Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - L'Odyssée du troubadour.
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L'Odyssée du troubadour.
Topic visité 12 fois
Dernière réponse le 24/09/2003 à 21:21

hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/04/2003 à 21:28

Ce jour là, comme tous les jours, je me baladais dans la forêt, m'émerveillant d'un rien.

Je venais de passer un rituel très spécifique. Un rituel ne concernant que quelque très rare Homme Sauvage. A la fin de la mystérieuse cérémonie, l'on m'avais remis ma guitare, symbole de mon passage à l'âge adulte, mais aussi de ma charge de troubadour.

Mais moi, comme tous les jours, je me baladais dans la forêt, m'émerveillant de tout.

J'était considéré comme un fou, pas au sens violent du terme, mais au sens de quelqu'un qui n'avais pas de raisonnement concret. Seul Certains Homme Sauvage savais qu'il ne s'agissais que d'une carapace... mais personne ne me praitait réellement attention. J'était considéré comme un curieux un peu naïf et pas torp vif d'esprit.

Et moi, comme tous les jours, je me baladais dans la forêt m'émerveillant de sa richesse.

Mais ce jours là, alors que je m'appyuais contre un arbre pour fredonner comme j'en avais l'habitude, j'entendit une voix.

Et alors, de sa voix résonante de puissance et de mystère, elle prononça des paroles pouvant s'apparenter à : " BOUH !!!!



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/04/2003 à 21:28

Immédiatement, je me mit en garde, prêt à jeter un sort, ou, plus surement, à prendre mes jambes à mon cou.

Mais malgrès ma vu precante, je ne vis personne. J'entendait distinctement une voix qui riait, mais elle semblais venir de tout autour de moi...
Ou plutôt... de moi.

L'espace d'un instant, je doutais : " Serais-je devenus ce que les autres pense que je suis ? "
La voix continuait de rire... Non, je n'était pas fou, et la voix ne venais pas de moi mais de...
Mon regard tomba sur la guitare que je tenait à la main, et la voix su tut instantanément. Puis j'entendit un : " ALÔ ? "

De nouveau j'eu une brève hésitation, mais...

" Esprit farceur, je te prie de sortir de ma guitare.
- NE ME PARLE PAS AINSI MORTEL, ET AGENOUILLE TOI FACE A CHRONOS !!!! "

Après un bref choc je réalisais que...

" Chronos est mort ! Pour qui me prend-tu ? Dit moi qui tu est ?
- Heu... JE SUIS LE MAL INCARNE, SUPPOT DE L'ENFER, FUSION MALEFIQUE DE CERBERE, DE TENEBRE, et de.... ET DES SIRENES DU STIX !!!!
- Ecoute, le Cerbere est très bien au porte du royaume d'Hades, je ne connais pas de Ténèbre, quand au Stix, je doute qu'il abrite des sirènes.
- ECOUTE-MOI !!! JE SUIS L'ESPRIT DE TOUS LES TITANTS DECHUS, ET JE REVIENS POUR DETRUIRE LE MONDE !!!! *

Je regardais dans ma guitare pour voir si quelque démons farceur ne s'y était glissé puis repris :

" Sérieusement, je pourrais savoir qui tu est ?
- COMME OSE-TU METTRE MA PAROLE EN DOUTE, VERMICEAU RAMPANT ??
- ... Parcque tu n'est absolument pas crédible.
- Ha merde, je me doutait que j'en fesais trop... Et si je te dit : " ECOUTE MOI, TOKAKELUC, ET REJOINT LE COTE OBSCUR DE LA FORCE ! " c'est mieux ?
- Franchement non, et moi c'est Tokakeke, sans cul. Heu, sans luc. Bon, tu va jouer comme ça longtemp ou on va enfin discuter entre gens civilisés ?
- Ha, tu peut parler, tu n'a pas d'ami et la plupart des gens que tu connais te prend pour fou !!
- Mais... Comment sais-tu cela ?
- Hum, hum. C'est, vois-tu, parcque JE SUIS L'ESSENCE NOIRE DE L'ORACLE MAUDIT DE TSANTORT !!!! "

Je regardat alors ma guitare avec l'air le plus dubitatif possible.

" Bon, bon, ça va... Je ne suis rien d'autre que l'Esprit de la Guitare.
- Voilà qui parais plus cohérent, quoique si on me vois causer avec une guitare;.. enfin bon. Ca n'explique pas pourquoi tu sais tout ça de moi. Tu lit dans mes pensées ? Tu est lié à moi c'est ça ?
- Et bien.... pour être tout à fait précis, c'est surtout que ça ce voit au premier coup d'oeuil que t'es un paumé à moitié gaga. "

Essyant de ne pas laisser paraître ma tristesse, je répondit :

" Une guitare n'a pas d'oeuil, théoriquement.
- Théoriquement, elle n'a pas d'esprit non plus. Mais il y à une chose qui est vrai dans ce que ut as dit, je suis lié à toi, et toi à moi.
- Comment cela ?
- Tu est celui qui doit acomplir la Grande Prophétie, annonçant entre autre chose, la chute des Dieux, des Olympiens, et de tout ce qui marche, nage ou vol à la surface d'Olympia.
- Mais je ne veut pas être dans une pro... Que dit tu ?
- Je dit que celui qui devais me réveiller devais être la réincarnation de la colère de Chronos. Enfin je crois...
- C'est hors de question.
- Tu n'a pas le choix.
- Si.
- Non.
- Si.
- Non.
- Si.
- T'habites Nancy ? Je te dit que non !! Comme dit l'une de tes chansons : " C'est ton destin... "
- Ecoute guitare, je ne te jette pas uniquement parcque tu est un excellent instrument, fort beau et très bien équilibré de surcroit, mais que les choses soit clair entre nous : Je ne veut pas détruire le monde ! Je ne veut détruire personne... Et si tu continus à me raconter ces sornettes, je...
- Ne me détruiras pas puissque tu vien de dire à l'instant que tu ne voulais détruire personne.... Ecoute, laisse moi au moins t'expliquer. La nuit tombe. Fait un feu de camp, grogne et chante si tu le veut, mais écoute moi. Je ne serais pas l... enfin si je serais long, mais si je t'explique pas tu va encore râler alors... "

Et, tenant toujours ma guitare dans une mais j'allais chercher quelques morceau de bois sec.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/04/2003 à 21:29

[...]

" Non, je ne suis pas d'accord. Rien ne peut justifier une telle chose, que je sois le descendant de qui que ce soit.
- Mais tu n'est PAS un homme sauvage !! Tu es...
- NOOOOOON ! "

[...]

Le lendemain matin, la guitare ne parla pas. Je me rappelais confusément de quelques bribes de la discution de la soirée précédente, mais tout était alors brouillé dans mon esprit.
Non, pas tout. Une chose m'était apparue : je ferais tout pour empecher que cela ce produise. Je me fixais alors un but, qui devrais me durer, si ce n'est jusqu'a ma mort, au moin pendant quelques décénies.

[...]


Et me voilà, aujourd'hui, prêt à partir pour ma grande Odyssée. Je reviendrais uniquement lorsque j'aurais obtenus une amitié sincère d'au moin un membre de CHAQUE race, et, au passage, un maximum de chansons louant la fraternité entre les êtres.
Et alors je réveillerais la guitare et accomplirais le destin que JE me suis fixé, qui est d'empcher l'accomplissement du destin QU'ON ma fixé.

Et, pour la première fois, je sortit de ma forêt, m'émerveillant du reste du monde...



elfe Par Siguire Graad  le 09/04/2003 à 21:31

(flood ou normale ?)



