Legends of Olympia : La Litanie du Passé - Fouilles des ruines de Tyrdras.
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Fouilles des ruines de Tyrdras.
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Dernière réponse le 13/05/2006 à 11:21

geant Par Deflagrator  le 05/05/2006 à 11:11


Le départ était sonné. Après avoir pris connaissance de la position des ruines de Tyrdras, Deflagrator s’empressa de prévenir ses congénères afin de monter une expédition vers ces ruines. A peine une semaine après, les Rocs étaient prêt à partir. Le voyage fut sans encombre, quelque géants étaient à la traîne, mais sa ne changeait pas d’habitude.

Moins d’une saison plus tard, les premiers géants arrivaient aux niveaux du marais ou se trouvait les ruines. Olympiens et elfes se battaient déjà, et une bonne partie de l’armée Naine attaquaient les Elfes et bloquaient les renforts qui arrivaient de Na’Helli. Les Géants s’allièrent comme prévue aux Nains, ces derniers alliés aussi aux Rebelles. Une coalition Géantes, Naines et rebelles s’éleva contre les Olympiens et les Elfes. Peu de temps plus tard, les Olympiens fuyait vers le Nord et les elfes se replier vers leurs cité. Ce qui laissait plus de place aux géants et aux Nains pour se frayer un chemin vers les ruines.

C’est alors que les Hommes sauvages firent leurs apparition et commençait à être de plus en plus nombreux. Les Nains et les géants commencèrent leurs attaques sur ces derniers, pendant que d’autres, dont Deflagrator, jetaient un œil aux ruines, cherchant visuellement des objets ou des indices sur ces ruines ou ses habitants. Les nains avaient été chargés de protéger les géants pendant qu’ils faisaient ces recherches.

Deflagrator après avoir faits une reconnaissance des lieux, regroupa une bonne partie des Géants, Rocs et Sourceurs, pour organiser les fouilles de ces ruines. Deux parties visibles, découvertes par les fortes pluies des saisons précédentes était visible aux yeux de tous. C’était donc dans ces deux endroits que les premières fouilles allaient commencer. Par la suite, une recherche plus approfondie pourront être menées autour de ces ruines pour en découvrir peut être de nouvelles. Defagrator, suite à sa reconnaissance, établis une carte de ces ruines et la répartis en petites parcelles de quelques mètres carrés afin de faire des fouilles organisées, et de n’échapper à rien.

Il répartis les géants en deux groupes pour ces fouilles. Leurs principal but serait de trouver une possible entrée souterraine et la recherche de joyaux cachés. La tache serait longue, difficile et pas très adaptés à la carrure des géants, mais ils leurs fallait absolument accomplir cette tache pour pouvoir progresser et en savoir plus sur ces ruines, son histoire et ses habitants. Tout indice, qu’il soit minuscule ou grand à son importance, et leurs permettra d’avancer dans leurs recherches. Les Sourceurs ont fournir pioches, pelles, et tout autres matériels de déblais pour ces fouilles, ainsi que des outils pour des fouilles plus minutieuses.

Un camp avait été dressé non loin de chaque ruine et le matériel y avait été entreposé. Les équipes avaient été constitués et chacun était à son poste, prêt à recevoir sa mission. Des binômes furent constitués ayant chacun une parcelle de ruine à inspecter. Deflagrator fit équipe avec Deathscythe, et forma les autres binômes. Chacun se vit attribuer une parcelle des ruines. Deflagrator et Deathscythe devaient fouiller la parcelle numéro 1. Il pris donc un seau, une tamise, des pioches, pelles, et une palette de petits outils, des pinceaux, petites brosses, etc. et tout deux se rendirent sur leur parcelles et commencèrent les fouilles.

Tous les autres géants suivirent le mouvement et les fouilles commencèrent rapidement en espérant que celle-ci nous délivre les secrets des ruines de Tyrdras…



[On t'♥ Boss]
[Maître du Feu]
Chef des Armées de Zagnadar

Tout ce que tu vois doit tomber pour se relever. Même si c’est toi qui dois le pousser pour qu’il voie qu'il est à terre
Lorsqu’on doit tuer un homme, sa ne coûte rien d'être poli

geant Par Samir  le 05/05/2006 à 19:59

Samir etait au ruine depuis belle lurette déjà, il essyé tous ce temps d'imposé au hommes et femmes sauvage qui etaient sur place de s'en aller volontairement sans qu'il n'y ai besoin d'effusion de sang.

Mais les sauvages n'ecouté rien et continué leurs rituels bisare sur une partie des ruines visible. Les ordres etaient les ordres "seul nains et geants peuvent etre sur place!!!". Les intrus on donc etait poussé en dehors des ruines a coup d'espadon et de bonne volonté. Les ruines sont enfin à nous.

Samir qui avais joué son role de diplomate n'avais pas vue que ses frères bossaient déjà, ses frères d'arme lui firent comprendre :

"bon ta fini de t'amuser avec les tous mous"
"Samir stop tes baragouinage et passe au acte"
"botte leurs les fesses et vient nous donner un coup de pouce ta trop parlé"
...

Le vieu geant fini par prendre une pioche et à frappé le sol à l'emplacement que Def lui avais indiqué pour en extirper ses secrets, ses muscle se bandait et se detendait avec velocité chaque coup fesait voler un amas de terre humide, un rocher, un corp d'enemis qui n'avais pas eu le tend de fuir ...

les fouilles debuté pour les géants



[on t'♥ Boss]

Samir
[Gardien élementaire -=FEU=-]
Rocs de Zagnadar
La ou la terre tremble, un geant n'est jamais loin !

geant Par DakTirak - Boulet de Quatar  le 06/05/2006 à 00:27

DakTirak était un géant plus très jeunes, il faisait maintenant partis des Rocs depuis plusieurs saisons. Il Savait ce qu'il fallait et ce qu'il ne fallait pas faire pour plaire au boss.

Cette fois ci il avait préféré ne pas l'écouter et traînait sur Olympia en retard par rapport aux autres, durant son voyage il avait appris à connaître un autre Rocs du nom de Hulk. Il avait pourtant déjà voyagé avec lui mais ne l’aimait pas trop. En effet les souvenirs qu’il avait de lui était d’un géant costaud sans discussion qui ne pensait qu’à une chose tuer des étrangers … Cette méthode peu orthodoxe lui semblait bien trop brutale .

Cela faisait déjà plusieurs jours qu’ils marchaient l’un à côté de l’autre, préférant marcher plus lentement que les autres ils avaient été fortement distancé par le groupe géant … et c’est là qu’une amitié s’est lié.

