voulez-vous savoir qui nous sommes? | |
Topic visité 0 fois Dernière réponse le 06/12/2004 à 20:48 |
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Le soleil rouge flamboyant dominait la vallée, La chaleure deformait l'horizon et tous les oiseaux étaient posés sur les branches ou au sol pour eviter de voir leurs ailes brulées.
Un géant courait au milieu des bois, il dépassait largement la taille moyenne de ses congénaires. Une épée batarde rangée dans son fourreau était attachée dans son dos, sa lame tombait presque jusqu'au niveau de ses genoux. Il avançait à une allure soutenue depuis quelques kilometres sans donner l'impression de se fatiguer. Le reagrd fixé sur l'horizon, son objectif : Lardanium ! Apres 5 jours de courses, il pu enfin apercevoir les remparts de la ville. Il stopa net, jetta un regard autour de lui, attentif, il semblait chercher quelquechose de précis! Une fois finis, un leger sourir se dessina sur son visage, il leva les yeux et les bras au ciel et cria : J'ai gagnéééééééé pointant du doigt de la main droite vers la gauche et faisant un geste circulaire vers la droite, recommencant la chorégraphie avec la main gauche tout en rumuant son arriere train. Une caillasse vint percuter violement la tête du géant, qui tourna la tête d'un mouvement rapide pour essayer de voir d'ou venait la pierre ! Assis sur un rocher, un nain levait le troisieme doigt en direction de Körndürr avec un petit ricanement. Ce petit être ne lui était pas inconnu... GOLGOTH, 'foiré c'était toi ! Hé ouai, et j'suis arrivé avant toi! pfff, j'ai regardé tout a l'heure et t'était pas la... BLAMMMMMMMME Un rocher magnifiquement esquivé par golgoth vint percuter le sol. Körndürr - ...Arngrim est deja la aussi? Golgoth - apparament ! Accroupi derriere un petit arbre, Arngrim avait réussi à échapper a la vigilance des deux Nordiques! Il s'avança d'un pas fier, la tête haute! un sifflement se fit entendre, tout d'abord leger, puis de plus en plus grave, les deux géants et le nain leverent la tête au ciel. un petit point noir semblait grossir et se rapprocher d'eux. Körndürr baissa la tête, réflechit un court instant...leva le sourcil droit et dit d'une voie...mafoie...audible au moins jusqu'à sigdil: BARREZ-VOUUUUUUUUUUUUUUUUUS Golgoth put faire un leger pas en arriere et plongea aussi loin qu'il put en criant a son tour : Mimir, tu me le pairaaaaaa (Je crois pouvoir affirmer que les propos d'arngrim ont été censuré pour cause sensibilité chez certains de nos lecteurs) un tronc d'arbre arrivé du ciel , d'au moins 15 pieds de haut s'enfonca dans le sol au milieu du cercle que formait les trois nordiques allongés au sol! Le géant à la fier allure se tordait le ventre en roulant dans l'herbe, pleurant de rire. Quand il se leva, il avait encore quelques larmes qui coulaient et le sourir jusqu'aux oreilles. Se tappant sur le corps pour faire partir toute la terre qu'il avait sur lui. Quand il leva les yeux, Arngrim, Körndürr et Golgoth étaient devant lui, la mine pas franchement amicale, nous pouvions lire dans leur regard un sombre envie de meurtre. Ils se jetterent tous trois sur lui formant une mélée générale. Un autre cri se fit entendre (oui oui encore un!): Moi aussi je veux jouer ! le teint de Golgoth vira au blanc, les yeux ecarquillés et les pupilles dilatés... Non tab'hass non non noooooooooooooooooon le géant prit son elan...au moins une dixaine de metres pour venir percuter le tas de guerriers qui se trouvait au sol se melant ainsi a ses compagnons d'armes... (pour des raisons itératives, L'arrivée de chacuns des Nordiques ne seront pas cités, je vous laisse deviner la délicatesse de chacunes de leur entrée) apres avoir fini de se dire bonjour, chacuns leur manieres, Körndürr prit la parole : Je vous ai réuni aujourd'hui pour une raison précise qui est la suivante : Nous autres nordiques ne sommes pas reconnu en tant que guerriers aux yeux d'olympia. A mon sens, nous nous devions de nous réunir afin de nous présenter dans la ville des olympiens, histoire que quelqun puisse enfin remarquer que nous sommes présents. Pour cela je vous demanderait d'essayer de rester poli, de dire bonjour comme tous le monde, d'éviter de vider les reserves de la taverne...je parle pour vous vinndalf, Karngrim, Krohom et compagnie...mais surtout toi Golgoth! Apres un long briefing sur les mannieres bonne conduite, le groupe prit le chemin de lardanium. Apres avoir passé les portes et quelques minutes de marche ils arrivèrent a la taverne. |
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Golgoth et Skrymir, la rencontre :
(flashback) L’air est sec et frais, une petite bise lui fit parcourir un frisson dans le dos. Etendu à même le sol Skrymir ouvre peu à peu les yeux : -??...Qu’est-ce que je fais là ?....Où suis-je ?... Se tenant la tête tout en se redressant, il remarque au toucher que ses cheveux sont ébouriffés et voit les poils de son corps tellement dressé qu’il ressemble plus à un yéti qu’à un géant. -…Grumpff, saleté d’électricité. Je me souviens,….Astoria,….les 2 elfes et le géant,….mon passage à tabac, les coups du géant et les décharges électriques… Tout en s’époussetant, pour enlevé la terre qu’il a sur ces vêtements, il regarde autour de lui, à la recherche d’un indice géographique qui lui permettrait de savoir où il est. Apercevant la tour Nord-Est de ce qui fût jadis la sublime ville de Sigdil, le géant est pris d’un énorme fou rire: - Mouhahahaha, Sigdil est là et donc Zagnadar est juste au Nord-Est de ma position. J’arrive enfin à proximité du champ de bataille que je désirais atteindre et ce, avec 5 jours d’avance sur mes prévisions. Il ne me reste plus qu’à retrouver quelques frères non corrompu combattant au nom des géants contre le fléau qui nous fait honte et me joindre à leur cause. Maintenant bien réveillé, Skrymir est dérangé par une légère odeur de putréfaction. Il se dit que non loin de lui doit se trouver le cadavre en décomposition d’un guerrier mort au combat mais très vite il se ravise: l’être qu’il aperçoit lui glace le sang jusqu'aux os et le frisson qui parcourt son échine ne doit plus rien à la fraîcheur de l’air, jamais il n’avait été aussi proche d’une chimère aussi puissante de l’armée des morts. -Arf, bon, il ne semble pas s’intéresser à moi et je ne peux pas l’affronter à la loyale pour le moment car je suis encore beaucoup trop faible mais d’un autre côté, l’occasion est tentante de lui faire la nique. J’opte pour lui décocher 2 flèches et prendre la fuite, ce n’est pas une attitude très courageuse mais c’est moins stupide que d’attendre bêtement sa riposte. Aussitôt pensé, aussitôt fait. Ayant couru le plus vite et le plus loin possible sans se retourner, arrivé à bout de souffle, Skrymir décide de se reposer un instant et s’adosse à un immense chêne. Non loin devant lui il aperçoit un être aussi haut que large, arborant une barbe lui descendant jusqu’aux genoux (ou peut-être même les chevilles) et armée d’une splendide hache à 2 mains. Voilà qui ressemblait beaucoup plus à un individu avec lequel faire route jusqu’au front et Skrymir décide donc de l’apostropher. S :-Bonjour messire nain, je me nomme Skrymir G :-‘lut Skrymir, je suis Golgoth le pourfendeur. S :- Gné ?... Regardant le nain de la tête aux pieds …Golgoth ? G :-Certes je ne mesure qu’1,20m mais mes 130kg et ma hache peuvent m’aider à argumenter si tu le désire. Le géant, constatant avec quelle aisance le nain joue avec sa hache, se dit qu’en prendre un coup pourrait être marrant histoire de se fendre un peu la gueule mais ce n’était pas trop le lieu ni le moment. S :-Une autre fois peut-être, j’ai rencontré une puissante chimère purgatrice il y a peu et en cas de représailles pour l’attaque que je lui ai porté, je préfère éviter de trop m’affaiblir. G :- Tu as provoqué un membre de l’Armée des Morts ??! Espèce d’inconscient, où sont tes alliés et qui sont-ils ? S :-Je n’ai pas d’allié, j’ai fait route jusqu’ici seul et c’est sur le champ de bataille que j’escomptais trouver un groupe d’alliés auquel me joindre. G :- Et bien soit, je connais un groupe de combattants venu du Nord nommé les Nordiques, je