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/04/2003 à 21:33

Odyssée du troubadour * Jour 0 * Position : X=-9 Y=-1

Ce matin, je me suis rendu à l'Orée de la forêt. Le monde nouveau me tend les bras. Olympia me tend les bras... D'ailleur je vois déjà deux Olympiens, visiblement pacifiques.
Tout cela est porteur de bien des promesses.



Par Azash - Pandora  le 09/04/2003 à 21:44

Auteur : Astellor - Gardien des Arcanes
Date : 04/09/2003 21:32

hrp/tremble pauvre mortel car tu vien de faire l'ultime erreur!!!et d'ici quelque minute des homme cagouler de grand machin blanc vont t'ezmmener dans un breack wolwagen immatricule INQ 999 et pis tu va passer trois heure de torture effroyable!!!!car tu provoqer le courou de la terrible inquisition du net!!qui traque ceux qui font l'ultime erreur moi meme etant grand recidiviste de la dite erreur..merde je devait pas te dire tout ca au fait ca veut dire que...
bon ben ils viennent de defoncer ma porte on ce revoit la bas hein.../hrp
(dsl pour ceux qui comprennent pas CAD tout le monde mais bon c mon devoir de perpetrer ce delire sur tout les forum ou je vais)



Vala c'était la remarque constructive d'Astellor anciennement TENEBRE.

C'est à se demander s'il a vraiment été détruit ce démon.

Vala comme ça bye le deuxième thread



hs Par Ténèbre  le 09/04/2003 à 21:46

hrp/ c totalement Hrp hé c'etait pas mon peros qui a dis ca hein!! merde si on peut plus mettre ses delires personnels... /hrp



Par Azash - Pandora  le 09/04/2003 à 22:01

Ah ouais j'avais pa vu dsl Astellor, enfin ton idée de délire sur ta jeunesse compense




Tokakeke, j'aime ton entrain et ta motivation, dis moi si tu veux venir avec moi en Lardanium, je pourrai ensuite t'accompagner.



Par Azash - Pandora  le 09/05/2003 à 11:32

HRP : J'aime beaucoup ton méchant type Zangdar en plus nul

J'ai eu peur un instant de me retrouver avec un TENEBRE n°2



Par Google  

hs Par Kalik, âme errante  le 09/05/2003 à 12:00

Oulala, tu dois vraiment de faire chier, pour écrire tout ça. Tokakeke, troubadour d'Olympia, malgré toute les conneries que tu peux dire, je n'oublie pas ton " a charge de revanche ".
Donc si tu as besoin que je t'aide à perpétuer ton délire, je suis la.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/05/2003 à 17:58

Arkus, si on si on se recroise sur la carte, ça pourrais se faire. ^^ Et si j'arrive à entrainer Orphé et toi dans l'aventure, si je ne m'abuse, ça feras déjà un olympien et un nain à me suivre... =) Encore faudras-t'il par la suite que j'arrive à devenir votre ami ( hé ben ! ^^ )

Merci et lol Azash, et vive Naheulbeuk. ^^

Quand à Orphée, merci, et cela m'enchanterais étant donné que :

- Tu serais donc la première personne à me suivre
- et si Lardanium c'est le point 0, 0 ( c'est ça non ? ) alors il n'y à pas de problème car je suis tout prêt.

D'ailleur...

Odyssée du troubadour * Jour 1 * Position : X=-6 Y=-4

Aujourd'hui, j'ai vu au loin un géant. Je n'en avais jamais vu auparavant, mais ils sont aussi grand que dans les chansons parlant d'eux. Pour être tout à fait honnête ils ne semblent pas mesurer plusieurs killomètres de haut comme dans les balades, mais ils sont grands tout de même.
J'ai aussi vu, et pour la première fois également, un nain. Mais j'avais déjà entendu parler de lui : il s'agissais de Azash, et je lui adressais un signe.
J'ai également vu, au loin, les construction de ce qui, selon les légendes, est une porte vers le domaine des Dieux eux-mêmes... Ce qui me rappela du coup que je devais aussi convaincre un dieux, au même titre que les autres " râces " de venir avec moi...

Le monde au dehors est fantastique. Bien sur il y a quelques arbres, mais je vois au loin des colines et des mur de roches appellés "montagne". Sur le bord du chemin, je trouve une fleur ne semblant pas pousser dans ma forêt. C'est étrange. Hors de la forêt, j'ai l'impression que la vie est plus.... grosse. Il y à moins de gazouillement d'oiseau, de bourdonnement d'insecte, et les quelques animaux semble plus gros. Et les personnes aussi. A moin que j'ai cette impression à cause du génat et du nain présent...

Lors de ma marche, j'ai fredonné une mélodie racontant mon histoire, car je voulais que mon Odyssée reste dans les mémoires sous la forme d'une chanson, tel l'épopée d'un aventurier d'une époque révolue. Et, chose étrange, il semble que ma chansons ai été entendue plus loin que je ne le coyais... Par des gens qui me sont inconnus. C'est surement du à la guitare.
Cette guitare, dont je ne sais toujours si elle est maléfique, farceuse ou prévenante. ... En fait, je savais lequel des trois, mais refusais de l'admettre.
Voilà le soleil qui se couche. Il y a un arbre un peu en dehors de la route. Je vais voir si je peut faire un feu de camp là-bas...



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/05/2003 à 18:17

( error : position : X=-6 Y=4, pas - )




Tokakeke, tu peux me retrouver au Sud de Lardanium. Nous pourrons nous rendre au pied de l'Olype, le domaine des Dieux.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/05/2003 à 20:53

Je te remercie de ton aide Orphée, et, si je puis dire, j'accours. ^^



hs Par Kalik, âme errante  le 09/06/2003 à 06:27

Je vous suivrai donc. Puisque telle est votre volonté.



hs Par Kalik, âme errante  le 09/06/2003 à 06:35

Du moins, ne m'attendait pas trop, je suis au nord.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/06/2003 à 22:11

Arkus, mon Odyssée me mèneras dans nombres de mystérieuse contrées d'Olympia, et nul doute que l'on se croise un jour. J'ai espoir.

Odyssée du troubadour * Jour 2 * Position : X=-4 Y=1

Il m'est arrivé quelque chose d'etrange ce matin. J'avais passé une nuit mouvementé, et j'avais fait un rêve... ou un cauchemard.
Dans mes songes, je ressentais tout Olympia. Je voyais les gens par mes yeux, mais je voyais aussi leurs âmes par leur esprit, et parfois, j'arrivais à les entendre, un peu comme la fois ou ma guitare m'avais parlé. Je fesais mon chemin dans le monde, toujours avec cette sorte de " vision double ". puis, le soir, je m'arrêtais pour dormir et...
A ce moment, je me réveillat. Je réfléchit à ce rêve, puis, sans y prêter plus attention repartit.
C'est au cours de l'après-midi qu'il se passa quelque chose d'ettonant. Je sentais la haine. Une haine brûlante, consumante. Je sentais aussi plus confusément de la rage, de la pitié, de la tristesse mélée à de la joie. Encore une fois je faillit flancher, mais je continua d'avancer en essayant d'oublier ces émotions qui me frappais la tête et le coeur. J'arrivais à un virage, et elles se fesaient encore plus pressantes, encore plus fortes.
J'arrivais alors au detour du chemin, et là je vis... des fantômes ! Des esprits multicolores et vaguement informe, et alors je sus que c'était eux la source de toutes ces émotions.
Immédiatement, je repenssa à mon rêve, et me demanda si j'était devenu finalement fou, si j'était encore dans mon rêve ou si c'était là quelques tours de magie.
Je me frottat les yeux et, les fantômes disparurent. A leur place se trouvaient une elfe à la peau blanche, un nain avec une couronne, et trois Olympien. L'elfe, le nain et un des Olympien semblaient se battre ensemble, et chaque coup d'épée fesais jaillir en moi une douleur incommensurable.
J'hurlais. J'hurlais de douleur. Je leur hurlais de s'arrêter, qu'il ne fallais pas se battre... Du moin, je voulus hurler, mais je ne sut pas s'il m'avais entendu ou non. Affolé, sentant l'hystérie me prendre à la gorge, je courus précipitemment vers un buisson pour m'y réfugié. Je sombra alors dans le sommeil.
Je rêve ausi cette nuit. J'entendait une... non deux voix, qui répondait à mon appel. Je ne savais pas quel appel, mais je le sentais. Je ne connaissais pas ces gens, mais je les sentait.
Quelque chose était en train de se passer.
Je sombra alors dans un sommeil plus profond, sans rêve ni cauchemard.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/07/2003 à 21:19

Orphée je te voit sur ma carte, nous partons quand tu veut.

