Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - de la poussière et des cendres
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de la poussière et des cendres
Topic visité 227 fois
Dernière réponse le 28/11/2004 à 15:38

nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Monty continuait sa course, suivant, de loin, Idril-Chronos qui se dirigeait vers Zagdanar.

Le soir d'un bivouac, alors qu'Idril était toujours distante et semblait préférer son garde du corps homme sauvage à l'escorte des meilleurs nains disponibles de Kazad, Monty regardait le sol, sec et poussiéreux.

Monty en prit une poignée. Une brise se leva et la poussière s'éparpilla éparpillant en une multitude de grains de poussières.
Chaque grain se dirigea vers le feu et crépita au contact des flammes.

Une poignée, et pourtant chaque grain est seul face aux flammes...

Le lendemain matin, Monty leva sa lourde silhouette metallique et contourna le foyer. De l'autre coté des flammes se trouvait un petit tas de cendre encore tiède.

Et de poussières, elles redeviennent cendres.

Au loin, Idril avait déjà repris sa course, s'éloignant à pas rapide.

Amoi de semer la poussière avant que les cendres ne me rattrapent

Monty reprit son bardat. Regarda le soleil se lever, hésita un instant, puis, prit d'un air décidé le chemin du sud.



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Chemin faisant, Monty entendit une bruit gaie et discret dans une combe avoisinante.

Monty descendit prudement la pente caillouteuse et traitresse, et trouva le campement d'un Homme Sauvage jeune et innocent.

"Bonjour messire Nain", dit ce dernier en voyant arriver Monty "Je fais du ragout de pissenlit. Vous partagerez ce repas avec moi?

Monty accepta et pris place à coté de l'homme sauvage agréable et sans défense.
La conversation était des plus agréable, et un véritable échange se faisait entre les deux.
Mais, au moment d'une conversation....

"Et à ce moment, l'elfe dit au nain, ne faite pas cette mine déconfite... HAHAHAHA, Tordant non?"
Mais Monty n'écoutait plus, le mot mine résonnait dans ses oreilles, tel l'écho de milliers de voix perdues dans les limbes pour un morceau de métal.
Le visage de Monty se figea. Monty avait soudain très chaud, transpirant la haine et la désir de sang.
"Un humour tranchant, très tranchant", dit-il dans un rictus, tout en attrapant sa hache de bataille dans la main droite.

...
L'humain n'avait fait que quelques pas avant de tomber, mort sur le sol.
Son sang commençait à former une mare autour de lui, tandis que le Nain reprenait sa hache.

De la poussière et du sang, tu transformera en cendres...

Dans le couché de soleil, la combe dégageait l'odeur acre d'un incendit, élevant haut dans le ciel les nuages de cendres qui allaient se répandre sur Olympia, témoins d'un massacre dont personne n'aurait connaissance.

Monty se dirigeait vers le sud, vers Lardanium, il aurait à parler, pour la première fois de sa vie avec un Ancien Sage d'Athena.



nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/01/1970 à 01:00

HRP/ C'est très joli
/HRP

Monty, je pensais que tu nous accompagnais,je suis décu...



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Monty marchait a vive allure sur la verte prairie, au nord du Lardanium. Cette terre inhabitée était pourtant hospitalière et agréable, peut-être un endroit propice à l'établissement d'une petite mine douillette.

Monty s'assis sur une pierre et commença à imaginer la vie dans cette région buccolique. Un troupeau de daim paissait à quelques centaines de mètres, pendant que des boeufs sauvages se regroupaient autour d'une mare.

Puis, le claquement sec d'un arc se fit entendre. Un daim s'écroula, fauché par la flèche. Le reste du troupeau s'éparpilla, réflexe de survie simple, abandonnant sur l'herbe tendre leur compagnon.

Que peut faire la dune de sable, face au vent? Multitude et pourtant seul.

Puis deux arbres des sous-bois proches furent secoués, laissant passer un géant de belle taille, qui rangeait son arc pour prendre son coutelas.
Monty se leva d'un coup, et descendit sa colline de pierre, pour aller à la rencontre du chasseur.

"Bonjour Maître Nain" dit le géant à l'apparence jeune."Une belle bête, hein? Ma fois assez grasse pour nourrir deux personnes!
Le nain le toisa des pieds à la tête, mais il n'y voya nulle tromperie.
"Cela se peut. Et justement, mon voyage m'a rendu las. Un peu de repos ne me ferait pas de mal."

Puis, le géant entreprit de dépecer la bête à l'endroit où elle était tombée.

