Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - Ce qui c'est passé hier expliquera les choix que l'on fait demain
Choix des forums  |  Revenir au forum  |  Page d'accueil

Ce qui c'est passé hier expliquera les choix que l'on fait demain
Topic visité 322 fois
Dernière réponse le 17/01/2005 à 19:22

geant Par Körndürr - un sacré gardien !  le 01/04/2005 à 00:32

Durant mon enfance, mon pere me disait souvent : "tout ce que la vie te donne, te sera repris un jour ou l'autre"
Elle à donc reprit ses droits sur le destin de ma famille il y a bien longtemps maintenant...

Voila maintenant quelques semaines que l'alliance a pu bouter l'apocalypse hors des frontieres de la ville géante.
Le calme est revenu à Zagnadar, la désolation, la haine, le sang et la guerre ont laissé place aux chantiers de reconstruction, à la joie, la paix et nombres des blessures sont cicatrisées.



Körndürr était assis à une table de la taverne, une choppe de biere tenu sur la table avec les deux mains, il avait les yeux vide et semblait tres inquiet.
Golgoth qui venait d'entrer dans la taverne vînt s'assoir à ses côtés.

Golgoth - C'est marrant ici! je pourrais écrire un bouquin sur "la vie d'un nain chez les géants".
Körndürr - hummm
Golgoth - oula! tu ne m'à pas l'air dans ta choppe de biere toi.
Körndürr - Tu ne t'es jamais demandé quels sont les pouvoirs reels de Lenneth ? étant capable de nous rendre la vie, est-ce qu'elle peut nous la reprendre ?
Golgoth - ...Pourquoi tu penses à ca ? Ce n'est pas le moment la! La ville est reprise, nous avons gagné la guerre, l'apocalypse a été vaincu. Pourquoi se torturer l'esprit ?
Körndürr - Il n'y a pas de meilleur moment pour se poser ce genre de question. Justement, maintenant que l'apocalpse est vaincu ici, quel sera notre prochaine étape ?
Golgoth - quoi qu'il arrive Lenneth nous le dira, laisse faire les choses.


Körndürr serra son amulette en os dans ses mains et ferma les yeux. Il invoqua Lenneth, la priant de venir donner des réponses a ses nombreuses questions.

Viens me voir, tu sais que je ne suis jamais loin! tu veux me rencontrer? leve toi et viens me rejoindre!

Il se leva de sa chaise, les yeux rivés sur la porte de sortie. Une force semblait l'attiré de maniere sans qu'il ne puisse avoir les moyens ni l'envie de se battre.
Au fur et à mesure qu'il progressait, les bruits de claquement de verres s'aténuaient, les bavassement de ses congéneres lui parraissait de plus en plus comme des bruits sourd, jusqu'à ne devenir qu'un simple bruit de fond semblant avoir ralentit.
Une petite lueure apparraissait derriere la porte redessinant ses contours, une douce chaleure semblait envelopper Körndürr dans un draps de bien-être.
Quand il porta la main sur la poignée pour ouvrir cette porte, cette porte qui lui semblait soudainement comme être celle de sa destineé, quand il porta la main sur sa poignée disais-je, et qu'il l'ouvrit, il vit surement la plus belle des choses qu'un être vivant puisse contempler.

Les yeux brillant d'un bleu gris , les cheveux long et ondulé mourrant ses des hanches bien élancé. Son corps était baigné d'une lumiere blanche, incarnant la pureté parfaite : Lenneth

Comment une femme comme elle puisse-t-elle être si impitoyable avec ses ennemis?

Lenneth tendi la main en direction du géant.

Suis-moi Körndürr, je répondrais à tes questions

Un long couloir aux murs éblouissant menait à une autre porte, qu'ils passerent tous deux. La Valkyrie et l'Einherjar semblait marcher dans les airs.