Odyssée du troubadour * Jour 3 * Position : X=1 Y=-3

Je me réveillait brusequement, le bruit du métal me fesant sursauter.
Masqué grossièrment par un bosquet, je releva ma tête et vit... des elfes, des hommes sauvages, es olympiens, des nains, et même ce qui semblait être une déesse, tous pelle_mèle à l'orée de la foret, s'entre déchirant dans le sang avec une violence inouïe, surpassant toutes les scènes d'horreur auquel j'avais put assister auparavent.
Certain semblait animés par la haine, d'autre par la vengeance, d'autre encore par la pitié, mais tous se battait et participer à l'hecatombe que...

QUE CETTE SATANEE GUITARE AVAIT PREDIT !

Cela ne pouvais pas se passer comme ça. Je continuait malgrès moi à regarder la bataille, comme tétanisée lorsque mon regard se posa sur une Olympienne en armure et au long cheuveux. Et, brusquement, tout devin flou, je revit l'espace d'un instant les personnes sur leur plan de l'âme au lieu du plan physique. Le choc fut trop violent pour moi, et je m'évanouit sous la force de l'effet.
Lorsque je me releva, la bataille continuait, et l'Olympienne était toujours là. Je sut que c'était une des personnes aui, je ne sait comment avait reçu mon appel.
Je pris quelque seconde pour, à l'aide d'un mouchoir et d'un bâton, me confectionner un vague drapeau blanc, puis je m'avançait au milieu d'Olympiens en furie, et m'aprocha de la personne concernée.
Et là, sans que je sache comment son nom me vint à l'esprit, je demanda d'une voix faible : " Orphée ? " Mais au même moment, une flèche perdu me passa au ras le corp et, par reflexe plusque par par couardise, je bondit dans un bosquet, sans savoir si elle m'avais entendue.
Dans le ciel, des nuages s'ammoncelaient, et la pluie commençait à tomber.
Il fallait que j'essaye d'arrêté ça, ou du moin de temporiser.
C'était le moment de vérifié si je pouvais vraiment communiquer aux âmes... J'accorda ma guitare, et commençat une mélopée.

Une mélopée de Paix, adressé au monde entier, alors que mes larmes se confondait avec la pluie qui me balayait le visage.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/08/2003 à 22:23

Odyssée du troubadour * Jour 4 * Position : X=0 Y=-3

Un bruit de tonnerre. Un sentation de froid.

" AAAATCHOUM ! "

Je me réveillais sous une pluie battante, qui ne semblait pas vouloir partir, avec le nez qui me brulait quelque peu.
Les Olympiens, un nain et un Homme sauvages était éparpillés de-cid e là, semblant ne pas subire l'usure du temps ni la fatigue, et continuant à se battre malgrès les inetmpéries...
Dans un grand reniflement, je réflechissais dans mon buissons. Il me semblais que quelques personnes avait entendut ma chansons de la veille, mais apparemment beaucoup moin que je ne l'avais espéré, et ça ne changerais surement pas l'envie de la plupart des gens à s'entre tuer. Instinctivement, je pris ma guitare, et m'ettona de la sentir tiède au touché. Et sèche. Un instant je crus qu'elle se ranimerais, mais elle resta de bois.
Je jettait un oeuil aux alentours, et je vit...
- des Olympiens qui se battaient,
- des Hommes Sauvages qui se battaient,
- des Nains qui se battaient...

Brusquement, j'eu envie de retourner dans ma forêt natale, me balader tout au long de la journée, à m'émerveiller de sa beauté, de sa richesse... Je me rappellais avec Nostalgie de mon premier jour hors de la forêt ou tout m'avais sembler si beau, différent, mais aussi agréable et pur que mes arbres. C'était si différend alors. Il n'y à que 4 jours, et c'est déjà si loin. Depuis la guerre à eclaté, je me suis retrouvé partieé un rhube. Peut-être est-ce du à la grande fatigue provoqué par l'effort de la nuit précédente. Ou peut-être est-ce provoqué plus simplement par cette incéssente pluie.
Je fut soudain pris alors par un question : et moi dans tout ça ? Si on m'attaque, que ferais-je ? Si je vois un arbre abbtut devant moi, resterais-je là sans rien faire ? Si l'on tue quelqu'un devant moi, ne pourais-je intervenir ?
Je passas toute ma journée à y reflechir. A reflchir les sens des notion tel que l'Amour et la Paix.

Au bout de quelques seconde, j'en arrivais à une décision : j'essayrais toujours e préservé chauq eparcelle de vie, quelle qu'elle soit, mais je n'utiliserais jamais pour celà la violence.
Je jetat alors un coup d'oeuil vers ma guitare, et dit tout haut, avec un tom de défit.

" Et je ne ferais jamais ce que tu as dit. "

Je passat le reste de la journée à dormir, récupérant de ma fatigue accumulée. Et, le soir, je sortit de mes buissons, me rendant proche des combats. J'avais quelque chose que je voulais accomplir, et ça ne pouvais que jouer en faveur de la Paix. Prenant mon courage à deux mains ( enfin à une, car j'ai la guitare dans l'autre ^^ ), et priant pour que mon inspiration soit bonne, je m'avançait vers l'Olympienne que j'avais appeller Orphée, et lui demandat si elle pouvais sortir du combat pour me suivre.

La pluie tombait toujours.



Par Google  

hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/09/2003 à 19:46

/ HRP Evidemment maintenant, tu peut faire tout le rp que tu veut et intéragir avec moi - en respectant ma personalité - Orphée, puissque je te suit... /