En effet sur le trajet, ils virent passer à côté d’eux un puis deux et enfin un groupe de quatre elfes … cachés derrière un arbuste DakTirak avait préféré se cacher plutôt que de tenter le diable, tout à coup il vit Hulk sortir du bosquet en courant vers les 2 derniers elfes présents non loin d’eux…

Jamais il ne l’avais vu au combat … cela l’a donc énormément surpris de voir autant de rage sortir rien que par l’expression de son regard. Son arme en main il frappa sans chercher à comprendre un des deux elfes. Ceux ci n’avaient rien demandé, je ne comprenais pas pourquoi on devrait les tuer puis les paroles d’un géant lui revinrent en tête « vous devrez ensemble vous protéger afin de ramener les richesse de cette cité » … au début cela ne voulait rien dire pour lui mais en voyant cette image du guerrier il se rendit compte que cette bataille contre les elfes pourrait peut être avoir un incident majeur pour Zagnadar …

Il sortit donc à son tour du bosquet, dégaina en quelques secondes son épée et se mis à frapper un des elfes qui était déjà fortement blessé, ce coup d’épée fut le dernier de sa vie … DakTirak venait de tuer le premier elfe de sa vie …

Etait ce le déclique.. ? il ne savait pas pourtant ce combat était pour lui la découverte d’une nouvelle sensation : la rage de combattre.

Il se rappelait comment Hulk lui parlait des combats gagnés … le plaisir que cela lui procurait. C’était maintenant son tour, marchant sur le corps de son adversaire, DakTirak cria d’une manière peu banale, c’était même la première fois que Hulk l’entendait crié !!

Ce dernier lui, envahit par cette même sensation frappa à son tour à mort le deuxième elfe …

Ils étaient donc tous les deux, du sang plein les mains entrain de jubiler à la gloire de Zagnadar … ils se disaient que cette petite victoire était un petit pas vers la fortune d’Héliké.

Tout deux l’un à coté de l’autre comme deux combattants liés par cette soif de bataille …

Ils marchèrent ainsi, collé l’un derrière l’autre pendant fort longtemps, eux même ne peuvent pas le mesurer. Pendant ce trajet ils étaient arriver à un état second.

D’autres géants les avaient rejoint mais ils n’y prêtaient guerre attention. Ils ne voulaient qu’une chose : avancer. Peut être avaient ils seulement envie de se battre ou envie de découvrir un mystère. Le trajet avait été long, les deux géants étaient exténué, avec toujours du sang sur les mains ce qui les rendaient encore plus féroce que d’habitude. On pouvait encore sentir l’odeur de la mort sur leurs armes … C’était plutôt effrayant même pour les géants autours.

Un jour des éclaireurs de Zagnadar vinrent en leur direction … ceux ci étaient plutôt heureux de nous voir. Ils nous apportaient un message provenant de Deflagrator, Héliké était débarrassé de tous les êtres susceptibles de nous poser problème. Nous n’avions plus rien à craindre et on nous ordonna de se diriger vers les ruines.

DakTirak ne semblait pas avoir suivit cette discussion et continua son chemin seul … Hulk étant partis d’un côté DakTirak de l’autre … ce dernier avait cru sentir l’odeur d’un elfe … il marcha vers le Nord pendant deux jours sans rien voir … il descendit alors vers le Sud Ouest sans vraiment savoir ce qu’il devait faire ou voir .

Il vit alors un marais … cela lui permit de prendre un bain … le premier depuis plusieurs semaines, il pu alors enlever le sang qui entachait ses mains, ce même sang qui pour lui faisait parti de lui. Se laver avait été pour lui comme se remettre en cause car sa vie avait été guidé ces dernières semaines par cette soif de vaincre.

Il mit près de deux heures à se laver entièrement… on aurait dit qu’il regrettait ses actes et se rappela les paroles de son ancien Mentor : il ne faut jamais reculer et ne pas regretter, apprend de tes erreurs et tu seras bien plus fort.

Il décida de continuer son chemin, traversa ce morceau d’eau, qui ne ressemblait ni à une rivière, ni à un lac, on aurait dit une marre de boue tellement il était difficile de se déplacer à l’intérieur. Une fois traversé il vit tous les géants qui étaient à l’œuvre. Tous avec des pioches ou des épées à la main.
Ils creusaient, regardaient, miroitaient, recollaient des morceaux de pierre, grattaient … jamais il n’avait vu autant de géants assis par terre entrain de scruter le sol.

Il se dirigea alors vers un géant et lui demanda : « c’est quoi ça ? »

Surpris le géant lui répondit gentiment que « ça » représentait les ruines d’Héliké … ça à quoi DakTirak n’arrivait plus à oublier depuis quelques jours. Le géant lui tendit une pelle … Surpris DakTirak l’a pris et commença à creuser …

Creuser n’était semble t il pas aussi palpitant que de tuer quelqu’un mais cela en valait la chandelle. Tout en creusant il s’imaginait trouver un trésor ou percer un secret d’Olympia ! La journée commençai à peine, le soleil était au zénith mais rien ne pouvait entacher la ferveur … De plus comme il est incroyable de voir tout un peuple se démener pour un trésor cacher … Cela est bien plus motivant que de récolter de simples ressources. Aujourd’hui, alors qu’il en est encore temps, nous devons tous nous unifier pour découvrir ce mystère.

Quiconque passera là n’aura qu’une envie aider ce peuple tellement l’animosité est importante, il est rare d’entendre des géants chantés .... cependant l’ambiance est festive … les ruines étaient à eux.



[On t'♥ boss]

Non Inultus Premor
[Membre des Rocs]
[Ambassadeur De Zag auprès Humain]

geant Par Methos Endhor  le 06/05/2006 à 01:08

Methos était à bout de force , il avait fait le chemin avec tout ses frères sans faire aucune halte.Les quelques vivres emmenées précipitemment avec lui ne furent pas long feu et il mangeait depuis plusieurs jours des racines de mandragore , fades et acides.Dans un combat contre une troupe d'Olympien , Zeus le Dieu intervint dans la bataille et Methos reçu même un éclair qui le sonna quelques jour.Les combats face a une poignée d'elfs tentant de résister à la vague de nains et de géants n'arrangeaient rien...

Lui aussi , qui vennait de perdre son frère tombé vaillament au combat contre quelques olympiens ,n'avait plus le moral , surtout quand il vut l'immense marais à traverser pour arriver à de vulguaire ruines.

Les averses de pluies incésentes avaient fait monter le niveau du marais et le groupe de géant avec l'alliance naine se dirigeait maintenant vers les ruines avec beaucoup de mal , faisant de grand mouvements pour faire avancer tant bien que mal leur corp dans cette innomable boue.
La pluie s'était arrêtée depuis plusieurs jours maintenant et le groupe marchait la tête basse mais content d'être enfin seul sur la route menant aux ruines de Tyrdras.Il pressait le pas si bien qu'ils se retrouvèrent face aux ruines !

