Par TheExterminateur le 01/01/1970 à 01:00 Lors de la prise de Zagnadar....
L'assaut sur Zagnadar avait débuté lorsque j'arriva sur les terres de l'Apocalypse. Le paysage y était morbide, dévasté.
Les alliés se battaient déjà, rentraient dans la ville, frappaient et en ressortaient.
Je reçu un message de mon ami Phenix Le Grand, ainsi que les autres membres de la Légion :
Mes amis,
nous sommes déjà certains guerriers dans Zagnadar,
venez nous rejoindre,
le surnombre dans la ville créera le trouble parmis l'adversaire et nous menera à la victoire.
Courage, nous vaincrons !!!
Phenix
A ce message, je préparai mes armes, envoyai un message d'assaut à certains légionnaires proches sous mes ordres.
L'assaut devait avoir lieu dans environ 3 heures, le temps pour les hommes de se préparer pour ce rude combat.
Contrairement à Phenix, Airik et les alliés de l'armée naine qui étaient rentrés par l'ouest, j'avais décidé de rentrer par le sud de Zagnadar.
L'heure était arrivé.
J'apercevis Sam passer devant moi et se jetter dans la ville. Il avait franchi la porte, je ne le voyais plus mais déjà des cris se faisaient entendre.
Le combat faisait rage, ça ne faisait aucun doute.
Il était temps, je parti en directement de la porte.
Une fois rentré, je commençai à suffoquer. L'odeur de macabés régnait déjà, ou bien depuis toujours, je ne sais pas.
Une masse géante dominait tout le centre et l'est de la ville. Le choix de la porte sud n'avait pas été judicieux à cause de la proximité du front.
Les flèches et les rochers volaient de par et d'autre de la ville. Devant moi, Sam était debout, toujours vivant et se battait valeureusement.
J'aperçu un premier géant, blessé, je me concentra brièvement, une aura bleuâtre apparu autour de moi et un sort s'abattu sur le géant qui chancela un peu plus mais ne tomba pas.
Soudain, un souffle surgit et me projetta à terre. J'étais étourdi. Je me releva sans trop de difficultés. J'aperçu au loin un mage. Je compris.... mais trop tard, j'étais de nouveau à terre.
Le mage attaquait le nain à coté de moi. C'est l'effet d'aire qui m'avait mis par deux fois à terre.
Se relever était un peu plus difficile, et le sang commençait à ruisseler le long de mon bras gauche. Je pris mes écart par rapport à ce nain qui ne semblait pas supporter la magie.
Mes alliés avoisinnant aperçurent une aura bleuâtre derrière eux, certains se retournèrent et constatèrent que c'était moi. Je rassemblais toute ma concentration malgré mes blessures. Puis l'énergie se libéra en direction de ce mage, qui convulsa un coup puis se senti mal.
Je lui avait concocté une petite malédiction.
Ce sort m'avait fatigué. J'avais les yeux troublés, des flèches fusaient toujours, des bruits des lames des guerriers.
Je recula d'un pas, et manqua de tomber, il y avait un obstacle derrière moi. Je me retourna et fus effrayer du spectacle.
L'obstacle en question était un elfe mort, enfin ce qui en restait. On distinguait encore les oreilles pointues et le tutu vert de l'elfe. L'arc était brisé quelques mètres plus loin. C'est probablement l'acte d'un nain, pensais-je.
Puis un cri retenti.
Un olympien proche pouvait sentir du sang coulé à flot sur ces avants bras.
C'était le sang de son adversaire, debout, les yeux exorbités, et qui ne tenait debout que par la lame qui transperçait son corps.
L'olympien tourna la lame et la remonta d'un coup puis la sorti. l'adversaire tomba à terre, dans une énorme flaque de sang, son sang.
Soudain, l'ombre.
Un géant s'était approché d'un coup de mon petit corps de magicien et me lança un rocher d'une telle force que je n'eus le temps d'esquiver.
Je tombai, sur le corps de l'elfe mort. Je tentai de me relever, mais une douleur intense se fit sentir : le rocher m'avait cassé l'épaule gauche. Une fois relevé, titubant, je voulu invoquer un sort sur le géant, mais le rocher avait cassé mon bourdon. Le géant se faisait de plus en plus préssant, je dégainai mon épée, bien que peu habile en la matière. On voyait que la lame était neuve et n'avait jamais servie. Un sourire apparu sur le géant.
Il sentait bien qu'il avait énormément blessé sa proie.
La suite ne se fit attendre. Le géant pris deux rochers, un dans chaque main, il hurla et jetta les deux projectiles sur le jeune mage qui ne put éviter.
Je remis un genou à terre, tenant toujours mon épée avec mes deux mains. Mon sang s'écoulait de mon abdomen.
La fin était proche.
Soudain le géant reçu plusieurs frappes des alliés qui venaient à mon aide.
Je perdis connaisance.
Je me reveilla dans Lardanium, où tous les blessés graves de la Légion avaient été soignés.
