Par Gôb'Mooch le 01/01/1970 à 01:00 Gôb’Mooch était maintenant dans Zagnadar, son arbalète posée sur l’épaule, la furie des combats qui s’y était déroulés fut telle qu’on sentait encore une puissante aura de violence ce dégager des bâtiments de la cité récemment conquise. Gôb’Mooch jeta un regard sur les débris de ce qui paraissait avoir été un petit autel, du sang était répandu sur les pierres et un cadavre sans tête, ou plutôt à la tête qui semblait avoir été écrabouillée par un fléau, était coincé sous une grosse dalle tombé d’un bâtiment proche. A l’image du fléau il pensa alors à Körndürr, il le connaissait très peu mais l’avait vu faire preuve d’une grande habileté au combat, il était un géant puissant qui combattait ses ennemis au corps à corps, un style de combat qui avait toujours attiré Gôb’Mooch mais le peu de fois que l’envie lui prit il démontra que ses capacités étaient très limitées à ce niveau là. Gôb’Mooch savait aussi de Körndürr qu’il était dirigeant de la confrérie venue du nord, les fiers guerriers Nordiques, leur histoire l’avait toujours intéressé mais il ne put jamais en apprendre beaucoup, d’ailleurs il ne savait quasiment rien sur tout.
Il ce mit alors à penser, il était maintenant dans la citée des géants, sa quête était accomplie, cependant, à sa grande surprise, l’entrée en ces lieux ne lui rappela aucun souvenir, pourtant il savait que tout petit il en avait été rejeté, enfin c’est ce qu’il avait voulu croire jusqu’à maintenant, et il ce disait qu’en entrant dans Zagnadar il ressentirait un sentiment de déjà vu, comme si les divers endroits de la ville était déjà connu à ses yeux, mais non, rien, cette cité n’était rien pour lui, il n’éprouvât d’ailleurs aucune satisfaction à y entrer, mais ce devait sans doute être due à la forte odeur pestilentielle qu’avait laissé les derniers spectres. Et en pensant il remarqua que, par sa rage de vaincre et son envie meurtrière envers l’Apocalypse, tout son passé lui avait échappé, ses souvenirs ne remontaient que vaguement jusqu’à deux ou trois ans en arrière, et il fut prit d’une peur soudaine, il ne savait même pas qui il était réellement, son nom était il son vrai nom, qui était ses parents, d’où venait il réellement si finalement ce n’était pas de Zagnadar, tant de questions raisonnèrent dans sa tête quand soudain…
« Hey Gôb’Mooch, tu prend une choppe avec nous ?? »
Il cessa alors de ce poser des questions et il partit s’asseoir aux côtés de ses amis
« Ouais. Je pense que j’en ai bien besoin » Dit il en exposant un faux sourire
Malgré tout l’alcool qu’il avait ingurgité, Gôb’Mooch n’arrivait toujours pas à chasser le doute de son esprit, et l’ambiance de la fête qui ce déroulait là ne remontait pas son moral, il était abattu. Il décida que le mieux pour lui était de dormir, il ce dirigea alors vers un lieu moins bruyant et moins animé, il trouva un endroit où un couple fêtait la victoire à leur façon, sa présence ne semblait pas les déranger, il s’installa donc parmi les débris de la bataille, sortant sa ‘couverture de secours’. Après de nombreuses heures, il ne trouvait toujours pas le sommeil, ses pensées s’entrechoquaient dans sa tête, quand il décida que s’en fut trop il préféra utiliser la méthode brutale pour s’endormir, cette technique consistait à s’auto assommer, il ne restait qu’à trouver l’objet du crime, quand il vit le marteau qu’un nain avait laissé là ça lui parut une bonne idée, prenant son courage à deux mains il attrapa le marteau et s’assena un grand coup sur le crâne
Le sol était dur et froid, Gôb’Mooch était étendu face à terre, le sang coulait sur le sommet de sa tête, il avait mal, il souffrait, le sang avait déjà beaucoup couler, mais il semblait qu’il ne pouvait s’arrêter. Avec beaucoup de difficulté il ce releva et jeta un coup d’œil aux alentours, de grandes plaines gelées s’étendaient à perte de vue, Gôb’Mooch avait l’impression d’être déjà venu ici il y a très longtemps, mais il ne savait pas où il était, il ne lui restait plus qu’à trouver la réponse à ses questions avant de ce réveiller.