suis leur protecteur, si tu veux je peux leur parler de toi. S :-Ce serait avec plaisir Golgoth…ARGHHHH La chimère n’avait pas oublié le jeune géant. Et, en pleine discussion, Skrymir et Golgoth ne l’avais pas vu arrivé. (Amis lecteurs, afin d’éviter une censure pour les moins de 16 ans je passe les détails de l’attaque que subit Skrymir.) Légèrement sonné et les muscles meurtris par l’attaque, le géant constate que la créature n’est plus seule cette fois. Un de ses semblables l’avait rejoint ainsi qu’un autre être, certainement un ancien géant mais il n’était plus qu’un cadavre ambulant portant sur son armure le blason de l’Apocalypse. Les deux créatures n’étaient pas intervenues dans cet assaut et se contentait pour l’instant de se délecter du spectacle, ce qui arrangeai Skrymir qui aurait le temps cette fois de dire quelques mots avant de périr. S :- Je ne suis pas mort, tu me déçois, je te croyais plus puissant que ça, j’espère que tu es le plus faible de tous et que tu n’as pas d’autre vocation que de servir d’amuse-gueule pour ceux qui combattent au front. (Bas a Golgoth) Je le chamaille mais de toute façon je vais certainement mourir. Tu peux dire aux Nordiques qu’ils peuvent me considérer comme leur allié. Quelle que soit ma destination future, j’essayerai de les trouver et de me joindre à eux. X :-Détrompes-toi petit, cette attaque n’était pas aussi puissante que la prochaine que je serai en mesure de te porter. Prépare toi à mourir. (Après un instant de réflexion et, finalement hésitant : ) A moins que je ne te laisse galérer avec ton dernier souffle de vie Hahahahaha ! S :-Tu m’as certes affaibli mais laisse moi le temps de récupérer de mes blessures et tu verra que même le plus puissant de tes assauts ne suffirait pas à me tuer. Sur ces entre faits, un autre corps putréfié et nauséabond se mouvant sur ce qui était autrefois des jambes de géant se joint lui aussi aux spectateurs. S :- Golgoth ? G :-Oui ? S :-Achève-moi à coup de hache, je ne ferais pas le plaisir à ces créatures de mourir de leurs mains. Frappe fort je suis encore assez résistant pour encaisser quelques coups même bien portés. A bientôt Golgoth, et ravi de t’avoir connu. Fais mes amitiés aux Nordiques. La dernière vision de Skrymir fut celle de Golgoth brandissant sa hache et l’abattant sur lui a deux reprises (Golgoth …il porte…bien…son nom.) |
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De retour dans la belle citée de lardanium
Tous les nordiques présents se racontaient leur aventures, la tristesse de voir a plusieurs reprises les lymbes et le bonnheur de voir craquer sous leurs armes les crânes ennemis. ils entrerent tous un par un dans la taverne. Leur soif se faisait grande par cette chaleure. Ils s'assirent à une table ronde immense. Körndürr - Il manques quand-meme quelquns uns de nos freres! Golgoth - Ils ne devraient plus tarder Toute la salle avait les yeux rivés sur eux, les devisageant, beaucoup de géants et de nains dans une ville olympiennes ne passent pas inapercus. il y avait un nain assis au contoire, une biere a la main, apparament interressé par eux. Il avait le regard insistant depuis leur entrée. Il prit sa choppe dans la main, se leva de son tabouret et vînt s'inviter a la table. l'air serieux il questionna l'integralité de la compagnie : -Qui etes-vous exactement ? |
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HRP/
Sympa!! ^^ |
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Un géant harassé par les multiples combats entre dans la taverne, son visage peint de haine et des multiples blessures endurées depuis des mois laissent sur lui une impression de dégout.
Körndürr, son disciple, lui a demandé de venir ici, visiblement une affaire de très haute importance se nouerais sous peu, et sa présence aurait été requise. Il serait cette fois ci question de l'integration de nouveaux membres a ce groupement de Guerriers, les Nordiques, ce groupement dont il a été le fondateur et qui maintenant possède un place sur Olympia, une place qu'il lui faut désormais garder. Arngrim -car tel est son nom- s'approche du petit groupement formé par ses Frères, Golgoth et Körndürr sont la, et visiblement paraissent heureux de le voir. Après avoir déposé son gigantesque Espadon gravé de Runes au bord de la table, le geant s'asseois dans le cliquetis des pièces d'armures jouant entre elles. Bien le bonjour a vous mes Frères! Quelles sont les nouvelles? Körndürr, d'un ton joyeux, lui annonca les derniers evenements enb date: Les Nordiques devenait de plus en plus nombreux chaque jour, recemment, plusieurs personnes de toute races s'était ralliés a eux, Mimir, Kröhom et Bason, qui était rentrés dans ce groupement il y a peu, commencait déja a faire parler d'eux, tout comme le petit dernier: Skrymir, qui déja faisait montre de qualités de combats très intérressantes. La dessus, Arngrim, revigoré par ces bonnes nouvelles, renchéri par l'annonce de l'Alliance avec le groupement d'Hommes Sauvages appelé les Mages de la Mer d'Emeraude, de puissants sorciers, dont certains des nouveaux Nordiques faisait parti. Körndürr: Voila de bonnes nouvelles Arngrim, leur appui sera décisif je pense dans la bataille contre l'Apocalypse! Arngrim: Oui, je le pense aussi, des Sorciers ont leur place dans un groupement de Guerriers, ils nous apporteront le soutien magique dont nous avons besoin pour defaire ces Spectres putrides. Körndürr: Tient Arngrim, je voulais te presenter Vinndalf, le Nain assis avec nous, il voudrais connaitre notre passé et nos buts Le Nain leva les yeux vers Arngrim, le regard lourd et solennel: Bonjour Arngrim, je me nomme Vinndalf, et a voir votre allure, vous me semblez tous être de fiers guerriers. Cela m'interresse fortement, mais j'aimerais vous connaitre plus en avant, pour mieux pouvoir vous faire part de mon histoire, qui pourrait elle aussi vous interresser... Arngrim: Ainsi donc tu veux connaitre mon passé, eh bien, je te le raconterai, mais auparavant -Le geant se leva et s'adressa d'une voix forte a l'aubergiste propriétaires des lieux-, Aubergiste, amène a boire pour moi et mes Frères, cela ne fait que trop longtemps que nous ne nous sommes rencontrés, alors sors nous tes meilleurs alcools, et qu'ils coulent a flots! Une fois tout ceci effectué, et devant une bonne bière, Arngrim commenca la lourde tache qui était de compter la Saga de sa vie: Mon histoire commence loin d'ici jeune Nain, sur les Terres de Midgard, un monde que tu ne connaitra sans doute jamais, étant éloigné de celui-ci par La Mort elle-même. Je suis né, selon les dires, sur un champ de bataille, ma mère m'ayant enfanté plutot que de partir au combat ce soir là, et malheureusement, je ne l'ai jamais connue, car elle mourut lors de l'accouchement, comme tant d'autres avant elle. J'ai donc fait mes premiers pas dans ce qui allait être ma vie en pleine guerre, et été élevé par des mercenaires, qui m'ont appris a être ce que je suis aujourd'hui. Dès l'age de quatre ans, je commencais a me servir d'une épée, aidé en cela par une force et une dexterité peu commune pour un gamin de cet age, et, vers l'âge de sept ans, je commencais a suivre les autres, de fiers guerriers, peint sur les visages et tatoués de symboles sensés leurs apporter la force necessaire pour sortir victorieux des combats. A treize ans, j'étais le plus jeune guerrier sur les champs de batailles, commencant vraiment mon apprentissage de la guerre. A seize ans, j'étais considéré comme un génie, guerrier presque sans égal, le nombre des morts que je provoquait augmentant au fur et a mesure des combats disputés et gagnés, parfois au prix de lourdes blessures, mais jamais, JAMAIS, je n'ai fui devant l'adversité, car tout ce qui m'interressait etait le combat, cette ivresse provoquée par la rage qui m'habitait, qui me faisait vivre... Un jour, alors que nous venions de gagner une fort difficile bataille contre un autre royaume, le Roi me fit venir a son siège, ainsi que l'unité de laquelle je faisait partie, il nous felicita de notre victoire, nous remercia pour nos hauts-faits et decida, comme il était coutume, de decerner une statuette au Guerrier