Le Parrain | |
Topic visité 314 fois Dernière réponse le 07/12/2004 à 02:25 |
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Attention, pendant la durée de cette chronique, lorsque Traag parle, imaginez une voix sourde et éraillée avec un leger accent italien (comme le Parrain quoi ![]() Les combats récents dans Zagnadar avaient été éprouvant mais Traag savait maintenant comment fonctionnait les Apocalypse et surtout, il avait eu un aperçu de l’Artefact qui avait détruit l’AGIR. Par une soirée pluvieuse, il retourna dans son manoir. Dans l’entrée un énorme fauteuil était rempli par la masse imposante de Faust. - Ah Tony tu es la, rejoint moi dans mon bureau dans cinq minutes, on a pas mal de choses a organiser. - C’est Faust mon nom patron. - Je sais Tony. Traag montait les escaliers, laissant son filleul dans son fauteuil. Le géant ne savait plus que faire pour que Traag l’appelle Faust au lieu de Tony. Au bout de quelques instant, il se rendit dans le bureau du parrain. Traag était assis derrière un bureau remplis de papier, son épée posé sur un chaise prêt de lui. Le regard du garde du corps s’attarda sur l’arme lumineuse de son ami et chef, depuis toujours, il rêvait de posséder une telle arme. - Tony, j’ai des vieux amis à rencontrer, nous allons profiter du voyage pour aller réclamer quelques du. - Je viens avec vous patron ? - Bien sur, j’aurais besoin de toi. Il faut que tu apprennes le métier, je pense que tu sauras rassurer nos clients pour qu’ils nous donne leur taxe de protection. - Bien sur patron. D’ailleurs, j’ai croisé récemment un vieil ami a moi, je pensais qu’il pourrait travailler pour vous. Il est un peu simple mais c’est quelqu’un de confiance et il sait manier les armes efficacement. - Bon, dis lui de nous rejoindre. Je verrais de quoi il est capable. - Oui patron. Au petit matin, les rares passant purent voir passer Traag suivi de prêt de son garde du corps et de quelques hommes de mains dans les rues de la cité blanche, s’arrêtant dans diverses boutiques. Depuis l’arrivée de l’humain, la sécurité régnait dans les rues entourant son manoir. Il est rare de voir le parrain se déplacer de lui-même, mais personne n’aurait oser s’en prendre à lui. Il avait la confiance de l’empereur et c’était un homme d’honneur, jamais il n’avait trahi sa parole. - Patron, on me signale qu’il y a un nain qui fait du grabuge pas loin. - Tony, envois quelques hommes et qu’ils me ramènent le contrevenant. - C’est Faust patron, j’y vais de suite patron. - C’est bien Tony. Traag rentrait a son manoir, rendant visite a quelques derniers ‘amis’. - Il faudrait que je pense a récompenser ce brave Faust. Il fait du bon travail. Je pourrais profiter de mon voyage chez le Maréchal tiens c’est une bonne idée ça. Au bout de quelques heures, Faust revins au manoir. - Patron, on est en train de filer la personne. Un témoin nous dis que cela serait un démon. - Un démon ? Pff, c’est du travail pour nos mages ça, je vais laisser un message a Dilandau, ça lui fera plaisir de s’occuper d’une telle créature. Tony, nous partons demain en direction de la mine d’Adamantium. Prépare nos affaires. - Pas de problème, enfin un peu d’action. A peine le filleul était parti, qu’un serviteur frappa à la porte. - Monsieur, Sire Parium désire s’entretenir avec vous. - Fait le rentrer, j’attendais sa venue. L’ancien chef des célèbres Sages d’Athéna pénétra dans le bureau enfumé. - Bonjour Parium, cela fais plaisir de te revoir. - Salut Traag. - J’ai bien reçu, ton message. J’accepte bien évidemment, je te fais confiance, je sais que mon investissement ne sera pas vain. - Je te remercie, et je ne vais pas m’attarder, je suis attendu. - Oui, tu rejoins les nains, j’ai déjà dis ce que je pensais à ce propos, j’imagine que tu ne changera pas d’avis ? Cela ne sers a rien d’insister. - En effet. A bientôt Traag et j’espère que nous n’aurons pas a nous combattre. - Bon voyage mon ami. Parium s’en alla, après avoir récupéré la bourse que Traag lui avait présenté. Les chemins des SA se dispersaient. Qu’allait devenir les Olympiens si leurs meilleurs éléments n’étaient plus aussi soudés qu’avant. Les pensées du parrain étaient aussi moroses que le temps. La pluie tombait drue, s’infiltrant partout. Après de longues réflexions, le parrain alla voir son majordome. - Mandez moi mon avocat, j’ai quelques point de lois a vérifier avec lui. - Le sire Paurtnawak est passé dans la matinée, je lui fait parvenir une missive de suite, mais il a dit qu’il ne pourrait pas repasser aujourd’hui. - Bon ce n’est pas grave, dis lui de préparer les dossiers dont on a parler la dernière fois. - Oui monsieur. L’humain retourna dans son bureau, personne ne le revis avant le lendemain matin lorsque Faust vint le chercher à l’aube. Ils partirent en direction de la mine. Le parrain restait silencieux et son filleul était aux aguets. |
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La missive de Traag à l'encontre de ce "démon" arriva enfin dans les mains de Dilandau. Celle-ci lui apporta toutes les informations nécessaire et disponibles concernant cette créature du diable.