En regardant au loin il put voir un nuage de fumée s’élever en direction du nord, il parti donc en quête de cette fumée. Un long voyage s’étendait devant lui, mais il ne disposait seulement que d’une nuit.
Après avoir marché plus de vingt heures, Gôb’Mooch avait beau commencer à voir flou, il savait bien que la fumée ne se rapprochait pas, ou plutôt il ne se rapprochait pas de la fumée, il essayât de continuer, mais un pas de plus lui fit perdre connaissance. Tant pis ce dit il dans une dernière pensée, ce sera pour demain, si seulement il y avait un demain.
Il ce réveillât dans un lit, un lit assez primitif, mais doux et moelleux, l’énorme couverture disposée sur son corps ne laissait dépasser que sa tête, qui était recouverte par un épais bandage rougit par le sang, il ce redressa difficilement en position assise et observa les lieux, il était couché dans une hutte, qui, d’après la taille des objets qui y était entreposés, appartenait à une famille de géants. Gôb’Mooch sortit du lit et découvrit à sa grande surprise qu’il n’était pas vêtu de ses frusques habituelles mais d’un simple pagne destiné à cacher ses partis personnelles, il vit ses habits lavés et pliés sur une petite table, à côté de son arme, il s’empressa de s’habiller et il se dirigea vers la sortie. A peine eut il entrouvert la porte qu’une main fine et douce le repoussa à l’intérieur, et une femme d’une beauté de visage et de corps parfaite pénétra dans la hutte, un vieillard lui emboîtait le pas et rentra après elle.
« Tiens tu es enfin réveillé, cela fait déjà 4 jours que nous t’avons trouvé, tu souffrais de graves blessures à la tête, et le froid de la plaine n’arrangeait pas les choses » lui dit le vieillard
« Heu … Où .. où suis-je ? »
« Mmmm c’est vrai que cela fait longtemps, ça nous a tous étonné de te retrouver là, repose toi encore un peu, il viendra te voir plus tard »
« Qui viendra me voir ?? Répondez moi, où suis-je ?? »
Mais c’était trop tard, le vieillard était parti, et la femme l’avait déjà recouché dans son lit et mit la couette sur son corps
« Tu m’as oublié moi aussi ?? » Dit elle en déposant un baiser sur les lèvres de Gôb’Mooch, « J’espère que la mémoire te reviendra »
Et elle sortit en suivant le vieillard, laissant un Gôb’Mooch totalement désorienté
Après plusieurs longues heures où Gôb’Mooch fut incapable de s’endormir, la femme rentra à nouveau suivi du vieillard et d’un homme plus grand et plus costaud
« Tu es enfin de retour parmi nous, cela ma fait grand plaisir. Toutes ces années sans nouvelles »
« Mais…mais, qui êtes vous ? Où suis-je ? »
« Tu as réellement tout oublié ? Tu ne te souviens plus de nous ? Les Nordiques »
« Comment ça ?? Vous êtes des Nordiques, mais quel est mon rapport avec vous ? »
« Comment un fils peut il oublier son père, sa famille et ses amis, le Ragnarok a effacé ta mémoire pour la remplacer par la rage et la haine c’est bien triste »
« Je ne comprend vraiment rien, vous … vous êtes ma famille ? »
« Je suis moi-même ton père, tu nous as quittés pour aller combattre le Ragnarok »
La mémoire revenais petit à petit à Gôb’Mooch, il ce souvenait maintenant, ces visages il les avait déjà vu, mais cela lui revenait que d’une manière très flou, les choses n’allaient pas ensembles, pourquoi était il parti, il y avait une raison, mais ce n’était pas celle là, pas juste pour combattre le Ragnarok, mais parce que le Ragnarok lui avait fait quelque chose, il lui avait prit quelque chose qui lui était cher, sa famille, ses amis. Mais ils étaient là comment pouvait ils être là, pourquoi apparaître après tant de temps.
