Par Baldaur le 01/01/1970 à 01:00 "Alors comme ca tu veux entendre mon histoire?
Sache que tous les secrets du passé ne sont pas bon à divulger , file avant que je ne m'enerve!
...
Quoi tu es encore là?
Je croyais t'avoir dit de dégerpir ? Ha je vois maintenant tu les a tous rameutés et je suppose que vous etes tous animés par cette curiosité malseine!"
(Hrp : sinon ben fermez cette chronique maintenant, mais on essaie pas de tricher je vois les ptits malins qui essaient de revenir apres...gare à vous...)
"Et bien vautours que vous êtes vont etre content vous l'aurez cette histoire...Peut etre meme un peu plus...
On va s'installer dehors,mettez vous en cercle, éxécution!
Sachez que nous, les anciens géants , avions un moyen tres particulier de conter nos histoire et relater nos souvenirs, nous les chantions , mais pas n'importe quelle chanson ...
Mais je vous laisserais découvrir par vous même...
Bon maintenant on me laisse de la place au centre , allez on se bouge!"
Baldaur s'installa au milieu du cercle , assis en tailleur , regardant le sol...
Alors que certains se demandaient si le vieux géant ne s'etait pas endormi ils entendirent quelques notes venant du compteur...
Cet air semblait hésitant mais chaque note touchait l'âme et la laissait dans un état second de mélancolie.
Le refrain devenait de plus en plus assuré et de plus en plus troublant , les personnes présentes crurent voir quelques images se former dans leurs esprits ; des plaines d'herbe verte s'etendant jusqu'à l'infini , des couchers de soleil qui déchiraient le ciel teinté de degradés de violets pour tomber sur le rose, une forteresse aussi grande qu'une montagne qui tronait au milieu des steppes infinies...
le refrain tirait à sa fin ; Baldaur ne chanta plus q'une seule note puis s'arreta ; haletant.
Le son resta en l'air quelques instants puis explosa , l'assemblée réunie fut alors entourée par un coeur de voix graves chantant une magnifique mélodie qui ,ce fut comme s'ils étaient entourés par les voix des anciens géants de toute époque,elles ne se contentaient pas de toucher les esprits , elles les balayaient pour les emporter au loin; si loin....
"Baldaur? Tu sembles encore rêver!"
Devant le géant se trouve un magnifique spécimen de la gente féminine de sa race ,toute en hauteur , les femmes sont néanmoins plus petites que les hommes mais sont également plus gracieuses et fines ne partageant donc pas la carrure imposante de leurs maris.
La femme s'approcha de Baldaur , une épée et un bouclier à la main, mais c'était surtout le doux sourire qui laissait le guérrier dans l'emerveillement
"Tu vois que tu rêves , je t'apporte tes armes et c'est à peine si tu les regardes!
-C'est surement que j'ai quelquechose de plus intéressant à regarder, quelquechose comme toi Aléatée..."
La géante rougit ce qui la rendait encore plus belle , teintant de rose son adorable visage nacré
"Concentres toi nigaut!Aujourd'hui est un grand jour ; les glaces ont fondu et les routes sont enfin praticables, vous allez pouvoir mater ces bandits qui s'en prennent à nous depuis tant de temps et nous pourrons enfin revivre en...Oh! il a bougé!"
Mue de la joie qu'ont les futures mères, Aléathée prit la main de son mari et lui mis sur le ventre,celui-ci ayant l'air plus abasourdi que jamais...
Sautillant avec une joie enfantine , elle l'embrassa vivemment , le regardant avec un amour infini
"Il a bougé!Il a bougé!
Dis ce sera un garçon grand et fort comme son père ou une femme aussi belle que moi ? Dis , tu me trouves belle?
-Plus que toujours , ma femme "
Ils s'embrassaient encore alors que quelqu'un frappa à la porte
"Baldaur!C'est l'heure!
Si tu ne veux pas etre de corvée pendant tout le trajet dépeche toi de dire au revoir à ta femme! "
Embrassant une derniere fois son adorée et baisant son ventre il prit ses armes et s'en fu par la porte
Ainsi commenca le voyage de Baldaur, pendant des semaines il marcha au pas , traquant les pillards qui semblaient toujours leur achapper de peu jusqu'a ce jour où les éclaireurs revinrent faire un rapport au capitaine un peu plus consistant en informations
"Nous avons repéré le camp des voleurs; ils ont planté leurs tantes à l'orée d'un bois et ont avec eux des esclaves , d'apres les cris il sembleraient qu'ils soient occupés a en torturer quelques uns..."
Baldaur ne voulut plus rien entendre, il s'écarta donc de la tente du capitaine , cela faisait maintenant 9 mois que sa femme etait enceinte et il voulait atout prix revenir à temps pour le jour fatidique.
