Par Ellernill le 01/01/1970 à 01:00 Ses deux épées tombèrent d'abord sur le sol boueux, puis Ellernill s'écroula à son tour, meurtri pas ses blessures, par sa Plaie...
Battu. Peu importe comment, peu importe par qui. Il avait encore été battu et attendait sous la pluie, résigné, son voyage vers les enfers. Une fois encore, il partirait sous le macabre sourire d ela Plaie Céleste, laquelle gardait inlassablement ss secrets, à la fois ceux des origines de son porteur, mais aussi de ses humiliations, et de ses souffrances, rappelant perpétuellement la quête inachevé de l'elfe.
Ellernill tourna son regard vers Apocalypse et Vandal Hearth. Comme pour lui répondre, les lamesse teintèrent respectivement d'une aura noire et blanche-verdoyante. Il savait ce qu'elles disaient: "défaite". L'inaliénable souvenir de vies qu'il n'avait pu sauver, de vies qu'il n'avait pu prendre assiégeait les pensées de l'elfe
Ellernill tourna sa tête vers le ciel, vers la Lune...
Il se souvint...
Il compris...
Des larmes coulèrent le long de son visage et se mélèrent à la pluie. Il s'était jurer de ne jamais pleurer. Les larmes sont la défaite du corps contre le coeur. Elles constituent la preuve que garder un coeur ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir. Une nouvelle défaite. Sa dernière. Ellernill ne regagnerait pas à nouveau les enfers, la Plaie Celeste avait eu ce qu'elle voulait: ses motivations, ses valeurs, sa fierté, son corps et son âme...Ce n'était pas Ellernill, mais la Plaie qui poursuivait une quête, la macabre quête d'un châtiment...
Des larmes...sa dernière défaite, mais peut etre sa seule victoire, celle d'avoir prouvé qu'il avait un coeur
Le corps d'Ellernill commençait à s'évanouir en petites lueurs.
Il contempla une dernière fois la Luneet lui murmura, comme un testament à un ami:
"Veille sur Liriel."
Autre lieu même moment, des yeux tournés vers l'astre de nuit verse une larme de sang...
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Voilà Ellernill tire sa révérence sur ces belles paroles...
Battu. Peu importe comment, peu importe par qui. Il avait encore été battu et attendait sous la pluie, résigné, son voyage vers les enfers. Une fois encore, il partirait sous le macabre sourire d ela Plaie Céleste, laquelle gardait inlassablement ss secrets, à la fois ceux des origines de son porteur, mais aussi de ses humiliations, et de ses souffrances, rappelant perpétuellement la quête inachevé de l'elfe.
Ellernill tourna son regard vers Apocalypse et Vandal Hearth. Comme pour lui répondre, les lamesse teintèrent respectivement d'une aura noire et blanche-verdoyante. Il savait ce qu'elles disaient: "défaite". L'inaliénable souvenir de vies qu'il n'avait pu sauver, de vies qu'il n'avait pu prendre assiégeait les pensées de l'elfe
Ellernill tourna sa tête vers le ciel, vers la Lune...
Il se souvint...
Il compris...
Des larmes coulèrent le long de son visage et se mélèrent à la pluie. Il s'était jurer de ne jamais pleurer. Les larmes sont la défaite du corps contre le coeur. Elles constituent la preuve que garder un coeur ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir. Une nouvelle défaite. Sa dernière. Ellernill ne regagnerait pas à nouveau les enfers, la Plaie Celeste avait eu ce qu'elle voulait: ses motivations, ses valeurs, sa fierté, son corps et son âme...Ce n'était pas Ellernill, mais la Plaie qui poursuivait une quête, la macabre quête d'un châtiment...
Des larmes...sa dernière défaite, mais peut etre sa seule victoire, celle d'avoir prouvé qu'il avait un coeur
Le corps d'Ellernill commençait à s'évanouir en petites lueurs.
Il contempla une dernière fois la Luneet lui murmura, comme un testament à un ami:
"Veille sur Liriel."
Autre lieu même moment, des yeux tournés vers l'astre de nuit verse une larme de sang...
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Voilà Ellernill tire sa révérence sur ces belles paroles...
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