Dominant les hauts monts glacés, Le paysage qui les entourraient n'était pas inconnu de Körndürr. C'était la montagne qui l'a vu naître qui était au dessous de lui. Il pouvait y voir disctinctement quelques huttes qui ressemblaient à celles qui était dans son village natale.
Il put aussi remarquer sa femmes, ses enfants, sa fammille qui jouait en bas..dans les bois.
Ce n'est pas possible!!! Comment est-ce possible? ils sont vivants?
Pas reelement. Ce que tu vois c'est ce qui c'est passé le jour de leur mort.


En effet, quelques secondes plus tard, d'autres géants vinrent attaquer le village. Quelques minutes suivirent le massacre, Körndürr pouvait se voir arriver au pas de course, chargé dans le tas, se faisant blessé mortellement a plusieurs reprise.
Fin du combat, tous les assaillants sont morts, Körndürr aussi.

Tu as donc un choix à faire, nous avons remonté le temps. Tu me semble indecis... Je te laisse le choix.
la vie est une multitude de choix, de porte que tu ouvre et qui se referme derriere toi.
Devant toi il y a la premiere porte, celle qui te rammenera dans ce corps ensanglanté en bas. Tu y mourra sans que je n'intervienne.
Derriere toi se trouve la seconde porte, celle d'ou tu viens. Si tu choisis de la prendre, je te ressuciterais comme dans le passé et tu pourras enfin avoir la vie que tu n'a pas pu avoir.


Le choix ne parait pas compliqué ! Körndürr se leva et passa par la seconde porte.

de retour dans la taverne, il était deja assis sur sa chaise aux côté de golgoth qui était en train de lui mettre de claques en gueulant des mots bizars pour qu'il se reveil!

Körndürr - HOOO, il t'arrive quoi exactement la??
Golgoth - Bah quoi? Tu reagissait plus et tu était endormi dans ta biere...quel gachis!
Körndürr - La vie est une multitude de portes, que l'on prend et qui se referme derrieres nous. Nos choix ne sont pas reversible, nous avons choisi de suivre lenneth et de vivre.
Ne nous inquietons plus mon ami, elle sait ce que nous allons devenir...j'ai totalement confiance en elle!

Golgoth, le sourcil gauche relevé et les yeux vides d'expressions ne semblait pas comprendre ce que vennait de dire son ami. Peut-etre est-ce à cause de son alcoolemie?



nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/04/2005 à 10:37

HRP/

Du fait que je puisse pas intervenir, je ne te féllicite qu'HRP

...

TERRIBLE!!!!!



olymp Par Volken  le 01/04/2005 à 18:23



Je suis d'accord avec toi Körndürr : Lenneth sait ou elle doit nous mener, jusque la elle nous a guidé sans se tromper de route, pourquoi cessé de la suivre!



geant Par gulito  le 01/04/2005 à 18:25

Bien trouvé.C'est terrible!!!



geant Par hildibrandarkh  le 01/04/2005 à 20:30

Très belle chros mon chère körndürr très sympa a lire je te félicite



hs Par Galtabosh Gueuouf  le 01/08/2005 à 23:05

A quelques tables et bancs de là, gisait le corps quasi-innanimé de Galtabosh, assomer par la quantitée non négligeable de bière et de consomables festifs en tous genres que sa carcasse devenue glabre et rachitique, avait absorbé depuis tôt ce matin (entendre 3h de l'après midi).

En effet, depuis la reprise de la cité des géants, la horde des glace semble sombrer dans un passifisme quasi-décadent, à l'exeption notable de quelques menmbres dont la combativité semble défier toutes formes de ferveur.
Une fois l'Apogée de la gloire venue, celle-ci est souvent amenée à sonner le glas du chaos ...

Du fin fond de son enclave spirituelle, Galtabosh pus entendre les profondes paroles de son ami - et chef respecter - Korndür:
" La vie est une multitude de portes, que l'on prend et qui se referment dèrriere nous. Nos choix ne sont pas reversibles, nous avons choisi de suivre lenneth et de vivre. Ne nous inquietons plus mon ami, elle sait ce que nous allons devenir...j'ai totalement confiance en elle!"