Ils gagna ses appartements et se mit à affuter sa lame qu'il ceignit à son fourreau, à mettre ses fleches dans son carquois puis il prit son arc , regarda son arme avec admiration puis se le passa en travers du torse.
Il sortit enfin lorsque l'on sonna le raliemment...
Quelques heures plus tard ils se trouvaient en train d'observer le camp dans la peinombre du jour couchant, des cris inhumains leur parvenaient aux oreilles , ces babares devaient s'amuser...
Le sang bouillait dans les veines de Baldaur mais les ordres avaient étés stricts pas d'attaque avant le signal; il ne devait pas y avoir de survivants...
Heureusement pour le guérrier le signal arriva vite; une fléche enflamée atteignit une tente et le feu commenca doucement à se propager ; ils lévèrent tous leurs arc et tirèrent ,participant ainsi à l'un des massacres les plus sanglants auquel Baldaur aurait jamais assisté ; une pluie de flèches tombait ,déchirant sans distinction les chairs des brigands et celles des prisonniers innocents le bain de sang dura peu de temps grâce à l'effet de surprise, mais trop pour Baldaur...
Un silence de mort reignait sur l'ancien camp...
Il restait encore quelques cendres chaudes là où siegaiet quelques heures auparavant une grande tente...Les soldats les moins gradés (Baldaur remerciait encore Les dieux de ne pas en faire partie) aveint reçu pour tache d'empiler les morts, car il n'y avait eu aucun survivants de peur de laissep un criminel ; toute personne désignée suspecte (c'est à dire étant dans le camp au moment de l'attaque) avait été éliminée...
Soudain un cri perca ce voile de silence morbide
BALDAUR, VIENS VOIR!
Il reconnaissait le cri de son capitaine et accouru vers la tente.
Consue pour la guerre ladite tente ne laissait rien au confort et ne faisait aucun compromis au déficit de la fonctionalité ; l'on pouvait voir une grande table sur laquelle des plans qui avaient été repliés à la hâte pour faire place à des rapports sur la derniere bataille.
Là se tenait le gradé ainsi qu'un infirmier que le guérrier connaissait bien , il avait été réquisitioné pour les besoins de l'armée mais en temps de paix etait le médecin de son village, et la mine abatue de celui-ci ne dit rien de bon au géant...
"Baldaur , j'ai recu une lettre pendant notre derniere escale , j'allais te les remettre mais nous devions faire vite alors j'ai préféré te remettre ca à plus tard...J'ai eu tort"
Le capitaine jetta négligeament une lettre décachetée sur la table
"Je l'ai lue apres avoir entendu ce que le médecin avait à me dire"
Il regarda avec rage le médecin qui n'avait quitté des yeux le sol et n'en menait visiblement pas tres large
"J'ai éxaminé les corps des prisonniers , et j'y ai trouvé une femme enceinte ..."
Baldaur n'entendit plus rien après ce mot , il comprenait tout maintenant , ces airs compatissants , cette gêne...
"...comme tu le liras elle a été enlevée alors qu'elle cherchait de l'eau..."
Baldaur sentait les larmes qui coulaient le long de ses joues alors qu'il restait stoïque , serrant dans son poing tremblant la lettre anonciatrice de malheur...
"Son corps est à l'infirmerie , mais...BALDAUR!"
Le géant ne put en entendre plus ;il quitta la tente et se précipita sous le chapiteau dréssé pour y acceuillir les blessés et nombres de cadavres entassés les uns sur les autres.
Dès qu'il entra il la vit on l'avait mise sur un lit mais l'on aurait encore mieux fait de la laisser dans les décombres , le cadavre de celle qu'il aimait était là son corps était parsemé de cicatrices marquées au fer rouge, son visage etait figé en un rictus d'agonie et de terreur , mais le plus effrayant était son ventre que l'on avait écorché et l'où n'ont voyait qu'un trou béant , le géant nota avec un accuité morbide les traces de brulures non pas dues aux tortures mais au feu qu'il avait contribué à faire.
Il tomba à genoux devant le cadavre de son unique amour, le soldat était dans une sorte d'etat second , vascillant entre l'incrédulité et la folie pure alors qu'il sentit la main du médecin sur son épaule...
Lui aussi pleurait...
"Je suis désolé... Lui non plus n'a pu survivre..."
C'est alors qu'il le vit , un petit corps sans vie ,tout carbonisé qui gisait à coté de sa mère...
"C'est un garcon..."
Le géant n'en pu plus il tomba au sol comme mortellement touché , et griffa le sol de ses ongles
"NOOOOOOOOOOOOOOOOON"
Ce cri résidait encore dans vos oreilles alors que vous vous rendiez compte que vous étiez revenus à vous assis sur l'herbe...
Baldaur se levait déja , le visage fermé
"J'espere que cette histoire vous à plu , etes vous heureux maintenant que vous avez ce que vous vouliez?"
