Par Tanith le 12/10/2004 à 20:23 Tanith était sorti il y a 3 levés de soleil lorsqu’il arriva sur le front pour la reprise de Sigdil. Il s’échauffa quelque temps au combat.
Une journée venait de passer lorsqu’il commença à attaquer l’ennemi. Il avança, tira et recula pour se mettre à peu près à l’abri mais apparemment, pas assez. Il essuya 5 tirs portés par Guerre, cavalier de l’Apocalypse. La violence des tirs l’assomma. Il chancela et s’effondra aux pieds de Thémis la déesse, plus qu’à demi inconscient. Tout d’un coup, dans le brouillard qui envahissait sa tête, il entendit une voix qu’il ne reconnaissait et pourtant qui lui était familière, étant à côté du temple.
Thémis : - Jeune guerrier, tu semble souffrir de ces vilaines plaies.
Tanith, à demi inconscient, ne pouvait répondre. Il venait de reconnaître la voix et le visage de Thémis, qui se penchait sur lui.
Tanith : - Comment aurais-je pu penser qu’un jour, vous posiez votre regard sur moi, olympien si faible ?
Il se tut, ne pouvant continuer.
Thémis : - Mon essence divine me permet beaucoup de choses dont le pouvoir de guérir les amis des dieux et ceux qui les servent. Je vais te guérir de mon mieux de ces profondes blessures.
Tanith, n’osant lever le regard sur cette déesse rayonnante et rougissant dit:
Tanith : - Jamais je ne vous remercierais assez. Permettez-moi néanmoins de vous baiser la main pour vous prouver toute ma reconnaissance.
Thémis : - Cela me touche. Je te l’accorde. Peu de guerrier éprouve autant de respect à mon égard.
Tanith lui baisa la main, quasiment guéri. Le regard de la déesse, plein de bienveillance, le troubla. Puis, il attendit son prochain tour, à côté de la déesse, se sentant plus fort.
Mais, l’ennemi, perfide, avait suivi cette scène et voulu se venger. Tanith reçut un nombre considérable d’attaques. Il s’écroula, à deux doigts de la mort, à côté de la déesse. Le regard de la déesse ne l’avait remarqué, regardant on ne sait où. Il ne pu même pas l’appeler, tant il souffrait.
Tanith pu attraper un papillon, cadeau des vents, lui montrant que même dans la mort, la vie et l’espoir continuaient.
Il recouvra un minimum de force mais ne pouvait que chuchoter :
Tanith : - La vie me quitte, mon corps se refroidit. Va… va… et demande la bienveillance des dieux. Thémis n’a pas remarquer ma chute, demande lui son soutient puis va retrouver Zeus, le dieu des dieux, que j’ai vu à quelques lieux d’ici avant de tomber.
Un flot de sang envahi ses poumons et s’échappa par sa bouche.
Tanith venait de tomber dans un coma profond, glissant doucement dans l’au-delà, vers le royaume d’Hadès. Sa vie ne tenait qu’a la décision de Zeus.
« Quel honte de mourir alors que mes frères et mes alliés se battent encore » pensa t’il dans un dernier sursaut.
10 Minutes… 1 heures… combien de temps s’écoula t’il depuis sa chute vers sa mort quand il entendit un murmure bien lointains ?
Une voix, douce et mélodieuse, semblable à un chant de l’Olympe, s’éleva dans l’air et envahit Olympia d’un message d’espoir et de paix. Zeus avait entendu la prière de se guerrier se mourant dans une marre de sang. Ses paroles, belles et claires s’élevèrent. Etrangement, les combats stoppèrent pendant ce chant.
Zeus chantait pour faire revenir ce guerrier à la vie, que beaucoup avait connu pour sa position contre la Seven et les Apocalypses, mais que peut connaissait pour sa valeur combative, qui était encore faible.
Zeus : - Oh Gaïa, prête moi une nouvelle fois le pouvoir de guérison pour ce jeune olympien mourrant, si près de moi. La paix et la liberté ne méritent-elles pas pour une fois de sauvegarder les bons pour vaincre les ennemis de cette terre. Il fut fait don à cet olympien de parler aux insectes pour atteindre les dieux et leur demander de l’aide dans les moments les plus noirs, entretenant ainsi l’espoir. Depuis déjà quelques temps, il combat à notre gloire dans la Légion des Voies Divines. Sait entendre sa prière.
Une brise douce et chaude, semblable à un murmure, souffla alors autour de zeus. Gaïa l’investit une nouvelle fois de son pouvoir de guérison.
Il pu ainsi guérir ce guerrier se vidant de son sang. Ce sang, déjà béni par Thémis depuis qu’elle avait guéri ce corps, allait être doublement béni par Zeus et Gaïa la guérisseuse.