ayant le plus de tués a son actif. Nous étions tous alignés, prenant la pose respectueuse de ceux qui recoivent les honneurs d'un Roi, quand celui-ci prit la parole, pour me nommer... Arngrim, toi qui a tué maints et maints ennemis en cette journée, accepte ceci comme gage d'honneur de ma part! Je m'approchais de lui sous les vivats de mes camarades, pensant que tout ceci n'était qu'une mascarade de plus, une illusion destinée a tromper ceux qui se battait pour cet homme, ce Roi... Je pris la statue, et, sous ses yeux et ceux de sa fille, tint ces mots aux Roi:Pensez vous que ceci sois gage d'honneur chez un guerrier! Vous, petit roi miteux, pensez reelement que ceci permettrait a des guerriers d'être recompensé?! La dessus, je me mit a rire, d'un rire que tous considérerent comme ironique, a raison. Puis finalement j'abattis la garde de mon épée sur la statuette, la brisant en morceaux sous les yeux de ce roi fantoche. Quelques temps plus tard, je fut contacté pour un transport, bien payé, il s'agissait simplement d'escorter une caisse de notre royaume au royaume voisin, comme de bien entendu, on ne me laissa pas savoir ce qu'il y avait dans cette caisse, ce qui, et tu le sauras plus tard, aurait totalement changé ma destinée. J'escortais donc cette caisse avec l'autre homme chargé de faire ce travail, quand nous entendimes les bruits de cavaliers lourds aux galop qui venaient dans notre direction, nous savions qu'ils venaient pour nous, et nous nous preparames au contrôle. Ils decouvrirent dans la caisse la fille du Roi en place, celle a qui j'avait fait l'affront d'insulter son père sous ses yeux, et nous partimes précipitamment, de peur de devoir combattre des chevaliers qui servaient recemment a nos cotés. Après quelques kilomètres de course effrénée, nous entendimes des bruits de combats arrivés sur les lieux, nous vimes le massacre: Les gardes, ceux qui nous avaient pris dans notre tentative de transfert, étaient maintenant aux prises avec les effets des produits qu'ils avaient administrés a la princesse pour la reveiller. La princesse, sous une forme monstrueuse, décimait les rangs de ceux qui venait la sauver du rapt organisé. A ce moment la, une grande lumière explosa, et Elle apparut dans celle-ci, Elle, la Valkyrie, Lenneth, Celle qui choisissait Ses combattants, les Einherjars, se tourna vers la créature, et mit fin a son affreuse existence d'un coup d'une épée aussi pure que le cristal. Puis disparue... Sur le chemin nous ramenant chez nous, nous discutames avec mon camarade des differents evenements s'étant passés cet nuit: l'attaque des chevaliers, la princesse monstrueuse, et celui-ci me confia deux choses, qu'il avait été engagé par le premier ministre pour ce travail et que cette transformation était surement due à de la nécromancie. La lumière se fit sur toute cette affaire a cet instant, ce merdeux premier ministre avait tout organisé, du rapt jusqu'a la parade au cas ou nous serions découvert, ce qui était prévu, lui laissant ainsi le champ libre pour faire chanter le Roi... La rage monta en moi, et je jurait de retrouver et de tuer ce chien puant de mes propres mains, ce que je fit, au moins en partie: Je me dirigea vers le chateau du Roi, Epée a la main, et l'air decidé a faire mon travail quoi qu'il arrive, arrivé a son bureau, je le vis, et foncant vers lui en hurlant ma rage de m'être fait trompé: Arngrim: EEEIIYAAAAAHH!!!! CRÊVE ABOMINATION!!! X: Je t'attendais Arngrim, et j'ai déja prévu ce qui vas t'arriver, goute a la puissance la magie! Je me retrouvai bloqué par des fils invisibles, la douleur me tordant en tout sens, je sentais la fin approcher, et elle arrivait vite, ma rage ne faisait qu'augmenter, j'allais mourir, sans rien pouvoir faire contre, sans même choisir de faire une erreur... Quel fin minable... La dessus, une lumière vive refit son apparition, et Lenneth parla: Toi, Nécromancien, Tes pratiques impies cesseront!! Prépare toi a subir mon courroux!!! L'Epée de la Valkyrie traversa sans peine la chair de l'homme devant elle et celui ci tomba dans son sang, tout comme moi, par l'effet de son sort, il nous avait liés, j'étais donc mort par sa faute, alors que tant de choses m'attendaient encore. Puis, je me vis, etalé par terre, baignant dans le sang mélé du Necromancien et le mien, puis, relevant la tête, je la vis, Lenneth se tenait en face de moi, flottant a quelques centimètres au dessus du sol. Lenneth: Arngrim, désire tu vivre? Arngrim: Bien sur Déesse, mais pourquoi cette question? Lenneth: Car je vais avoir besoin de toi, a mes cotés, aux cotés d'Odin lui même, le Ragnarok se prépare, et nous manquons de guerriers pour combattre a nos cotés. Veux tu en faire partie Arngrim? Arngrim: Mon âme et mon bras sont a votre service noble Valkyrie, je combattrais le Ragnarok, ou qu'il soit, et quoiqu'il arrive, j'en fait le serment! Lenneth: Partons dans ce cas. Et c'est ainsi que je suis arrivé ici, dans ce monde que vous nommez Olympia, mais que Nous nommons Asgaard... |
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Mimir arrivait juste a temps, tout le monde n'était pas encore là semblait-il...
Puis il fut étonné. Depuis longtemps il n'avait plus fréquenté beaucoup de personnes dans le même endroit, du simple fait qu'il ne fréquentait plus personne. Dans le corps d'un géant, Mimir était aux anges. Le lancer de tronc d'arbre était son petit plaisir personnel, la seule chose qu'il n'avait pas encore faite était de se saouler, pour voir comment ce corps résisterait. Plus sérieusement, tous les gens qui étaient là avaient le même but : se distraire, avant de grandes batailles. Une "pause" si l'on peut dire... La liste des alliés se faisait de plus en plus longue, et les nouvelles qu'apportait Arngrim allait en ce sens. Mimir avait remarqué depuis quelques temps que beaucoup des autres géants avaient une armure et une arme. Cela devait être solide, et faire mal, mais cela devait gratter, et puis rien ne vaut les troncs d'arbre. Et quand les arbres manquent, il y a les pierres ... Mimir n'était donc vêtu que de bouts de tissu, empruntés à l'animal que Mimir trouva en premier : un couple de cerfs. Comme arme il avait ses grandes mains, et ce qu'il trouvait en chemin, comme des cadavres, des pierres, des nains ... enfin les nains grattent, donc Mimir évitait de se servir d'eux. Et puis c'était des alliés maintenant... Certains étaient même très agréable, et Mimir s'entendait très bien avec plusieurs d'entre eux ... Le ragnarock avancait donc, mais ils étaient de plus en plus nombreux à s'unir pour le combattre, la victoire n'était donc qu'une question de temps... Et pour passer le temps, et relever le défi qu'un nain lui lança, il fit ce qu'il voulait faire : boire un coup. Un tonneau à la main, il alla s'asseoir et comença à boire en attendant le début de la réunion qui devait avoir lieu dans la taverne ... |
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Puis Mimir entendit parler de Valkyrie. Lui qui en avait fréquenté une étant jeune dieu, il savait qu'elle était doué pour procréer, et perçut le nom de Lenneth.
Il l'avait bien connu, ils s'étaient séparés, elle était tombé amoureuse d'un dieu de l'amour, où quelque chose d'approchant. Une lavette. Puis il ne l'avait plus jamais revu, elle n'était même pas venue le voir pendant qu'il gardait le puits des connaissances... "Ainsi c'était elle qui avait poussé Arngrim à se battre contre le Ragnarok ... Nul ne peut échapper au hasard apparamment !" Mimir se dit que cela lui donnait une raison de plus de faire confiance à Arngrim, car si Lenneth lui fait confiance, c'est qu'il le méritait. Il se leva, puis alla vers la table d'arngrim, pour demander si il avait revu Lenneth depuis ce temps là, car il voulait la revoir, pour savoir pourquoi elle l'avait quitté pour cette lavette de dieu de l'amour.... |
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"On dit qu'a la naissance du monde quand les dieux crérent les terres des morts , peut importe le nom chaque religions a le sien, ils versairent chacun une larme sur ces terres ce qui engeandra ce que l'on nomme en c'est lieu le Styx.
