Par Philkas le 01/01/1970 à 01:00 Il y a quelques jours, Paurtnawak s'était proposé de servir comme éclaireur pour voir la position des sevens et de l'apocalypse aux abords de Sigdil.
S'étant rapproché des murs de l'ancienne cité blanche, il apperçut un spectre. Ce devait être un serviteur de la pestilence, à l'odeur que le vent portait a ses narines.
Au loin, il entendit des bruit de voix ou plutot des grognements. Le spectre se leva, laissant tomber un objet indistinct et partit dans la direction des voix.
Intrigué, Paurtnawak alla voir ce que c'etait. Il s'agissait d'un vieux livre et ,esperant y trouver quelques informations strategiques, il le feuilletta.
Dans un vieux livre, marqué par la moisissure, de nombreuses pages sont recouvertes d’une écriture a demi effacée par le temps. Mais vers le milieu du livre l’encre semble récente, une encre rouge sombre. Sur la page précédente y est écrit en grand d’une écriture malhabile : « Honte a eux, plus jamais on se fera marcher dessus » avec en dessous un squelette stylisé semblant tendre le bras vers une chose qu’il est le seul à voir.
Voici le contenu de ce nouvel écrit :
Je suis Philkas, un simple Géant, Guerrier de l’air sous les ordres de Einrich, ainsi que chroniqueur et bibliothécaire de l’AGIR.
Depuis le malheureux évènement survenu lors de la découverte d’un étrange cristal j’ai perdu définitivement le contrôle de mon corps je ne suis maintenant plus que l'ombre de mon ancien corps, attaché éternellement aux pensées et actions de ce nouvel être.
Je ne suis maintenant plus qu’une silhouette enveloppée de vieux tissus portant une capuche et un masque d’acier sur le visage. Lorsque je me déplace, une brume verte suit mes pas et, à la tête des vivants que je croise, il doit être très nauséabond. Cette nouvelle apparence est celle de Tigrog, une des âmes damnées de l’apocalypse, un des vecteurs de la peste, ce qu’on appelle un spectre.
Chaque jour je vois mes anciens amis ou camarades, transformés en machines à tuer, dénuées de tout sentiment ou sensation. J’ai l’impression que Tigrog ne subit pas les affres de la faim ou de la soif, il ne connaît pas la douleur et reste des jours sans parler, ne connaissant qu’un seul but obéir et servir l’apocalypse… Mais à cause de nombreux voyage dans le royaume d’Hadès, le contrôle de Tigrog sur moi a diminué, l’obligeant à entrer dans une sorte de veille pour reprendre le contrôle absolu. Je profite de cette veille pour témoigner de notre tristesse, celle d’un peuple de fier guerrier. J’écris à l’aide d’une de ses flèches et le sang qui coule d’un cadavre me sert d’encre, je suis désolé d’utiliser son sang mais celui de Tigrog est trop corrosif pour être utiliser ainsi. Le livre sur lequel j’écris est l’histoire de l’AGIR. Depuis sa transformation, Tigrog le porte a son coté, je crois qu’il lui sert de témoin.
Je ne sais pas ce que pensent mes anciens camarades, mais pour moi la vie est devenue un enfer, voir des personnes que je respectais succomber sous les coups de l’apocalypse, d’anciens alliés subir l’assaut des troupes damnées. Bien qu’avant l’évènement je n’éprouvais plus qu’un vague respect envers les habitants de Sigdil, suite à leur trahison, la prise de Sigdil n’a pas rempli mon cœur de joie mais de tristesse. Il ne reste maintenant plus grand chose de cette ville, ce n’est plus qu’un champ de bataille. Je ne comprends pas pourquoi certains vivants se sont alliés aux spectres, n’ont-il pas compris qu’ils ne se sont offert qu’un sursis, les spectres contre la vie, contre les vivants.
Des personnes arrivent, Tigrog va se réveiller…
Ayant a peine de finit de lire cette page, Paurtnawak entendit les spectres revenir. Après une brève hésitation entre une charge surprise qui pourrait emporter le plus d'ennemi avec lui et battre retraite, le Nain opta finalement pour la retraite, car un eclaireur mort avant d'avoir transmit ses observation n'est pas vraiment utile. Il reposa le livre sur une pierre et s'eloigna discrètement en direction de Lardanium.