Enfin , la récompense qu'il cherchait était là , devant leur yeux ébahit, mais ils n'étaient pas si seul que çà, les petits poilues dont on entend jamais parler mais qui sont toujours là où il faut étaient en train d'éxaminer en vain des sortes d'obélisques jaillisant du sol dont les gravures rincés par un saison de pluie apparaissait sous les rayons du soleil.

Certains qui s'accrochaient désesperement aux ruines furent abattus et d'autres ayant la sagesse de partie laissèrent place aux recherches.
Par où commencer? Si cela se trouve ces hommes sauvages cherchaient depuis lontemps des réponses sans rien trouver.
Mais peut importe, même si personne ne criait sa joie , on sentait une vive émotion au sein de l'alliance.
Bien vite chaqu'un s'entourant de ses amis observait les inscriptions sur les pierres , d'autres notaient la disposition des ruines , d'autres enfin armer de leur pioches cherchaient un quelconque trèsor enfouit sous-terre.

Mais y a t'il vraiment quelque chose ? Les renforts ennemis ne reviendraient-ils pas à l'assaut ?

Tant de question que se posait chaque personne et où chaqu'un ésperait très fort une belle découverte...L'épuisement de la marche et des combat allait maintenant laissez place à un travail de longue alleine ...



Methos Endhor
|¤¤O( Les ROCS de Zagnadar )O¤¤|
-=|Elementaire de FEU|=-

geant Par Hardaway  le 06/05/2006 à 09:21

Oué c'est ça, amène-la roupiller ailleurs… Pfff !

Hardaway grommelait après Hadès, enfin dans le registre le plus vindicatif qu'il s'autorisait vis-à-vis du Dieu des Enfers. Alana venait de disparaître sous ses yeux. Il aurait juré avoir vu une main d'ombre se saisir de son corps frêle et l'entraîner vers les profondeurs du marais, puis sans doute bien au-delà. Il passa une main boueuse sur ses yeux, ce qui n'arrangea pas grand-chose et dut ensuite cligner des paupières plusieurs fois d'affilée.

Les autres sauvages étaient passés à l'action… Pour enfin décamper.
De leur peuple dans les environs, il n'en restait plus qu'une, une petite chose haute comme trois pommes qui s'entêtait à rester, assise en tailleur pour méditer, entre deux fragments de conversation avec Samir, un déluge de coups et de malédictions. Cela ne devait pas être aisé, d'ailleurs elle n'y survécut pas. Hardaway aimait bien la façon dont Samir gérait ses relations diplomatiques : "Moi et mon espadon on est ambassadeurs, si si j'vous jure".

Ah ! On va être un peu tranquille. J'en pouvais plus de leurs airs de flûtiau et de leurs prières en veux-tu en voilà.

Des groupes s'attaquaient déjà aux fouilles, qui de sa pioche, qui de sa pelle…
Qui de son ridicule petit pinceau… Hardaway s'esclaffa en voyant certains Géants ménager les décombres avec mille précautions, découvrant l'un après l'autre des dizaines de symboles gravés dans les fragments de roche. Il observa cette bizarrerie durant quelques battements de cœur, mais l'impatience qui couvait sans arrêt dans ses entrailles le fit une nouvelle fois maugréer.

Bon sang ces Shamans, on peut rien leur d'mander…

Il haussa les épaules, en espérant que les "maudisseurs" n'avaient rien entendu. C'est qu'il les avait vus au combat ! Et derrière la moquerie se cachait un certain respect pour ceux qui transformaient leurs ennemis en vraies chiffes molles.
Hardaway chercha quelque chose sur laquelle passer sa frustration. Il avisa une pierre énorme qui tenait en équilibre sur des restes de murs et bouchait l'accès à une petite pièce quasiment détruite.
Il se cala dessous, largement courbé, son épaule et ses mains plaquées sur la dalle visqueuse et tenta de la faire basculer.

Haaannnhhh… #gm%$hkt

Il était maintenant redressé, toujours contre la pierre qui n'avait pas bougé d'un pouce, mais les jambes enfoncées jusqu'aux genoux dans la vase.

C'est malin ça… Pas moyen d'bosser dans des conditions pareilles….

Il alla chercher un gros fagot de longues branches qu'il répartit sur le sol et tenta de nouveau. Les branches plièrent, craquèrent mais finalement un crissement de roche couvrit les autres sons. La pierre glissait sur ses appuis et finit par tomber. Sa masse fit un énorme "Splatsch" en s'écrasant sur le sol inondé et de nombreux regards convergèrent vers elle. Tout se tut quelques secondes à peine… Mais suffisamment longtemps pour laisser entendre des rires.

Huunnhh ??

Hardaway jeta un regard mauvais aux autres Géants, les dévisageant tour à tour pour savoir lequel se fichait de lui. Son regard resta sur Laria et Orphée un peu plus longtemps. Il aurait juré que c'était des gloussements de donzelles… Mais les deux femmes avaient repris leurs occupations sans l'ombre de la moindre espièglerie.

Il s'éloigna un peu, pour essayer de retrouver ces sons étranges. Et il crut entendre de nouveau. Un fredonnement ? Etait-ce son esprit qui lui donnait ce qu'il désirait ? Peut-être mais le fait est qu'il trépignait maintenant d'écouter encore cet air mélodieux, ces rires délicats qu'il imaginait sortis de gorges fines…

Il saisit une machette et partit en un assaut furieux de tout ce qui pourrait se mettre entre lui et l'assouvissement de cette ardeur qui s'emparait de lui.



Oracle de Zagnadar
On apprend souvent dans le sang, mais on apprend bien.
Imagine : Tu sais pas, tu l'ouvres pas, t'as l'air moins con.

geant Par Morgoth  le 06/05/2006 à 10:10

An 2031 du calendrier géant.

Vite, vite, je suis en retard. Il est déjà neuf heures et je ne suis toujours pas sortit de Zagnadar. Je sors de la cave vaudou, mes affaires sur l’épaule. Mon épée ? Oui je l’ai. Mon lance-pierre ? Présent. De la nourriture dans mon sac ? C’est bon. Je cours ! Ils vont partir sans moi. Quelle merveille ces bottes de sept lieux. Le vendeur ne s’est pas trompé quand il m’a dit que je ferais grâce à elles des pas de « géant ».
Il y a du monde dans les rues. De nombreux géants partent pour Héliké. Certains sont souriants, d’autres soucieux. Il y a de nombreuses femmes avec leurs enfants. Ils disent au revoir à ceux qui vont partir.