Mais ce que l'on ne dit pas c'est se qu'il arrive à ceux qui touche ces flots..." Alors que ma consience ne c'était pas encors révélée, et que je revenais du mariage de Traag , j'entendis un ricanement roque et sournois . -"Qui vous êtres?" Un nain apparut alors l'ère sombre , les yeux animés par l'amour de l'argend et de la mort. -"Moi avoir eu peur , moi avoir cru vous être démon. Mais vous être du même peuples que moi , donc vous être bon." -Hurmhurmhurmhurm! Pour ta promière question Je me nomme Romus second du nom... -"Sa être bizard comme nom" -...Pour ton affirmation , je dirais qu'elle est fausse Apeinne ue t'il finit sa phrase qu'il était déjà à mes côtés sa hache sous mon cou. Après je ne sais pas un hurlement , une senssation étrange , des ombres pourpres...Un fleuve cristalin aux reflets noiratres. Une goûte , une seule misérable goute, une goute qui infiltra mon âme ,une goûte qui me rappella Mannaheim. J'étais donc en Asgaard , mais ou alège alors et pour quelles raison avaige vécut ainsi jusqu'à lors . Un flot d'image parcouru alors se qui me semblait être ma concience. L'abandon de l' Hamingjar, qui protégeais notre famille, mais qu'été un Hamingjar. Des lutins , une malédiction, Nibelungen... Puis une image et des paroles coerantes me reveinrent. Un femme nue se préparent pour une sorte de rituel, ma mère, mais pas celle don je me souvenais, non, celle qui vivait en moi depuis .... Depuis le conflit avec notre protecteur, quand nous fumes maudits par ces horribles petites créatures, quand nous fumes toucher par le Nibelungen... Elle se dirigeait vers un petit coffre, se vêtissant d'une toge d'argent, couvrant ses main d'or, puits elle m'emena . Tout au long du chemin , elle m'apprit les runes sur ces mains blanches, m'apprenent à changer le temps et à suivre les vents. Elle m'expliqua alors ces mots que je ne comprits pas: Rúnar munt þú finnaoc ráðna stafi,miöc stora stafi,miöc stinna stafier fáði fimbulþur oc gorðo ginregin oc reist hroptr rögna ... Mais que je puis traduire maintenent: Les runes tu trouveras Et les bien expliquées inscriptions runiques, Très importantes inscriptions runiques, Très puissantes inscriptions runiques, Elles teintées par le mage suprême, Et créées par les "ginregin" Et gravées par le Crieur des Dieux. Puis je me souvaint du Drakkar , des créatures venants de toutes par , des cri de haines des éclairs pourfendants les impures,des corps jonchant de toutes part et d'une femme blonde une vièrge à la peau blanche...Rota. Elle m'emmena sur un gigantesque cygne blanc le sang des maudit sur sa lame briante aux reflets des astres. Efin j'eurtas une terre , une terre mole une terre en décomposition, j'avais retrouvé mon âme mais dans quelle monde , je revint à la surface et me mis en quête de mes congénairent je ne pouvais être seul , le savoir que l'on m'avais inculqué ne pouvait être perdu... |
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Un tunnel bleu interminable, une vitesse énivrante, l'adrénaline dans tous ses états, le coeur qui menace de lacher et soudain... une odeur d'herbe fraiche, une douce brise qui l'effleure... et un tronc d'arbre qui siffle au-dessus de sa tête.
Mimir fait encore des siennes... Heurk le Troll, après plus de deux semaines passées dans les Ténèbres de l'Enfer, était de retour sur Olympia. Désireux de découvrir qui était la victime infornutée de Mimir, il se dirigea allègrement dans la direction qu'avait pris l'arbre volant. Il n'avait fait que quelques foulées lorsqu'un beuglement d'une puissance vocale impressionnante retentit BARREZ-VOUUUUUUUUUUUUUUUUUS Körndürr avait parlé... et ses tympans en prirent un coup. Ses yeux s'illuminèrent et il se remit en marche, piquant un fromidable sprint durant 2km. Lorsqu'enfin il arriva à destination, il eut devant les yeux un étrange amas de bras, de jambes, d'armes diverses et même... mais oui ! la barbe de Golgoth ! Je ne sais pas si vous avez déjà vu un Troll euphorique. C'est une chose assez effrayante en soi... Ne serait-ce que par l'apparation d'un sourire sur son visage, et pas n'importe quel sourire non ! De ceux qui vous déforment le visage, qui vous remontent jusqu'aux sourcils, dévoilant des dents fort mal entretenues ma foi... En ajoutant à cela des yeux exorbités à l'extrème, vous avez le parfait portrait d'un Troll joyeux. Heurk était donc euphorique et comme tout euphorique qui se respecte (également dans le respect des traditions Nordiques) il se joignit allègrement à la mélée retrouvant avec une joie plutôt hystérique, ses compagnons de vie. Bien qu'étant fort occupés à se battre joyeusement, ils n'eurent d'autre moyen que de remarquer la présence d'un (compte sur ses doigts...) sixième compagnon de jeu. BOULE DE POIIIIL ! Körndürr avait de nouveau parlé. Et il pouvait vraissemblablement faire le deuil de ses tympans... Pourtant, cette surdité temporaire (du moins il l'espérait) lui permit de ne pas subir les énièmes recommandations de politesse et de bonne conduite dictées par son Mentor. Son briefing semblant enfin s'achever, Heruk suivit la troupe tout en restant un peu à l'écart, car malgré l'affection qu'il portait pour ses compagnons, il restait une créature profondément associale et ce depuis ce jour où... Un cavalier sortit d'un coin sombre, sa cape noire en lambeaux fouettant l'air comme l'odeur de sa chair en décomposition fouettait aux narines du Magicien et du Troll devenus proies. Dégainant un baton aussi tordu que devait l'être sa colonne vertèbrale, le Magicien nommé Hartegon récita dans une langue étrange des paroles dont le sens échappait au Troll qui, passablement effrayé, était parti se réfugier derrière un buisson dont les épines tombées à terre lui martyrisaient l'arrière-train. Une brume d'un blanc éclatant surgit soudain et alla entourer le Cavalier noir qui ne broncha même pas sous la menace. Il ne lui fallut d'ailleurs pas plus de 10 secondes pour contrer le sort, dégainer sa lame et décapiter Hartegon dont la tête alla rouler jusqu'aux pieds de Heurk dont le visage repoussant était devenu livide. Heurk frissonna. La perte de son ancien Mentor l'accablait encore de remord et de tristesse. Ce vieil homme profondemment gentil et noble... Il s'était passé 64 jours déjà depuis sa mort et la honte l'envahit, il n'y avait pas pensé depuis le jour de son départ vers le Sud. L'image de Lenneth lui revint, cette gerrière vétue de peau de bêtes (sûrement tuées de ses propres mains), à la voix rocailleuse et à la musculature particulièrement impressionnante, surtout chez une femelle. Il était bien heureux de l'avoir pour alliée et non de la combattre... Perdu dans ses pensées, il avait à peine apperçu que ses compagnons et lui avaient franchi les Portes de Lardanium, se dirigeant à présent vers la Taverne. Ses tympans sifflaient toujours mais il perçut plus ou moins les mots de Körndürr qui les priait pour la énième fois de ne pas trop forcer sur la boisson. Enfin ils entrèrent dans la Taverne, et la chaleur qui y régnait faillit le faire suffoquer. Ils monopolisèrent une immense table ronde et, ignorant les précédentes recommandations de Körndürr, commendèrent maintes chopes de bière et alcool en tout genre. Heurk le Troll était de façon générale inculte en matière de boisson. Son ancien Mentor, Hartegon, ne buvait en effet que de la sève diluée dans de l'eau et du miel. C'est ainsi qu'il commanda très innoncemment un Whisky pur feu. Malheureusement il ne vit pas les regards hallucinés qu'on lui porta, peut-être se serait-il méfié dans ce cas, et il se concentra exclusivement sur la chope fumante posée devant ses yeux. SOIF !! Dans un accès de folie pure, il but de très longues gorgées, en reversant un peu partout, et ce n'est que trois secondes après avoir reposé sa chope que ses joues commencèrent à enfler... AWAAAAAAAAA C'EST CHAUUUUUUUD !!! Il fit quatre fois le retour de la Taverne en poussant des beuglements gutturaux, renversant au passage un grand nombre d'olympiens qui le regardaient avec compassion. Une dizaine de minutes plus tard, il revint s'asseoir à la table, évitant les regards de ses compagnons. Sa tête lui tournait, et son esprit embué faisant de plus en plus difficilement la part des choses. Regardant d'un air torve sa chope presque vide, il la finit cul sec, un sourire idiot sur ses lèvres imbibées d'alcool. Qui y a-t-il de plus terrifiant qu'un Troll euphorique ? Un Troll euphorique ET bourré... |