Enfin, la bonne nouvelle tombait : Zagnadar avait été prise.
L'assaut sur Zagnadar avait débuté lorsque j'arriva sur les terres de l'Apocalypse. Le paysage y était morbide, dévasté.
Les alliés se battaient déjà, rentraient dans la ville, frappaient et en ressortaient.
Je reçu un message de mon ami Phenix Le Grand, ainsi que les autres membres de la Légion :
Mes amis,
nous sommes déjà certains guerriers dans Zagnadar,
venez nous rejoindre,
le surnombre dans la ville créera le trouble parmis l'adversaire et nous menera à la victoire.
Courage, nous vaincrons !!!
Phenix
A ce message, je préparai mes armes, envoyai un message d'assaut à certains légionnaires proches sous mes ordres.
L'assaut devait avoir lieu dans environ 3 heures, le temps pour les hommes de se préparer pour ce rude combat.
Contrairement à Phenix, Airik et les alliés de l'armée naine qui étaient rentrés par l'ouest, j'avais décidé de rentrer par le sud de Zagnadar.
L'heure était arrivé.
J'apercevis Sam passer devant moi et se jetter dans la ville. Il avait franchi la porte, je ne le voyais plus mais déjà des cris se faisaient entendre.
Le combat faisait rage, ça ne faisait aucun doute.
Il était temps, je parti en directement de la porte.
Une fois rentré, je commençai à suffoquer. L'odeur de macabés régnait déjà, ou bien depuis toujours, je ne sais pas.
Une masse géante dominait tout le centre et l'est de la ville. Le choix de la porte sud n'avait pas été judicieux à cause de la proximité du front.
Les flèches et les rochers volaient de par et d'autre de la ville. Devant moi, Sam était debout, toujours vivant et se battait valeureusement.
J'aperçu un premier géant, blessé, je me concentra brièvement, une aura bleuâtre apparu autour de moi et un sort s'abattu sur le géant qui chancela un peu plus mais ne tomba pas.
Soudain, un souffle surgit et me projetta à terre. J'étais étourdi. Je me releva sans trop de difficultés. J'aperçu au loin un mage. Je compris.... mais trop tard, j'étais de nouveau à terre.
Le mage attaquait le nain à coté de moi. C'est l'effet d'aire qui m'avait mis par deux fois à terre.
Se relever était un peu plus difficile, et le sang commençait à ruisseler le long de mon bras gauche. Je pris mes écart par rapport à ce nain qui ne semblait pas supporter la magie.
Mes alliés avoisinnant aperçurent une aura bleuâtre derrière eux, certains se retournèrent et constatèrent que c'était moi. Je rassemblais toute ma concentration malgré mes blessures. Puis l'énergie se libéra en direction de ce mage, qui convulsa un coup puis se senti mal.
Je lui avait concocté une petite malédiction.
Ce sort m'avait fatigué. J'avais les yeux troublés, des flèches fusaient toujours, des bruits des lames des guerriers.
Je recula d'un pas, et manqua de tomber, il y avait un obstacle derrière moi. Je me retourna et fus effrayer du spectacle.
L'obstacle en question était un elfe mort, enfin ce qui en restait. On distinguait encore les oreilles pointues et le tutu vert de l'elfe. L'arc était brisé quelques mètres plus loin. C'est probablement l'acte d'un nain, pensais-je.
Puis un cri retenti.
Un olympien proche pouvait sentir du sang coulé à flot sur ces avants bras.
C'était le sang de son adversaire, debout, les yeux exorbités, et qui ne tenait debout que par la lame qui transperçait son corps.
L'olympien tourna la lame et la remonta d'un coup puis la sorti. l'adversaire tomba à terre, dans une énorme flaque de sang, son sang.
Soudain, l'ombre.
Un géant s'était approché d'un coup de mon petit corps de magicien et me lança un rocher d'une telle force que je n'eus le temps d'esquiver.
Je tombai, sur le corps de l'elfe mort. Je tentai de me relever, mais une douleur intense se fit sentir : le rocher m'avait cassé l'épaule gauche. Une fois relevé, titubant, je voulu invoquer un sort sur le géant, mais le rocher avait cassé mon bourdon. Le géant se faisait de plus en plus préssant, je dégainai mon épée, bien que peu habile en la matière. On voyait que la lame était neuve et n'avait jamais servie. Un sourire apparu sur le géant.
Il sentait bien qu'il avait énormément blessé sa proie.
La suite ne se fit attendre. Le géant pris deux rochers, un dans chaque main, il hurla et jetta les deux projectiles sur le jeune mage qui ne put éviter.
Je remis un genou à terre, tenant toujours mon épée avec mes deux mains. Mon sang s'écoulait de mon abdomen.
La fin était proche.
Soudain le géant reçu plusieurs frappes des alliés qui venaient à mon aide.
Je perdis connaisance.
Je me reveilla dans Lardanium, où tous les blessés graves de la Légion avaient été soignés.
Enfin, la bonne nouvelle tombait : Zagnadar avait été prise.
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