A l'audition de cela, Galtabosh se sentis absorber vers le haut, un peut comme lorsque l'on revient du royeaume d'Hadès, et une forte secousse vint ébranler son corps.

Galt': - "Houhahahahahuuuuuuuu !!!"
Golgoth: - "tiens, un revenant ... "
Galt': - "Je suis d'accord, Korndür, la vie est effectivement un chemin: celui que nous traçons chaque jours, mais, je ne pense pas qu'il puisse être dit que nous ne pouvons revenir sur nos pas, puisque nous avons toujour ce choix à notre porté ..."
Il y eu un petit blanc, et les yeux ébahis de leurs compagnons d'armes fixait Korndür et Galtabosh, un peut comme si ces dèrniers était des maîtres de l'hypnose, ce qui n'est pourtant pas à priori le cas, mais bon passons ...
Galt': - "Ce que je vais dire n'engage que moi, mais je ne met pas toute cette partie de mon être à son service uniquement parce que je ne peut plus revenir en arrière; Si je le fait, c'est parceque ma volonté me pousse à le faire, parceque j'ai foi en elle.
La grande Walkyrie nous à montrer la pureté de son combat, de son action, de son essence, et je pensse sincèrement que tout être se mettant à son service, se sublime, et s'élève vers cette pureté, au dessus de la pouriture qui nous habite tous.
Il y a des choses en ce monde qui merite d'être défendues, simplement parce qu'elle son porteuses de bonheure.
Je ne dirai pas que "Lenneth" doit être deffendue, puisqu'elle n'en a pas besoin, mais je dit que le mouvement, la dynamique que nous pouvons induire grâce à elle est quelque chose de bon, et que notre interêt est de l'entretenir.
"



geant Par skrymir  le 01/09/2005 à 00:32

A ces mots Skrymir failli s'étrangler avec sa gorgée de cervoise améliorée ( petite recette spéciale Skrymir dont la HdG a le secret ).

Etait-ce bien Galt' qui venait de s'exprimer ainsi?
Etait-ce dû a l'alcool qu'il avait ingurgité ou bien Galt' cachait-il réellement bien son jeu et était beaucoup plus réfléchi et intelligent qu'il ne voulait bien le laisser croire?

Skrymir ne chercha même pas les réponses à toutes ces questions qui lui venaient à l'esprit suite à l'intervention de l'Homme le plus sauvage qu'il lui avait été donné de croisé dans une taverne.

La seule chose qui était sûr dans l'esprit du géant était que Galt' avait raison, Lenneth avait créé une dynamique et depuis le déclin de l'Apocalypse la Horde était devenu dans l'ensemble dépressive et qu'il était important de se ressaisir et d'entretenir cette motivation et de se trouver un autre but, une autre cause à défendre.

Skrymir reposa son fût de cervoise, il n'avait plus la tête a boire.
C'est un trés jeune géant et depuis son arrivé sur Olympia aprés le décés de sa mére, Ozdia, dans les outland, ou il a grandi, son seul but était de reduire à néant l'Apocalypse.
De ce fait il avait laissé de coté la politique des autres nations afin de se focalisé sur son premier objectif, mais tout à coup il se résolu à l'évidence, il avait besoin d'une autre cause pour laquelle se battre.

Mais pour qui? et au nom de qui?

Skrymir appartenait à la Horde sous la responsabilité de Korndurr, lui-même responsable de Zagnadar.
Devait-il demander conseil auprés de Delem et se battre au nom des géants et de Zagnadar? devait-il simplement demander un avis a Korndurr? ou devait-il trouver lui-meme sa prochaine quete et en assumer seul les conscequences? car il le savait, tout action de la Horde impliquerai forcement Korndurr et par la meme occasion Zagnadar.