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Allongé depuis deux heures dans un coin de la taverne ( soit quatre ou cinq fûts de bière), Tab'Hass écoutait les propos qui fusaient de toutes partla bouche grande ouverte sous le robinet du fût, il savourait la bière qui coulait à flot dans son immense bouche. Mais soudain une voix le fit sursauter :
C'était la voix de Körndurr qui venait de lui bousillé les timpans : Körndurr :TAB'HASS T'ABUSES!!! J'avais bien dit de ne pas vider les réserves de bière! Arrêtes un peu de boire et vien plutôt te présenter. Nombre sont ceux qui ne te connaissent pas autour de cette table. Tab'Hass :Ouais j'arrive! Dit-il en reprenant une lampée de bière pour la route. Le géant se releva alors, manquant de renverser un nain qui était dans le passage: Golgoth :Barres toi de là! Tu marche sur ma barbe! Tab'Hass :Euh!..'Scuse moi Golgth j'tavais pas vu! Tab'Hass s'essuya du dos de la main l'écume de la bière qui bordait encore ses lèvres. Il tira une chaise et s'assis dessus. Ce qui entraîna la mort de la chaise, qui partit en éclats sous le poids du géant. Celui-ci bien qu'assis à terre remarqua que toute était quand même à sa hauteur. Une grimace idiote laissa suggérer un instant de réflexion inespéré. Puis il s'écria : Tab'Hass :Ah oui!C'est parce-que c'est pas des géants a Lardanium! Comprends mieux moi. Puis s'adressant à tous les braves réunis autour de la table il commença à se présenter : Tab'Hass :J'm appelle Tab'Hass Tarass, je suis venu ici car Körndurr m'a envoyé son oiseau qu'il ne faut pas manger. L'oiseau il avait un mot qui disait que je devais me rendre à Lardanium pour "une affaire de haute importance". Alors me voilà! Une voix coupa alors la parole de Tab'Hass : - On s'en fout! T'es qui toi? Tab'Hass :Ouais j'allais y venir! Je suis né dans un village des terres du nord, ma vie s'écoulait librement, mais un incident tragique la bouleversa. Incident dont certains ont eut vent s'ils connaissent l'histoire des "Ruines de Tab'Hass Tarass". Du jour au lendemain j'avais quitté mon village natal. Depuis ce jour malheureux une voix guide mes pas, c'est elle qui m'a menée à travers ces contrées. Elle m'a fait rencontrer Arngrim, celui qui le premier m'a parlé de la Valkyrie, Lenneth. C'est bien d'elle dont-il s'agit, celle qui durant une nuit agitéem'avait guidée vers lui. Je trouvais en ce brave géant un bon compagnon et une personne capable de m'éclairer sur toutes ces étranges choses qui m'avaient mené en ces lieux. Il me parla de Lenneth et ses Einherjars et de leur combat contre le Ragnarok. Je fût vite persuadé que c'était mon destin, et je me suis aussitôt engagé das le combat contre ce que certains appellent l'Apocalypse. C'est sur ce champ de bataille, dans l'odeur nauséabonde qui y règne que j'ai rencontré mes amis tels que Golgoth, Galtabosh, Körndurr...Et tant d'autres que j'oublie! Le géant s'arrêta sur ce mots, seul le bruit que faisait Golgoth en sirrotant sa bière vint entrecoupé le silence. La voix imposante de Tab'Hass et l'étonnante correction de langage dont il avait fait preuve avait laissé tout l'auditoire pantois. Tab'Hass :Bon...Bah voilà c'est mon histoire quoi!? Bon tavernier! A boire! C'est bien beau tout ça, on parle, on parle et pendant ce temps là on se déshydrate!!! |
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Kôrndürr se leva de sa chaise pour aller voir le tavernier, il chuchota à son oreille :
j'aimerais bien voir combien de temps le bougre arriverait à tenir si tu lui sert la même chose qu'a heurk...tu te rappel la boule de poil qui courait tout a l'heure? l'oeil vif Körndürr reposé son prose a sa place et prit enfin la parole : Avant que notre ami Vinndalf, qui aux yeux de tout le monde ici est inconnu, ne se présente, je vais vous conter mon histoire dans les grandes lignes: Elevé par le plus grand des chasseur de mon village, mon père Bradur, j'ai grandi dans l'art de tirer a l'arc, enfin ca c'est quand on avait des munitions...sinon c'était a peu pres tout ce qui nous passait sous la main! (le plus marrant c'était quand on balancait les ecureuils...) Notre tactique de chasse se résumait a prendre une cible...frapper tres fort avec tout objet contendant se trouvant autour de nous. un jour un groupe de nos meilleurs guerriers était partit pour rammener le gibier, ils étaient censés rentrer avant la nuit mais le lendemain matin ils n'étaient toujours pas revenu! inquiet, mon père m'envoya les chercher. je retrouva leurs corps mutilés...ainsis que ceux de pas mal d'autres géants que je n'avais jamais vu rôder par ici! Le coeur a la nostalgie je rentrait au pas de course prévenir mes amis de ce drame... arrivé au village, une bataille se déroulait, encore des géants inconnu tuaient mes freres et mes soeurs, les yeux vides de sentiment et semblant a priori possédés. Apres un long massacre nous etions tous mort, avant mon passage dans les lymbes, lenneth m'apparu a moi aussi m'explicant en gros que cette bataille n'était que le debut, le debut du ragnarok! Lenneth me redonna le souffle de vie pour me permettre d'accomplir ma vengeance. je prit donc le chemin du sud pour y retrouver ceux qui étaient censé avoir le même destin que moi. Tavernier!!! Je pay ma tournée a tous mes freres! Je n'ai pas la force d'éxpliquer tout cela plus précisement, ce drame me rend nerveux et j'essai de canaliser cette haine uniquement pour les êtres a l'origine de tout cela! Körndürr prit son verre et le vida d'une seule bonne gorgée! Qui veut se présenter maintenant? ensuite je vous explique la raison de notre presence ici |
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Arngrim n'avait apparamment pas eu de nouvelles de Lenneth. Mimir était déçu... Mais bon tout n'était pas perdu car si le ragnarok est repoussé, lenneth viendrait surement les récompenser, et Mimir aurait peut-etre droit au baiser d'adieu qu'il aurait bien aimé avoir.
*Mimir prit encore un tonneau de bière et continua à boire en pensant à la Valkyrie* Cela faisait 1000 ans aujourd'hui. Se souviendrait-elle encore de lui ? De leurs folles nuits d'amour dans les cieux ? de l'infatiguabilité de Mimir dans ce domaine ? Rien n'était sur désormais, car si elle l'avait oublié, cela lui faisait un challenge de plus, la reconquérir dans ce nouveau corps, fort musclé et agile, qu'était le sien désormais ... Puis il entendit vaguement parler Heurk et Korndurr, qui lui demandait de se calmer avec les troncs d'arbres, à croire qu'ils n'avaient pas confiance en l'extrême dextérité qu'avait acquise Mimir dans ce domaine à force d'entraînement... Puis il en eut assez de rester assis, il se mit debout tant bien que mal, et tenta une interprétation très personnelle de chants nordiques : Parfois l'idée me ronge Pour avoir tant progressé d'arreter Les troncs et la dextérité font de moi un master tronc A Je suis accro je suis doué Je brise mais je n'sais plus quoi briser Et grâce à moi Des troncs explosent mes ennemis Le bien s'empare de moi Et mes ennemis le voient Je n'trouve rien d'aussi beau Que ces morts si sordides Les corps écrabouillés finissent-ils par m'obseder? Ces gémissements ces regards vides Tous ces mouvements sous un tronc vide J'aime lancer des troncs. |
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HRP :
PS : LEs troncs vides font bien plus mal, car lancés plus vite, ils se fracassent contre la proie, qui, si elle est fragile, ne brise pas le tronc, mais meurt étouffé par lui (je dirais 320 Kilos le tronc vide). Merci cousin bucheron de m'avoir expliqué tout ça ! PPS : Et dsl pour cette reprise de l'intro du deuxième album d'aqme ^^ /HRP |
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La soirée avait bien commencée, en cette ravissante petite taverne Lardaniènne.