- Mon patron vous remet ceci, il a ajouté que cela vous ferait fort plaisir. - Ton patron ?! Tu veux parler de Tragounet !? ... Emportant avec lui ses 15 grimoires, assez lourd, empilé les uns sur les autres dans un genre de charette des temps très très ancien, Dilandau parti à la rencontre de ce phénomène. Le soleil commença à se coucher, laissant désormais paraître devant lui une esquisse sur fond noir, genre d'ombre chinoise. Ce crépuscule offrit à Dilandau l'opportunité d'apercevoir un Olympien faisant certainement partie de la "Croix des Templier" vu les armes et armure qu'il portait. - Hé ! Vous n'auriez pas vu un... Sans avoir pû finir sa phrase, une ombre d'un rouge sang arriva de plein fouet sur ce guerrier n'ayant pû l'éviter. Cinq coups fût portés l'affaiblissant jusqu'au point de le mettre à terre presque immobile, laissant le plaisir à un mage de le terminer. - Et si c'était lui, le démon dont Traag parlait... Sortant ses grimoires de sa remorque, Dilandau reprit ses esprits, prononçant l'unes de ses formules magiques. Mais a peine après avoir dit le premier mot, l'ombre se dirigea vers lui à la vitesse de l'éclair. Se fût alors un combat au corps à corps qui l'attendait. Une première frappe lui fût donné. Mais Dilandau avait un atout majeur... son entraînement avec Parium lors de son enfance lui avait bien servi. Le coup fût esquivé au grand damne de son investigateur. Mais, dès lors, les quatres autres suivirent si rapidement que Dilandau ne pû les voir, et l'assoma sur le coup. L'ombre s'en alla, reprenant ses positions sécuritaires afin de n'être plus en sa vue et d'éviter ainsi ses sorts qui auraient certainement eu raison de lui. Laissant place, comme, apparemment, à l'accoutumé, à un mage... mais cette fois-ci, des plus puissant, lançant un sort destructeur annihilant tout espoir de survie. Un sort hors du commun, reunissant la magie blanche d'un être pur à la magie noire de selon d'un démon ! Ce mage était-il donc possédé ?! Se serait-il trompé sur le dit démon ?! Dilandau voulait savoir, mais il était mort... |
Par Lak'nos  le 01/01/1970 à 01:00 |
Une claque, un coup de boule, un sort evité
Voila la journée d'un démon peu ordinaire dans une ville tout a fait ordinaire. Un picotement dans la nuque Lak'nos se retourna, comme piqué par une guepe. Il vit alors un olympien, face contre terre au milieu de plusieurs livres de magie. Ohhhhhh un mage..... Rha zut il est tout cassé se dit alors le démon commencant a penser que le fait que le Ragnarok le protege l'empechait de s'amuser comme il voulait. Ragna..... ( c'etait le surnom qu'il donnait a son armure) C'est malin ca! Pour une fois qu'un mage avec tout plein de livres vient me voir pour m'infliger moults dégats, tu lui balances un sort sur la tronche. Et je m'amuse quand moi ??? Hein? Le démon était dépité. Pourtant il entendit l'olympien dire dans un dernier souffle Excusez-moi j'ai echoué... Parrain Il faut savoir que les années passées dans le corps de Mortimus avait rendu le démon un peu sourd d'oreille. Le parpaing? Qu'est-ce que c'est que ca encore? Puis il eut une idée. Au lieu d'attendre que le-dit "Parpaing" vienne le voir, il pris une feuille de papyrus et marqua dessus en lettres de sang : Cher Parpaing, ton mage est mort et tu m'en vois désolé. Promis j'ai pas fait exprès. D'apres ce que j'ai compris tu me cherches. Je veux bien te voir. Suis les traces de sang et tu me trouveras. Signé Lak'nos Le démon, fier de son oeuvre, la planta sur un poteau en bois dans une des nombreuses rues de Lardanium. Bon fit-il je vais retourner violer des vaches en attendant moi Tout a coup, un passant passa ( ![]() Puis il courru en direction d'une immense demeure. Le démon fut perplexe. Puis, se dirigea vers son affiche. Il rajouta : Ps : Viens avec Pony et Anorak |
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Moi c'est FAUST !!