Skrymir se devait de reflechir et c'est perturbé par l'intervention de Galt', qui provoqua en lui tant de questions qu'il prefera sortir afin de prendre un peu l'air et chercher une réponse qu'il ne trouverai qu'en lui-même.



geant Par Körndürr - un sacré gardien !  le 01/09/2005 à 23:59

Körndürr, le nom d'un géant qui à éxisté...
Körndürr, un géant qui a besoin de se prouver qu'il existe encore...
Körndürr, un besoin de se sentir immortel...

Il vient de se replonger dans les meandres des remous de la biere qu'il n'avait toujours pas bu.
Il était comme hypnotisé, la biere lechant les rebords de la choppe qu'il tenait au creux de ses paumes.
Le bruit environnant ne semblait plus parvenir à ses oreilles. Il pensait...serait-ce possible de se recycler ? Serait-ce possible de changer de mode de vie, de cesser de faire jaillir le sang a la moindre contrariété ?


NON, Je suis un nordique avant tout, les reponsabilités qui me sont offertes ne doivent nullement me pousser a tromper le serment fait à Lenneth.
Un Einherjar digne de ce nom ne doit pas bifurquer a la moindre opportunité!
Mon comportement ne souffre d'aucunes excuses!
Je me suis affaibli depuis mon arrivée en Zagnadar!!!

Toujours assis à la table, Körndürr venait de frapper du poing sur la table, il a donc perforé le bois pourtant solide de cette même table.
Tous ses compagnons présents s'étaient tus et semblaient, les yeux ecarquillés ne comprendre mot de leur chef.
Enfin, quand je dit qu'ils ne comprennaient pas, c'était juste la raison de cette motivation soudaine et ce qu'il avait poussé a reagir violement contre cette table qui ne lui avait strictement rien fait.
Ils eurent quand-meme tous comprit le sens de ses mots.
Körndürr se leva violement de sa chaise, frappant la table qui était devant lui avec son fléau, la faisant éclaté en copeaux.
les yeux gorgés de sang, ses veines semblant vouloir sortir de son épidermes, il prit la parole


Mes freres! l'Apocalypse n'est pas vaincu totalement, nous ne pouvons pas rester sur nos loriers, passant nos journées à la taverne, passant notre temps à discutailler de temps de choses sans importances
rhhhhaaaaAAAAAAAAAARG

Il prit sa tete entre ses mains laissant tomber son fléau à ses pieds, essayant de s'arracher les cheveux, il leva la tête et jetta un regard dans la salle, tout semblait s'être calmé...plus de douleurs dans la tête...Pourtant une chose avait changée, il semblait manquer ses pupilles, ses yeux était devenu blanc comme la neige reflettant les montagnes gelées.
Thokk qui était assis non loin de lui, lui prit la main, le regard rassurant, fixant le blanc de ses yeux sans relacher la pression qu'elle donnait sur sa main


Körndürr - Quesqu'il m'arrive ?

Thokk - Chuuuut, accompagne-moi jusque dehors, viens prendre l'air.

Tirer par Thokk, la vue de Körndürr s'était résumé à la seule silhouette de son amante.
Tout autour de lui semblait drapé de soie blanche, quelques feux follets virevoltait dans le peu de champ de vision qu'il lui restait.
une fois arrivé dehors, Thokk prit Körndürr dans ses bras, le valeureux guerrier sans peur et sans reproche semblait n'être qu'un enfant dans les bras de sa mere, bercé par le rythme du coeur de son aimé, sa respiration l'appaisait...semblant eloigné de tout danger.
Il finit par lever les yeux pour pouvoir admirer Thokk, il put apercevoir derriere elle une ombre baignée de reflets nacré qui semblait nager dans les airs, se rapprochant de lui.


Lenneth - Körndürr, cesse de te tourmenter l'esprit ainsi...

Körndürr - Lenneth c'est vous ? Pourquoi je ne vois rien, ou suis-je?

Lenneth - Körndürr, mon pauvre, je te fait vivre beaucoups de choses en ce moment...Ton état se rapproche de la transe. Ta vue maintenant se limitera simplement à ma vision du bien et du mal. Mes ennemis, tu sauras les reconnaitres quand tu en croisera un.