« Po … pourquoi suis-je parti ? »
« … »
« Pourquoi suis-je parti ? »
« Nous sommes heureux que tu es enfin regagné notre village »
« POURQUOI SUIS-JE PARTI ?? »
« Tu es sans doute assez en forme pour revoir tout tes amis du village, vie… »
« REPONDS MOI, POURQUOI JE SUIS PARTI D’ICI ?? »
Gôb’Mooch ce leva et voulu attraper l’homme qui ce disait par les épaules, mais quand il s’approcha il passa à travers le corps, tout commença à tourner et il sentit son corps tomber. La chute durait, longtemps, très longtemps, et une voix résonnait autour de lui
« Hey !! Hey ho réveille toi !! »
Et il ressentit un gros choc à la tête, sa chute avait cessé en ouvrant les yeux il vit un nain penché au dessus de lui
« Où suis-je ? »
« Là t’es sur mon marteau et j’aimerais bien qu’tu te pousses pour qu’j’le récupère »
Gôb’Mooch ce leva bousculant le nain au passage
« Non mais oh, on a pas idée !! »
« Körndürr, où est Körndürr ?? »
« Je sais pas et j’en ai rien à foutre »
Gôb’Mooch partit en flèche dans Zagnadar à la recherche de Körndürr
« Körndürr !! Körndürr !! KÖRNDÜRR !! »
S’arrêtant devant un géant complètement mort
« Vous avez pas vu Körndürr ?? »
« Heuuuuuuuuuuuu … nan »
En regardant bien il vit un feu un peu à l’écart et un groupe d’une quinzaine de personnes festoyaient gaiement
« Körndürr ?! »
« Ouais qu’est ce qu’il y a ?? »
« Il faut que je te parle »
« Je t’écoute »
Après s’être éloignés, Gôb’Mooch raconta son histoire à Körndürr
« Je ne me souviens pas bien, c’est flou dans ma tête, mais je sais, je suis sûr, je suis comme vous, je viens du même endroit, le Ragnarok a emporté ma famille et mes amis, je suis parti en guerre contre cette entité maléfique, seulement la haine et la rage ont brouillés mon esprit et je ne me souvenais plus de rien, mais en cherchant au plus profond de mon cœur je me suis souvenu »
« Ben écoute c’est bien, seulement vois tu le Ragnarok n’est bientôt plus, alors finalement notre quête est achevée »
« Je pourrais quand même me joindre à vous pour retrouver mon passé »
« Soit, je t’accepte parmi nous. Bienvenue !! »
Il ce mit alors à penser, il était maintenant dans la citée des géants, sa quête était accomplie, cependant, à sa grande surprise, l’entrée en ces lieux ne lui rappela aucun souvenir, pourtant il savait que tout petit il en avait été rejeté, enfin c’est ce qu’il avait voulu croire jusqu’à maintenant, et il ce disait qu’en entrant dans Zagnadar il ressentirait un sentiment de déjà vu, comme si les divers endroits de la ville était déjà connu à ses yeux, mais non, rien, cette cité n’était rien pour lui, il n’éprouvât d’ailleurs aucune satisfaction à y entrer, mais ce devait sans doute être due à la forte odeur pestilentielle qu’avait laissé les derniers spectres. Et en pensant il remarqua que, par sa rage de vaincre et son envie meurtrière envers l’Apocalypse, tout son passé lui avait échappé, ses souvenirs ne remontaient que vaguement jusqu’à deux ou trois ans en arrière, et il fut prit d’une peur soudaine, il ne savait même pas qui il était réellement, son nom était il son vrai nom, qui était ses parents, d’où venait il réellement si finalement ce n’était pas de Zagnadar, tant de questions raisonnèrent dans sa tête quand soudain…
