Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - Tout laisser tomber et aller de l'avant
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Tout laisser tomber et aller de l'avant
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Dernière réponse le 13/01/2005 à 19:04

geant Par Gôb'Mooch  le 01/09/2005 à 01:32

Gôb’Mooch était assis, assis sur un balcon d’une chambre au premier étage d’une auberge en reconstruction de Zagnadar, il tenait dans une main une tasse remplie d’un liquide appelé bizarrement « café » par les humains, il en avait trouvé un paquet sur le corps d’un CdF, et dans l’autre main il avait un parchemin, rassemblant les dernières nouvelles d’Olympia, écrit par un Olympien, ce parchemin ce nommait « Le journal d’Olympia », il était livré par oiseaux, et il était vendu à 5 pièces d’or l’exemplaire. Gôb’Mooch le lisait assis sur son fauteuil, tout en buvant son café, cette boisson était d’une préparation compliquée, mais il avait plus ou moins réussi à s’en préparer, cette mixture était fade et amer mais il trouvait ça plutôt agréable, et ça l’aidait à réfléchir tout en lisant son journal, les nouvelles n’étaient pas très bonne, les rumeurs disaient que les Olympiens s’allieraient aux Nains pour combattre les Elfes, les Géants devraient sans doute partir en guerre eux aussi, mais Körndürr préférait les réunir avant de passer à l’offensive, Körndürr était sage, il ne mènerais sans doute pas son peuple à sa perte, une attaque contre les Elfes ne leur apporterait que des ennuis, et Gôb’Mooch le savait. Une nouvelle attira beaucoup son attention, elle était plutôt présentée comme une blague, mais cela était bien évidemment la vérité « Un groupe de Nains acharnés et d’Elfes sur entraînés ont franchis les portes de la confrérie du futur et en ont rapportés des trophées de guerre assez important, en ce moment même ils sont en trains de les examiner » Qui pouvait être assez con pour s’attaquer aux humains ? Ce fut la première pensée de Gôb’Mooch, seulement eux avait réussi. Le journal s’envola alors que Gôb’Mooch commençait un nouvel article, il n’avait eu le temps de lire que les mots « Evènement » « Sigdil » « Teträm », qu’avait il bien pu ce passer à Sigdil, en fait, il s’en fichait, rien ne l’intéressait plus maintenant, il avait passé une grande partit de sa vie à poursuivre un but qui n’était pas directement le sien, à ignorer un peuple qui était sa famille, et à défendre une ville qui n’avait encore aucun rapport avec lui, au fil du temps il avait oublié son passé, et maintenant il le regrettait, qu’était il arrivé à lui et à sa famille, il voulait le savoir.

-Qui pourras me le dire ?

Il s’était levé, sa tasse était tombée dans la rue en bas de son balcon, il regarda l’horizon, dans cette direction il y avait Sigdil, et derrière Lardanium puis encore d’autres choses, mais derrière encore que y avait il ? Il s’en fichait, qu’est ce qui pouvait bien l’intéresser maintenant ? Il n’avait plus rien, tout ce qu’il savait c’est que les Nordiques étaient en quelques sortes sa famille, et il devait rester à tout prix au sein de la Horde, quoi qu’il arrive.

-Si tu n’as plus de passé pourquoi ne t’en fabriques tu pas un nouveau en oubliant tout ce qu’il y avait avant ?

Gôb’Mooch ce retourna à une vitesse fulgurante, il avait entendu une voix, clair et grave, qui était ce ?

-Me refaire un passé ?

….

Plus rien ne ce passa, la voix n’était plus là

-Me refaire un passé…

Un léger vent pénétra la chambre

-Me refaire un passé !!

Voila ce qu’il devait faire, il avait trouvé, tirer un trait sur le passé, et ce lancer dans une nouvelle vie aux côtés de la Horde. Il descendit dans la taverne et rentra en criant

-TOURNEE GENERALE, c’est moi qui régale !!
-Qu’est ce qui te rend si joyeux ?

Körndürr était derrière lui, il le regardait bizarrement

-Rien … rien du tout

Il prit la main de Körndürr et la serra dans la sienne

-Ma nouvelle famille

C’est avec un grand sourire qu’il fit passé le goût du café avec une choppe de bière



olymp Par Volken  le 01/01/1970 à 01:00



L’olympien entra dans Lardanium.

Il faisait nuit, et les gardes qui surveillaient les portes ne l’avaient même pas aperçu. C’était la première fois pour lui qu’il venait en personne dans la cité.

-Où ce trouve tes quartiers Rémio ?

-La ville a bien changé Volken, et je ne saurais me retrouver ici.

-Pourtant tu vas devoir te souvenir si tu veux que je retrouve l’endroit ou tu habitais.

-Je vais faire un effort, bon prend cette petite rue en face.


………………………………………………………………

-Cela fais trois heures que nous tournons dans ces ruelles sans jamais trouver cette maudite « rue du Sénat ».

-Suis-je bête, la rue du Sénat…

-Quoi la rue du Sénat ?

-Eh bien en vérité Orphée à du changer de nom, il a prit le pouvoir après la république et le Sénat était l’emblème de ce régime politique. Et tout est tellement différent que je ne reconnaîtrais pas ma maison. Bon alors il faut chercher « la rue des Dieux » et nous n’aurons qu’à chercher un rue perpendiculaire.

-Soit.


…………………………………………………………………


Volken trouva enfin la rue dans laquelle son hôte avait vécu. Par ailleurs il ne tarda pas à trouver la bâtisse que fût celle de Rémio.

-Que s’est il passé …

Le bâtiment était en piteux état, toutes les vitres avait été brisé. On pouvait lire sur une pancarte fixée au mur :

Ici vivait un traître à son peuple un traître, à son prince un traître et même aux Dieux. Prions pour que jamais plus aucun traître ne naissent dans notre belle cité.


-Volken. Plus rien ne nous retient ici on peut partir.

-Pas encore, je veux d’abord visiter leur armurerie.


Le lendemain, Volken se dirigea vers la forge et inspecta minutieusement arme et armure.

« -Un fléau, j’en ai déjà un, une lance aucune utilité, un arc ne me servirait à rien, une arbalète lourde, u….a ça pourrait servir l’arbalète lourde…en fait je ne suis que bien piètre tireur donc on se contentera de charger dans le tas ». Il interpella alors le forgerons : « Excusez moi, pourriez vous me montrer vos armures, ma cotte de maille protège bien pourtant elle est fort peu confortable. Peut être réussirais-je a trouver mon bonheur dans vos ratelier.

-Très bien, veuillez me suivre. Voilà toutes les armures disponibles. »

Le berserker les inspecta, mais il ne sembla pas trouver satisfaction. Et c’est au détour d’un ratelier qu’il l’entrevit.

« Je veux celle la.

- Très bon choix, pourtant je crains que vous ne puissiez l’acheter, nous n’acceptons que les pièces d’or.
- Alors tenez (Volken sortit de sous sa fourure une bourse remplit d’or), ne juger jamais un homme parcequ’il porte une peau d’ours sur sa cotte de maille. »

Volken paya, et sortit de la forge. Il dit à haute voix:

"Les Olympiens... tous les même."

Et il se remit en marche vers sa citée d'adoption ou résidait ses frères d'armes.

"En route pour zagnadar."