« Pardon », « désolé », enfin, j’arrive à la porte ouest. Il y a là un rassemblement important. Je reconnais nombre de mes amis. Mais où sont les Sourceurs ? Peut-être déjà partis ? Il faut que je les rattrape. Je me remets à courir. J’aperçois Balgor, le seul autre shaman du groupe. A droite, il y a des Rocs.

« Salut Balgor, comment ça va ? Prêt à partir ?
- On attend plus que toi,répond-il en souriant.
- Désolé, j’ai passé trop de temps dans les caves vaudou, à lire et à apprendre.
- Les Shamans t’ont-ils enseigné des malédictions ?
- Oui, oui c’est bon. »

Penn, un vieux géant ayant un léger embonpoint s’approche. Il est accompagné de Gourlx, une pioche sur l’épaule.

« Salut Morgoth !
- Salut Penn, salut Gourlx.
- Alors, toujours en retard ?
- Toujours.
- Tu sais qu’il y a des Rocs qui sont déjà partis ?
- J’ai appris ça en route.
- C’est rien, on va les rattraper, on est plus rapide, ajouta Gourlx.
- En fait, dis-je en m’adressant à Gourlx, t’es sûr que la pioche c’est pratique pour frapper ? »
Et il éclata de rire.
« - C’est juste pour m’entraîner. »

Un cor de chasse sonna. C’était le signal de départ. Chacun prit son paquetage et partit. On se bousculait, se marchait sur les pieds, des baffes volaient, mais on avançait. Nous restâmes ensemble. J’aperçus un peu devant un ami. Il avait l’air de galérer avec son paquetage.

Rapidement, nous, les Sourceurs, nous nous trouvâmes à l’avant des troupes. La vie au grand air nous avait entraîné aux longues randonnées. Mes bottes n’abîmaient pas mes grands pieds. Chaque soir nous établissions un campement pour dormir. Autour d’un grand feu, nous nous racontions des histoires. Nous lisions des auteurs de toutes les races. Il y avait notamment un nain plutôt connu, Tagazog.

Chaque jour, de nombreux géants s’entraînaient. Un jour, Lord Dryliek sortit son espadon. La lame faisait largement les trois mètres. Elle était difficile à maîtriser mais lorsqu’elle frappait, elle faisait mal, très mal. J’en fis les frais. Un matin, je le taquinais à propos de son arme, que je qualifiais d’immaîtrisable.

« Comment immaîtrisable !!!
- Comment est-ce que tu veux toucher un ennemi alors que le poids de ton arme t’entraîne vers l’avant.
- Tu veux vraiment voir comment je la maîtrise.
- Allez montre. »

Des géants s’approchèrent, pariant soit sur Lord Dryliek, soit sur moi. Je dégainai mon épe, lui décrocha la lame de son dos. Il l’empoigna à deux mains et me lança un sourire.

« En garde »

Il frappa une première fois dans le vide, j’avais esquivé la frappe. A moi de frapper. Il para le coup. D’un coup de pied mal placé, il me fit reculer. Je reprenais mon souffle lorsque je le vis faire tourner son espadon. La lame vint me frapper à l’épaule. Je vacillais puis je tombais. Mais il ne s’en tint pas là. Il me frappa un deuxième coup à la cuisse. Je sentis mon os trembler mais je tins bon.
Deux géants se précipitèrent pour me soigner. Le soir, je boitais et je ne pouvais me servir de mon bras droit.

Je vins voir Lord Dryliek
« Bravo, tu m’as étonné. »

Le voyage continua quasiment sans encombre. Il n’y eut que près du marais qu’on put se défouler. Il y avait là des représentants de la secte des alchimistes ténébreux. Hardaway avait beau nous avoir demandé de ne pas les frapper, il n’y avait pas eut beaucoup d’action depuis le début du voyage. L’un d’eux dormait paisiblement lorsqu’il reçut une pierre dans le ventre. Il se réveilla aussitôt mais il sentit bien vite qu’il était tout engourdi.
Pratique comme malédiction. Balgor se tenait à côté de moi et en lancer aussi. Le pauvre elfe, il était si maladroit qu’il ne pouvait plus parer aucune attaque. Certains rigolaient en voyant un ennemi si pitoyable. D’autres essayaient des frappes qu’ils avaient apprises à l’école de guerre. Puis un tout jeune cassa l’ambiance en le tuant. Gâcheur de plaisir. Il fallait continuer la route. Le soir, nous rattrapâmes Hardaway et deux autres géants. On approchait et l’Oracle essayait d’ordonner un peu les troupes. Pas facile quand celles-ci s’étendent sur une dizaine de lieux.

Nous nous séparâmes un peu du groupe. Il y avait Balgor, Abbadon, Penn, Lord Dryliek, Keldus, une géante à la force hallucinante, Gourlx, Danos et moi-même.



Apprenti grenadier, explorateur et géant avant tout

Voyageur de la plaine.

geant Par Morgoth  le 06/05/2006 à 10:16

Les Rocs s’installèrent au nord, nous, nous nous étions dirigés vers le sud. Nous marchâmes, en discutant de tout et de rien. Mais plus on n’approchait, plus on le sentait. Pas du tout à cause du stress, mais parce que le marais dégageait une odeur nauséabonde.
On ne l’apercevait pas encore, un rideau de brume le cachait. L’air était humide et il plut même quelques gouttes. Le sol changeait quelque peu. On était passé du sol herbeux et doux au sol mouillé, imbibé d’eau, où des plantes grasses poussaient. Il y avait bizarrement des légumes alors que ce n’était pas du tout l’année.

Je cueillis un petit melon sortit mon couteau de poche, une petite épée naine, et je coupai des morceaux. Je mordis à pleines dents et… je recrachais tout. Beurk, c’était vraiment pas la saison. Je bus une grosse gorgée de bière naine pour faire passer le goût. Heureusement que chacun d’entre nous avait un petit tonneau, sinon on serait mort de soif depuis longtemps. C’était Balgor qui avait le plus gros.

Nous nous approchâmes de la frontière brumeuse.

« Installons nous ici, déclara Balgor.
- C’est un bon endroit, renchérit Gourlx.
- Eh oh, où est Penn ?
- Je ne sais pas, dis-je.

On se mit à rechercher Penn lorsqu’un pigeon se posa sur mon épaule.

«Attendez, un message. »

C’était un message de Penn :

Je m’étais écarté un peu du groupe lorsque j’entendis un bruit à gauche. Je vis une ombre bouger, toute chétive. Je l’ai poursuivie. C’était un sauvage. Il n’a pas résisté longtemps, mais j’ai pris un peu de retard. Pouvez-vous allumer un feu pour que je me dirige vers vous.