Sous les apparences, la chair et le sang ...

Le soir tombait doucement sur la plaine, d'où s'élevait un feu joyeux et un rire clair.Le géant était habillé simplement et s'émerveillait devant l'armure de Monty. Tant de métal sur un corps si petit suffisait à le rendre hilare.

La soirée se passa sans mort, ni conflit. Les tendances homicides s'étaient calmées. "Et puis", pensait Monty en regardait l'endroit où était tombée le daim, "le sang a déjà coulé aujourd'hui."

Mais la hache semblant demander son tribut d'hémoglobine et plus d'une fois Monty se retint de frapper son ami d'un soir, comme il l'avait fait pour l'Homme Sauvage.
Monty regarda un instant la lame. Sous la lumière capricieuse des flammes, la lame semblait sourire. Le genre de sourire qu'adresse la mort à ses victimes, un sourire froid, metallique, sans espoir. Soudain, Monty regarda sa main droite. Le gantelet de fer avait pris fermement le manche sans qu'il s'en aperçoive. La main avait pris l'arme, et cette dernière semblait rire aux éclats de son triomphe sur le nain.

Brusquement, la Hache se leva, puis se bloqua. Le bras tremblait. Non pas que l'arme était lourde, mais Monty luttait pour contrôler son bras.
Finalement, la hache traversa l'air, fusa a travers l'espace pour atteindre le sang. Mais contrairement aux désirs de l'arme, elle atterrit sur le sol gorgé du sang du Daim.

Dans son sommeil, le géant se retourna, inconscient qu'il venait d'échapper, de peu, à la mort.

Le lendemain matin, Monty se leva avant son compagnon nocturne et repris sa hache.
Autour d'elle, la terre était craquelée et plus rien ne laissait apparaitre qu'un biche s'était vidée de son sang ici même.
...IL N'Y AVAIT PLUS DE SANG...

Et Le métal appelle le sang...


Monty jeta un coup d'oeil surpris à sa hache. Et cette dernière sembla lui sourire...



nain Par Grim Tulamor  le 01/01/1970 à 01:00

hrp/ j'aime beaucoup....
Mais quand va tu dire que ta hache est ton démon ...
Au moins comme ça ils comprendront qui tu es.



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Monty se trouvait sur une petite route de pierre, au sommet d'ue petite colline. Il porait son regard au loin, vers les blanches tours du Lardanium qui se découpait dans la brume du matin.
Cette vision lui donna de l'espoir. Cela faisait si longtemps que la vision des tours d'Ivoire et d'argent de la blanche cité lui avait été interdit. Depuis que le sang avait dominé son esprit et ses désirs.

le sang et le métal...

Il rangeait en sifflotant un air métallique que lui avait appris son père, quand il était encore mineur, cet air qui parlait de la sueur et de la terre, du sang et de la poussière...

Monty se releva, tremblotant. D'où lui était venu cette pensée. Durant un bref instant, un flash lui était apparu devant les yeux...

un couloir sombre, un vision rouge sanguine, un cri qui déchire l'air, comme une furie. Puis la sensation de chaleur et d'humidité, une matière visqueuse qui éclabousse la mine, .... son premier combat dans la mine familiale, la première fois qu'il affronta la Mort et ses apôtres, les verdeux....

Ses doigts s'étaient une nouvelle fois refermé sur le manche ouvragé de sa hache, les jointures blanchies par la pression. Son visage était tendu par ce funeste souvenir, temps perdus et lointaint, où la vie était peu de choses et où il n'avait su protéger les siens.

L'ombre et le sang...

Il remarqua à ce moment que le soleil lui était voilé, et le bruit d'un cheval qui raclait ses sabots sur le pavé de la route. Quelqu'un était derrière lui.
Il se préparait à se retourner et à abattre son arme sur son ennemi, quand une voix ferme et déterminée s'adressa à lui.
"Messire Nain, les Terres de Lardanium sont ouvertes à qui a des intentions pacifiques. Range ton arme et entre si tu le veux. Sors la, et voit notre courroux...

Monty se retourna et vit sur un lourd destrier carapaçonné un des fameux membres de la Garde Impériale. Son armure d'or et d'argent se découpait sur le soleil déjà haut.

"Combien de temps ai-je passé dans les méandres de mes souvenirs?" pensa-t-il.

Il se releva et leva la tête pour regarder droit dans les yeux l'olympiens.
"Je respecterais autant que je le pourrais vos lois.", puis, il se lissa la barbe Je dois rencontrer le grand Parium, j'ai une question à lui poser.

