Un hommage à un Homme-Mage! | |
Topic visité 0 fois Dernière réponse le 25/01/2005 à 23:33 |
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Je suis né
Une nuit d'été, Ce matin le coq a chanté, Chantez les enfants, Enfants maltraités, Mais je suis né... Je me suis levé Sans aucune beauté, Cet après-midi la flèche a frappé, Frappez les enfants, Enfants que j'aimais, Mais je me suis levé... Je suis partis comme jamais Jamais je ne reviendrais, Le soir j'étais blessé, Blessez les enfants, Enfants de l'amitié, Mais je suis partis comme jamais... Je le savais Le mal s'est emparé, De moi étonné, Etonnez les enfants, Enfants de la liberté, Mais je le savais... Je me suis tourné Le jour réveillé, Réveillé comme le jour dernier, Les derniers enfants, Enfants que j'ai tué, Mais je me suis tourné... Je suis tombé Sur les dalles carrées, Caresse de la mort enlaçée, Enlaçez les enfants, Enfants je ne sais, Mais je suis tombé... Ce n'était pas des enfants, Mais des nains innocents, Innocent je l'étais, Jusqu'au jour ou je suis né, Ce beau jour d'été, Où j'ai tout gâché... --------------------------------------------------------------------- Je ferais la suite un peu plus tard, le temps de me rappelais... |
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J'ai divagué
Sur les limbes me reposer, Repos de l'éternité, Eternité de ma jeunesse, Où naissent la gloire et la majesté, Tremblant comme une feuille brisée... Brisé je l'étais Au jour de mon retour, Au dessus de moi les vautours, Perché, observant en haut de ma tour, Tour de rien, de penser à rien, vagabond lourd, Lourdeur du soir, amoureux mais sans amour... Si seulement je savais Savoir son passé, Ses sentiments non-dévoilé, Mais que faire, je suis boulversé, Mais que faire, je ne connais pas la vérité, Ses sentiments, je ne serais pardonner, Savoir le mal que l'on m'a fait, Si seulement j'existait... L'existence de la réalité, Tout cela recommence à jamais, Quel est le moment tant attendu, je ne sais, L'envie, la guerre, la peur sont de sang mouillés... Que dire de plus? Quoi imaginer? Qui suis-je? Suis-je? Je? "Je" n'existe même pas, tout le mal d'autrefois... Z comme l'humeur du Zèbre A comme le courage d'une Attaque G comme le son du Grillon N comme le refus du NON A comme la sagesse de l'Âge D comme les grincements de Dents A comme le goût de l'Aventure R comme l'écho de ma Réponse ZAGNADAR, Ma belle dulcinée, Sur mon coeur tu es destinée, Sur mes lèvres sucrées, Sur ta main je suis posé, Et pourtant je t'ai quitté, Pour ne jamais te retrouver? |
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Ce n'est pas un banal labeur,
Se dire un jour: "As-tu un coeur?" Magie qui dévoile les pensées de mon coeur, Y croire je ne sais pas, peut-être est-ce une erreur. Reine de lumière et de clarté, toi petite lueur Il peut y avoir tempête sur cette terre, je n'ai pas peur Ayant fait la guerre comme un vrai tueur Ma vie est muette, où est le bonheur. Mais tout se laisse choir comme les pétales d'une fleur, Et le noir m'accompagne vers ma dernière demeure. Vagabond j'aurais dû être meilleur, Où est l'amour, quelle est sa valeur Inexprimable sentiment, voici ma dernière heure C'est la fin de l'histoire si le héros meurt. Ici ma vie se termine sur le champ d'Honneur Je reconnu alors ta fraîcheur du matin, Cette chanson, entends-tu vibrer son dou refrain Du lever du jour jusqu'à son proche déclin J'entendrais toujours cette mélodie sans fin Marchant sur la route, attendant sur le sentier Attendant le doute, marchant sans me tromper Mais comment ai-je pû ne pas te remarquer? |
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De tes yeux je n'ai pas tout de suite compris,
Ce n'était pas du bleu mais plutôt de l'ennuie, Ennuie lointain qui se questionne tout le temps, Le temps de savoir les plus profonds sentiments. A ce moment j'aperçois un oeil qui scintille, Scintillement soudain que j'attends souvent ici, Il s'illumine dans la nuit, dans tout le vent Le vent d'hivers qui se consumme en ce brisant. Quelle merveilleuse illustration vue ainsi? Insisteras-tu, ce que je sais, je le lis. |
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Il y a aussi un message subliminale dans un des messages du haut, il suffit de lire que les premières lettres des vers.