S'étant rapproché des murs de l'ancienne cité blanche, il apperçut un spectre. Ce devait être un serviteur de la pestilence, à l'odeur que le vent portait a ses narines.
Au loin, il entendit des bruit de voix ou plutot des grognements. Le spectre se leva, laissant tomber un objet indistinct et partit dans la direction des voix.
Intrigué, Paurtnawak alla voir ce que c'etait. Il s'agissait d'un vieux livre et ,esperant y trouver quelques informations strategiques, il le feuilletta.
Dans un vieux livre, marqué par la moisissure, de nombreuses pages sont recouvertes d’une écriture a demi effacée par le temps. Mais vers le milieu du livre l’encre semble récente, une encre rouge sombre. Sur la page précédente y est écrit en grand d’une écriture malhabile : « Honte a eux, plus jamais on se fera marcher dessus » avec en dessous un squelette stylisé semblant tendre le bras vers une chose qu’il est le seul à voir.
Voici le contenu de ce nouvel écrit :
Je suis Philkas, un simple Géant, Guerrier de l’air sous les ordres de Einrich, ainsi que chroniqueur et bibliothécaire de l’AGIR.
Depuis le malheureux évènement survenu lors de la découverte d’un étrange cristal j’ai perdu définitivement le contrôle de mon corps je ne suis maintenant plus que l'ombre de mon ancien corps, attaché éternellement aux pensées et actions de ce nouvel être.
Je ne suis maintenant plus qu’une silhouette enveloppée de vieux tissus portant une capuche et un masque d’acier sur le visage. Lorsque je me déplace, une brume verte suit mes pas et, à la tête des vivants que je croise, il doit être très nauséabond. Cette nouvelle apparence est celle de Tigrog, une des âmes damnées de l’apocalypse, un des vecteurs de la peste, ce qu’on appelle un spectre.
Chaque jour je vois mes anciens amis ou camarades, transformés en machines à tuer, dénuées de tout sentiment ou sensation. J’ai l’impression que Tigrog ne subit pas les affres de la faim ou de la soif, il ne connaît pas la douleur et reste des jours sans parler, ne connaissant qu’un seul but obéir et servir l’apocalypse… Mais à cause de nombreux voyage dans le royaume d’Hadès, le contrôle de Tigrog sur moi a diminué, l’obligeant à entrer dans une sorte de veille pour reprendre le contrôle absolu. Je profite de cette veille pour témoigner de notre tristesse, celle d’un peuple de fier guerrier. J’écris à l’aide d’une de ses flèches et le sang qui coule d’un cadavre me sert d’encre, je suis désolé d’utiliser son sang mais celui de Tigrog est trop corrosif pour être utiliser ainsi. Le livre sur lequel j’écris est l’histoire de l’AGIR. Depuis sa transformation, Tigrog le porte a son coté, je crois qu’il lui sert de témoin.
Je ne sais pas ce que pensent mes anciens camarades, mais pour moi la vie est devenue un enfer, voir des personnes que je respectais succomber sous les coups de l’apocalypse, d’anciens alliés subir l’assaut des troupes damnées. Bien qu’avant l’évènement je n’éprouvais plus qu’un vague respect envers les habitants de Sigdil, suite à leur trahison, la prise de Sigdil n’a pas rempli mon cœur de joie mais de tristesse. Il ne reste maintenant plus grand chose de cette ville, ce n’est plus qu’un champ de bataille. Je ne comprends pas pourquoi certains vivants se sont alliés aux spectres, n’ont-il pas compris qu’ils ne se sont offert qu’un sursis, les spectres contre la vie, contre les vivants.
Des personnes arrivent, Tigrog va se réveiller…
Ayant a peine de finit de lire cette page, Paurtnawak entendit les spectres revenir. Après une brève hésitation entre une charge surprise qui pourrait emporter le plus d'ennemi avec lui et battre retraite, le Nain opta finalement pour la retraite, car un eclaireur mort avant d'avoir transmit ses observation n'est pas vraiment utile. Il reposa le livre sur une pierre et s'eloigna discrètement en direction de Lardanium.
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