Des boissons en tous genre, et de tous les horizons circulaient d'un bout à l'autre de la table, en toute heu ... "sérenitée". Certains se croyaient Kangourou-dragons et bondisaient de table en table en crachant le feu, D'autres fouraient leurs pipes en bois de leurs poiles de barbes, Tandis que d'autres tentaient, en vain, de lutter contre leurs propre dépravation. Effectivement, la saintetée d'esprit ne faisait pas monaie courante, en cette ravissante petite taverne Lardaniènne ... Ainsi donc, Korndür, mis face à l'éffective décadence qui trônait sur chacuns des plus infimmes constituants de la soirée, fut forcés de constater l'echec de son entreprise: Tout le monde était complètement fait, mais en disant cela, on se rend bien compte que le terme n'est pas approprier à la situation, car, il est évident que ces braves guerriers du nord n'étaient pas simplement faits, ils étaient faits, refaits, surfaits, voire méta-faits: chacunes des particules constituant leurs encéphale était dispatcher aux quatres coins de l'univers ... Sur ce, Golgoth, qui venait de finir le recomptage de ses poils de barbes, voulut se lancer dans une entreprise de roulage: Il se dirigea donc, tant bien que mal, vers un énorme sac dans lequel ce trouvait tout le nécessaire, soit, quelques centaines de kilos de plantes "médicinales" en tout genres. Le Nain finit par ce hisser au sommet du sac, et ... l'ouvrit !!! Grande fut sa surprise, l'orsqu'il vit Galtabosh, vautrer à l'interirur du sac même, entrain de roupiller. L'arivée mouvementée de son frère d'arme finit par le sortir à peut près de son état de larve: il leva la tête, se retrouva en face du spectacle hallucinant décrit plus haut, et se recouchait, comme si de rien était ... bonne nuit tout le monde! ... |
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Par une journée de mauvais temps, notre ami Bason se dirigeait vers Sidgil pour se battre au front. Il était retourné sur Luminae pour revoir ses frères et surtout pour se restaurer des blessures qu’un géant lui avait causé auparavant. Alors que la pluie commençait à s’estompé, Bason aperçu des tours, c’était celles de Lardanium. Il pouvait sentir au loin l’odeur pestilentielle de Heurk le troll et entendre la plus que grosse voix de Körndürr.
N’épuisez pas les réserves de la taverne ! Bason était à moins d’une demie journée de marche de la ville et pensait arriver pendant la nuit. Après une longue course folle, il arriva finalement au crépuscule devant les portes de Lardanium… Toc…toc…toc… Une petite trappe s’ouvrit. Qui va là ? Je me nome Bason Et qu’est-ce que vous voulez ? Bah…rentrer ! Sur ses mots la porte s’ouvrit, Bason rentra et demanda au portier. Ou se trouve la taverne. Hmm !vous êtes Nordiques vous ? N’est-ce pas ? Ouais ! ça t’pose un problème ? Heu !Non, non Bon la taverne, tu m’dis ou elle est ? Alors ,vous prenez tout droit et c’est la deuxième à gauche. Vous allez voir, vous pouvez pas la louper. Ce soir là, la ville était déserte et Bason s’en allait tranquillement à la taverne. Soudain des bruits de verre brisés attirèrent son attention. Cela venait de la taverne. Il se précipita, ouvrit la porte et vit Heurk en train de se secouer dans tous les sens, courant partout, comme si il avait le feu au cul. Son visage viré du rouge au blanc puis au vert et pour finir au jaune. Eh ! Baaaason ! c’est baaaason ! En tournant la tête du côté des beuglements, il aperçu tout ses amis Nordique : Körndürr, Heurk, Arngrim, Vindalf, Krohom, Tab’hass et Golgoth, qui essayant de marcher pour serrer la main de l’homme sauvage, trébucha dans quelques chaises avant de pouvoir l’atteindre. Salut Ba… Ba… Bason ! Salut Golgoth. Toi ta encore trop bu ? A moi zamais ! Eh ! regarde c’que z’ai piqué en v’nant Golgoth tenait une pinte dans sa main droite, qu’il siffla d’ailleurs en une seul gorgée. Bon tu prend un verre, Bason ? Seulement s’il y à du saké. Bason et Golgoth allèrent s’asseoir à leur table. Golgoth, d’un geste de la main appela le barman. Tavernier ! une pinte et un saké !! Haaa !! ça fais du bien de retrouvé ses amis Alors Bason, «tout en buvant une gorgé», qu’est-ce que tu fais sur Olympia ? «puis encore une», la dernière fois que j’t’ai vu c’était au nord, dans les montagnes «et pour finir une autre». Il y a quelque temps de ça je me suis mis dans la tête de découvrir le monde au delà des terres du nord. Alors que me baladais la guerre prit ma vie. Elle me laissa pour mort et j’ai sentit mon âme me quitter. Je ne sais pas ce que c’était, mais cette lumière et cette voix. Tous ce que je sais, c’est quelle ma sauvé. T’vernier ! Même chose !! Je me souvient parfaitement ce quelle ma dit. « Tu dois te lever Bason, ton chemin n’est pas fini, il ne fais que commencer. Tu dois combattre le Ragnarok, toi et tous les autres Nordiques Depuis je n’ai plus entendu cette voix. C’te voix qu’t‘a qui ta parlé c’était la Valkyrie. Elle nous aussi contactés. Je vois. Bon et si on buvait un peu ? T’vernier !! Une pinte et un saké, c’est ça ? Ouaip ! Après quelques verres de saké et quelque pintes nos deux compères, complètement rond, parlaient de la pluie et du beau temps lorsqu’un Olympien vint les voir. Que faites vous ici, étrangers ? Bason se leva et parla au nom de tous les Nordiques. Je suis Bason, j’ai été appelé ici comme tous mes frères pour me battre contre le Ragnarok. Nous sommes venus à Lardanium pour que le monde d’Olympia nous reconnaisse en tant que Nordique. |
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Lorsque Körndurr paya sa tournée Tab'Hass vit le tavernier lui apporter sa pinte avec un léger sourire en coin qu'il tentait tant bien que mal de dissimuler.
Le géant ne compris pas tout de suite, c'est au moment où il s'enfila le breuvage d'un trait qu'il compris! Sa gorge le brûla comme elle ne l'avait jamais brûlé, la surprise fût grande, mais le plaisir du géant aussi! - Tavernier! la même chose! Lorsqu'il prononça ces mots il vit le tavernier le regarder avec un air ahurit, Körndurr lui avait l'air quelque peut déçu... Tab'Hass compris alors qu'il devait la découverte de cette boisson fort goutue à son ami Körndurr qui avait voulu lui fair une petite blague. Quelques heures, et donc quelques verres aprés le géant s'était endormi dans un coin de la salle, la tête sur le sac d'où était mystérieusement sortit son ami Galtabosh. |
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Un scène banale au cœur des terres sans vie qui environnent Zagnadar, une attaque brutale des spectres du Ragnarok, un guerrier qui s’effondre, et des ennemis à qui leur survivant ne pardonnera pas l’agression.