Si je fais mes chroniques, c'est afin de sortir de prison, mais les geolliers ne me parlent plus... --------------------------------------------------------------------- J'ai souvent trouvé le temps long, A me questionner sur les raisons, De cette attaque sur le front, Faire les cent-pas, tourner en rond, Il fait froid, j'ai faim, je reste à l'abandon, Mon âme est une prison... Comme la cire d'une bougie, je fonds, Seul ton sourire comparable à un rayon, Peut-être se revoir, essayons, Dans le couloir de mes cauchemars, quel est ce son? Tu me donne tout, même le pardon, Pardon de mes erreurs, ma rebellion, Erreurs de mes pardons, mon lion rebel... J'ai tué pour toi, j'ai pris mes décisions, Tu es la victoire de nos actions, Et ensemble nous te prions, De redonner courage à ces garçons, Une force, un espoir à mes questions, Qu'est-ce qu'un mort parmis des millions? Je ne suis qu'un rejeton... |
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HRP: Les rimes ne riment à rien si je les cherche à la cime des sapins.
__________________________________________________________________ La fin est proche, Plus dur que la roche, J'entends déjà les cloches, Et tous les gens s'approchent, Je connais la fin, On n'y changera rien, Il n'y aura plus de lendemain, Je reposerais bientôt dans ce jardin, Il n'a rien de beau, c'est un simple chemin, Où l'on se promène en se donnant quelque fois la main, Je vous ai tout dit sur les evènements, de mon destin, de mon déclin. Que faire à présent? Que demander aux gens? Rien n'est plus satisfaisant, Rien n'est plus intéressant, Que les enfants innocents... THE END Edit : Modo furiiiiiiiie : un peu de menage |
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hrp:Tu n'étais pas obligé de dir que c'était pour sortir de prison que tu fait sa, mais sinon c'est bien |
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La suite de THE END
__________________________________________________________________ Voilà que j'aperçois un tunel J'aime de tes yeux, la prunelle, Tu as toujours était Celle, Lumineuse comme une étincelle, Mais parfois rebelle. Avec de la cire, je scelle, Sur ma tombe, notre amour model, Où n'existent pas les querelles. Dans le tunel, de la lumière Et voici que maintenant, tu m'éclaires, Je ne vivrais plus sur cette terre, Abandonnée sans retour en arrière, Moi je t'aime de cette manière. Plus personne ne peut me faire taire, Car nous avons gagné La Guerre, A celle du coeur je me réfère. Dans la lumière, un tourbillon dans une marre Notre amour est bien rare, M'en aller car il est tard, En te laissant ma Zagnadar, Je n'ai rien pû prévoir: Ils sont venus comme des pillards, Du lever du jour jusqu'au soir, Ils ont tout pris, Même ton regard... Dans ce tourbillon, Le grand mur Nulle comme toi, car tu es pure, J'ai essayé de te rejoindre à cette allure, Je n'avais plus aucunes montures, Alors de rien je n'étais sûr, Même de la couleur de ta chevelure, Nulle comme toi, n'aime la nature, Je t'aime mais sans mesure. Sur le grand mur un miroir J'ai peur, peur du noir, Peur d'arrivé en retard, Avancant comme un renard, Je veux tellement te revoir, Ton image dans ma mémoire, Ton nom dans mon grimoir, En lettres d'or, en lettres d'amour lors d'un dernier "Au revoir". Sur le miroir, ton visage C'est un mirage... Au fil des jour, au fil des âges... Au fil de tout, de mes voyages... C'est ton signe, c'est ton message... C'est ta silouhette à l'arrivage... Où donc est passé l'équipage... Cette faucheuse dans les pâturages... |
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Depuis j'ai marché dans chaque trace de tes pas,