Odyssée du troubadour * Jour 5 * Position : Quelque part à Lardanium

Comme chaque matin, je me réveillat.
Si je ne m'était pas réveillé, tout aurait surement été différent.
Certainement.
Y a de grandes chances.
Probablement.
Ca ne m'ettonerais pas.
C'est à peu près sur.
Ou peut-être non, mais le destin, et un rayon de soleil dans la figure, voulurent que je me réveillat alors qu'Orphée, la mystérieuse Olympienne en armure, se battait contre... Contre trois Hommes Sauvages ! Et elle semblait blessée.
Vivement je me relevat pour crier à ceux de ma race qu'il ne fallait pas, que tout cela était une mérpise et que...
Mais je restait tétanisé, ne pouvant qu'assister à l'horreur du spectacle. Mais à ce moment, Orphée se tourna un instant vers moi et dit : " Bienvenue Tokakeke, je suis toute à toi... " . Puis elle se retourna d'un pas leste, et marcha vivement vers l'entrée de Lardanium...
J'analysais rapidement la situation. Le soleil était haut dans le ciel; le temps c'était dégagé, et j'avais dut dormir pendant une bonne partie de l'après midi. Autour de moi, même les Enfants des Arbres laissait libre cours à leur haine et à leur désire de destruction.
Et j'était munis en tout et pour tout de ma guitare.
Sans plus hésiter, je me dirigeas vivement vers l'entrée qu'avais prise Orphée, me baissant pour éviter de me prendre une balle perdue.
Et là, il m'arrivas une expérience toute nouvelle, qui ne m'était arrivé depuis plusieurs années...
Je trébucha sur une racine.
Je ne sut jamais si elle avit été placé là insidieusement pour faire trébuché les nouveaux arrivant à Lardanium, si elle était apparus à cause de quelques magie noire, ou si c'était un bête racine qu'un arbre explorateur avait réussit à emmener jusqu'ici...
Toujours est-il que lorsque je me relevat, je me trouvais en Lardanium. Juste à côté de moi se trouvait Orphée, dans son armure, qui posa son regard sur moi et dit d'un ton mi-amusé mi-compatissant : Bienvenus à Lardanium Tokakeke.
1000 questions me brûlait les lèvres. Quel était cet endroit ? Avais-je réellement réussit à comuniquer avec Orphée il y à quelque jours de cela ?
Mais je ne réussit à articuler qu'une seule phrase :
" Pourait-tu m'emmener voir... les dieux ? "




Bienvenue en Ladanium, Tokakeke.

Orphée embrasse le paysage d'un tour de bras.

Cette cité est le domaine du peuple fidèle aux dieux, les Olympiens. Tu n'as sûrement pas manqué le mont Olympe devant toi, au pied duquel fût bâtie la cité. Ici les Olympiens vivent dans l'adoration des dieux et la jouissance de la vie.

J'aime particulièrement errer sur les collines verdoyantes que tu vois à l'ouest du bourg, au centre de la ville. L'herbe y est tendre et douce, et y écouter les pépiements de oiseaux est un plaisir que tu sauras apprécier. L'imposant édifice en construction sera une banque, qui fera sans aucun doute prospérer notre communauté.

Bien sûr, ces imposantes murailles et ces hautes tours peuvent au premier abord paraître disgracieuses, mais elle font partie de l'harmonie si particulière de ce lieu. Contempler le coucher de soleil depuis les collines, avec la grande forêt des Ombres sur le côté, la lumière rebondissant sur les remparts venant les nuages iridescents acrochés à l'Olympe est...un bonheur...

Orphée soupire, pensive.

Est-ce la beauté de ce lieu qui attire ainsi les autres peuple à elle ? Ou est-ce la présence des dieux ?

Je ne le sais.

J'ai souvent rencontré Athéna. Mais pour rencontrer les autres dieux, je ne peux rien te garantir, je ne représente que peu de choses pour eux.

J'en appelle à eux. Allons au pied du mont Olympe, et lançons leur notre appel. Peut être auront la félicité de les rencontrer.



Par DS po log  le 09/10/2003 à 01:13

RP Tokakeke, la mort et la destruction sont le lot de tous les etres d'Olympia, il en est ainsi depuis des siecle (aussi loins que je me souvienne) et la seule façons d'éviter la guerre c'est de s'éloigné des zones de combats, de délimiter un territoire et que personne ne puisse s'en approcher!

Ne t'allie à personne, car tu connaitra la trahison, ne fait confiance à personne car le meme sort t'attend, ne crois pas les dieux! leur pouvoir est tel qu'ils sont hypocrites et ne nous concidére que comme des pions sur l'échiquié de leur jeu.

Ce monde est en guerre!!! mais personne ne sait plus pourquoi, et c'est pour cela que la guerre ne peut s'arréter, et meme si tu essaye, ce sera par une violence encore plus grande que tu pourras réussir!! on fait respecter la paix, on ne l'offre pas!!!


Enfin, c'est juste un conseil, si tu veux rester en vie.


HRP bon là j'en ai marre de jouer le méchant rabat joie!!! pitiééééééééééééééééé venez me chercher ceux qui sont concernés!!!

Sinon, Tokakeke, c'est un super RP que tu lance, contact azash, on a qqchose pour toi



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/10/2003 à 19:08

/ hrp je contacterais Azash dès la fin de mon post ^^ /

DS, tu me dit de ne faire confiance à personne, alors que ma quête est une recherche de gens en qui je pourrait avoir confiance... Et de plus je doit me lier d'amitié avec un dieu, au même titre que les autres " râces " d'Olympia...
Et pour moi, la seule façon pour eviter la guerre ce n'est pas de " délimiter un territoire et que personne ne puisse s'en approcher ". C'est ce genre de pensée qui déclenche la guerre. Pour éviter la guerre il ne faut pas délimiter de territoire, ou, que tout le monde puisse sans crainte s'en approcher et y aller.
Mais... Mon esprit est troublé par les évènements de la journée. La voici.

Odyssée du troubadour * Jour 6 * Position : Proche de X=0 Y=0 à Lardanium

Aujourd'hui, Orphée m'a montré toute les richesse du paysage de Lardanium.
Aujourd'hui, elle m'expliqua la banque, les murailles, l'Olympe, et la sérénité. Elle me promit de faire tout ce qui était possible pour lancer un appel aux dieux.
Aujourd'hui, des Hommes Sauvages, armés et couvert de sang sont entrés en Lardanium, semblant poursuivre ce qui semblait être une Déesse avec un Hibou.
Aujourd'hui, Orphée est allé rejoindre la Déesse ainsi qu'un Chevalier humain pour combatre les Hommes Sauvages.
Aujourd'hui, un homme sauvage, apparemment le chef - une personne que j'avais jadis rencontré - est tombé. Et cela m'emplit de peine.
Aujord'hui, un sort à été lancé vers Orphée, agrémenté d'une grande décharge de haine et de vengeance.
Aujourd'hui, la violence de ce sort m'a , bien que sans mal, expulsé au loin.
Aujourd'hui, toutes les autres personnes sont restées debout sans sembler ressentir l'effet du sort.
Sauf Orphée.
Aujourd'hui, Orphée, la mystérieuse Olympienne en armure qui m'avait acceuillit malgrès mon apparence et malgrès que nous ne nous connaissions ( presque ) pas, celle qui voulait m'aider à accomplir mon but, est tombée. Et cela m'emplit de peine.
Aujourd'hui, tout fut brouillé, et la peine me submergeas.
Aujourd'hui, je tomba sur le sol, vivant mais meurtit dans mon âme et conscience.
Aujourd'hui, je me demandat si ce n'était pas plus facile de... ....
Aujourd'hui...

Aujourd'hui, je ne réussit pas à m'endormir.



geant Par Délem Samor - Gardien de l'Air  le 09/11/2003 à 15:45

Le térritoire délimité montre que perssonne ne doit y entrer, si personne n'y entre, il n'y a pas guerre possible.

Aprés, si tu veux prendre le risque d'inviter chez toi qqun, alors c'est à toi de prendre tes précautions.

Mais aucune précaution n'est efficace quand c'est une armée que tu a en face de toi!!





hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/11/2003 à 19:31

/ HRP : Pas de réponse d'Azash sur ma bal pour l'instant... /

DS, ne comprend-tu point que c'est l'existence même de territoire interdit qui provoque certaine guerre ?

Enfin....