Tanith senti la vie revenir en lui. Il se releva, s’agenouilla et chanta jusqu'à l’aube à la gloire de Zeus, dieu des dieux. Avant de se retirer, il s’inclina profondément devant Zeus.
Après cette longue nuit, il remarque que son corps avait complètement cicatrisé. Qui avait donc aidé Zeus à le guérir. Il cherchait mais ne trouvait pas. Peut-être était-ce Thémis… ?
L’ennemi, ne pouvant supporter que ce Tanith soit également béni par Zeus et Gaïa, lui lança de nouvelles attaques.
Mais Thémis, ayant reçu son message, veillait.
Thémis : - Regarde les t’attaquer. Pourquoi tant de haine autour de ce temple chéri par beaucoup de monde. Si je peux encore donner l’espoir, je te le transmettrais en te soignant une nouvelle fois.
Tanith : - Merci, belle déesse. Vos paroles savent toujours être justes. Je vous suis tout dévoué. Vous transmettrez mes hommages à votre mari, Zeus.
Tanith reçut encore quelques attaques mais l’ennemi semblait enfin s’essouffler d’attaquer un olympien qui ne mourrait jamais et qui était en plus béni des dieux.
Tanith se retira, voulant se reposer pour que ses blessures cicatrisent complètement mais une nouvelle mission l’attendait. Il devait retourner sur le front et combattre avec ses frères pour abattre cet ennemi si coriace : la Seven, l’Apocalypse et l’armée des morts.
Ainsi, était son destin dans la LVD :
- combattre
- mourir
- renaître de ses cendres pour que triomphe la paix.
Il reçut des attaques qui l’affaiblirent à nouveaux mais appelant Zeus, il pu se faire soigner de nouveau par lui. Une chaleur de reconnaissance, tel qu’on n’en avait jamais vu sur Olympia, brilla dans ces yeux.
Il avança sur le front. Il attaqua de nouveau à l’aube mais il se passa un évènement auquel il ne se serait jamais attendu. Il tira sur Princesse Haeldra une seule fois et la tua. Ceci le troubla car il ne se serait jamais attendu à faire tomber une personne si forte.
Ainsi est la vie. Elle est faite de surprises qui nous font aller vers l’avant et qui nous enseignent qu’il faut se raccrocher au plus petit espoir existant.
Tanith, LVD (section 1), chef de la confrérie de l’égalité.
Une journée venait de passer lorsqu’il commença à attaquer l’ennemi. Il avança, tira et recula pour se mettre à peu près à l’abri mais apparemment, pas assez. Il essuya 5 tirs portés par Guerre, cavalier de l’Apocalypse. La violence des tirs l’assomma. Il chancela et s’effondra aux pieds de Thémis la déesse, plus qu’à demi inconscient. Tout d’un coup, dans le brouillard qui envahissait sa tête, il entendit une voix qu’il ne reconnaissait et pourtant qui lui était familière, étant à côté du temple.
Thémis : - Jeune guerrier, tu semble souffrir de ces vilaines plaies.
Tanith, à demi inconscient, ne pouvait répondre. Il venait de reconnaître la voix et le visage de Thémis, qui se penchait sur lui.
Tanith : - Comment aurais-je pu penser qu’un jour, vous posiez votre regard sur moi, olympien si faible ?
Il se tut, ne pouvant continuer.
Thémis : - Mon essence divine me permet beaucoup de choses dont le pouvoir de guérir les amis des dieux et ceux qui les servent. Je vais te guérir de mon mieux de ces profondes blessures.
Tanith, n’osant lever le regard sur cette déesse rayonnante et rougissant dit:
Tanith : - Jamais je ne vous remercierais assez. Permettez-moi néanmoins de vous baiser la main pour vous prouver toute ma reconnaissance.
Thémis : - Cela me touche. Je te l’accorde. Peu de guerrier éprouve autant de respect à mon égard.
Tanith lui baisa la main, quasiment guéri. Le regard de la déesse, plein de bienveillance, le troubla. Puis, il attendit son prochain tour, à côté de la déesse, se sentant plus fort.
Mais, l’ennemi, perfide, avait suivi cette scène et voulu se venger. Tanith reçut un nombre considérable d’attaques. Il s’écroula, à deux doigts de la mort, à côté de la déesse. Le regard de la déesse ne l’avait remarqué, regardant on ne sait où. Il ne pu même pas l’appeler, tant il souffrait.
Tanith pu attraper un papillon, cadeau des vents, lui montrant que même dans la mort, la vie et l’espoir continuaient.