En me retournant, parfois, Pour contempler ton vêtement de soie, Soyons ce que nous étions autrefois, A comprendre ce que signifie la loi, L'oiseau qui m'apporta, reviendra sur Olympia, Cette terre des Dieux et des cruels rois... Tu connais déjà mon amour pour toi, Si je m'approche, tu souffriras, La magie de mes mains de protègeras, Et de gardera quoi qu'il en soit, Quand leurs mains passeront sur moi, Je serais jeté par delà ce monde, par delà... ...je ne sais pas... Cet oiseau reviendras, Cache toi, ou il te dérobera en faisant de toi aucun cas. Rien de plus beau que notre histoire, Où tout éclaire notre seul espoir, Où tout sentiment à jamais dure, Sur chaque pierre de ta parure. Pour toi, mon étoilé, ma bien aimée, Mon rivage natal, où je suis né, cette nuit d'été, sans rien gagné... |
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/HRP/Tres joli Néosmith, mais peut-etre que ce n'est pas a cause de cela que tu as été mis en prison...
Mais peu de personne ont efféctué ce geste pour s'excuser, tenez en compte.../HRP |
Par Google   |
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Merci Sam.
Par contre, je pense que ce n'est pas l'amitié qui est "le seul lien capable d'unir un peuple", mais c'est plutôt "le désir d'être utile"! |
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Conclusion en 3 mots: "Je vais changer"
Et en 1 mots: "Merci". |
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HRP : C'est très beau. Tu aurai du écrire il y a bien longtemps. Bien joué... |
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hrp : balèèèèèze, un poète en herbe, comment tu fais pour faire des trucs aussi jolis, c'est splendide, merveilleux, si on prend le temps de lire chaque vers c'est une oeuvre d'art. |
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Maintenant, j'ai tout mon temps...
La prison, me le rend... J'écris de page en page le vent... Sur les oiseuax souflant... Je regarde par le lucarne, les volets s'ouvrants... Je crois que l'on m'a oublié, Mais je ressent la paix, J'entends l'écho des bataille, Ces guerres, à cause de nos failles... J'ai un morceau de pain en guise d'amitié, Un pot d'eau en guise de compagnon, Où sont mes anciens amis? Amis de mes efforts, de mes nuits? Ils sont morts à se que l'on me dit! Et chaque jour, de moi on se rit! "A ce Neosmith, rien de lui, je n'ai compris!" Bien contents que je sois partis! Mais aujourd'hui, mais aujourd'hui, Ce message pour sympathie, J'ai beaucoup vieillit, Pourais-je revoir Minuit? Revoir, Gastel, Klong, Smog, Gourlx, Veilleur de la Nuit, Melchior, Hockli??? A bientôt au paradis, et que cette guerre, soit ma Vie! |
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HRP/
Ender l'importun Se doit, comme tout un chacun D'apprécier ce que vient D'accomplir cet Ancien. En effet, peu auraient osé, Après avoir vilainement triché, Envoyer ces strophes rimées Qui, vous le reconnaîtrez, Sont du meilleur effet. Ainsi, dans ces prisons d'acier, Qui parfois sentent le renfermé, (Pour y être moi-même allé visiter Je suis assez bien informé) Je te souhaite de ne pas rester. Eu égard à ces poèmes de première qualité, A la place des Geôliers, Je t'aurais, sans une seconde hésiter, Promptement libéré. Cependant, je ne suis pas Gardien de prison, comme tu le vois! Mais sache que toujours avec toi, Mon soutiens tu auras. (Pour ce que ça vaut, je te l'offre, comme ça, Aux vrais geôliers, tu présenteras La pétition signée au bas Par plusieurs personnes comme moi) |