Odyssée du troubadour * Jour 7 * Position : X=-5 Y=-5 à Lardanium

Ce matin je ne me réveillat pas, pour la simple raison que je n'avait réussit à m'endormir. Lorsque le soleil passa au-dessus des murailles de Lardanium, je tenta de me lever mais je n'avais pas assez de force.
Je m'évanouit alors, plus que je ne m'endormis.
Pour la trosième fois en peu de temps, je me réveillait au milieu de l'après midi. Le soleil tapait fort, et bien que la végétation était verdoyante autour de moi, je ne svaias si je pouvais emprunter à la nature ici, alors je pris sur mes réserves.
Tandis que je mastiquait machinalement, je repenssais à tous les évènements passé. Ou plutôt, j'essayait de me les rappeller... Il y avait la guerre en dehors,puis j'avais trébuché, j'était en lardanium, puis le lendemain je vit...
La tête me tournas, et j'eut du mal à me ressaisir. L'humour noir de la seule fois où j'avais parlé à ma guitare me manquer et...
Puis une idée me frappas.

" Ouïe !! "

Pour être plus précis, une idée me vint, et j'eut une vive migraine. Cette idée, c'était que je ne me souvenais pas de ce que je fit la nuit passé, mais j'était sur, pourtant, de ne pas avoir dormis... Mais alors...
Chassant l'importune de mon esprit, je me releva... et le osl s'amusa à voir combien de temps je pouvais tenir alors qu'il dansait la java. Ou peut-être le tango.
Je retomba par terre. Ca devait plutôt être du rock acrobatique.
Je mit du temps à reprendre totalement mes esprit, mais je parvint, plus tard au court de la soirée, à me relever et à m'avancer, vers la Déesse au Hibou, que je reconnaissait maintenant comme Athéna.
Alors qu'elle et un Olympien me voyait me trainer plus que m'avancer, je repensais au but que je m'était fixé et... Pouvais-je avoir comme amie une déesse de la guerre ? Elle était pourtant aussi celle de la sagesse...
Je sourit intérieurement. Pouvais-je seulement avoir une divinité comme ami ? C'était pourtant dans cet objectif que j'était à Lardanium accompagné d'Orphée.
Orphée ! Je me souvint de l'éclair, de mon expulsion mais...
J'arrivais près de la déesse et lui demandat, alors qu'elle contemplait un morceau de chair calciné, quels avait été les circonstances exactes de la mort d'Orphée, celle qui devait m'accompagné au mont Olympe. Je me doutait que c'était un des Hommes Sauvages qui l'avait tuer, mais j'avais torp peur que mon esprit me joue des tours, et voulais connaitre la vérité à ce sujet.

Cette fois-ci ma nuit fut longue, mais je parvint toutefois à m'endormir.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/11/2003 à 19:38

/ ADDITIONAL HRP : Le mont Olympe n'est marqué nulle part sur la carte de Lardanium !! Je le considerrerrais donc comme étant le point X=0 Y=0 /



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 09/12/2003 à 21:36

Odyssée du troubadour * Jour 8 * Position : X=-3 Y=-2 à Lardanium

Voilà plus d'une semaine que je suis partit. Une longue, très longue semaine... Tout ce que j'ai vu n'était pas vert ( = rose dans l'expression humaine ), loin de là, mais j'ai déjà la sensation d'avoir beaucoup apris... Et d'avoir encor eplus de doutes également.
... " Orphée à été tué par la main d'un Homme Sauvage; il n'y à rien à ajouter à celà. " avait été la réponse d'Athéna. Ces paroles me revenait sans cesse dans la tête, s'amusant à tournoyer et à voir si lorsque l'on me secouait je fesait des bulles...
Je n'arrivais pas à croire que des Enfants des Arbres étaient capable de telles ingominies. Pour être parfaitement honnête, la majorité des Hommes Sauvages que j'avait vu était originaire de mon village, mais ce n'était pas une raison pour qu'il y ait une telle différence... Et si.... Si eux aussi c'était battut et avait masacré ainsi ?
Je chassais cette idée de ma tête, mais alors la scène de l'éclair et les paroles d'Athéna venait combler le bref interstice...
Par les mains d'un Homme Sauvage... Sauvage dans quel sens !
Alors que j'osbervait le paysage près d'Athéna, je vit l'air au loin sembler devenir flou...
Et brusqquement, après un éclair avueglant, une Olympienne et un grand chevalier en armure apparurent. Je reconnaissait les chevlaiers comme étant de ceux qui avaitpermit de repousser les assaut des Hommes Sauvages, et l'Olympienne semblat être...
Je courais vers elle, alors que quelques Olympiens s'était réunis déjà... je voulais savoir si c'était une illusion, un facétie de mon esprit ou je ne sais quoi d'autre. Finalement j'arrivais près de l'olympienne et, haletant, lui demandat :

" Orphée... est-ce toi ? Je, je... te croyais... morte ! "

Décidément, tout n'est pas tout vert dans ce monde étrange, mais tout n'est pas tout violet non plus.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

/ HRP : J'ai loupé un jour dsl si jamais j'ai quelques hypotétiques lecteurs. ^^ Dark S., Azash ne semble pas regarder sa bal ou alors il me boude. ^^ /

Odyssée du troubadour * Jour 9 * Position : X=-2 Y=0 à Lardanium

Orphée, selon ses dires, avait donc réussit à traversé le Stix, le légendaire fleuve de l'enfer, et l'humain chevalier des journées passé, Midnightknight, l'avait armené en Lardanium grace à quelque puissante magie...
Le temps semblait toujours au beau fixe ici, l'herbe était verte, le ciel bleu... Déja, le tableau presque paradisiaque était gaché par ce qui semblait être un Olympien hurlant qu'il voulait la mort de Zeus semblait-il. Déjà, d'autre Olympines s'atroupait, et une joute se formait.

Les arbres étaient fleuris, et l'on se croirait dans un tableau de primtemps, avec du ciel bleu, de l'herbe verte...
Et du sang rouge.

Et bien, que puis-je faire ? Leur dire d'arrêter, presque " comme d'habitude " - si tant est que l'on peut être jamais habitué - me joindre au combat, creuser un trou et y enfoncer ma tête...
En tout cas la terre ne semblait pas trop dure pour mes mains nues et ça serais facile de....

Au loin, je revoyais la banque que m'avait montré Orphée, splendide édifice plein de promesse. Son architecture, bien qu'anguleuse, ne dénaturait le splendide paysage et la sérénité des lieux.
Des lieux teintés de vert, de bleu, et de rouge.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

Odyssée du troubadour * Jour 10 * Position : X=-2 Y=-1 à Lardanium

" Et psst, toi là... Tu pense pas qu'on feraitmieux de sortir ?
- Sur ! Cette muraille là... C'est du solide. Et puis j'aimerais bien me retrouver au grand air.
- Hola attention ! Y parait que c'est dangeureux là-bas !
- Ha bon ?
- Ouais. " Dehors " y a toute un tas de saleté qui s'entre tue pour rentrer, et puis la murailles, il parait que si elle est cassé, des gens sont là pour la reformer alors...
- D'accord, mais ça serais super comme exprience nouvelle, tu ne croit pas ?
- C'est vrai, mais comment faire pour avoir le temps de passer les fortification ?
- Je ne voit qu'un seule solution, faut être prêt de l'endroit où se formeras la brèche.
- A la vitesse ou on va, c'est pas évident.
- Oui, mais bon, faut y croire sinon ça ne se réaliseras jamais.
- Tout à fait. Mais.. Reggarde on accélère ! Et là-bas c'est...
- Une brèche ! Youpi on y va ! Mais, j'ai l'impression que...
- On tombe !
- HAAAAAAAAAAAAA !!!!!!! "

