la sauvegarde de la liberté et la paix de tous. Elle sera basée sur le respect mutuel et la fraternité. Toutes les personnes seront les bienvenues mais la sélection sera rigoureuse. Je suis le seul dépositaire du savoir de toute une race, basée sur le respect mutuel, le paix et la sauvegarde d’Olympia et ce savoirs et ces notions ne mérite pas d’être partagée avec certains (sevens, apos, am et autre ennemis).
Voilà, j’attends vos réactions sur ma chronique et que ceux qui veulent entrer dans ma compagnie (ce n’est pas une faction) ou qui sont intéresser me contacte ici ou par bal.
Je vous attends.
Tanith
Nous vivions sur une très grande île, au-delà des mers et des océans, qui s’appelaient dans notre langue, « Dor-Lomin la belle ». Notre capital était Gondolin, le royaume caché et sa technologie, aboutissement de siècles de labeur, protégeait notre royaume de toute intrusion du mal par un dôme tissé par les plus sages d’entres nous.
Notre civilisation était basée sur le respect d’autrui et la paix. Nous construisions des choses qui dépassaient en beauté tout ce que l’on avait pu voir et même nos plus petites villes rivalisaient avec la beauté d’un soleil d’un se couchant sur les montagnes, enflammant le ciel d’un orangé vif ou avec la beauté d’un paysage enneigé, scintillant de toute part. La paix est la fraternité était sans cesse présente et le mal était inconcevable dans la tête de notre race. La beauté et la magie nous entouraient.
Je fus comme je l’ai dit, un des fondateurs de ma race. Les citoyens de mon île m’appelaient le premier car je fus le premier à naître et à vivre. Je suis né dans un temple perdu dans les profondeurs de la terre. Je fus créé par une autre race que nous appelons les anciens. Les trois autres personnes qui furent créée avec moi, deux femmes et un hommes, étions le seul recours de ces gens dont les légendes racontaient que lorsqu’il ne resterait qu’une poignée d’entres eux, ils devaient réalisé un rite très compliqué pour maintenir la terre en vie et créée une nouvelle race chargée de leur succédé après leur avoir enseigné leur savoir et leurs valeurs. Ils finirent par mourir et les sages, les premiers et les plus anciens de ma race leur succédèrent pour veiller à la paix de la terre jusqu'à ce que d’autres races vivantes puissent le faire.
Nous étions immortel, vivant pendant des millénaires. Nous étions invisible à tout vivant de par notre nature (nous étions des esprits) et seul les quatre premiers pouvaient se rendre visible pour servir d’ambassadeur s’il le fallait.
Comme j’étais né le premier, nous décidâmes que je gouvernerais mon peuple et que les êtres qui étaient né avec moi seraient mes princes et mes conseillers. Nous étions les plus beau et les plus nobles de notre race. Nous prospérâmes pendant des millénaires et même pendant que ma race déclinait en population, nous continuions à prospérer. Ce déclin nous était annoncé d’avance car nous savions que lorsque les races primitives de la terre parviendraient à subvenir à leurs besoins et à ne pas mettre en danger la terre mais la sauvegarder de tout mal, nous allions nous éteindre.
Après qu’il ne reste plus qu’une poignée d’entre nous, dont les trois autres premiers, nous décidâmes de ce que nous allions faire. Les frères de ma race choisir de finir leur vie, bien qu’ils étaient immortels, sur notre île bien aimée. Quand à moi, je choisis de connaître le monde d’Olympia puisque des rumeurs nous étaient parvenu que de grands peuples s’y étaient formés. Je pourrais aussi garder, grâce à cet exil, la mémoire de mon peuple et la transmettre le jour venu pour s’il le faut, de nouveau sauvegarder la planète et veiller sur elle.
Je choisis donc de réincarner en olympien, créature descendante des dieux. Cette race était ce qui me correspondait le plus car elle avait une certaine noblesse et une certaine beauté. De plus, c’était une la race de cette planète.
J’apparus à côté de Sigdil la belle qui est la première ville en laquelle je rentra et qui m’accueillie chaleureusement sans m’assaillir. Elle était un reflet de ma lointaine île, comme Lardanium. Depuis ce jour, elle reste très chère à mon cœur et c’est pour cela que je meurs pour elle.
J’y resta quelques jours, le temps de mieux comprendre le monde qui m’entourait puis je fis ma demande d’intégration à la Légion des voies divines, sans trop de conviction, en prêtant serment aux dieux et mon prince Orphée. Tel ne fut pas ma surprise et ma joie de voir que j’avais été enrôlé. Etant désormais citoyen de Lardanium, je me dirigeais vers cette belle capitale pour la protéger. Les temps était incertains, il lui fallait une défense, si maigre pouvait paraître la mienne. Le prince Orphée, la GI et des personnes qui leurs étaient loyal se dirigèrent vers Luminaë pour la délivrer d’être malfaisant. Ils réussirent après quelques jours. Pendant ce temps, des troupes armées, dont principalement les Apocalypses, attaquaient Sigdil, seulement trois jours après que je l’ai quitté.