Puis, un désir soudain monta en lui, et une vision embruma son esprit...
Le cheval gisait au sol, son sang se vidant par la blessure béante de son poitrail, un rire sauvage couvrait les cris de panique de l'olympien prisonnier de sa monture; pendant que Monty montait sur le destrier agonisant et abattait sa hache sur le garde, et abattait à nouveau sa hache, encore, encore, encore, et encore,... transformant les cris de douleurs en un gargouillit grostesque, puis en un silence entrecoupé des bruits d'os brisés par le métal...

Quand Monty remonta les yeux, cherchant sang, mort et violence, l'Olympien avait disparu au loin.

Monty respira à fond et chassa ses pensées homocides, retrouvant son calme et ses esprits. Il descendit le Lardanium en direction de la porte Nord.
Puis il regarda sa hache d'adamantium, accrochée à son côté.
Quand seras-tu de m'importuner, quand devrais-je cesser de tuer pour toi?"

Bien sûr, elle ne peut pas répondre, ce n'est qu'une arme!, dit-il tout, pour se rassurer.

Quand j'aurais ton sang... dit une voix à la fois métal et obscurité, jetant un voile d'horreur sur le visage de Monty. Quand j'aurais ton sang...

Monty pressa le pas.



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Monty se trouvait sur une petite route de pierre, au sommet d'ue petite colline. Il porait son regard au loin, vers les blanches tours du Lardanium qui se découpait dans la brume du matin.
Cette vision lui donna de l'espoir. Cela faisait si longtemps que la vision des tours d'Ivoire et d'argent de la blanche cité lui avait été interdit. Depuis que le sang avait dominé son esprit et ses désirs.

le sang et le métal...

Il rangeait en sifflotant un air métallique que lui avait appris son père, quand il était encore mineur, cet air qui parlait de la sueur et de la terre, du sang et de la poussière...

Monty se releva, tremblotant. D'où lui était venu cette pensée. Durant un bref instant, un flash lui était apparu devant les yeux...

un couloir sombre, un vision rouge sanguine, un cri qui déchire l'air, comme une furie. Puis la sensation de chaleur et d'humidité, une matière visqueuse qui éclabousse la mine, .... son premier combat dans la mine familiale, la première fois qu'il affronta la Mort et ses apôtres, les verdeux....

Ses doigts s'étaient une nouvelle fois refermé sur le manche ouvragé de sa hache, les jointures blanchies par la pression. Son visage était tendu par ce funeste souvenir, temps perdus et lointain, où la vie était peu de choses et où il n'avait su protéger les siens.

L'ombre et le sang...

Il remarqua à ce moment que le soleil lui était voilé, et le bruit d'un cheval qui raclait ses sabots sur le pavé de la route. Quelqu'un était derrière lui.
Il se préparait à se retourner et à abattre son arme sur son ennemi, quand une voix ferme et déterminée s'adressa à lui.
"Messire Nain, les Terres de Lardanium sont ouvertes à qui a des intentions pacifiques. Range ton arme et entre si tu le veux. Sors la, et voit notre courroux...

Monty se retourna et vit sur un lourd destrier carapaçonné. Un des fameux membres de la Garde Impériale. Son armure d'or et d'argent se découpait sur le soleil déjà haut.

"Combien de temps ai-je passé dans les méandres de mes souvenirs?" pensa-t-il.

Il se releva et leva la tête pour regarder droit dans les yeux l'olympiens.
"Je respecterais autant que je le pourrais vos lois.", puis, il se lissa la barbe Je dois rencontrer le grand Parium, j'ai une question à lui poser.

Puis, un désir soudain monta en lui, et une vision embruma son esprit...
Le cheval gisait au sol, son sang se vidant par la blessure béante de son poitrail, un rire sauvage couvrait les cris de panique de l'olympien prisonnier de sa monture; pendant que Monty montait sur le destrier agonisant et abattait sa hache sur le garde, et abattait à nouveau sa hache, encore, encore, encore, et encore,... transformant les cris de douleurs en un gargouillit grostesque, puis en un silence entrecoupé des bruits d'os brisés par le métal...

Quand Monty remonta les yeux, cherchant sang, mort et violence, l'Olympien avait disparu au loin.

Monty respira à fond et chassa ses pensées homocides, retrouvant son calme et ses esprits. Il descendit le Lardanium en direction de la porte Nord.
Puis il regarda sa hache d'adamantium, accrochée à son côté.
Quand cesseras-tu de m'importuner, quand devrais-je cesser de tuer pour toi?"