« Hey Gôb’Mooch, tu prend une choppe avec nous ?? »
Il cessa alors de ce poser des questions et il partit s’asseoir aux côtés de ses amis
« Ouais. Je pense que j’en ai bien besoin » Dit il en exposant un faux sourire
Malgré tout l’alcool qu’il avait ingurgité, Gôb’Mooch n’arrivait toujours pas à chasser le doute de son esprit, et l’ambiance de la fête qui ce déroulait là ne remontait pas son moral, il était abattu. Il décida que le mieux pour lui était de dormir, il ce dirigea alors vers un lieu moins bruyant et moins animé, il trouva un endroit où un couple fêtait la victoire à leur façon, sa présence ne semblait pas les déranger, il s’installa donc parmi les débris de la bataille, sortant sa ‘couverture de secours’. Après de nombreuses heures, il ne trouvait toujours pas le sommeil, ses pensées s’entrechoquaient dans sa tête, quand il décida que s’en fut trop il préféra utiliser la méthode brutale pour s’endormir, cette technique consistait à s’auto assommer, il ne restait qu’à trouver l’objet du crime, quand il vit le marteau qu’un nain avait laissé là ça lui parut une bonne idée, prenant son courage à deux mains il attrapa le marteau et s’assena un grand coup sur le crâne
Le sol était dur et froid, Gôb’Mooch était étendu face à terre, le sang coulait sur le sommet de sa tête, il avait mal, il souffrait, le sang avait déjà beaucoup couler, mais il semblait qu’il ne pouvait s’arrêter. Avec beaucoup de difficulté il ce releva et jeta un coup d’œil aux alentours, de grandes plaines gelées s’étendaient à perte de vue, Gôb’Mooch avait l’impression d’être déjà venu ici il y a très longtemps, mais il ne savait pas où il était, il ne lui restait plus qu’à trouver la réponse à ses questions avant de ce réveiller.
En regardant au loin il put voir un nuage de fumée s’élever en direction du nord, il parti donc en quête de cette fumée. Un long voyage s’étendait devant lui, mais il ne disposait seulement que d’une nuit.
Après avoir marché plus de vingt heures, Gôb’Mooch avait beau commencer à voir flou, il savait bien que la fumée ne se rapprochait pas, ou plutôt il ne se rapprochait pas de la fumée, il essayât de continuer, mais un pas de plus lui fit perdre connaissance. Tant pis ce dit il dans une dernière pensée, ce sera pour demain, si seulement il y avait un demain.
Il ce réveillât dans un lit, un lit assez primitif, mais doux et moelleux, l’énorme couverture disposée sur son corps ne laissait dépasser que sa tête, qui était recouverte par un épais bandage rougit par le sang, il ce redressa difficilement en position assise et observa les lieux, il était couché dans une hutte, qui, d’après la taille des objets qui y était entreposés, appartenait à une famille de géants. Gôb’Mooch sortit du lit et découvrit à sa grande surprise qu’il n’était pas vêtu de ses frusques habituelles mais d’un simple pagne destiné à cacher ses partis personnelles, il vit ses habits lavés et pliés sur une petite table, à côté de son arme, il s’empressa de s’habiller et il se dirigea vers la sortie. A peine eut il entrouvert la porte qu’une main fine et douce le repoussa à l’intérieur, et une femme d’une beauté de visage et de corps parfaite pénétra dans la hutte, un vieillard lui emboîtait le pas et rentra après elle.