Körndürr - Etes-vous en train de me dire que mon état sera permanent?

Lenneth - Encore une fois tu poses trop de questions! Je viens de provoquer cette "transe" chez toi pour t'eviter toute question inutiles.Ne suit que ce que ton regard te dit.
Ton instinct quand à lui à completement changé, En d'autres termes, tu te raproches de plus en plus du valhale.

Körndürr - Qu'adviendra-t-il de mes compagnons ?

Lenneth - Il leur appartient de choisir de te suivre aveuglement dans ta nouvelle quete. Tu seras un guide pour certains, l'avenir pour une autre, un ennemi à abbattre pour les restants .

A ces mots, Lenneth disparu ne laissant devant le géant étonné qu'une vision de pureté parfaite encore une fois.
Thokk, son avenir était représenté par la plus belle des géantes qui lui avait été donné de rencontrer.
Il commencait deja à s'habituer à sa nouvelle facon de voir, prit Thokk par la main, la serrant contre son coeur.
Se servant de son autre main pour carresser les cheveux de son aimée.
Sa vue revenait petit a petit à son état normal...
Puis ils partirent tous les deux à l'interieur de la taverne retrouver leurs freres d'armes.
Körndürr s'installa à la table venant d'être remplacer et leur raconta
ce qu'il venait de se passer.


Körndürr - Voila mes freres, je vous demanderais donc maintenant de me dire si vous mes suivez dans ma quete du valhale ou pas?

Thokk - Tu connais deja ma réponse.

...................................

Pendant que le temps s'écoule et que le monde tourne, pleins de gens meurent en ces terres. Sachez que nul n'est mort pour rien, Chaques souffles de vie permet de monter une pierre à l'édifice de l'unification des races.
Je suis mort en guerrier il y a bien longtemps, le souffle divin qui m'a permis de me relever ce jour là m'a été donné pour éradiquer ce monde de toutes souffrances.
Lorsque mon oeil avisé ne reconnaitra plus le mal...mon temps sera finis...d'ici la, Lenneth me pretera son bras, ses yeux, Thokk m'offrira la raison et le coeur.
Mes amis, me suivrez-vous aveuglement dans cette quete?



geant Par skrymir  le 01/10/2005 à 00:23

En train de prendre l'air, Skrymir avait aperçu Thokk et Körndürr sortir de la taverne.

Il pensa d'abord à deux amants s'eclipsant d'un endroit un peu trop fréquenté, mais l'atitude de Körndürr était bizarre.

quelquechose ne va pas avec Körndürr, il n'a pas l'air dans son état normal.

Alors qu'il se rapprochait pour savoir se qui arrivait à son responsable , Thokk et Körndürr reprenaient déjà la direction de la porte de la taverne.

Skrymir se hata pour les rejoindre à l'intérieur, il présentait que quelquechose allait arriver.

Il aperçu Körndürr en train de réunir la Horde autour d'une table et les rejoignit au plus vite.

Körndürr, son regard.....

Mais déjà Korndürr était en train d'expliquer ce qui venait de lui arriver.

Körndürr - Voila mes freres, je vous demanderais donc maintenant de me dire si vous mes suivez dans ma quete du valhale ou pas?

Thokk - Tu connais deja ma réponse.

Skrymir - Körndürr mon bras est tien, parle et il obéira.



geant Par hildibrandarkh  le 01/10/2005 à 21:11

Hildy’ avait observée Körndürr se défouler sur la table de la taverne elle sortit et le chercha

"Mon chère Körndürr cela fait un long moment que nous nous connaissons ,et en aucun cas je ne te laisserais partir seul dans cette quêtes.
Mon arbalète t’appartient ,ainsi que mon bras si tu le désire .
Nous faisons partit de la même famille tu as toujours été un guide pour moi et c’est pour cela que je te suivrais aveuglement dans cette quête qui me semble d’une grande importance a tes yeux ainsi qu’aux miens ."