La veille au soir, Morgrize se posait sur l’épaulette de Golgoth, un billet attaché à la patte...un billet écrit de la main de Körndürr qui appelait tous les Nordiques à se rejoindre à Lardanium, pour une affaire d’une très grande importance disait-il. Arngrim et Tab’Hass avaient déjà repondu par l’affirmative au dos du parchemin...Golgoth détacha l’encrier attaché à l’autre patte du volatile, lui arracha une plume et répondit à son tour avant de renvoyer le faucon : Comptez sur moi j’y serais (et avant tout le monde). Allez, file porter ce message aux autres !! Alors que ses pas le conduisait au point de rendez-vous, Golgoth rencontra un géant solitaire à l’allure valeureuse ; il se nommait Skrymir. Il avaient échangés quelques mots seulement lorsque, transpercé par les traits d’un monstre sans âme, le géant se courba et laissa s’écouler un flot de sang qui remplissait ses poumons. Sentant que son heure était venue, Skrymir adressa une ultime requête au nain qui s’était interposé entre lui et son agresseur : Achève-moi à coup de hache, je ne ferais pas le plaisir à ces créatures de mourir de leurs mains. Frappe fort je suis encore assez résistant pour encaisser quelques coups même bien portés. A bientôt Golgoth, et ravi de t’avoir connu. Fais mes amitiés aux Nordiques. L’instant d’après, la vie de Skrymir s’éteignait, et le nain agenouillé à ses cotés refermait ses paupières d’un geste de la main. Il se redressa quelques peu après en se disant à lui même Je ferais bien plus que transmettre tes amitiés Skrymir...ton courage est digne de celui d’un Nordique. Dès mon arrivée à Lardanium, je parlerais te toi à mes frères…tu deviendra l’un des nôtres. Golgoth posa sa hache à l’épaule et s’en fut sans se préoccuper du spectre qui le talonnait. Alors qu’il s’éloignait, il entendit le seul son que peuvent émettre ses êtres au cerveau aussi putréfié que leurs cordes vocales (si ce n’est plus) : MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHA Précédées d’une sifflement strident, quatre flèches perforèrent sa cotte de maille et s’enfoncèrent dans la chair de son dos...mais il en fallait plus pour éliminer un nain si résistant, et Golgoth continua son chemin comme si de rien n’était...les flèches étaient restées plantées dans son dos, il n’avait les bras assez long pour les atteindre. Après quelques jours de marche, il arrivait en vue des murailles de Lardanium. Il s’apprêtait à établir son bivouac aux portes de la ville lorsqu’il entendit des pas lourds qui venaient dans sa direction...bien entendu, c’était Körndürr. Golgoth se cacha derrière un rocher en se demanda quelle blague idiote il pourrait faire ; c’est alors que la voie de Körndürr parvint à ses oreilles : J'ai gagnéééééééé !!!!! pointant du doigt de la main droite vers la gauche et faisant un geste circulaire vers la droite, recommençant la chorégraphie avec la main gauche tout en remuant son arrière train. C’est le moment que choisi le nain pour jeter une caillasse qui vint percuter violemment la tête du géant, celui-ci tourna la tête d'un mouvement rapide pour essayer de voir d'ou venait la pierre . Assis sur le rocher, Golgoth imita sa danse avec un petit ricanement : Körndürr - GOLGOTH, 'foiré c'était toi ! Golgoth - Hé ouais, et j'suis arrivé avant toi! Körndürr - pfff, j'ai regardé tout a l'heure et t'était pas la... Golgoth se retourna Golgoth - Tu peux m’enlever ses cure-dents steu-plais ?…ça me gratte !! Körndürr - T’as fais ça comment ? Golgoth - T’occupe et tire !! Körndürr pris appuis en posant son pied sur l’omoplate du nain et arracha les flèches une par une. Golgoth – aaaah...ça fait du bien ! Mais qu’est-ce que ? OUAPS !!! BLAMMMMMMMM Un rocher magnifiquement esquivé par Golgoth vint percuter le sol. Körndürr - ...Arngrim est déjà la aussi? Golgoth – apparemment… (hrp : je vous passe la baston amicale, allons directement à la taverne.) Assis autour de la même table ronde, les Nordiques attiraient des regards curieux et, bien vite, des questions qui ne l’étaient pas moins. Bon nombre des clients de la taverne, et notamment un nain chauve et très corpulent nommé Vinndalf, semblaient très désireux d’en savoir plus sur les eusses et coutumes des ces fiers combattants. A tour de rôle, Arngrim, Mimir, Krohom et Tab’Hass contèrent l’histoire de leurs vies tandis que Golgoth vidait goulûment des pintes de bière. Il pris la parole suite à une question – ma foi pertinente – du nain assis au comptoir. - Désolé de vous interrompre, mais plusieurs fois vous avez parlé d’une certaine Valkyrie...ce nom ne m’est pas inconnu mais j’avoue ne plus me souvenir de ce qu’il symbolise. - Viens par ici l’ami ! Je répondrais à tes questions. Le nain sauta de son tabouret et s’assis sur une chaise restée libre, à la gauche de Golgoth. Tavernier ! Deux pintes s’te plait...merci. Pour répondre à ta question, les Valkyries sont des esprits bienveillants qui veillent sur les guerriers nordiques. - D’accord...mais leurs liens avec vous ne s’arrêtent pas là, je me trompe ? - Tu est dans le vrai...vois-tu, les Valkyries ont le pouvoir de ressusciter les combattants valeureux lorsqu’ils périssent au combat. Tous les mes frères ici présent peuvent te raconter comm... A ce moment, un Olympien interrompit Golgoth : - Je suis cent fois plus courageux que toi et jamais ces Valkyries ne sont venues me sauver de la mort ! Si le but de ta présence est de bafouer mon honneur, je... - Réfléchis un peu avant de parler ! Les Valkyries ne croient en toi que si tu crois en elles...et je pense que ce n’est pas le cas. Maintenant si tu le permet, j’aimerais poursuivre cette conversation avec mon ami... ? - Vinndalf. Golgoth accompagna le départ de l’Olympien dépité d’un rictus moqueur, puis Vinndalf repris la parole : - Je peux savoir ce que tu a fais pour t’attirer les faveurs d’une Valkyrie ? - C’est pas vraiment une faveur...depuis ma rencontre avec Lenneth, je suis lié corps et âme à La Dernière Guerre et je ne trouverais le repos que lorsqu’elle aura pris fin. Mais si tu veux, je vais te raconter mon histoire Durant les minutes qui suivirent, Vinndalf écouta attentivement le récit de Golgoth, depuis sa naissance dans les vastes contrées Nordiques jusqu’à sa rencontre avec la Valkyrie Lenneth...jour de son départ vers Olympia. Le fait que Golgoth soit originaire d’une forteresse perdue avait éveillé une grande curiosité chez Vinndalf, mais il attendit qu’il ait fini pour lui poser cette question : - Cette forteresse qui t’a vu naître...comment s’appelle-t-elle ? - Karaz-Torm. Les yeux de Vinndalf s'écarquillèrent de surprise... |
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HRP/
TRES sympa... ![]() ![]() ![]() |
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Le sol était noir. Une fois de plus, Rémio se trouvait en enfer. Il scruta le paysage avant de reprendre sa route vers les portes qui le ramèneraient à la surface. Le panorama n’était pas fabuleux. Le sol était noir et régulier, il ne pouvait discerner de plafond ni même des murs qui délimiteraient ce lieu. La seule chose visible était une étrange lumière à quelques lieues de là, il avait déjà visité cet endroit à neuf reprises et il savait que l’étrange colonne luminescente était le seul moyen pour lui de retrouver la terre d’Olympia. La distance qui le séparait de son objectif ne pouvait être couverte en une journée et lorsque la fatigue se fit ressentir l’Olympien se coucha à même le sol et s’endormit aussitôt. ....................................................................................................................................................... Il parcourait une étendue glacée, le froid l’assaillait et la neige allait bientôt avoir raison de lui. Où suis-je ?Quel est ce froid?, tout le monde sait que les habitants d’Olympia ne supportent pas les climats polaires. Comment suis-je arrivé en ces lieux ? Il y à tant de questions et aucune réponse ! Il me faut trouver un abri ou je serai mort dans quelques heures, une grotte serait parfaite mais hélas il n’y en a pas l’ombre d’une à l’horizon ! Après deux heures de marche, ses bottes et son armure comme seuls atours, il s’évanouit. ……La chaleur…….Un feu…….Des couvertures…………Une odeur de poisson cuit !! Rémio entrouvrit les yeux, il avait pensé se réveiller en enfer, mais le décor se trouvait être bien différent : il était allongé, emmitouflé dans des peaux de bêtes, en face d’un gigantesque feu. Du poisson, accroché à des piques cuisait lentement, et l’odeur qui s’en dégageait était enivrante pour l’Olympien dont l’estomac criait famine. Il n’avait pas remarqué le trio d’hommes qui discutait à voix basses dans un coin de la caverne. Mais où suis-je ? Le plus grand des trois individus se leva alors, son visage maculé de crasse ne permettait pas de discerner parfaitement ses traits. Il portait la barbe, et lorsqu’il ouvrit la bouche pour parler Rémio découvrit que sa dentition avait quelque peu souffert -Beruhe dich ! Wir werden bald essen. Rémio ne comprenait pas un mot de ce charabia guttural. -Du hast Glück gehabt, dass wir dich gefunden haben. -Je ne comprends rien. Un second homme vint se joindre au premier, sa mine patibulaire aurait pu faire peur aux guerriers les plus endurcis si son large sourire ne laissait présager qu’il était un homme bon. -Ach gut ! Toi être réfeillé étranger. Nous pazerons à tableu dane cinq minoute. Je zui Praji et voizi Groth. -Où suis-je ? Un troisième, prénommé Vajha s’approcha alors et parla en ces termes : Toutes tes questions trouveront réponses devant Lui. Nous Le rejoindrons demain, dès l’aube nous partirons Le retrouver, Il se trouve