Je me frottait le coude, ensanglanté, en imaginant le discours qu'aurait put avoir des créatures s'il y en avait eu dans mon sang. Fort heureusement ( pour elle entre autre ) ce n'était pas le cas.
Par contre, quelqu'un avait bien fait une entrée en force dans Lardanium, et sans que j'ai le temps de réagier, m'avait attaqué. C'était le fameux Zzhaaa. Utilisant d'ancienne technique, j'esquivait sa première attaque avec perfection. Bien que cette technique d'esquive rende vulnérable par la suite, je l'utilisais, car comme je m'affichait clairement en tant que pacifiste, je ne pensais pas devoir craindre une grosse attaque. Mais j'était dansl'erreur, et par deux fois Zzhaaa me le fit soufrir.
Et surtout mon pauvre coude me semblant en feu, le soufrait.
Mais alors que zzhaaa semblait toujours profiter de mon désavantage, Orphée réussit à s'interposer, et mon Odyssée aurait très bien put mal tourné sans cette intervention salvatrice.
Finalement, le combat n'avait pratiquement pas cessé depuis la veille... Mais comme les créatures imaginaires dans mon sang, la mission que JE m'était fixé se devait d'être teinté d'un certain optimisme pour pouvoir paraître réalisable. Il fallait espéré que je ne tomberais pas de haut lorsque j'aurait atteint mon but.
Derrière Lancelune ( qui semblait protéger Orphée ) et Orphée ( qui semblait me protéger ) je demandait à Zzhaaa la raison de cette attaque, et s'il ne valait pas que la Päix regne entre les être à l'intérrieur des enceintes de Lardanium, mais il ne sembla pas du même avis que moi. La discution coupas court, et je dut me reculer si je ne voulais être totalement parti prenant de l'escarmouche.

Songeant que mon Odyssée stagnait, je ne voulait malgrès tout partir puisque je ne voulais pas abandonné Orphée qui avait tant fait pour moi, et j'avais surtout là une occasion unique de rencontrer quelques divinités dont certaine pourait bien être amicales... Et je savais que je devrais patienter par moment au cours de mon voyage, même si je n'avais pas penser que cela se passerais dès mon arrivée à Lardanium.

Ce soir, je ferais un feu de camp, prendrais ma guitare, et adoucierais les moeurs...



Par Google  

hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

/ HRP : Je rappelle aux éventuels intéressés tel que - pour l'instant - Orphée et Lancelune ils peuvent intervenir ici pour faire du RP. Sinon j'aimerais savoir : est-ce que je suis encore lu, car je me sent drôlement seul depuois une semaine... :/ Bon, j'y retourne. ^^ /

Odyssée du troubadour * Jour 11 * Position : X=0 Y=1 à Lardanium

Les combats avaient cessé durant la nuit, je ne sut si Zzhaaa avait été tué ou s'il avait fuit, mais l'horizon semblait dégagé et plein de promesses.

Lancelune, Orphée et moi discutions autour d'un feu de camp de ma composition ( brindilles diverses choisie pour leur résistance tant que pour leur disponibilité, autre branchages de bois sec, pierres plates quoique trop rare piur être plus efficaces qu'esthétiques, et un brin de magie pour s'assurer que le feu tiendrat longtemps sans pour autant être dangeureux ) de différents sujet allant de la beauté quasi enchanteresse des lieux, à la guerre et l'attaque si récente des Homme Sauvages dans Lardanium.
A un moment, Orphée se tournat vers Lancelune et moi et demandat à ce dernier s'il venait avec nous au mont Olympe. Sans hésiter, il lui répondit une phrase équivalente à " J'irais jusque dans les eaux du Stix avec toi. " mais en encore plus stylé... Je songeais alors que je pourrais surement faire une chansons la dessus.
Nos trois regards se croisèrent un moment, puis se détournèrent vers la montagne, imposante, au sommet de laquelle siègait les dieux.

Ces dieux, j'avait entendu des personnes hurlés qu'il sn'éxistait pas dans ma forêt, ou plus récemment que c'était des faux, mais j'avais par moi-même put en voir un. Ou plutôt une, puisqu'il s'agissait de la Déesse de la bataille et de la sagesse, la divinité au Hibou, Athéna.
Qui, alors, se battaient contre des Enfants des Arbres.
Ecrasant une larme, j'essayait de me concentrer sur l'Olympe. Je ne savais pas vraiment ce qui m'attendait là-bas. Allions-nous simplement nous rendre à son pied et lancer une prière ? Devrions-nous gravire le mont pour acceder à la demeure des dieux ? Et si cela comportait des risques ? J'était pleinement conscient que je ne connaissais des dieux que leurs mythes, mais qu'il ne semblait pas tous animé de bonne intention. Un moment, j'allais dire à Orphée et à Lancelune de reparti, que je devais prendre seul ce risque, si risque il y avait... Mais je n'oubliais pas que c'est Orphée qui m'avait proposé son aide, qui d'ailleur semblait avoir reçus un message via ma guitare, d'une façon que je n'arrivais pas encore à bien m'expliquer... Et je savais que j'était en présence de personne honnête et que mon Odyssée, de part sa nature, n'était réalisable que si j'acceptait l'aide des autres, donc...

La nuit tombée, la tête dans la lune et les yeux pleins d'étoiles, je fesait profiter aux deux Olympiens de mes modestes talents de troubadour. Certes mon répertoir Olympien était limité, mais s'ils avait détesté ma musique, ils ne le laissèrent paraitre nullement. Et plus je jouait, plus j'était transporté par la mélodie des cordes gratés et pincées de ma guitare, comme si j'était envouté par quelques sybilines sirènes...

Cette nuit, je dormit en toute confiance, et mon optimisme refesant totalement surface, j'était dès lors sur que j'arriverais à la destination que je m'était fixée.




Orphée était allongée, regardant les étoiles formant une couronne autour de l'Olympe. Lardanium était redevenue paisible.

Ainsi que je l'ai toujours aimée...Cette ville où j'ai vécu, grandi, appris. Et maintenant tué.

Tokakeke, j'avais certes déjà tué certains qui s'octroyait le droit de fouler ce sol, ces terres au pied des Dieux. Ceux qui s'abrogent le droit de venir. Et pourtant nous ne refusons que rarement l'entrée de cette cité aux visiteurs, quelle que soit leur race.

Mais j'ai du tuer l'un des miens. Cela m'a été douloureux, même s'il a été assez aimable pour me fournir bien des motifs pour l'occir. Mais il s'en est pris à toi, il s'en est pris à mon compagnon Lancelune.

Un bras tendu vers un tas de bois, un poing qui se resserre sur une bûche, le feu qui crépite lorsque le bois sec tombe dans les braises chaudes...

Demain nous partirons pour l'Olympe. La montée de ses flancs n'est pas choses aisée. Le chemin est pénible. Il nous faudra une journée pour arriver jusqu'aux nuages qui coiffent ce mont à l'aube, à traverser les roches, les arbres, les surplombs.

Quand nous seront de l'autre côté, là où Olympia cède au domaine des Dieux, nous pourront alors les vénérer, les prier de nous honorer de leur présence, de leur savoir, de leur bienveillance.

Puissent les muses nous guider jusqu'à notre but, et nous accueillir de leur grâce.