Penn

« L’égoïste, s’écria Abbadon, il l’a gardé pour lui tout seul !!
- Et l’esprit d’équipe, il est où ?!
- En parlant d’esprit d’équipe, ce serait bête s’il se perdait.
- Allumons vite le feu. »

Penn arriva tard dans la soirée. Un bivouac fut installé et nous nous mîmes à dormir. Le lendemain matin, nous aperçûmes des elfes. Nous avions reçu l’ordre de ne pas les frapper. Derrière eux, des olympiens couraient. Ils n’avançaient pas vite à cause de l’eau. Ils ne seraient pas là avant le lendemain. On ne fit pas grand-chose ce jour là. On affûta les lames, on s’entraîna. Je ramassai des cailloux pour mon lance-pierre.

Nous nous endormîmes. En plein milieu de la nuit, j’entendis un cri de hibou. Plus tard, je sentis le vent se lever. Je sortis de ma tente. La brume obstruait mon regard et même l’éclat argenté de la lune avait du mal à passer. Le vent tourbillonnait. A Zagnadar, j’avais appris à reconnaître des signes donnés par mon élément. Il faisait de plus en plus froid. Je m’assis à même le sol et j’écoutai. Je bus une gorgée d’une boisson qui permettait de se mettre en transe.
Au bout de quelques instants, je communiai avec mon élément. Un danger approchait. Mais je sentais aussi qu’une onde d’espoir traversait entièrement mon corps. Je ne sais combien de temps je suis resté dans cette position, mais lorsque je rouvris les yeux, l’un des soleils se levait. La brume désépaississait. J’aperçus des formes sombres s’approchaient. Elles venaient du marécage. Des olympiens. Ils n’étaient pas nombreux. Puis, je ne sais ce qui me fit regarder de ce côté, je me tournai vers le sud. Je ne les aperçus tout d’abord pas. Ils étaient cachés par les hautes herbes et ils étaient si petits. Les silhouettes sortirent du bourbier. Nos alliés les nains. Ils étaient très nombreux et avaient l’air farouche. Ils débusquèrent un elfe qu’ils abattirent sur le champ.



Apprenti grenadier, explorateur et géant avant tout

Voyageur de la plaine.

geant Par Morgoth  le 06/05/2006 à 10:19

Le lendemain de l’arrivée des nains, nous aperçûmes des olympiens dans les marécages. Nous étions prêts pour la guerre et nous avancèrent vers leur position. Il y avait là Cleave, Dark Prince et Lame noire.
Balgor jeta sur les ennemis des malédictions. Il les toucha alors qu’il était à six lieux. Je profitais de cette chance pour attaquer Cleave. Même maudit, il réussit une parade mais ne put éviter le deuxième coup. Il aurait succombé à ses blessures s’il n’avait pas été miraculeusement soigné. Les entailles dans son flanc se résorbèrent, il retrouva ses forces. Nous nous battirent fièrement au côté des nains et de nouveau nous crûmes avoir le dessus. Mais par un effort extrême, il réussit à s’enfuir. On m’avait déjà vanté les qualités des champions mais jamais je n’aurais pu imaginer cela.
Cleave enfuit, Lame noire était tombé sous les coups de Gourlx, il restait Dark Prince. Mais l’attention de tout le monde fut détournée par un étrange phénomène. Nous vîmes la brume s’avancer rapidement. Des éclairs jaillissaient et, il apparut. Zeus, Roi du ciel. Il avait l’air beaucoup moins fort que les élémentaires mais je n’essayai pas de savoir si les légendes à propos de sa puissance étaient réelles. Il était bien plus grand qu’un géant. Ce n’est pas très courant.
Il nous regarda quelques instants puis lança des sorts de soutiens sur des olympiens très blessés. Pour les blessés graves, il les téléporta loin du champ de bataille. Nous voyions nos cibles disparaître les unes après les autres. Nous rentrâmes dans les marais. La boue montait un peu moins haut que notre taille et nous progressions lentement. Lentement mais sûrement. Les olympiens tombaient les uns après les autres.
Zeus se fâcha car ils ne lui obéissaient pas. La foudre frappa à répétition. J'étais au centre de ce déferlement mais je fus épargné.
Par un jour de beau temps, les ruines se découvrirent à ma vue. C'était là le but du voyage et non la poursuite des olympiens. Mon âme de sourceur revînt. Le sang ne m'intéressait plus, c'étaient les richesses de la citée que j'attendais.
J'avançais lentement dans le marais mais je voyais les ruines approcher. J'y serais dans deux jours. J'aperçus un peu de ciguë, mais les propriétés mortelles de cette plante ne m'intéressaient guère. Un seul objectif: les ruines de Tyrdras.
Le lendemain matin j'aperçus bon nombre de géants. Il y avait Penn, Bayo, Samir, Deflagrator…
Mais il n'y avait pas que des géants, il y avait aussi des hommes sauvages, des petits poilus qui voulaient les richesses d'Héliké. On ne prendrait pas nos richesses. Je pris mon lance-pierre et tirai sur Tarra Averrod. Une pierre qui faisait à peu près la grosseur de son poing. Elle avait beau être très fatigué, elle réussit à esquiver la première attaque. Mais je tire très vite et la deuxième attaque partit avant qu'elle ait repris son souffle. En pleine tête. Elle mourut sur le coup. Un mort. Quelques sauvages partirent, d'autres décidèrent de rester. Ils moururent. On s'organisa pour déblayer les ruines et les fouiller. Je pris ma pioche et commençai à creuser.
Les sourceurs fournirent quelques outils et tout le monde se mit à l'œuvre. C'était bien plus fatiguant de creuser accroupi que de faire la guerre. J'occupais une petite parcelle et j'observais chaque caillou pour savoir s'ils avaient une valeur marchande. Nada. Quelques uns convenaient à mon lance-pierre et c'était bien là leur seule valeur. Mais il ne fallait pas désespérer. Etant shaman, je pensais aussi découvrir des inscriptions. Il y en avait quelques unes, mais dans un langage incompréhensible.
Le soir nous fîmes des fêtes et le jour nous chantions. Il fallait creuser extraire, observer pour trouver un passage vers des trésors enfouis.