Ya que mon parrain/patron qui à le droit de m'appeler autrement !! Personne ne vous a donné cette liberté ! |
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Paurtnawak se promenait tranquilement dans Lardanium, humant l'air frai du matin avec un plaisir explicable après une soirée plus qu'alcoolisée au Dilandeau's Bar (TM).
Message au jeune public : l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, sauf pour celle des Nains ou des Olympiens (d'après ce qu'avait put en juger Paurt). Alors qu'il s'en retournait vers la maison de son hôte Ganymède, le Nain aperçut à travers des vapeurs de vodka (un alcool local sympathique, mais qui, foi de Nain, ne valait pas une Morti-mousse) un étrange écrit planté sur un poteau. Cher Parpaing, ton mage est mort et tu m'en vois désolé. Promis j'ai pas fait exprès. D'apres ce que j'ai compris tu me cherches. Je veux bien te voir. Suis les traces de sang et tu me trouveras. Signé Lak'nos Ps : Viens avec Pony et Anorak La pensée trouble ,l'oeil vitreux et un léger mal de crâne aidant, Paurt ne comprit rien. Mais alors rien du tout. Quelqu'un souhaitait se mettre dans le Purin à l'aide d'un petit cheval et de l'âne de Raak... Intrigué (un peu quand même) par la teneur du message et après une bonne demi-heure de concentration à faire fumer son neurone, il réussit à reconnaitre le nom de l'auteur : Lak'nos! Le démon qui possédait le corps de son ami Mortimus!!! Le sang du forgeron ne fit qu'un tour et il se rua vers la demeure de son ami Olympien, qui ne vit passer qu'une petite tornade hurlante et gesticulante se dirigeant vers sa chambre. Lorsque près de trois heures plus tard (une petite sieste n'avait pas fait de mal) Paurt emprunta le chemin en sens inverse, il était vétu d'un long imperméable et d'une veste noirs, portait un chapeau à larges bords noir également, tenait une sacoche de cuir tout aussi noire dans une main et un chapelet à l'effigie d'Hadès dans l'autre, et, enfin, une paire de lorgnons était juchée sur son nez. Sur le visage de Ganymède se lisait (dans le désordre) l'incompréhension, l'interrogation, l'inquiétude et la peur. Le fait qu'il morde sa lèvre quasimment jusqu'au sang dénotait aussi une envie de rigoler à en pleurer. Un petit exorcisme, et je reviens!, fut la seule explication du Nain. Et il s'en fut... |
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Par Zeus et Par Hadès! Je congédie ce Démon! Que Morti retrouve son corps!