Par Google  

geant Par Thokk  le 01/11/2005 à 16:58

Bien qu'ayant déjà donné sa réponse à Körndürr, Thokk sentait qu'il avait besoin d'entendre à nouveau son soutien devant les autres membres de la Horde. Après lui avoir offert une aide personnelle, elle sentait le besion de Körndürr de l'entendre lui offrir son aide de guerrière.

Thokk pris alors la parole :


Körndür tu es notre chef, pour ma part tu n'as même pas besoin de me poser la question... j'y ai déjà répondu le jour où je suis rentrée parmi vous.
Mais tu as raison, il n'est pas inutile de le rappeler : tu as mon soutien total et je t'offre mes armes pour te défendre lors des combats, mon épaule pour te reposer après la lutte et tout mon soutien pour ne pas perdre courage.

Thokk glissa alors dans son discours un clin d'oeil à son aimé et appercu avec satisfaction un sourire sur les lèvres de Körndürr.



geant Par Ogrim Crâne-de-Pierre  le 01/01/1970 à 01:00

Ogrim était retiré, il ne se sentait pas totalement à sa place dans la horde, il n'était pas sûr que sa place se trouvait ici, parmis tous ces gens qui semblaient animés d'une volonté, d'un souffle qui leur permettait de vivre et de tenir dans les moments difficiles.

Il se demandait ce qu'il allait advenir de lui quand soudain un buit sourd se fit entendre, une table gisait, éclatée, et Korndürr se tenait debout, livide, bien que le rouge de ses veines contrastait avec la blancheur qu'avaient pris ses traits.

Il vit son chef, qui semblait débordé de rage, sortir de la taverne et se préparait à le suivre quand il vit Thokk se lever, il décida alors d'attendre simplement son retour et se rapprocha de ce qui restait de la table.

Lorsque Korndürr raconta ce qui s'était passé, il eu pour la première fois l'impression d'avoir un but, il ressenti l'envie, le désir de se battre pour une cause, il comprit enfin ce que ressentaient tous les autres membres de la horde et remercia du plus profond de son âme Korndürr qui, par l'intermédiaire de Lenneth, de lui avoir montré où était sa place sur Olympia.

Il s'avança alors et pris la parole, pour la première fois depuis son entrée dans la horde :

Je te remercie de m'avoir éclairé, grâce à toi j'ai enfin une cause à défendre.
Si tu est l'intermédiaire de Lenneth, je jure de te défendre pour que nous ne la perdions pas, et, bien que je sois conscient de ma faiblesse, je te demande de m'accorder l'honneur d'être ton garde du corps, mon bras sera fort et mes carreaux pointus, je mourrai pour toi s'il le faut.


Ogrim se tenait debout devant Korndürr, attendant que celui réponde à sa demande.



hs Par Galtabosh Gueuouf  le 01/01/1970 à 01:00

Hrp: attention, clavier glissant, et doigts engourdis

Galtabosh, comme à son habitude, comme chaques jours depuis la prise de Zagnadar, arrivait à la Taverne à ce moment là de la journée; Il n'avait donc pas ue le temps de noyer sa mémoire dans la bière.
Sereinement, il prit place sur un des bancs de la table occuper par ses frères d'armes, s'y accoudeait, et se mit à parler pour lui même, ou plutôt pour qui voudra entendre.

Le fait est que la voie de Lenneth est un parfait mystère, et notre imperfection ne nous permettra jamais d'atteindre son esprit, et nous laissera toujour un doute quand à notre cappacité à l'entendre, aussis imfime soit-il, il existe, et nous concèrne tous.