Sache que tous les secrets du passé ne sont pas bon à divulger , file avant que je ne m'enerve!
...
Quoi tu es encore là?
Je croyais t'avoir dit de dégerpir ? Ha je vois maintenant tu les a tous rameutés et je suppose que vous etes tous animés par cette curiosité malseine!"
(Hrp : sinon ben fermez cette chronique maintenant, mais on essaie pas de tricher je vois les ptits malins qui essaient de revenir apres...gare à vous...)
"Et bien vautours que vous êtes vont etre content vous l'aurez cette histoire...Peut etre meme un peu plus...
On va s'installer dehors,mettez vous en cercle, éxécution!
Sachez que nous, les anciens géants , avions un moyen tres particulier de conter nos histoire et relater nos souvenirs, nous les chantions , mais pas n'importe quelle chanson ...
Mais je vous laisserais découvrir par vous même...
Bon maintenant on me laisse de la place au centre , allez on se bouge!"
Baldaur s'installa au milieu du cercle , assis en tailleur , regardant le sol...
Alors que certains se demandaient si le vieux géant ne s'etait pas endormi ils entendirent quelques notes venant du compteur...
Cet air semblait hésitant mais chaque note touchait l'âme et la laissait dans un état second de mélancolie.
Le refrain devenait de plus en plus assuré et de plus en plus troublant , les personnes présentes crurent voir quelques images se former dans leurs esprits ; des plaines d'herbe verte s'etendant jusqu'à l'infini , des couchers de soleil qui déchiraient le ciel teinté de degradés de violets pour tomber sur le rose, une forteresse aussi grande qu'une montagne qui tronait au milieu des steppes infinies...
le refrain tirait à sa fin ; Baldaur ne chanta plus q'une seule note puis s'arreta ; haletant.
Le son resta en l'air quelques instants puis explosa , l'assemblée réunie fut alors entourée par un coeur de voix graves chantant une magnifique mélodie qui ,ce fut comme s'ils étaient entourés par les voix des anciens géants de toute époque,elles ne se contentaient pas de toucher les esprits , elles les balayaient pour les emporter au loin; si loin....
"Baldaur? Tu sembles encore rêver!"
Devant le géant se trouve un magnifique spécimen de la gente féminine de sa race ,toute en hauteur , les femmes sont néanmoins plus petites que les hommes mais sont également plus gracieuses et fines ne partageant donc pas la carrure imposante de leurs maris.
La femme s'approcha de Baldaur , une épée et un bouclier à la main, mais c'était surtout le doux sourire qui laissait le guérrier dans l'emerveillement
"Tu vois que tu rêves , je t'apporte tes armes et c'est à peine si tu les regardes!
-C'est surement que j'ai quelquechose de plus intéressant à regarder, quelquechose comme toi Aléatée..."
La géante rougit ce qui la rendait encore plus belle , teintant de rose son adorable visage nacré
"Concentres toi nigaut!Aujourd'hui est un grand jour ; les glaces ont fondu et les routes sont enfin praticables, vous allez pouvoir mater ces bandits qui s'en prennent à nous depuis tant de temps et nous pourrons enfin revivre en...Oh! il a bougé!"
Mue de la joie qu'ont les futures mères, Aléathée prit la main de son mari et lui mis sur le ventre,celui-ci ayant l'air plus abasourdi que jamais...
Sautillant avec une joie enfantine , elle l'embrassa vivemment , le regardant avec un amour infini
"Il a bougé!Il a bougé!
Dis ce sera un garçon grand et fort comme son père ou une femme aussi belle que moi ? Dis , tu me trouves belle?
-Plus que toujours , ma femme "
Ils s'embrassaient encore alors que quelqu'un frappa à la porte
"Baldaur!C'est l'heure!
Si tu ne veux pas etre de corvée pendant tout le trajet dépeche toi de dire au revoir à ta femme! "
Embrassant une derniere fois son adorée et baisant son ventre il prit ses armes et s'en fu par la porte
Ainsi commenca le voyage de Baldaur, pendant des semaines il marcha au pas , traquant les pillards qui semblaient toujours leur achapper de peu jusqu'a ce jour où les éclaireurs revinrent faire un rapport au capitaine un peu plus consistant en informations
"Nous avons repéré le camp des voleurs; ils ont planté leurs tantes à l'orée d'un bois et ont avec eux des esclaves , d'apres les cris il sembleraient qu'ils soient occupés a en torturer quelques uns..."
Baldaur ne voulut plus rien entendre, il s'écarta donc de la tente du capitaine , cela faisait maintenant 9 mois que sa femme etait enceinte et il voulait atout prix revenir à temps pour le jour fatidique.