Exorciiiiiiiiiiiiismeeeeeuh! *** Cela faisait maintenant quatre jours que Paurt se démenait, dans l'arrière salle du Dilandeau's Bar (endroit plus pratique que n'importe quelle maison pour le ravitaillement en boisson), pour exorciser le démon. Leur rencontre avait été plutôt fracassante. Paurt, après s'être préparé, était parti en trombe dans les rues de Lardanium, à la recherche des fameuses "traces de sangs", qu'il ne tarda pas à trouver. Et elles menaient directement au Dilandeau's Bar, où le Démon pillait tranquillement les réserves d'alcool de sa victime. De trois coups puissants de bouteille de vodka, Paurt avait assomé Lak'nos, puis l'avait trainé, un sourire embarrassé aux lèvres, dans l'arrière salle, sous le regard interrogateur de plusieurs olympiens... Fermement ligoté, le Démon ne pouvait plus rien entreprendre de dangereux, d'autant qu'il était toujours inconscient. Paurt put alors sortir son atirail de Nain exorciste : deux pièces d'or (pas plus), une poupée vaudou (piquée à Tëtram), un symbole de Zeus (quand même), une fourchette (euh...), une dent de Casmouth mâle montée en pendentif (artéfact d'une puissance inimaginable), une gourde remplie de neige outlandaise fondue (ramenée avec amour de cette contrée sauvage), un livre nommé "L'Exorcisme pour les Nuls" (pour le fond) et un encensoir (pour la forme). Lorsque Lak'nos émergea, Paurt enteprit les présentations d'usage : - Paurt : Ha ha ha! Démon, je me présente : je suis Paurtnawak, celui qui te bottera les fesses!!! Mouhahaha - Lak'nos : Gné? Sans s'attarder sur les détails, le forgeron alluma l'encensoir (ce qui eut pour effet de remplir la pièce d'une épaisse fumée opaque et légèrement irritante), puis se lança dans une diatribe exhaltée qu'il serait long et fastidieux de reproduire ici, mais qui grosso modo voulait dire : je vais te botter les fesses... La première tentative d'exorcisme traditionnel (celle qui suivait à la lettre les rites étranges exposées dans le livre) fut un échec cuisant. Après la sentance finale, le Démon répondit par un "j'ai faim" très désapointant... La seconde, qui consista à placer les pièces d'or dans les poches de Lak'nos tout en appellant le passeur, se termina par un "j'ai soif", tout aussi crispant... Après une petite pause Vodka d'un peu plus de 6 heures, Paurt revint à la charge à grands coups de fourchette dans la poupée vaudoue. La réponse, on peut s'en douter, fut "j'ai des fourmis dans la jambe droite". La figurine de Zeus et le chapelet n'obtinrent qu'un "faut que j'aille au p'tits coins". La situaton semblait désespérée... Paurt était à deux doigts de la crise de nerf. Il ne restait plus qu'une seule solution, mais elle était dangereuse. Pas pour le corps de Mortimus, mais pour son esprit (on connait la puissance étrange et terrifiante des artéfacts outlandais, surtout les champignons, Nanabozo pourait en témoigner...). Après avoir aspergé le Démon avec la neige fondue et placé la dent de Casmouth autour de son cou, Paurt entama une danse apprise en outland, dans un rêve étrange et pénétrant (hum hum pardon je m'égare). Les clients du Dilandeau's Bar entendirent alors se lever une étrange musique, qui semblait venir du fond des âges et de la profondeur de l'esprit du danseur (pas de très loin en fait). Au bout de quelques heures, jugeant que ça devait suffire (parcequ'il était vraiment fatigué de faire le pitre et parceque le démon commençait enfin à se tortiller sur sa chaise, visiblement épuisé lui aussi), Paurt lança enfin la phrase magique : Par Zeus et Par Hadès! Je congédie ce Démon! Que Morti retrouve son corps! Exorciiiiiiiiiiiiismeeeeeuh! |
Par Lak'nos/Mortimus  le 12/07/2004 à 00:32 |
Mal
