Par Dame Archess Ney le 01/01/1970 à 01:00 Chaque fin de semaine, Archess passait toute la matinée à se prélasser dans son lit. Cette fois, Traag n’était pas là pour partager avec lui ce qu’elle appelait son « petit moment privilégié ». Il avait laissé un mot prêt de la table de chevet indiquant qu’il était parti avec Tony pour régler un problème d’argent avec un client.
Archess était beaucoup trop excitée pour rester aussi longtemps allongée que de coutume. Il fallait qu’elle sache….
Elle se leva subitement, puis entreprit une fouille minutieuse de la maison. Le mobilier entier était passé au peigne fin. Le moindre tiroir, la moindre étagère, le moindre coin de chaque pièce avait été examiné au moins deux fois. Mais elle ne trouva rien. Sa frustration était grande, mais elle n’allait pas abandonner sa quête pour si peu. Traag l’avait caché quelque part, mais où ? Elle s’assit en tailleur sur le lit pour réfléchir. Sa frustration était grande, son époux était malin, il avait du se douter qu’elle serait prête à retourner la maison pour le retrouver.
C’est alors que son regard erra en direction du mot de Traag que son visage s’illumina. Tout était clair dans l’esprit d’Archess à présent. Traag ne part jamais travailler le dimanche matin. Il avait menti, sans doute parce qu’il l’avait mis ailleurs, à l’abri d’une plausible découverte de sa femme !
Sur ce coup il avait été plus malin qu’elle. Elle se résigna donc à attendre son retour.
Ce moment durera une éternité pensa-t-elle et elle n’avait pas tort. Son mari ne revint que le soir très fatigué. Archess l’avait attendu sur le pas de la porte et l’acueillit avec le plus fougueux des baisers. Puis elle ferma les yeux lui tendit les deux mains excitée comme une puce. Traag était plus qu’intrigué par l’attitude étrange de sa femme.
-Donne le moi maintenant mon chéri je n’en peux plus.
-De quoi tu parles Archess ?
-Arrête de m’embeter s’il te plait, tu sais très bien de quoi je parle !!!
-Non je ne vois pas. Soit un peu plus clair j’ai travaillé toute la journée et je suis trop fatigué pour jouer aux devinettes.
-Mon cadeau d’anniversaire. Où est-il ?
Archess rouvrit les yeux pour observer son mari soucieux.
-Tu n’as pas oublié que c’était aujourd’hui n’est-ce pas ?
Traag sursauta.
-Mais non qu’est que tu racontes ? Comment aurai-je pu oublier ? Je……Il était trop gros pour que je puisse le porter, je dois aller le chercher ne bouge pas.
Il tourna les talons puis reparti en courant tout en criant le nom de Tony.
Archess ne savait plus que penser. Avait-il dit la vérité ? Ou était-ce un prétexte pour aller faire les magasins en vitesse pour lui trouver quelque chose ?
Archess était beaucoup trop excitée pour rester aussi longtemps allongée que de coutume. Il fallait qu’elle sache….
Elle se leva subitement, puis entreprit une fouille minutieuse de la maison. Le mobilier entier était passé au peigne fin. Le moindre tiroir, la moindre étagère, le moindre coin de chaque pièce avait été examiné au moins deux fois. Mais elle ne trouva rien. Sa frustration était grande, mais elle n’allait pas abandonner sa quête pour si peu. Traag l’avait caché quelque part, mais où ? Elle s’assit en tailleur sur le lit pour réfléchir. Sa frustration était grande, son époux était malin, il avait du se douter qu’elle serait prête à retourner la maison pour le retrouver.
C’est alors que son regard erra en direction du mot de Traag que son visage s’illumina. Tout était clair dans l’esprit d’Archess à présent. Traag ne part jamais travailler le dimanche matin. Il avait menti, sans doute parce qu’il l’avait mis ailleurs, à l’abri d’une plausible découverte de sa femme !
Sur ce coup il avait été plus malin qu’elle. Elle se résigna donc à attendre son retour.
Ce moment durera une éternité pensa-t-elle et elle n’avait pas tort. Son mari ne revint que le soir très fatigué. Archess l’avait attendu sur le pas de la porte et l’acueillit avec le plus fougueux des baisers. Puis elle ferma les yeux lui tendit les deux mains excitée comme une puce. Traag était plus qu’intrigué par l’attitude étrange de sa femme.
-Donne le moi maintenant mon chéri je n’en peux plus.
-De quoi tu parles Archess ?
-Arrête de m’embeter s’il te plait, tu sais très bien de quoi je parle !!!
-Non je ne vois pas. Soit un peu plus clair j’ai travaillé toute la journée et je suis trop fatigué pour jouer aux devinettes.
-Mon cadeau d’anniversaire. Où est-il ?
Archess rouvrit les yeux pour observer son mari soucieux.
-Tu n’as pas oublié que c’était aujourd’hui n’est-ce pas ?
Traag sursauta.
-Mais non qu’est que tu racontes ? Comment aurai-je pu oublier ? Je……Il était trop gros pour que je puisse le porter, je dois aller le chercher ne bouge pas.
Il tourna les talons puis reparti en courant tout en criant le nom de Tony.
Archess ne savait plus que penser. Avait-il dit la vérité ? Ou était-ce un prétexte pour aller faire les magasins en vitesse pour lui trouver quelque chose ?
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