[HRP] Il y a au moins moi qui lit, même si en ce moment je n'ai pas des masses de temps pour répondre.



elfe Par Ascal Samor  le 01/01/1970 à 01:00

HRP Lahft ne participe certe pas a l'aventure. Mais moi j'aprécie grandement ce que tu ecris et je te lire tout les jours. Et je pense que je dois pas etre la seule /HRP



olymp Par Lancelune  le 01/01/1970 à 01:00

hrp: Je lis aussi mais pas le temps répondre



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

/ HRP : Lancelune, Lahft et Orphée merci. Et Lahft tu sais ce qu'on à dit sur un précédent thread, viendras un jour ou nous finirons par nous rencontrer... =) /

Odyssée du troubadour * Jour 12 * Position : X=0 Y=1 à Lardanium

" Oaaaaaaaaahh ( Baillement joliment interprété par votre serviteur ) , le soleil est bien matinal aujourd'hui... "

Et voilà, ça y était. Je le sentait, cette instant qu'avait du ressentir tant d'aventurier avant moi. Ce moment fugace qui vous fait croire un instant que vous êtes un héros de quelque voyage épique... Cette instant doit surement prendre différente forme pour chacun, mais pour moi c'était ça : se réveiller paisiblement, près de quelques amis, un tas de cendre du feu de la veille non loin, dans un décord quasi paradisiaque, avec dèrrière soit des épreuves, et devant soit une nouvelle péripétie...

" L'Olympe " murmurais-je.

Orphée et Lancelune se préparais déjà. Ces Olympiens devait être très fort, pour pouvoir tenter l'assencion d'un tel pic, d'un tel roc, d'un tel cap... Que dis-je d'un tel cap... D'une telle Péninsule qu'est le Mont Olympe en armure, alors que je n'était moi-même pas sure d'y arriver avec mes modestes habits de troubadour-voyageur...

" Tokakeke, Lancelune, prêts pour partir à l'aventure ? "

Lancelune hocha de la tête et, après avoir vérifié que ma guiatre était bien accordé, je fit de même. Nous nous tournâmes alors tous les trois vers l'imposante stature de la montagne, et commencèrent à nous diriger vers elle. Nous arriverons probablement au début du chemin escarpé dans le courant de l'après-midi, nous monteront le camps, et demain, commenceront la monté proprement dite.

Finalement, j'ai escaladé bon nombre d'arbres, un gros rocher ne devrais pas me résister...?
Il faudras tout de même que j'essaye de trouver un arbre de la taille de l'Olympe pour vérifier.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

Odyssée du troubadour * Jour 13 * Position : Mont Olympe ( 1 jour de marche )

" Tu voit, je suis d'avis que la théorie actuelle selon laquelle la convergence inérente à la pensée conformiste n'est qu'une parabole à la fonction primaire de la profession qui est de sublimer et non pas de coriger une quelconque vision pseudo-utopique des problèmes sous-jacent à la vie telle que, entre autre, la mort. C'est mon avis, et je le partage, mais je pense néanmoins que...
- Tu sais Tokakeke, ta musique n'est pas mauvaise, mais tu aborde des thèmes vraiment pointus... ... Je voudrais te poser un question un peu... indiscrète si cela ne te dérange pas.
- Vas-y, Lancelune.
- Tu as une femme dans ta vie ?
- Pardon ??
- Heu je veut dire : comment fait-tu pour te tenir aussi bien informé de toutes ces " tendances actulles " si tun'a que celle de ta forêt natale ? Car je crois avoir compris que tu n'en est sortit que depuis peu...
- Ha ! Et bien en fait, j'ai un grand secret. Je suis troubadour, et ça me permet de raconter de très belle histoire, alors autant en profiter pour imaginer les courants musicaux. "

Lancelune me regardat alors d'un oeuil percant et rétorquat :

" Ne devrais-tu pas te demander parfois le Pourquoi plutôt que le Comment ? "

Je n'eu pas le temps de répondre malgrès ce que j'aurais appeller si j'avais su ce que c'était ma chaudière à pensées tournait à plein régime, pour deux bonnes raisons.
La première, c'est qu'elle n'allais malgrès tout pas assez vite et cela me donna matière à réflechir.
L



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

Odyssée du troubadour * Jour 13 * Position : Mont Olympe ( 1 jour de marche )

" Tu voit, je suis d'avis que la théorie actuelle selon laquelle la convergence inérente à la pensée conformiste n'est qu'une parabole à la fonction primaire de la profession qui est de sublimer et non pas de coriger une quelconque vision pseudo-utopique des problèmes sous-jacent à la vie telle que, entre autre, la mort. C'est mon avis, et je le partage, mais je pense néanmoins que...
- Tu sais Tokakeke, ta musique n'est pas mauvaise, mais tu aborde des thèmes vraiment pointus... ... Je voudrais te poser un question un peu... indiscrète si cela ne te dérange pas.
- Vas-y, Lancelune.
- Tu as une femme dans ta vie ?
- Pardon ??
- Heu je veut dire : comment fait-tu pour te tenir aussi bien informé de toutes ces " tendances actulles " si tun'a que celle de ta forêt natale ? Car je crois avoir compris que tu n'en est sortit que depuis peu...
- Ha ! Et bien en fait, j'ai un grand secret. Je suis troubadour, et ça me permet de raconter de très belle histoire, alors autant en profiter pour imaginer les courants musicaux. "

Lancelune me regardat alors d'un oeuil percant et rétorquat :

" Ne devrais-tu pas te demander parfois le Pourquoi plutôt que le Comment ? "

Je n'eu pas le temps de répondre malgrès ce que j'aurais appeller si j'avais su ce que c'était ma chaudière à pensées tournait à plein régime, pour trois bonnes raisons.
La première, c'est qu'elle n'allais malgrès tout pas assez vite et cela me donna matière à réflechir.
La deuxième, tout aussi importante, fut qu'Orphée nous interpellas alors pour nous montrer un boyau de terre que nous allions devoir franchir en espérant arriver de l'autre côté avant la nuit.
La troisième, et finalement la plus massivement efficace, fut que mes dents eurent l'idée d'un génie plus que relatif de tester la théorie de la gravitation, histoire de vérifier si elle n'avait pas été abolie au cours de la nuit précédente.

" Tokakeke ça va ? " demandat alors Orphée.

Je me relevas, la bouche en sang, mais réussit à baffouiller :

" Fa va, Fa va. V'ais vufte trébufé fur une rafine. Enfin, pas une rafine l'animal à poil laineux / Fast HRP : A poils les noeuds ! A poils les noeuds ! / vivant dans les grande prairies, mais la rafine, le petit bout d'arbre dépaffant effrontement par fertaint endroit inopiné de la route. "

Pendant quelques se conde, les deux Olympiens rèstèrent là, à me fixer, puis Lancelune me tendit un mouchoir, et Orphée s'aprocha pour me dire :

" Il n'y a pas de raf... de racine. "

Essuyant le sang de mes lèvres, je me relevas et regardat au sol, pour constater, stupéfait, que la route était parfaitement dégagé, et, étonamment, semblait bien entretenue.

" Je... J'aurais pourtant juré que...
- Tu es fatigué, tu veut qu'on fasse une pose ?
- Non, ça va mais je ne comprend pas... Enfin, j'ai surement du confondre. Je suis désolé, d'habitude j'ai un excellent sens de l'équilibre mais là... Bref, je vais bien, repatons. "

Tout cela me semblait étrange. Et si ce phénomène étai le même que celui qui me fit tomber lors de mon entrée en Lardanium ? Ou avais-je tout simplement un trouble provoqué par ma récente blessure et qui...
Hum. Des troubles à cause de ma blessure au coude.

Nous arrivâmes à l'entrée du tunnel plus tard que nous 'laurions cru, et décidâmes alors de camper à l'entrée. Le soir, nous tentâmes d'aproximer la durée de notre voyage nous menant jusqu'au sommet de la montagne.
Une durée clair, concise et précise fut dégagé au bout de plusieurs heures de discussion : un bon bout de temps.