Galtabosh alla chercher son regard au bout du vide dans lequel il s'était perdue, et le posea sur son ami-et-chef Korndür, pour lui addresser la parole:

Je ne dirai jamais que tu est notre guide parce que tu "porte la voie de Lenneth";
Mais je le dirai parce que tu est Korndür, Roi des géants;
Je le dirai parce que tu est notre chef;
Je le dirai parce que je sait que je peut mettre ma confiance en toi;
Je le dirai parce que j'ai foi en la horde, comme nous tous ici présent, je crois;
Et je le dirait parceque je veut croire que Lenneth nous donnera la force de mener à bien notre action




geant Par Gôb'Mooch  le 01/01/1970 à 01:00

Gôb'Mooch discutais avec un nain sur la manière de tailler dans la roche, Gôb'Mooch allait jusqu'au bout dans sa quête du savoir absolu, une quête qui s'achevera bien vite à la prochaine bataille. Ils ne remarquèrent même pas la destruction de la table par Körndürr, ce n'est que lorsque son chef prononça la phrase "je vous demanderais donc maintenant de me dire si vous mes suivez dans ma quete du valhale ou pas?" que Gôb'Mooch réagit, laissant le nain quelques secondes pendant qu'il lui expliquait comment extraire un gros morceau de pierre precieuse de la mine sans l'abimer(la pierre precieuse), et il s'écria

-Avec toi pour toujours Körndürr, je porterais fierement les couleurs de la Horde à tes côtés !!



hs Par Heurk le Troll  le 01/01/1970 à 01:00

Les journées défilaient et Heurk était toujours couché dans l'herbe, attendant désespérément que quelque chose se passe.
La faim avait cessé de le tirailler, la chaleur avait cessé de l'atteindre, son corps tout entier semblait imunisé contre tout ce qui l'environnait.
La seule chose qui le différenciait des morts était cet air buté qu'il arborait et qui se rafermissait de jours en jours.

Qui sait combien de temps il aurait pu rester allongé là ?
Peut-être se serait-il figé dans cette position si un énorme cri ne l'avait pas sorti de sa léthargie.
Quelques instants plus tard, la porte de la Taverne s'ouvrait, Thokk soutenant Körndürr, dont les yeux blancs semblaient en transe.
Son Mentor partit alors dans un monologue étrange, il regardait dans le vide et semblait, d'après ses dires, parler à Lenneth.
Les mots de la Déesse ranimèrent son visage, ses yeux s'illuminèrent et ses traits se ragaillardirent.
Son corps se gorgea d'une énergie nouvelle, et c'est majestueusement qu'il rentra dans la Taverne, en compagnie de son amante.

Intrigué, Heurk se leva secouant sa carcasse amaigrie pour en enlever les résidus d'herbe et d'insectes.
A son tour il entra dans le bâtiment, appercevant derechef son Mentor et ses compagnons qui s'étaient regroupés autour d'une table.
Il s'approcha du groupe et entendit les dernières paroles de Körndürr :

Voila mes frères, je vous demande donc maintenant de me dire si vous me suivez dans ma quête du valhale ou pas?

Et ce fut donc sans hésitation qu'Heurk le Troll déclara

Körndürr, ma Magie et ma vie sont tiennes. Je te suivrai jusqu'au bout, quel que soit notre Destin. Pour la Horde et pour ma reconnaissance éternelle, BASTONNNNNNN !!!!!



nain Par Gorak  le 01/01/1970 à 01:00

Gorak, qui avait écouté le géant, réfléchit. Il se demandait s’il devait où non suivre ce dernier.
Il savait que Körndurr avait entendu Lenneth et qu’il devait le suivre mais quelque chose au fond de lui l ’empêchait de prendre sa décision.

Il fut soudain sortit de ses pensées par l ’arrivée soudaine d’ un elfe qui n’avait rien à faire ici. Une fois que le tavernier lui avait expliqué de manière fort dissuasive qu’il ne devait pas être là, Gorak, qui avait eu tout le temps de réfléchir, se leva et pris la parole :
« Körndurr, tu es l’envoyer de Lenneth et tu sais que tu peux compter sur moi. Je t’accompagnerais, parle et je t’obéirais. »