« Tiens tu es enfin réveillé, cela fait déjà 4 jours que nous t’avons trouvé, tu souffrais de graves blessures à la tête, et le froid de la plaine n’arrangeait pas les choses » lui dit le vieillard
« Heu … Où .. où suis-je ? »
« Mmmm c’est vrai que cela fait longtemps, ça nous a tous étonné de te retrouver là, repose toi encore un peu, il viendra te voir plus tard »
« Qui viendra me voir ?? Répondez moi, où suis-je ?? »
Mais c’était trop tard, le vieillard était parti, et la femme l’avait déjà recouché dans son lit et mit la couette sur son corps
« Tu m’as oublié moi aussi ?? » Dit elle en déposant un baiser sur les lèvres de Gôb’Mooch, « J’espère que la mémoire te reviendra »
Et elle sortit en suivant le vieillard, laissant un Gôb’Mooch totalement désorienté
Après plusieurs longues heures où Gôb’Mooch fut incapable de s’endormir, la femme rentra à nouveau suivi du vieillard et d’un homme plus grand et plus costaud
« Tu es enfin de retour parmi nous, cela ma fait grand plaisir. Toutes ces années sans nouvelles »
« Mais…mais, qui êtes vous ? Où suis-je ? »
« Tu as réellement tout oublié ? Tu ne te souviens plus de nous ? Les Nordiques »
« Comment ça ?? Vous êtes des Nordiques, mais quel est mon rapport avec vous ? »
« Comment un fils peut il oublier son père, sa famille et ses amis, le Ragnarok a effacé ta mémoire pour la remplacer par la rage et la haine c’est bien triste »
« Je ne comprend vraiment rien, vous … vous êtes ma famille ? »
« Je suis moi-même ton père, tu nous as quittés pour aller combattre le Ragnarok »
La mémoire revenais petit à petit à Gôb’Mooch, il ce souvenait maintenant, ces visages il les avait déjà vu, mais cela lui revenait que d’une manière très flou, les choses n’allaient pas ensembles, pourquoi était il parti, il y avait une raison, mais ce n’était pas celle là, pas juste pour combattre le Ragnarok, mais parce que le Ragnarok lui avait fait quelque chose, il lui avait prit quelque chose qui lui était cher, sa famille, ses amis. Mais ils étaient là comment pouvait ils être là, pourquoi apparaître après tant de temps.
« Po … pourquoi suis-je parti ? »
« … »
« Pourquoi suis-je parti ? »
« Nous sommes heureux que tu es enfin regagné notre village »
« POURQUOI SUIS-JE PARTI ?? »
« Tu es sans doute assez en forme pour revoir tout tes amis du village, vie… »
« REPONDS MOI, POURQUOI JE SUIS PARTI D’ICI ?? »
Gôb’Mooch ce leva et voulu attraper l’homme qui ce disait par les épaules, mais quand il s’approcha il passa à travers le corps, tout commença à tourner et il sentit son corps tomber. La chute durait, longtemps, très longtemps, et une voix résonnait autour de lui
« Hey !! Hey ho réveille toi !! »
Et il ressentit un gros choc à la tête, sa chute avait cessé en ouvrant les yeux il vit un nain penché au dessus de lui
« Où suis-je ? »
« Là t’es sur mon marteau et j’aimerais bien qu’tu te pousses pour qu’j’le récupère »
Gôb’Mooch ce leva bousculant le nain au passage
« Non mais oh, on a pas idée !! »
« Körndürr, où est Körndürr ?? »
« Je sais pas et j’en ai rien à foutre »
Gôb’Mooch partit en flèche dans Zagnadar à la recherche de Körndürr
« Körndürr !! Körndürr !! KÖRNDÜRR !! »
S’arrêtant devant un géant complètement mort
« Vous avez pas vu Körndürr ?? »
« Heuuuuuuuuuuuu … nan »
En regardant bien il vit un feu un peu à l’écart et un groupe d’une quinzaine de personnes festoyaient gaiement
« Körndürr ?! »
« Ouais qu’est ce qu’il y a ?? »
« Il faut que je te parle »
« Je t’écoute »
Après s’être éloignés, Gôb’Mooch raconta son histoire à Körndürr
« Je ne me souviens pas bien, c’est flou dans ma tête, mais je sais, je suis sûr, je suis comme vous, je viens du même endroit, le Ragnarok a emporté ma famille et mes amis, je suis parti en guerre contre cette entité maléfique, seulement la haine et la rage ont brouillés mon esprit et je ne me souvenais plus de rien, mais en cherchant au plus profond de mon cœur je me suis souvenu »
« Ben écoute c’est bien, seulement vois tu le Ragnarok n’est bientôt plus, alors finalement notre quête est achevée »
« Je pourrais quand même me joindre à vous pour retrouver mon passé »
« Soit, je t’accepte parmi nous. Bienvenue !! »
Par