Il recouvra un minimum de force mais ne pouvait que chuchoter :
Tanith : - La vie me quitte, mon corps se refroidit. Va… va… et demande la bienveillance des dieux. Thémis n’a pas remarquer ma chute, demande lui son soutient puis va retrouver Zeus, le dieu des dieux, que j’ai vu à quelques lieux d’ici avant de tomber.
Un flot de sang envahi ses poumons et s’échappa par sa bouche.
Tanith venait de tomber dans un coma profond, glissant doucement dans l’au-delà, vers le royaume d’Hadès. Sa vie ne tenait qu’a la décision de Zeus.
« Quel honte de mourir alors que mes frères et mes alliés se battent encore » pensa t’il dans un dernier sursaut.
10 Minutes… 1 heures… combien de temps s’écoula t’il depuis sa chute vers sa mort quand il entendit un murmure bien lointains ?
Une voix, douce et mélodieuse, semblable à un chant de l’Olympe, s’éleva dans l’air et envahit Olympia d’un message d’espoir et de paix. Zeus avait entendu la prière de se guerrier se mourant dans une marre de sang. Ses paroles, belles et claires s’élevèrent. Etrangement, les combats stoppèrent pendant ce chant.
Zeus chantait pour faire revenir ce guerrier à la vie, que beaucoup avait connu pour sa position contre la Seven et les Apocalypses, mais que peut connaissait pour sa valeur combative, qui était encore faible.
Zeus : - Oh Gaïa, prête moi une nouvelle fois le pouvoir de guérison pour ce jeune olympien mourrant, si près de moi. La paix et la liberté ne méritent-elles pas pour une fois de sauvegarder les bons pour vaincre les ennemis de cette terre. Il fut fait don à cet olympien de parler aux insectes pour atteindre les dieux et leur demander de l’aide dans les moments les plus noirs, entretenant ainsi l’espoir. Depuis déjà quelques temps, il combat à notre gloire dans la Légion des Voies Divines. Sait entendre sa prière.
Une brise douce et chaude, semblable à un murmure, souffla alors autour de zeus. Gaïa l’investit une nouvelle fois de son pouvoir de guérison.
Il pu ainsi guérir ce guerrier se vidant de son sang. Ce sang, déjà béni par Thémis depuis qu’elle avait guéri ce corps, allait être doublement béni par Zeus et Gaïa la guérisseuse.
Tanith senti la vie revenir en lui. Il se releva, s’agenouilla et chanta jusqu'à l’aube à la gloire de Zeus, dieu des dieux. Avant de se retirer, il s’inclina profondément devant Zeus.
Après cette longue nuit, il remarque que son corps avait complètement cicatrisé. Qui avait donc aidé Zeus à le guérir. Il cherchait mais ne trouvait pas. Peut-être était-ce Thémis… ?
L’ennemi, ne pouvant supporter que ce Tanith soit également béni par Zeus et Gaïa, lui lança de nouvelles attaques.
Mais Thémis, ayant reçu son message, veillait.
Thémis : - Regarde les t’attaquer. Pourquoi tant de haine autour de ce temple chéri par beaucoup de monde. Si je peux encore donner l’espoir, je te le transmettrais en te soignant une nouvelle fois.
Tanith : - Merci, belle déesse. Vos paroles savent toujours être justes. Je vous suis tout dévoué. Vous transmettrez mes hommages à votre mari, Zeus.
Tanith reçut encore quelques attaques mais l’ennemi semblait enfin s’essouffler d’attaquer un olympien qui ne mourrait jamais et qui était en plus béni des dieux.
Tanith se retira, voulant se reposer pour que ses blessures cicatrisent complètement mais une nouvelle mission l’attendait. Il devait retourner sur le front et combattre avec ses frères pour abattre cet ennemi si coriace : la Seven, l’Apocalypse et l’armée des morts.
Ainsi, était son destin dans la LVD :
- combattre
- mourir
- renaître de ses cendres pour que triomphe la paix.
Il reçut des attaques qui l’affaiblirent à nouveaux mais appelant Zeus, il pu se faire soigner de nouveau par lui. Une chaleur de reconnaissance, tel qu’on n’en avait jamais vu sur Olympia, brilla dans ces yeux.
Il avança sur le front. Il attaqua de nouveau à l’aube mais il se passa un évènement auquel il ne se serait jamais attendu. Il tira sur Princesse Haeldra une seule fois et la tua. Ceci le troubla car il ne se serait jamais attendu à faire tomber une personne si forte.
Ainsi est la vie. Elle est faite de surprises qui nous font aller vers l’avant et qui nous enseignent qu’il faut se raccrocher au plus petit espoir existant.
Tanith, LVD (section 1), chef de la confrérie de l’égalité.