De son côté, un groupe de Seven menaçait Lardanium et j’y resta au moins trois jours pour la défendre et attaquer des ennemis jusqu »a ce que des alliés plus fort que moi arrivent pour la défendre. Je partis donc, à la demande de mon chef Airik, pour attaquer Sigdil, que les Apos venaient de prendre. Après quatre jours de marche, j’arrivais dans son territoire. Je continua à faire mes preuves dans la Légion en attaquent l’armée des morts. Mes premières preuves avaient été faites en défendant Lardanium.
Cette armée des morts riposta mais je réussis à m’en sortir avec un peu de vie pour aller en vue des remparts de Sigdil. Un ordre venait de nous parvenir et nous disait de nous replier pour mieux s’organiser, ce que je commençai à faire. Les tours ne trouvant pas de cible ennemie plus forte, elle m’attaquèrent et me tuèrent. Je venais d’avoir mon deuxième grade. Je repawmais en enfer et je fus étonné de la noirceur et de la simplicité de ce lieux que je redoutais. Après deux jours de marche harassant, je réapparus à Lardanium et je me dirigeai de nouveau vers Sigdil pour la délivrer. J’arrivai à environ 10 lieues de Sigdil pour attaquer les ennemis qui s’y étaient postés pour retarder notre avancée. Une mauvaise organisation de nos troupes, qui ne respectaient pas le damier, fit de nombreux mort et de nombreux blessés parmi nos rangs.
Après quelques jours de lutte sanglante, les ennemis étant mort ou s’étant retirés à Sigdil, nous nous rapprochâmes de la ville. Mais des traîtres et des espions s’étaient infiltrés dans nos rangs et à cause du surplus d’informations qui nous arrivaient et que certains ne lisaient pas, notre assaut failli. L’ennemi était au courant de nos ordres, à causes des traîtres ZURMA et TANIS et d’un espion Apos. Ils étaient donc nombreux dans a ville. De plus, peu d’alliés lisaient les messages et donc notre assaut ne pu avoir lieu car trop peu de monde était au courant du jour et de l’heure alors que nous étions en supériorité sur l’ennemi.
Je rentrais dans Sigdil le lendemain de l’assaut mais je n’y restais qu’une journée et curieusement, en ne subissant que deux petites attaques qui firent peu de dégâts. Un ordre de notre chef nous était parvenu dans la journée pour demander aux forces de la Légion présentent dans Sigdil de nous regrouper pour se réorganiser. Je m’exécutais donc. Mon chef, ne croyant pas ses yeux en voyant ressortir un soldat de la Légion de l’intérieur de Sigdil, me vint en aide pour me protéger et me permettre de rester en vie. Depuis ce moment, je ne peux m’empêcher de verser une larme en repensant à cela car je ne pensais pas qu’il m’aiderait puisque étant de rang deux, je ne représentais pas grand-chose. Mon chef sait depuis ce jour là, qu’il dispose d’un soldat qui lui restera loyal et qui exécutera ses ordres du mieux possible. Ma gratitude lui est désormais toute accordée.
Le soir même, je reçus un contre-ordre de notre chef Airik car Orphée lui avait demander d’écourter la retraite et de renvoyer son armée dans Sigdil pour la délivrer le plus tôt possible. Le lendemain matin, à l’aube, je retournais dans Sigdil, à l’insu de l’ennemi qui dormais encore. Je transmis quelques informations utiles et j’attendis patiemment mon heure. Après quelques heures de lutte acharnée, je tomba et je réapparu en enfer. Je sus enfin ce qu’était de mourir pour un pays, une ville, une armée, des idéaux qui n’aurait pas du être bafouer par l’ennemi. Mais j’étais mort pour la gloire, l’honneur de servir mon prince et pour la paix.
Je suis resté deux jours en enfer. Au bout du deuxième, je pus ressortir par les portes, qui m’envoyèrent dans ma ville, Lardanium. En ce moment, je repars vers Sigdil pour faire payer aux ennemis leur parjure d’avoir pris la capitale de la paix et de l’anti-racisme.
Quand le moment sera venu (sûrement après la prise de Sigdil), je créerais une compagnie : « la confrérie de la paix », pour pouvoir aider à la sauvegarde d’Olympia et la sauvegarde de la liberté et la paix de tous. Elle sera basée sur le respect mutuel et la fraternité. Toutes les personnes seront les bienvenues mais la sélection sera rigoureuse. Je suis le seul dépositaire du savoir de toute une race, basée sur le respect mutuel, le paix et la sauvegarde d’Olympia et ce savoirs et ces notions ne mérite pas d’être partagée avec certains (sevens, apos, am et autre ennemis).
Voilà, j’attends vos réactions sur ma chronique et que ceux qui veulent entrer dans ma compagnie (ce n’est pas une faction) ou qui sont intéresser me contacte ici ou par bal.
Je vous attends.
Tanith
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