Apprenti grenadier, explorateur et géant avant tout

Voyageur de la plaine.

olymp Par Dlog  le 06/05/2006 à 13:43

Excellent la chro.!
Héliké du point de vue Géant ou "Le sens pratique dans les milieux difficiles"!
J'ai vraiment bien aimé! C'est sympa!



geant Par Deflagrator  le 07/05/2006 à 15:59

La découverte d’un passage…

Deflagrator avait commencer les fouilles avec Deathscythe, mettant des coups de pioches un peu partout pour tenter de trouver une faille, un objet… De temps en temps un crâne sortait du sol, ceux-ci ne ressemblait à aucune race existant sur Olympia, du moins Deflagrator n’en reconnaissait aucune particularité. Un crâne bombé, une petite mâchoire, sorte d’Olympien des cavernes… Mais bizarrement, aucun autre ossements fut trouvé avec ces crânes. Deathscythe les ramena au camp principal pour les faire étudier.

Pendant ce temps, Deflagrator continuait de piocher, sortant de la caillasse sans importance, et des monticules de terre était renversés. Tout à coup, "Schliiing ! ! ! !"

Vindiou, qu’est-ce c’esteux qu’sa ! ?


Def’ prit la pelle et enleva la terre, une pierre un peu brillante apparut. Des inscriptions s’y trouvaient…

Nom d’une pipe en bois, c’est quoi comme langage ça ? Du Baragouin ? Hey Death, viens donc par la ! J’aveux trouver quelq’chose ! R’garde dont ça mon gars, si c’est pas une découverte !
Aide moi à enlever toutes la terre qu’y a autour ! qu’on puisse la virer !


Aussitôt dit, aussitôt fait ! Les deux géants enlevèrent une bonne partie de la terre qui se trouvait autour, pour pouvoir enlever la pierre. Une fois finit, Deathscythe et Deflagrator se positionnèrent l’un à coté de l’autre, et essayèrent de soulever la pierre… La boue les engloutissait doucement au fur et a mesure qu’ils tentaient de soulever la pierre.

Mazette, on s’engloutit ! Allons chercher du bois ou quelque chose qui nous permettrait de pas s’faire engloutir et finir en verre de terre géant !

Ils ramenèrent quelques branches de bois assez solide et les mirent aux pieds pour diviser le poids sur le sol instable. Puis ils se remirent à soulever la pierre. Elle pesait lourds, très lourds, les gouttes de sueur coulait le long de leurs front. La pierre commençait doucement à bouger, quand une légère ouverture se créa entre le sol et la pierre, une brise en sortit… Etonné, Deathscythe et Deflagrator se regardèrent, puis dans un élan de motivation levèrent entièrement la pierre du sol et la retournèrent de l’autre coté…

L’immense pierre créa un brouhaha en frappant le sol. En dessous de cette pierre se trouvait un trou…

‘Tin, on y voit quedale la d’dans ! Death, va donc chercher l’Boss pour lui montrez not’ découverte ! Moi pendant c’temps j’vais voir si on voit pas quelques choses...

Deathscythe partit en vitesse chercher Hardaway. Deflagrator s’approcha doucement du trou, c’était sûrement une issue pour entrer dans ces ruines… Il s’approcha lentement, mesurant chacun de ses pas, arrivé au bord du trou, il pencha la tête au dessus du trou pour tenter d’apercevoir quelque chose…

Seul un son se fit entendre… Harmonieux… mélodieux… d’une finesse rarissime, Deflagrator fut surpris d’entendre un si beau chant. Tellement il était occupé à entendre ces murmures qu’il ne s’aperçut pas que le sol était entrain de craqueler sous son poids…

C’est merveilleux… … Holà oh oh ah ah oh oh sa gliiiiiissse ! !

Crack ! Le sol venait de lâcher sous le poids de Deflagrator. La chute fut vertigineuse, il glissa le long du trou oblique, le cul dans la boue, la glissade lui paraissait longue, très longue, et sa vitesse augmentait de seconde en seconde. Plus il descendait, plus les chants s’entendait de mieux en mieux. Une légère lueur apparut, montrant sûrement l’arrivée dans les ruines, la chute allait enfin s’arrêter.

Biiiing ! !

Deflagrator venait de heurter un caillou qui se trouvait au dessus de sa tête et tomba assommer… Il finit sa course dans le marais, à l’intérieur des ruines...



[On t'♥ Boss]
[Maître du Feu]
Chef des Armées de Zagnadar

Tout ce que tu vois doit tomber pour se relever. Même si c’est toi qui dois le pousser pour qu’il voie qu'il est à terre
Lorsqu’on doit tuer un homme, sa ne coûte rien d'être poli

Par Google  

geant Par Deflagrator  le 07/05/2006 à 16:00

Le réveil, la stupéfaction

La vision flou, un mal de crâne horrible, la tête qui tourne, Deflagrator venait de se réveiller… trois créatures étaient autour de lui…D’après les légendes, se serait des sirènes… Deflagrator n’en revenait pas. D’aussi belle créatures se trouvaient dans ses ruines… laides.

Leurs corps sublime, parfaitement sculpté, des formes parfaites, un visage lisse, des yeux de déesse, une chevelure doré…
Deflagrator était tombé sous le charme, leurs voix mélodieuse le faisait planer…
Il avait succombé au piège des sirènes… ces êtres vils.

Quelques minutes après Deflagrator se releva. Une sirène lui assena une frappe pour le remettre à terre… Des petites flammes scintillante apparurent alors dans ces yeux, et il se releva immédiatement, repoussant légèrement la sirène qui voulait la remettre de nouveau à terre. Il tenta de leur parler, mais elles ne répondirent pas… Gardant le silence total dans ce lieu maudit…

Il s’empara ensuite d’un objet à terre, qui ressemblait à une arme, un "bat d’Héliké" puis s’enfonça un peu dans les ruines à la recherche d’autres objet ou d’indice qui nous en dirait un peu plus sur Tyrdras…

Il envoya une missive à ses amis pour les rassurer, et dirent à quelques-uns de descendre le rejoindre pour l’aider à fouiller à l’intérieur des ruines. Mais les sirènes continuaient leurs frappes sur Deflagrator, ce qui l’affaiblissait de plus en plus…

Il attendait à présent ses amis, et continuait seul les recherches, en compagnie des sirènes qui l’attaquait encore et encore, sûrement jusqu'à ce qu’il tombe…



[On t'♥ Boss]
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Chef des Armées de Zagnadar

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geant Par Morgoth  le 07/05/2006 à 18:43

Ce matin là, j'étais très fatigué à cause du travail. On avait du dégager une colonne de pierre qui bloquait une plaque avec des inscriptions et une fresque. L'effort fourni, je m'étais endormi. Mais quelques heures plus tard, j'avais des courbatures. Pour me changer les idées, je décidais de sortir de ces marais putrides et nauséabonds.
Je mis du temps à sortir, mais quel bonheur de marcher sur de l'herbe et un sol dur. J'avais entendu une drolle de rumeur. Quelque part pas très loin de là, Vassili avait trouvé des graines bizarres. C'était un nain qui me l'avait dit.
Quoi de mieux pour me changer les idées que de chercher ces grâines. Je me mis à retourner la terre avec le bout de ma pioche. Je ne mis pas longtemps à en trouver. Des graines de violettes! Il paraît que les feuilles peuvent se fumer.