Bien sûr, elle ne peut pas répondre, ce n'est qu'une arme!, dit-il tout haut, pour se rassurer.

Quand j'aurais ton sang... dit une voix à la fois métal et obscurité, jetant un voile d'horreur sur le visage de Monty. Quand j'aurais ton sang...

Monty pressa le pas.



olymp Par Parium  le 01/01/1970 à 01:00

Parium se trouvait vers l'une des belles clarières de sa cité, il s'était posé près d'un ruissaux, il avait l'air songeur ou même plus, il avait l'air d'être plongé dans ses pensées, comme si plein d'évènements avaient eut lieu il y a peu de temps. Le calme lui permettait de reposer ses esprits et de ne plus penser au massacre qu'il voyait sur le champs de bataille.

Soudain, il entendit la puissance d'un destrier poussé à sa plus grande capacité allant vers sa direction. Parium se retourna et vit un de ses grands amis sur son cheval, un des grands guerriers de la Garde Impériale.
Après s'être arreté aux pieds de l'Olympien, le cavalier prit la parole.

Parium, un Nain veut te voir, je ne connais pas bien la raison, mais il voudrait te poser une question.

Parium, l'air surpris regardait vers l'horizon, quelques seconde plus tard.

Très bien, je te remercie mon ami. Je vais aller à sa rencontre



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Monty entra par la porte ouest, celle qui reçoit le soleil couchant, celle qui lutte contre la nuit avant le règne des ténèbres.

Je boirais ton sang.... tu e~~~~s a m~~~~oi...
les paroles raisonnaient encore dans sa tête, frappaient et frappaient encore la volonté et la force mentale du Nain.

Puis, le silence.

Monty se trouvait dans la grande Cité de Lardanium. Les paroles intérieures s'étaient tues, seuls parvenaient les sons de l'activité de la ville, cosmopolite et si vivante. La Hache était muette.

Monty déambula dans les petites ruelles des quartiers ouvriers, par les larges avenues entourées des hôtels particuliers des Guildes et de la Noblesse.
Puis Monty rencontra Parium.

Le fier guerrier portait encore les marques de son passage dans les Enfers, un domaine qu'avait connu Monty, quand son unique Maître avait été Hades.
Parium le regarda de toute sa hauteur et semblait brillé d'un feu intérieur et ardent. Il portait une robe de soie et, dans le soleil de midi, il avait une réelle allure Noble, dans le pur sens du terme.

Mais Monty se doutait qu'une robe, si belle et si ouvragée puisse protéger dans un combat. Monty était un Nain, une race pragmatique qui ne donnait sa confiance qu'en l'acier dur et tranchant.

Avant que Monty puisse esquisser un mot, Parium leva la main en signe de bienvenue et dit d'une voix à la fois forte et amicale.
Ami Nain, je dois quérir les Maîtres du Savoir afin d'aider mon peuple du mieux que je pourrais. Attends moi en ville, je t'y rejoindrais.

Monty resta bouche bé, ne s'attendant pas à un délai supplémentaire, ne sachant pas quand les voix reprendront, quand il perdra, à nouveau, le contrôle de son corps.

Déjà, sa force mentale avait décliné, mais, il se sentait plus fort. Une rune s'était affichée sur le manche de son arme. Elle représentait un cheval carnivore au galop.

Monty regarda s'éloigner Parium, sans s'apercevoir que les veines d'Adamantium de la lame s'étaient animées à la présence de Parium et que déjà, elle commençait à former une nouvelle rune sur l'arme.

"Bien~~~~~t~~~~~ôt....", murmura une voix dans le fond de son esprit "Bien~~~~~t~~~~~ôt...."



nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/01/1970 à 01:00

HRP/
Magnifique chro, j'ai hâte de voir la suite



Par Google  

nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Monty déambulait sans but dans les rues de la cité. La blancheur commençait à se transformer en vision blâfarde. La cité était connu pour sa grandeur et sa puissance, Monty voyait précipitation et décadence.

Puissants et forts, les Olympiens perdaient cette grandeur en bataillant partout et pour d'autres que leurs peuples. Quelles puissances ils seraient, si d'une force une seule ils attaquaient leurs ennemis, un a un...

... Mo~~~~rt...
Perfide, la voix se faisait entendre aux moments les plus inattendus, mais elle restait sourde et peu puissante, ici, dans la première des Cité, la demeure des Dieux.

Mais ceux-ci l'avaient quitté. Au centre de la Ville, un Titan pouvait vaquer sans être inquiéter.

