Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - Mémoire...
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Mémoire...
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Dernière réponse le 16/11/2004 à 12:21

elfe Par Ban de Bénoïc  le 01/01/1970 à 01:00

Ban de Bénoïc se réveil en enfer après sa mort a Sigdil


*Ban de Benoic parle*

"quel est ce noir intense qui enveloppe tout?? ou suis-je?? pourquoi n’ai-je donc pas de souvenir?? même mon nom c 'est effacé Ben? non Brand? non plus un B... B... il y a un B"

Il fallait bien que je me rende a l'évidence, ma mémoire laissait bien des lacune et sont exploration ne me fournissait pas beaucoup d information. j avais du prendre un terrible coup sur la tête pour que cela arrive. Je me mis debout, peut être un peu trop rapidement car j entendis un bourdonnement extrême et je sentis mon corps se dérobé sous mon poids

ban reprend connaissance doucement


"Ban mon nom est Ban j en suis sur Ban de ... je dois me concentrer... durant ma perte de connaissance j’ai senti mon âme se tourné en moi et parlé avec mon corps, je dois, Je dois me rappeler de ces paroles !!!"

je m assis délicatement pour éviter un nouveau vertige
"De bénoïc oui Ban de Bénoïc, Il y a très longtemps j étais alors roi de benoic suit a la mort de mon père, je pris les renne du royaume et quel royaume, celui ou les prés son vert et ou les mots tel que guerre ou bataille n existe pas. Cependant la tristesse imprégnai mon âmesuit a la disparition de mon père. Alors ma mère pour me consoler me conta une légende qui racontait que toutes personne bonne et juste, a sa mort partaient pour Olympia le pays des dieux, ces parole, je mes entant encore tomba rapidement dans les méandres de ma mémoire et je fini par les oublier. Mon règne fus cour les légion de crowal étaient au porte de mon royaume. lorsque a mon tour je fus assassiné en Bénoïc, les mots de ma mère me revins a l esprit je n y avais jamais cru et pourtant
"mère je sais que tu ai sur Olympia et je pense toujours a toi, je te retrouverai"

Il y eu pourtant une désagréable surprise mon âme se sépara en deux dans un cris de douleur et je regardai mon âme sœur s éloigné de plus en plus. Lord de ma renaissance, je me pencha sur un miroir d eau et j aperçu ma nouvel enveloppe charnel. Pas de doute j ai hérité de ma mère la renne des fée, mon corps portai des oreilles allongés, ma taille était svelte et me cheveux étaient de neige, j étais devenu un elf. Ce jour la je regretta ma carrure de guerrier que j avais laisser sur Ambres a ma mort Mais je découvris de nouvelle qualité comme l'adresse la rapidité et la magie

Lors de mon arrivé je ne fus accueillie que par des cou de bâton et j ai rencontré Kardan
cette naine, j étais naïf et jeune je lui fis confiance et durant longtemps elle m utilisa comme elle le désirait aujourd'hui je porte sur mes main le sang d 'un elfe par sa faute et cela malgré moi. Malgré cela Kardan restera toujours une amie je ne dis pas que avoir sa tête ne me ferai pas plaisir mais... elle fut la seul a me protégé. un nain ami d un elfe étrange non???

depuis j ai fais un bout de route tout seul ma sœur Pendragon est morte a jamais
sans cérémonie et sans honneur peu importe, j ai appris a endurcire mon cœur. Ici les sentiment ne sont pas bon et trouble la magie. j ai appris a me servire de la magie et elle est devenu mon allié. Et pour êtres sur de faire un bon usage des celle ci je fais désormais parti des Erudit d'Astoria, petit groupe combattant avec et pour la magie mais ne se limitant pas a cela. Je suis déjà un mage, peu puissant certes mais rien ne m arrêtera.

a l Heur d aujourd'hui je cherche toujours l autre partie de mon âme, mon âme sœur, avec la craint que celle ci soi du coté des nains ou pire, que celle-ci ne me reconnaisse pas... je cherche également ma mère car je suis sur quel se trouve ici sur Olympia "a chère mère si vous lisez ces lignes écrivez moi".
Pour arriver a ces buts j ai intégré la grande fraction des elfe "Astorial cité libre." car je sais qu'au sain de cette famille, Je la retrouverai.

Mes souvenir se porte sur cette ville, Sigdil pour qui j ai donné mon sang, ma vie, Sigdil libre long vie a toi. a bientôt peut être, je porte toujours les marque de la [vie] sur moi


Ban de bénoïc, enfoui sa tête dans ces bras et s'endormi dans ce noir des enfer