Tout à coup un pigeon se posa sur mon épaule. Je lui donnai une graine pendant ma lecture.

Les ruines d'Héliké ont montré un passage vers les profondeurs. Des géants sont déjà rentrés. On peut entendre au dessus du trou une douce mélopé. Il paraîtrait que ces chants viennent de Sirènes.

Des Sirènes! C'est grotesque, ce sont juste des êtres inventés pour les grandes histoires. Personne n'en a jamais vu.

Le problème c'est que je mettrais bien deux jours à rentrer dans la citée. Il fallait que je me dépêche.

Un second message m'avertit que les sirènes étaient plutôt méchantes même si elles étaient sublimes.

Ils auraient aussi trouvé des objets anciens.



Apprenti grenadier, explorateur et géant avant tout

Voyageur de la plaine.

geant Par Deathscythe, le Piétineur  le 07/05/2006 à 22:26

Deathscythe venait de prevenir l'Oracle et était encore avec lui quand ils reçurent le message de Deflagrator. Ni une, ni deux, le géant retourna le plus vite possible au champ de fouille qu'il venait de quitter et sauta dans l'ouverture qu'il venait de mettre à jour pour aler honorer la promesse faite à son mentor un peu plus d'un plus tôt.

Deathscythe glissa pendant d'interminables minutes. Puis, atterit dans une mare de boue. Il jugea d'un rapide tour de tête l'endroit et aperçut deflagrator se rapprochant d'une des parois de la cavité, un bout de mur incrusté de pierres éttincellantes sur l'épaule. Tout aurait était au mieux, si celui-ci n'avait pas était poursuivit par 3 sirénes.

Deflagrator l'ayant prévenu de la présence des sirènes via son message, Deathscythe s'était prémuni contre leurs chants en se mettant des bouchons de fioles dans les oreilles et en les maintenant par une solidité du roc partielle.

Le mentor de la terre envoya un message aux guerriers de l'azur, puis bondit entre la sirène et son ancien mentor.

Bon! Faut pas trainer! Il saisit à son tour un bout de mur. Allez on se barre!

Et alors qu'il se diriger vers la sortie, il vit Samir descendre par le même tunnel qu'il avait emprunté...



[on t'♥ Boss]

Nous ne devons jamais verser de larmes.
Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur.
Elles constituent la preuve que garder un coeur
ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir.

geant Par Samir  le 08/05/2006 à 11:43

Le vieu geant etait maintenant arrivé dirrectement dans l'eau, un gros plouf eclaboussa deathscythe et deflagrator.

Samir venais d'arriver, les guerrier d'azur etait presque au complet.

Samir qui avais vue deflagrator se faire frapper par des bestiole avec un corp pas mal du tous mais finissant tous de même par une queue de poisson n'hesita pas une seul seconde et rentra dans les ecaille de l'une d'entre elle. Celle ci poussa un cris symphonique ce qui rameuta 2 autre sirene qui l'entourérent.

Oups se dit samir, l'est peut etre temps de decamper sont trop nombreuse pour notre petite equipe. Au moment ou il se retourna une sirene lui fit un legé baisé sur sa joue. Samir etait dans un réve, ne ressentant plus la rage du combats, regardant ses créatures avec delice et envie. Rien ne comptais plus pour le vieu geant quede recevoir a nouveau un baisé de l'un d'entre elle.




[on t'♥ Boss]

Samir
[Gardien élementaire -=FEU=-]
Rocs de Zagnadar
La ou la terre tremble, un geant n'est jamais loin !

geant Par Deathscythe, le Piétineur  le 08/05/2006 à 12:48

Les sirènes semblaient etre prête à se ruaient sur Deathscythe et Deflagrator.

Le mentor de terre activa sa protection et fonça dans les rangs des êtres de l'eau mais alors même qu'il s'éloigner, il se rendit compte que les sirènes l'avait complétement ignoré pour aller dévorer Deflagrator déjà affaiblit.

Deathscythe se retourna, dépité, il avait failli à sa promesse...
Mais c'est alors qu'il remarqua Kraztet qui venait d'arriver.

Le chef des guerriersde l'Azur lui lança.

Va vers la sortie! Jvais pas te laiser te faire bouffer par ces monstres! Je recupére les affaires de Def et on s'en va!

Deathscythe se retourna déerminé à sortir quand un coup de griffe vint entailler sa protection à l'oreille, laissant filtrer le chant melodieux des sirènes.

Le géant de terre ne se sentait plus la force d'avancer, il ne voulait plus qu'une chose, rester ad vitam eternam auprés de cette être magnifique qui ne semblait chanter rien que pour lui.

Il se ressaissit l'espace d'un instant, le temps de mettre la main sur la bouteille de cote du feu-87 dans son sac. Passer dans un état de folie passagère, grâce à la médecine sombrécorce, l'immuniserait surement contre ces chants infernaux...mais est-ce que Kraztet pourrait le porter s'il ne s'en relevait pas??...



[on t'♥ Boss]

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Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur.
Elles constituent la preuve que garder un coeur
ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir.

geant Par Morgoth  le 08/05/2006 à 17:38

Morgoth venait d'apprendre le triste sort de Deflagratore. Il fallait faire quelque chose. Les créatures étaient indomptables et leur chant rendait les géants innofensif. Même à la surface, certains se mirent à être ipnotisés. Ils ne pensaient plus à se battre.

La seule manière de se protéger, c'était des caches oreilles pour ne plus entendre. Mais il fallait quelque chose d'hermétique, qui résiste aux frappes des chimères.

A l'extérieur du marais, Morgoth avait trouvé dans un bosquet une ruche grouillante d'abeilles. Je m'étais approché plutôt pour le miel, mais dans ma précipitation pour ne pas me faire piquer, j'avais arraché un pan entier de la ruche.

Il y avait à l'intérieur de bonnes grosses alvéoles dégoulinantes du produit sucré. Après les avoir vidées, je les avais laissées dans ma besace.

Mais je venais d'avoir une idée. La cire est quelque fois utilisée pour insonoriser les murs et les rebords de fenêtres de Zagnadar. Si le son ne passe pas dans notre montagne, il n'y a pas de raison pour qu'il ne passe pas à Héliké. Logique.

