une lettre, une histoire | |
Topic visité 52 fois Dernière réponse le 06/01/2005 à 17:43 |
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Les lettre que l’on envoie seront plus tard des prestige de notre temps et pour nos fils elles seront le seul lien qui nous rattachera à eux c’est pour cela que je me permet de les honorés, et c’est pour cela que je me permet donc de vous citer l’histoire d’une de mes lettres
Goneb était assit sur les graviers qui jonchaient le sol de Sigdil. Il cherchait l’inspiration pour pouvoir enfin envoyer une lettre à Dame Themis _ Déesse de la justice. Après deux jours la muse qu’il attendait n’était toujours pas venue, alors dans un élan de colère il décida qu’il écrirait sa lettre en improvisant, toute fois il lui manquait le matériel. Et alors c’est là qu’il vu que même rechercher une feuille de papier et une plume était extrêmement difficile. Mais heureusement le lendemain matin au levé du soleil, il commença la lettre : Lettre a Dame Themis _ Déesse de la justice Dame je vous écrit cette modeste lettre pour vous demander de me prendre dans votre ordre « des chevaliers de la balance », je me doute bien que vous vous dite qu’un petit elfe... Une fois son brouillon fini Goneb. Il récris la précieuse lettre, l’accrocha à une de ces flèches et la tira aux pieds de Dame Themis _ Déesse de la justice. Une fois son travaille fini il rentra dans la banc et dit : - Si je dois protéger le temple, je le ferais jusqu’a la dernière goutte de mon sang. Elle sera peut être le début d’une longue histoire… |
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... oui d'une trs longue histoire
Goneb entra dans la banque avec un pas décider, le monde affluait autour de lui, et les gens le bousculaient. Avec un effort il réussit à atteindre un des guichets, il s’approcha de la caissière et avec un grand enthousiasme il dit : - Bonjours ma…. La caissière venait de couper sa phrase avec un : - c’est pour quoi ? Il se mit à regarder la caissière avec des yeux de énorme, puis cinq secondes après il dit : La caissière revenait de le couper -vous voulez combien ? - je voudrais retirer 900 pièces d’or s’il vous plait. Elle lui donna son argent avec un dégoût total. Il fut surprit car la caissière venait de lui donner 855 po. Mais il ne put rien dire car elle lui décrocha cette phrase avec sévérité. - C’est les taxes, c’est comme ça et faut pas râler. Il quitta donc la banque de Sigdil légèrement dessus par l’accueil qu’elle lui a fait (légèrement choqué aussi). Une fois à l’aire libre il vit la ville de Sigdil dans sont grand jour, et les maisons étaient inondées d’une douce lumière. Cela faisait déjà deux qu’il traversait Sigdil lorsqu’il rencontra une foule de gens qui lui baret le passage. Comme dans sont habitudes, il c’était décidé à foncer dans le tas, mais sont élan fut stoppé lorsqu’il reconnu l’être quiétait devant lui c’était Zeus… |
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...oui, des histoires si longue que...
… A la vu de Zeus Goneb décida de changer de direction, et il prit une petite rue qui le conduis à la tour sud de la ville de la liberté Sigdil. Une fois dehors il vit s’étendre à ces pieds des immenses plaines qui s’éclataient sur des plateaux. Il marcha sur ce territoire pendant plus d’une heure. Quand le soleil se coucha en faisant jaillir de sa majestueuse rondeur des flammes lumineuses de couleur oranger, il se coucha sur le sol en regardant le ciel devenir noire. Après trois heures de méditation il sortit de son sac la dernière lettre que son père lui avait fait parvenir. Le papier sentait le chêne, sur la feuille il était écrit un grand texte dans dialecte qui m’était inconnu, et tout en dessous de ce texte il y avait un petit paragraphe qui m’était dédié : A toi Goneb qui est mon plus jeune fils, je n’aurais sans doute jamais le plaisir de te voire, mais sache que chaque une de mes pensés t’est dédié à toi et à ta famille, tu découvrira plus tard le fardeau que tu devra porter. Ces mots raisonnaient dans la tête de Goneb comme un vrombissement d’une abeille géante. Une fois que ces esprits se remirent à leurs places habituelles. Puis par ennuie il lut les phrases inconnues. Il avait l’impression que chaque mot qui sortait de sa bouche le libérait d’une tension. Soudain quand il eu fini de lire il sentit ces yeux le brûler, une douleur horrible qui lui donnait l’envie de s’arracher les globes oculaires. Mais il n’eu rien le temps de faire car déjà sa bouche se mit a fonctionner sans q’il la control. A chaque mot qui glissait de ces lèvres il sentait le sol trembler. Soudain le sol s’ouvrit dans un bruit d’enfer, et il vit sortir des ténèbres le gardien des enfers, le manticor la créature a corps de lion, avec une queue de scorpion, et des ailes d’aigles. A la vu de ce monstre il s’évanouit, il se mit à rêver qu’une sorte de gobelin soudait son arbalète lourde à une armure qui protégeait que le bras et l’épaule, il vit dans se rêve le gobelin accrocher au dos de l’épaulette de l’armure une bannière, et attacher le tous à son bras droit. Quand il se réveilla il s’aperçu que se qu’il prit pour un rêve c’était vraiment passé. Il vit le manticor couché devant lui, il vit aussi la bannière placé légèrement en diagonal de sur son épaule, il vit aussi l’arbalète soudée a son poignet, il vit avec encore une plus grande surprise que le manticor était assit et attendait que lui Goneb le monte. Une fois qu’il monta sur l’animal une voie lui parla et lui dit : - tu porteras ma bannière, et tu combattras le mal par le mal. Il savait déjà ce qu’il devrait faire avec l’avenir, il savait à quoi allait lui servir cette bannière. Tout était inscrit dans la moindre particule de son cerveau. Et avec une certaine Fatigue il demanda au manticore de commencer ça route… |
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HRP : Très beau. À continuer ! |
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HRP://pas mal ![]() ![]() |
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hrp: merci aroundel et Earfuin |