... la F~~~in des Te~~~mps...

Tudieu, vas-tu te taire malheur ambulant! hurla Monty en direction de l'arme

Les gens autour regardèrent le Nain avec stupeur, puis continuèrent leurs travaux en voyant qu'aucune menace n'était à prévoir. Certains secouaient la tête, d'autres parlaient à voix basses en montrant le Nain du doigt.

Un peu plus loin, sur la place, un convoi se mettait en place. Des troupes fraîches étaient acheminées sur le front de Sigdil, front perdu face aux troupes conquérantes du "7", alors que Zagdanar était le territoire des Spectres et de la secte de l'Apocalypse. Le monde changeait, les cités tombaient.

LEs elfes, terrés dans leurs forêts d'Astoria tentaient d'ignorer les cris de guerre dans le monde qui les entoure.
Les Nains étaient de toutes les factions.
Les Humains menaçaient l'équilibre du monde.
Les hommes sauvages s'entredéchiraient.

Même les Dieux avaient perdus la raison, et le Champion de Zeus n'était qu'autre qu'un des meneurs des Humains, et non pas une des races qu'ils avaient créé et qui les adoraient.
Non, ces humains qui ne croyaient qu'en la magie technologique étaient devenus les préférés des Dieux, alors qu'ils étaient les plus athés de ce monde.
LEs Humains, les humains.....


"GNAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA" Monty se prit la tête entre les mains, et hurla de douleur. Comme une épine dans la tête, quelque chose lui vrillait le cerveau. La douleur atroce était insupportable.

Monty tomba au sol, les genous à terre, la tête toujours entre les mains.
Il était dans un terrain vague des Lices de Lardanium, seul. De la bave gouttait de sa bouche pendant qu'il reprenait bruyamment son souffle. Ses yeux étaient écarquillés, brillants. Les veines ressortaient de son cou.
Puis, s'appuyant sur sa hache, il se releva, un sourire sadique aux lèvres.



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Quelque chose avait changé...


Le monde était si... sombre... . C'était la nuit? .... Non, le soleil pouvait se deviner à travers les nuits noirs comme la suie... Un flash... Puis, un tremblement se fit sentir...les bâtiments tombaient en ruine autour de lui, le sol se craquelait... de la lave jaillissait de trous béants...

Tout proche, une tour de guet tomba avec fracas sur une foule en proie à la panique. La tour du Lardanium fit ébranlée mais resta en place. Des blocs de pierre chutèrent sur des gardes en bas de la Tour.

Le ciel changea et il commença à rougeoiller à l'ouest. Un vent de chaleur venant des terres occidentales du monde se fit sentir....

Le ciel rouge se déplaçait rapidement en direction du Lardanium. Monty gravit un rempart. En bas, les gens étaient bouche bée devant le cataclysme qui arrivait.
A l'extérieur, les choses n'allaient pas mieux. Les gens couraient en direction de la Cité, pendant que des groupes entiers disparaissaient dans des gouffres vomissant vapeurs et flammes. La Mort, partout, faisait sa macabre moisson.

Puis, un mur de fumée arrivait à la vitesse d'un cheval au galot et réduisait en cendre les bastions de la Grand Couronne du Lardanium, un nuage s'élevait sur la ligne de l'horizon, sombre, noir, en forme de tête de mort. Ce visage morbide se tourna vers Monty, sembla le fixer, sembla rire.... puis ce fut le choc.

Le rempart réputé indestructible fut balayé comme un fétu de paille par la vague de poussière! Monty fut envoyé au loin et tomba sur une zone de terre meuble, proche de l'étang.
Quand il se releva, groguis, il pouvait voir la cité entièrement ravagée. Les maisons étaient complètement en ruine, la Tour du Lardanium s'élevait encore fièrement, malgré les larges balafres visibles sur ses flancs.

L'air était plein de poussière. Les poumons encrassés et la gorge sèche, Monty vit arrivé sur lui le mur de flamme qui suivait la poussière.....

Monty voulu entamer un cri de terreur ultime, mais il ne le put pas. La mer de flamme transforma l'étang en vapeur en un instant puis atteignit le Nain, Son armure parut tenir le choc pendant un millième se seconde avant de fondre, puis de s'évaporer comme de la vulgaire eau.
Le corps tout entier de Monty se consuma en un instant, mettant un terme à sa vie, brusquement.

....