Ils gagna ses appartements et se mit à affuter sa lame qu'il ceignit à son fourreau, à mettre ses fleches dans son carquois puis il prit son arc , regarda son arme avec admiration puis se le passa en travers du torse.
Il sortit enfin lorsque l'on sonna le raliemment...
Quelques heures plus tard ils se trouvaient en train d'observer le camp dans la peinombre du jour couchant, des cris inhumains leur parvenaient aux oreilles , ces babares devaient s'amuser...
Le sang bouillait dans les veines de Baldaur mais les ordres avaient étés stricts pas d'attaque avant le signal; il ne devait pas y avoir de survivants...
Heureusement pour le guérrier le signal arriva vite; une fléche enflamée atteignit une tente et le feu commenca doucement à se propager ; ils lévèrent tous leurs arc et tirèrent ,participant ainsi à l'un des massacres les plus sanglants auquel Baldaur aurait jamais assisté ; une pluie de flèches tombait ,déchirant sans distinction les chairs des brigands et celles des prisonniers innocents le bain de sang dura peu de temps grâce à l'effet de surprise, mais trop pour Baldaur...
Un silence de mort reignait sur l'ancien camp...
Il restait encore quelques cendres chaudes là où siegaiet quelques heures auparavant une grande tente...Les soldats les moins gradés (Baldaur remerciait encore Les dieux de ne pas en faire partie) aveint reçu pour tache d'empiler les morts, car il n'y avait eu aucun survivants de peur de laissep un criminel ; toute personne désignée suspecte (c'est à dire étant dans le camp au moment de l'attaque) avait été éliminée...
Soudain un cri perca ce voile de silence morbide
BALDAUR, VIENS VOIR!
Il reconnaissait le cri de son capitaine et accouru vers la tente.
Consue pour la guerre ladite tente ne laissait rien au confort et ne faisait aucun compromis au déficit de la fonctionalité ; l'on pouvait voir une grande table sur laquelle des plans qui avaient été repliés à la hâte pour faire place à des rapports sur la derniere bataille.
Là se tenait le gradé ainsi qu'un infirmier que le guérrier connaissait bien , il avait été réquisitioné pour les besoins de l'armée mais en temps de paix etait le médecin de son village, et la mine abatue de celui-ci ne dit rien de bon au géant...
"Baldaur , j'ai recu une lettre pendant notre derniere escale , j'allais te les remettre mais nous devions faire vite alors j'ai préféré te remettre ca à plus tard...J'ai eu tort"
Le capitaine jetta négligeament une lettre décachetée sur la table
"Je l'ai lue apres avoir entendu ce que le médecin avait à me dire"
Il regarda avec rage le médecin qui n'avait quitté des yeux le sol et n'en menait visiblement pas tres large
"J'ai éxaminé les corps des prisonniers , et j'y ai trouvé une femme enceinte ..."
Baldaur n'entendit plus rien après ce mot , il comprenait tout maintenant , ces airs compatissants , cette gêne...
"...comme tu le liras elle a été enlevée alors qu'elle cherchait de l'eau..."
Baldaur sentait les larmes qui coulaient le long de ses joues alors qu'il restait stoïque , serrant dans son poing tremblant la lettre anonciatrice de malheur...
"Son corps est à l'infirmerie , mais...BALDAUR!"
Le géant ne put en entendre plus ;il quitta la tente et se précipita sous le chapiteau dréssé pour y acceuillir les blessés et nombres de cadavres entassés les uns sur les autres.
Dès qu'il entra il la vit on l'avait mise sur un lit mais l'on aurait encore mieux fait de la laisser dans les décombres , le cadavre de celle qu'il aimait était là son corps était parsemé de cicatrices marquées au fer rouge, son visage etait figé en un rictus d'agonie et de terreur , mais le plus effrayant était son ventre que l'on avait écorché et l'où n'ont voyait qu'un trou béant , le géant nota avec un accuité morbide les traces de brulures non pas dues aux tortures mais au feu qu'il avait contribué à faire.
Il tomba à genoux devant le cadavre de son unique amour, le soldat était dans une sorte d'etat second , vascillant entre l'incrédulité et la folie pure alors qu'il sentit la main du médecin sur son épaule...
Lui aussi pleurait...
"Je suis désolé... Lui non plus n'a pu survivre..."
C'est alors qu'il le vit , un petit corps sans vie ,tout carbonisé qui gisait à coté de sa mère...
"C'est un garcon..."
Le géant n'en pu plus il tomba au sol comme mortellement touché , et griffa le sol de ses ongles
"NOOOOOOOOOOOOOOOOON"
Ce cri résidait encore dans vos oreilles alors que vous vous rendiez compte que vous étiez revenus à vous assis sur l'herbe...
Baldaur se levait déja , le visage fermé
"J'espere que cette histoire vous à plu , etes vous heureux maintenant que vous avez ce que vous vouliez?"
Par 
Par