Le démon avait mal pour la premiere fois de son existence. Ni les coups d'épée, ni les coups du burrins ( allez savoir pourquoi) ne lui avait fait mal. Lak'nos voyait le nain s'acharner autour de lui, a coup de fourchette dans une poupée a l'efigie d'un quelconque dieu. Il rigolait, interieurement comme si il ne voulait pas décevoir son bourreau. Bon fit-il au bout d'une demi journée de rituel Faudrait que j'y aille la, j'suis un peu pressé, j'ai des vaches à violer. On pourrait pas reprendre plus tard? Paurtnawak etait interloqué BIGRE! cria-t-il J'en ai par dessus la tete de cet exorcisme, je savais bien que j'aurais jamais du prendre les bouquins de TTB Puis paurtanawak se mit à rire. Mouahahahah, j'avais oublié l'artefact ultime... La dent de Casmouth!!!! La figure du démon se décomposa. Comment un être aussi petit pouvait-il posseder un si precieux artefact. Puis il se souvint. Il se souvint du périple qu'avait entrepris Mortimus, Paurt, Hagen et Tetram au fin fond de l'Outland, afin d'ouvrir le PaurtHaTeMus. ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ PaurtHaTeMus ce sont des objets rares, une ambiance conviviale, des rires des chants. Un humain : Moi quand je veux jouer a la roulette russe, je vais chez PaurtHaTeMus PaurtHaTeMus c'est ce qu'il vous faut. PaurtHaTeMus, le comptoir des héros Ceci était un communiqué du PaurtHaTeMus corp ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Naaaaaaaaannnnnnnnnn. Pas la dent de Casmouthhhhhh!!!!!!! cria alors le démon. Puis les dernieres paroles que le démon entendit furent Par Zeus et Par Hadès! Je congédie ce Démon! Que Morti retrouve son corps! Exorciiiiiiiiiiiiismeeeeeuh! Un corps sans vie, le démon était parti. Puis, dans un dernier élan, le regard vite se posa sur Paurtnawak Je reviendrai!!!!!!!! Je me vengeraiiiiiiiiiiiiiiii Puis vint le silence. Paurt, épuisé par cet exorcisme sombra dans un sommeil des plus profond. Il fut réveillé quelques heures plus tard par une voix familiere Pssssssssttt Paurrrrrrt faisait la voix tout doucement Oh paurtt reveilleuuuuuu toi insista la voix Oh Gros Moche reveille toi nom de Zeus dit alors la voix se faisant plus puissante. Le nain leva une paupiere Mais chuteuuuuuu je dors. Pinaise c'est pas vrai, tu peux pas me laisser dormir Mor......Mor????? Le nain se leva d'un bond Morti oh punaise t'es reviendu!!!!!! On dit revenu mais bon j'etais pas parti dit alors Mortimus Euh par contre on a bu ou quoi? J'ai un de ces mal de crane!! Mortimus essaye de se lever mais ses liens l'en empecherent Oh Paurt dis moi pas qu'on a encore fait le jeu de l'enlaceur enlacé?!? Il faut savoir, cher lecteur, que Paurt et Mortimus s'amusaient beaucoup a se jeu. Ce jeu consistait, apres une soirée plus qu'arrosée, a faire toute sorte de blagues a celui qui sombrait le premier dans l'alcool. Non t'inquiete c'est pas ca. Je t'expliquerai plus tard fit alors Paurtnawak tout en deliant les liens de son ami. Oufffff tu m'a fait peur, j'ai cru que j'avais perdu.... C'est ce qu'il y a de pire pour moi... dit alors Mortimus... Si tu savais, Morti......Si tu savais pensa alors Paurtnawak. Bon j'ai soif. On va boire un coup chez Tetram? Mortimus comprit qu'il venait de dire quelque chose de grave.... Sigdil n'est plus, elle est aux mains des Apocalypses dit alors Paurtnawak d'un ton resigné. Keuhaaaaaa!!!! cria alors Mortimus Bon.....Humm.....reflechissement.....hmmmmm....arg....j'ai jamais été fort dans ce genre de truc...Bon, on y va on tape et on reprends Sigdil. dit alors Mortimus d'un air souriant. Ils sont deja mort, on va les enterrer dit alors Mortimus en eclatant de rire. Bon allez hop, une chopine de biere et on va recuperer Sigdil fit alors Mortimus tout en donnant une forte tape dans le dos de son ami. |
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Le retour de Mortimus....Enfin!!!! Depuis le temps!!!
Baaldûm se pencha vers l'assistance... "Qui va lui apprendre qu'il a violé des vaches? Pas de volontaires? Se rapprochant... Au fait, heuuuuu...Morti... ... ..tu nous as manqués..." HRP/ Trop énorme!!!! merci pour les références Paurt!! ![]() Et que des conneries, en plus!!! ![]() ![]() ![]() |
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Euh.....ouais toi aussi...nain.
Se tournant vers Paurtnawak Psssssst c'est qui le gros barbu la? il me dit bien quelque chose mais je vois pas qui c'est. Paurtnawak ce mit a rire. Bah quoi, j'ai dit quelque chose de drole? |
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Erf, non Morti, laisse tomber ^^
/me essuie une larme de rire Le barbu en question, c'est le Roi de BTAH, le territoire Nain pas très loin des anciens marais d'Obscura... Enfin, viens, j'te paye un tonneau de Vodka et j't'explique! |
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