à une journée de marche d’ici. Tu n’auras de réponse à aucune de tes questions avant. Et tendant un bout de poisson au convalescent il lui dit : Maintenant manges et reposes-toi car demain tu auras besoin de toutes tes forces. Maintenant manges et reposes-toi car demain tu auras besoin de toutes tes forces. Le lendemain les trois humains et l’Olympien reprirent la route. Rémio portait comme ses camarades de fortune d’énormes peaux d’ours. Les vêtements étaient chauds et confortables, et malgré leur poids ils n’entravaient pas les mouvements. Le voyage était interminable, l’olympien n’avait aucune notion du temps dans cette désolation. Tout n’était que neige, encore et toujours neige à chaque pas qu’il faisait. Après ce que Rémio avait cru être des jours, l’homme à la dentition abîmé s’arrêta et déclara qu’il était environ midi. Ils mangèrent les restes de poisson de la veille et repartirent pour une interminable marche. Ils avaient parcouru les trois quarts du trajet lorsque l’embuscade survint. Sept guerriers surgirent du sol enneigé et chargèrent le groupe. Heureusement pour l’Olympien ses camarades étaient des combattants aguerris et lorsque le premier échange de coups pris fin, il ne restait plus que six adversaires en état de combattre. Le groupe d’assaillants se reforma, ils adoptèrent une tactique visant à isoler un des adversaires, mais sans succès. Sans même chercher à établir une stratégie, les trois compagnons d’armes de Rémio chargèrent, hurlant avec fureur et frappant leurs armes contre leurs boucliers. On les auraient crus pris d’une frénésie de combat. La mêlée s’engagea, les coups portés par les guerriers enragés étaient d’une telle violence que deux autres combattants moururent lors de l’assaut. Vajha para une attaque de son ennemi mais n’anticipa pas le coup d’estoc qui suivit. La lame s’enfonça dans son ventre. Alorsi sans même osciller, Vajha lâcha son arme, attrapa son adversaire à la gorge et lui brisa la nuque d’un coup sec. La blessure qu’il avait reçue saignait abondamment mais il semblait n’en avoir cure. Il ramassa sa lame et retourna au combat. Rémio ne prit pas part au combat, il était encore trop faible pour espérer survivre à une lutte armée, mais même sans son aide Prajhi, Vajha et Groth se débrouillaient parfaitement. Deux autres assaillants tombèrent et le seul survivant se trouvait à présent seul face aux trois guerriers qui avaient mis en pièces la petite troupe. Le pauvre tentait vainement d’empêcher ses trois ennemis d’approcher en faisant de grands moulinets avec sa lame. Il ne tarda pas à rejoindre ses compagnons dans la mort. Les trois vainqueurs hurlèrent leur soif de sang au sept cadavres étendus dans la neige devenue pourpre. Lorsque la tension de la bataille se dissipa, le seul blessé chancela : Je crois qu’elles vont venir me chercher pour la lutte finale, dit il. Mes amis, bonne chance dans votre périple…pour moi….c’est la fi... Il mourut sans même finir sa phrase les yeux ouverts le regard plein de larmes de devoir quitter cette terre. Le tonnerre gronda, les nuages défilèrent dans le ciel. Rémio se tenait à l’écart des deux survivants de l’attaque. En effet ils pratiquaient des rites étranges et compliqués afin d’honorer le fier guerrier mort au combat. Après une heure de prières, le groupe constitué à présent de Prajhi, Groth et de l’Olympien se remit en route. Das Dorf ! hurla Groth. Le soleil lançait ses derniers rayons obliques dévoilant une petite ville aux remparts de bois et aux toits pentus. Des volutes de fumée montaient des cheminées de pierre et les lances des sentinelles étaient visibles sur le chemin de ronde. La petite troupe passa les portes, ils furent accueillis par un homme portant un casque à cornes, sa barbe blanche contrastait avec son regard profond.. Sa voix était sûre et rocailleuse : -Bienvenue mes amis nous vous attendions depuis une heure au moins… mais il manque Vajha, je vois à vos mines décaties qu’il à été emporté. -Ja ! Er ist gestorben. -Mais nous avons ramené l’étranger ! chuchota Prajhi à l’oreille du chef, nous allons le conduire à Son antre à l’instant. Puis à haute voix il ajouta : Etranger je vais te conduire devant celui qui détient la connaissance, suis moi !Et sans attendre de réponse, le fier guerrier marcha en direction d’un coin du village. Rémio le rattrapa rapidement, il avait tant de questions qui restaient sans réponse, il devait savoir. Ils marchèrent cinq minutes avant d’atteindre ce qui ressemblait au plus haut point à une grotte. Prajhi dit alors à l’Olympien : Vas-y ! Tu trouveras tout ce que tu recherches au fond, je ne pense pas que nous nous reverrons, bonne chance et puissent les Dieux te protéger.Il se retourna alors et repartit par où il était venu. Rémio était à présent seul, il ne savait pas ce qu’il trouverait au fond de la grotte mais il sentait qu’il devait l’explorer à tout prix. Il pénétra dans la cavité rocheuse, son pas incertain n’était pas dû au sol glissant mais à la peur de comprendre où il se trouvait. Il marcha une heure, peut être deux avant d’atteindre son ultime destination. Un guerrier se trouvait en face de lui, assis sur un trône de pierre. Il était manchot, mais sa main droite agrippait une énorme lance de deux mètres. Il parla en ces termes : -Bienvenu ! Rémio dé Buldro. Je suis Celui qui détient la clé de ton avenir. Vous paraissez troublé. -Pourrais-je au moins savoir à qui j’ai affaire ? -Hélas, je crains fort que vous ne me croiriez pas. Connaissez vous un prénommé Tyr ? -Ce nom m’est familier, j’ai étudié les mythes nordiques avant le conflit contre l’Apocalypse, il me semble que Tyr était un Dieu de la guerre. -C’est exact, vous avez bonne mémoire. Disons que je suis le représentant de Tyr, et il m’a envoyé vous parler. - Mais où suis-je donc? - Votre corps est à l'endroit que vous nommez l'enfer, mais votre âme est ici. - Une dernière question à vous poser. Qui étaient ces trois guerriers qui m'ont escorté jusque ici, l'un deux a reçu une blessure qui aurait dû le clouer au sol de douleur, pourtant il est retourné au combat comme si de rien n'était. -Ces hommes.... ce sont des Berserkers adorateurs de Tyr, ils ne craignent nulle douleur tant qu'ils sont pris de soif de combat et le seul moyen de les éliminer à ce moment là est de réduire leur corps en pièces. -Je suppose que vous ne m'avez pas emmené ici pour rien. -Vous supposez juste. Tyr m’a intimé l’ordre de vous convaincre d’accueillir dans votre corps un guerrier du Valhalla afin de lutter contre ce que vous appelez l'Apocalypse et que nous nommons le Ragnarök! Votre âme restera dans votre corps mais vous n'aurez plus aucune liberté de mouvement, vous pourrez converser avec lui mais vous ne serez plus qu'un conseiller. - Mais qu'ai-je à y gagner? - Votre destinée est tracée, vous devez accepter notre offre et contrecarrer les plans de Loki. Vous gagnerez un esprit fort pour contrebalancer vos hésitations et le guerrier qui prendra possession de votre corps était lui même un Berserker de son vivant. - Hélas je tiens à mon libre arbitre, ma liberté est pour moi aussi importante que ma vie. - Je le sais, mais vous vous entendrez à merveille avec la seconde âme. Vous devez aider vos frères Nordiques qui combattent sur Olympia! Je vous laisse réfléchir, avant de quitter les Enfers vous devrez choisir votre destinée. Avant de nous séparer, permettez-moi de vous montrer ce qui adviendra probablement de vous si vous refusez. Un flash aveugla l'Olympien, et lorsqu'il rouvrit les yeux il se trouvait en face d'un miroir. Il voyait son reflet, identique à un détail près, son double arborait fièrement le blason de l'Apocalypse. Puis le miroir disparut aussi soudainement qu'il était apparu. -Voilà une des possibilités que vous réserve l'avenir, proclama le grand guerrier toujours assis sur le trône de pierre. Maintenant retournez dans votre corps, vous devrez choisir votre destinée d'ici peu. ................................................................................................................................................... Rémio ouvrit les yeux, il était seul et en enfer qui plus est! Quel horrible cauchemar, murmura-t-il ! Deux heures plus tard, il se trouvait en face des portes luminescentes qui le ramèneraient à la vie! Il s'apprêtait à les franchir lorsque une voix puissante se fit entendre: -As-tu choisi? -Ce n'était donc pas un cauchemar? -Non, et tu dois à présent te décider quelle sera ta voie?? -Je ne sais pas, j'aime la vie mais lorsque je me suis vu membre de l'Apocalypse..... je ne dois absolument pas devenir un spectre et même si pour cela je dois perdre mon autonomie! Soit ! j'accepte votre proposition. -Bien, alors puissent Odin et Tyr te protéger. La douleur envahit le corps de l'Olympien, il hurla. Après une heure de souffrance indescriptible Rémio sentit une autre personne dans sa conscience même. -Qui es-tu? -Je suis l'autre, mon nom est Volken. Notre corps va changer, et cela risque de nous faire mal, mais nous sommes ensemble à présent, nous partageons absolument tout. Joie, tristesse, peur, douleur: dès à présent nous partageons tout! La souffrance revint, comme si les structures osseuses de leur corps changeaient. Le supplice dura de nombreuses heures. -J'ai pris possession de ton corps. -Oui je le sens bien, est-ce que nous ressemblons à présent à ce que tu étais avant ta mort? -Oui Rémio, à présent tu es ce que j'étais. Dis moi, où se trouvent mes frères de Sang. -A Kazad a Gorog, je pense que c'est notre prochain objectif. -En effet tu penses bien. Bon partons. L'Olympien se leva et franchit la porte des enfers |