Quelques secondes plus tard, la vague de flammes avait poursuivi sa course folle sur Olympia.
La cité du Lardanium n'était plus. Les gens qui l'avaient habitée n'étaient plus. Aucune trace ne subsitait de ce qui avaient été n'était visible.

Quelques flammes s'attardaient encore sur le dernier mur debout de la Tour du Lardanium, dernier vestige visible de la Blanche Cité.

....


Monty rouvrit les yeux. Il était allongé contre l'étang, au bord des Lices.
L'herbe verte lui touchait le visage, la brise de fin d'automne était fraîche.

Le Nain porta le regard sur son arme, immobile, normale,... trop normale à son goût.

Et le Nain se releva et tout en fixant son arme, il lui demanda :
"Qui va créer ce désastre?" sa voix trahissait l'inquiétude...



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

La voix métallique s'était fait plus chaude, plus proche, plus intime.
"A l'ouest, un ennemi sans nom se lève et attend son heure. Bientot, il se réveillera."

"L'ouest" pensa Monty tout haut. "Ces saletés d'humains c'est ça?"

"Tu y es presque" La voix était presque moqueuse. Après un silence, elle termina "Détruit les."

Monty reprit le chemin des portes. Si Parium devait le rejoindre, il devrait le faire avant qu'il quitte le Lardanium.
Les humains allaient déclencher l'Apocalypse, dans le sens le plus terrible du terme, contrairement aux pseudo spectres de Zagdanar.

"De Feu et de Métal



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Monty, regardait les troupes qui s'accumulaient autour de lui.

Les Forces étaient prêtes, les désirs de sang pouvaient se sentir derrière les heaumes des chevaliers olympiens.

Parium commandait une force, haute en couleur et puissante. L'acier brillait sur le soleil du matin. Les troupes se découpaient dans la brume matinale. Le clocher du Lardanium sonnait les matines...

mo~~~~~rt.... Les humains sont proches de leurs buts

Monty regarda sa hache
Ils n'auront pas le temps, je les arrêterais avant. il regarda l'armée olympienne qui se regroupait dans la plaine Avec l'aide de bons guerriers

le te~~~mps presse.... Car après, j'aurais ton sang....

Le nain tonna : Je sais maudite! Mais tu ne le goûtera pas avant de me faire triompher de mes ennemis et d'avoir empêcher les humains de créer ce sort de destruction. Nous fermerons la mine...



nain Par Vulkor  le 01/01/1970 à 01:00

Le Nain courrait dans la plaine.

la voix métallique sonnait dans sa tête
plus vite, les humains sont devant. Tu es plus fort, tu pourras tous les tuer

Le Nain continuait de courir, hache levée sur un groupe d'humains lointain.
Derrière lui, les Olympiens n'arrivaient pas à suivre. Ils soufflaient surpris par la diligence du Nain.
Certains lui demandaient de rester grouper, de prendre quelques précautions. Mais le nain courait, comme possédé, tel les anciens Berzerks des Chroniques de Khazad.

Un premier sort fusa et le toucha en pleine poitrine, mais n'altéra pas sa course, le second sort, le fit chanceler, mais après quelques mètres, Monty continua sa course, toujours la hache brandie

Cette dernière le motivait
"Vas-y, court! court!"

Et le nain courait.
Trois sorts convergèrent sur sa sihouette bondissante et le transformèrent en une masse informe de chair, de métal et de glace.

Les humains se penchèrent dessus, mais il n'y avait plus de traces du Nain. La hache, l'équipement, la barbe, tout avait disparu.

Le sang avait disparu...

Dans les Enfers, un rire puissant résonna dans les cavernes. L'âme de Monty avait perdu ses yeux bleus, ils étaient devenus gris métal.
Son bras portait une étrange rune d'entrelacs sombres.

Un spectre-serviteur d'Hades vint le saluer, étant ancien champion d'Hades, ce dernier veillait à son confort dans les limbes.
Monty le regarda et le toisa du regard :
Monty est mort, appelle moi Vulkor, l'Héritier de la Mémoire Thunk...

HRP : c'est possible de changer de nom? Monty étant mort, je reprends le pouvoir sur son avatar. Cette petite chose de chair contiendra l'ame de "Vulkor", le dernier des Thunk.




nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/01/1970 à 01:00

HRP/
Heeeeeeeeuuuu, les Thunks???? C'est des archers, ca ???

Sinon, jolie chro, et bienvenue Vulkor!!!



nain Par Drohir Tulamor  le 01/01/1970 à 01:00

HRP: wouhaaaa comment c'est joliiii... Félicitations, mais Monty me manquera.