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

/ HRP : Bug dsl mon truc à été envoyé à la moitié du copiage :-X /



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

Odyssée du troubadour * Jour 14 * Position : Mont Olympe ( 2 jour de marche )

Après avoir traversé le tunnel - où nous ne rencontrâmes point de miriades de chauves-souris vampires ni de nid d'araignée géante, ni même de lapin blanc pour nous empêcher de passer - nous continuâmes le long d'un chemin escarpé, où certain passage était si pentus qu'il fallait quasiment s'aider de ses mains. J'était réellement stupéfait de voir avec quel aisance les deux Olympiens, toujours en armure, gravissait le Mont.
Néanmois, nous progressâmes malgrès tout assez vite, et j'avais l'impression que le sommet embués de nuages de l'Olympe n'était pas si loin... Peut-être était-ce du à l'euphorie des dèrniers jours, ou tout simplement au fait que c'était la première fois que j'arpentait les chemins d'une montagne, mais toujours est-il que j'avais un sentiment de plénitude, qui s'accentuait plus nous progressions.
Un coup d'oeuil jetté vers Orphée et Lancelune, et eux aussi ne semblait pas ressentir la fatigue. Peut-être y avait-il là quelque influence divine. D'ailleur, Lancelune avait bien demander au dieux de nous protéger avant le début de la monté.
C'était vraiment bizare. L'effort me semblais a la fois plus dure et plus facile; plus dure car mon corps commençait à se rendre compte que marcher constamment sur des pentes à plus de 30 degrès n'était pas chose facile, mais plus facile parcque l'esprit semblait lui plus fort que jamais. Si c'était autre chose qu'un effet de mon imagination et que les dieux voulait vraiment nous aider à monter, alors il accepterait au moins de m'écouter.
Porté par ce sentiment de plénitude, je détacha la guitare de mon dot tel un guerrier dégaine sa grande lame, et entreprit d'entonner le chant de l'espoir, une ancienne berceuse Elfique dont l'origine était maintenant perdue dans les flots des souvenirs de la population vouée à la guerre de nos jours.

...

A l'instant ou je commença à chanter, j'eu la gorge sèche, comme si j'avais subitement un rhube.
Snirfffffffl. J'avais effectibevement un rhume.
Je ne chantais plus, je déversait de la lave par la bouche.
Orphée et Lancelune étaient terrifié à me voir ainsi.
puis ils ne k'étaient plus, mais dansait sur le rythme inaudible de mes paroles noyées dans la lave.
Ma guitare elle aussi s'était embrasée, et comme une boule de feu magique, ne semblait pas s'etteindre, mais plutpot commencer à me brûler le bras. Mes pieds eux était rulés par la lave, qui avait déjà engloutit dans la mort Orphée, Lancelune, et le Mont Olympe qui n'était plus qu'un tas de pierre fondue.
Je nageait parmis la lave, ne pouvant m'arrêter de chanter, ne pouvant lacher ma guitare-boule de feu, et je sentait mon corps bruler, fonre et se disloquer petit à petit.
Bientôt la lave atteindrais le coeur.
Et puis je l'entendit me dire :

...

" NOOOOOOOOOOOOOOOOON !
- Même si tu ne veut pas on va te soigner. "

J'avais devant moi la figure de quelqu'un qui voulait être souriante pour raussrer, mais qui venait juste de se faire une frayeur.
Maintenant, j'avais devant moi un mouchoir et je sentait une très vive douleur au front. Orphée reprit :

" Tu sais ce qui s'est passé ?
- Et bien, je... Heu... On se baladais, je me sentait bien alors j'ai voulus pousser une petite chanson, j'ai alors pris ma guiatre, et j'ai commencer à déverser des flots de lave par la bouche, et puis tout était en feu, je vous voyais mourir, l'Olympe aussi fondait, tout mon corps brulait et puis... "

Orphée me mit l'index sur la bouche. Je sentait des lamres de douleur s'échapper de mes yeux, de douleur tant physique que morale. J'était exténué.
C'est Lancelune qui prit la parole pour dire :

" Et bien tu a effectivement pris ta guitare. C'est une chance que je regardais vers toi à ce moment sinon je n'aurais pas pu tout voir. Au moment ou tu à gratter des tes doigts les cordes, tu est tombé en avant, comme si ta cheville se prenait dans quelque chose. Hors le chemin est dégagé. Enfin bref, tu est tombé au sol dans un bruit mat. Et ne bougeas plus. Nous sommes donc venus voir ce que tu avait, mais au moment de te toucher, tu à était pris de violente convulsion. Tu n'est pas tombé sur les dent, mais sur le frnt cette foi-ci - comme tu doit surement t'en rendre compte - Enfin bref, on as du quasiment te maitriser de force, et alors qu'Orphée commençait à éponger le sang de ton front tu à ouvert les yeux. Mais tu nous a fait une sacrée frousse, tu sais. "

Alors, j'avais déliré. D'habitude j'aurais chercher à analyser, à tenter de comprendre, mais sur l'instant j'avais l'impression qu'un phantomatique boureau s'amusais à passer et à repasser une barre de fer rouge sur le haut de mont front, ce qui diminuait grandement mon taux de réflexion actif.
Bref, j'était crevé, et la nuit tombait. Orphée me fit une sorte de bandeau avec un morceau de tissus, me l'apposa sur le front et le nouat dèrrière ma tête.

" Demain soir, nous seront au sommet. D'ici là repose-toi Tokakeke, et reprend des forces, car il va te falloir désormais parler avec des Dieux, et ce n'est pas une minde affaire. "

Et, comme on dit, je fut tombas dans les brasd'Orphée...




Tokakeke dormai du sommeil des justes. La nuit était claire, les étoiles brillantes, l'air frais et agréable. Cela ne l'empêchait pas de continuer à délirer. Il me confondait avec Morphée, le dieu des rêves et des songes !

Le choc l'avait peut-être plus affecté que je ne le pensais. Je connaissais mal ce peuple, caché par les Dieux. Ils semblaient si frêles, si fragiles, mais si forts, si volontaires...

Lancelune était face à moi, par delà le feu qui nous éclairait dans cette nuit sans Lune ; Tokakeke dormait, appuyé sur mon flanc. Ma mère Terpischore m'avait enseigné comment la musique et la danse permettait de soigner l'esprit, et le corps qu'il gouvernait.

Je pris ma harpe, et entonnait un chant d'appaisement. Les mélodies d'Apollon m'émerveillaient toujours. Ici, j'avais l'impression qu'elles prenaient une ampleur toute particulière. Était-ce la proximité du domaine des Dieux ? Était-ce cette nuit qui donnait leur douceur aux notes, où plus prosaïquement le calme qui régnait dans cet endroit isolé ? Lancelune chantait avec moi, mêlant sa voix moins aiguë à la mienne.

Bientôt cette mélopée agissait, et nous nous sentions alors apaisés, sereins.

La gorge que nous avions traversé nous avait permis d'éviter une difficile montée particulièrement escarpée. Mais il nous restait encore du chemin. Une forêt nous séparait de la dernière étape, la cité des Dieux.

À l'aube, nous nous préparâmes à partir. Tokakeke semblait se remettre difficilement de ses émotions. Lancelune et moi levions le camp, nettoyions les traces de notre bivouac pour ne pas offenser les maîtres de l'Olympe.

L'épaisse forêt qui s'étendait devant nous et les nuages accrochés à l'Olympe cachait le domaine des Dieux aux yeux des mortels. Toujours aussi motivés, nous repartîmes bientôt pour pénétrer entre les arbres. L'épai feuillage ne laissait passer que peu de la douce lumière matinale. L'humus frais sous nous pieds, les large troncs vigoureux semblait donner à Tokakeke de leur force ; dans ces lieux il semblait reprendre de sa vitalité.

Si tout allait bien, ce soir nous seront devant le domaine des Dieux, et commenceront notre prière.



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