Je me mis à confectionner des bouche-oreilles. Il ne me fallut pas longtemps. Après les avoir placés, le monde me parut tout à coup vide. Je vivais dans un monde sans son. Parfait.

Pour compléter mon ouvrage, j'appliquais dessus de la laine de mouton prise sur un de mes vêtements. Pour faire tenir l'ensemble, j'entourai ma tête avec ma ceinture. En plus elle était renforcée avec du fer. Super.

Pour compléter l'ensemble, j'accrochai le tout avec des lanières.

Je mis bien trois minutes à tout réenlever.

Il y avait Xou à côté de moi qui observait mon manège.

"ça marche
- Impect. T'en veux un? ça va servir."

A deux, on en refabriqua un plus vite. On en fit quelques uns de rechange.

"Maintenant il faut apprendre à communiquer avec."

On fit un langage des signes peu élaboré où les seuls mots étaient ça va ou encore par ici y a des sirènes.

Nous étions prêts à rentrer dans la citée et à affronter les sirènes.

Tous pour Zagnadar!!!!



Apprenti grenadier, explorateur et géant avant tout

Voyageur de la plaine.

nain Par Beregroth  le 10/05/2006 à 18:58

La Garde de Pierre avait maintenant pour ordre de se rendre à l'intérieur même des ruines de la cité engloutie d'héliké. Touts les Gardes encore présents dans les marais s'étaient rendus au plus vite autour de l'amas de ruines qu'étaient devenues les portes de Tyrdras. L'organisation qui régnait autour de ces ruines avait maintenant laissé place à une cohue générale, et il devenait impossible de se déplacer dans toute cette foule. Tout le monde s'était regroupé autour du passage cré par les géants, mais malheureusement, celui ci était maintenant obstrué suite à un éboulement.

Le désarroi avait pris possession de cette masse de personne, tout le monde se demandait comment il pourrait désormais venir en aide à tous ceux qui étaient entré au sein de ces ruines. Si aucun autre moyen d'entrée n'était trouvé dans les heures qui suivaient, les malheureux qui s'étaient précipités dans les entrailles de Tyrdras seraient voués à une mort certaine.


Ne perdant pas espoir, Beregroth scruta du regard les décombres et découvrit une petite brèche. Il s'approcha pour observer. Apparemment on pouvait entrer par cette petite fissure.

Avant de pénétrer dans le passage rocailleux, Beregroth prit sa pipe, sortit de sa besace de la mandragore séchée, et la mélangea à son tabac. Il avait entendu dire qu'à l'intérieur de ces ruines se trouvaient des êtres capables d'hypnotiser ses victimes rien qu'avec leurs chants. N'ayant rien trouvé pour boucher ses oreilles, il chercha un autre moyen qui lui permettrait de résister à l'appel de ces créatures. Il avait donc trouvé un moyen plutôt original qui lui permettrait de ne pas succomber à la douce mélodie sortant des lèvres des sirènes. Connaissant les effets que pouvait avoir la mandragore sur le contrôle de soi, il se décida à se droguer volontairement. La tentative s'avérait risquée, le Garde de Pierre en était conscient, mais il tira vigoureusement plusieurs boufées dans sa pipe.


Il entra enfin dans l'étroit passage, perdant petit à petit le contrôle de soi, il s'appuyait contre les murs afin de ne pas trébucher. Dans le passage, l'air se faisait de plus en plus rare et le chroniqueur avait la tête qui tournait. Enfin, après de longues minutes, il aperçut de la lumière.

Le passage s'était beaucoup rétrécit, et Beregroth dut ramper pour pouvoir en sortir. Il se releva et respira profondément, l'air remplissant abondement ses poumons. Il scruta du regard les environs et aperçut ses femmes. Leur chant parvenait aux oreilles du nain, mais celui ci n'y faisait guère attention, les effets de la mandragore l'ayant mis dans un état de transe.



Oeil pour oeil, dent pour dent.

nain Par Beregroth  le 11/05/2006 à 14:39

Le chant des sirènes atteignait ses oreilles, mais son cerveau ne semblait pas vouloir entendre la douce mélodie qui s'émanait de la bouche de ces créatures ailées, il ne percevait de ce chant qu'un murmure à peine audible qui lui rappelait vaguement les chansons que fredonnait sa mère lorsqu'il n'était encore qu'un jeune nain.

Il se remémorait les souvenirs de son enfance quant il fut tiré de ses pensées par le coup de griffe d'une des sirènes qui l'avait encerclé. Le coup de griffe que venait de lui affligé le volatile à tête humaine l'avait atteint au visage. Apres avoir passé une main sur ça joue blessée, il remarqua que celle ci était recouverte d'un liquide rouge. Du sang, c'était du sang. Ca tête se mit à tourner, titubant, et toujours en proie aux hallucinations il ne reconnaissait plus ces ennemies qui ne ressemblaient plus maintenant qu'à des formes vagues se déformant sans cesse.


Soudain une de ces formes s'approchât avec rapidité, et en l'espace d'un instant, planta ses griffes dans la cuisse de Beregroth. La douleur soudaine arracha un gémissement au nain et le fit tomber à genoux. Il se releva avec difficulté et, prit de délire, se mit à rire.

Ayant pris ces ricanements comme une provocation, une nuée de sirènes se jeta sur Beregroth. Alors qu'il était transpercé de toutes part par des serres acérées, le nain parvint à distinguer des ailes et un visage de femme.
La souffrance lui fit lâcher un hurlement qui couvrit momentanément le chant des sirènes.

Tombé au sol, couvert de sang et ces vêtements déchirés, Beregroth peina à se relever. Il agrippa sa hache, un sourire au coin, et au bout d'un long et laborieux moment de concentration se jeta sur une des sirènes, la touchant à deux reprises, il réussit à lui transpercé une aile.

Un cri aigu retentit dans la cité, réalisant que la colère des sirènes pourrait lui être fatale, le chroniqueur se dirigea rapidement vers le passage qui l'avait emmené ici. Dans sa course, il trébucha plusieurs fois, ses jambes engourdies ayant le plus grand mal à rester tendues.

Arrivé à l'étroit passage, il se faufila à l'intérieur avec difficulté, et, une intense lumière blanche lui fit perdre connaissance.


Lorsqu’il se réveilla, il était allongé par terre. Le décor n'avait guère changé, mais les sirènes avaient disparu. Les effets de la mandragore commençaient juste à se dissiper et Beregroth retrouvait peu à peu ses esprits.

Apparemment, il se trouvait encore à l'intérieur d'Héliké, seulement, il ne se trouvait plus au même endroit.
Et si le passage qu'il avait emprunté auparavant était maintenant une sorte de téléporteur magique, alors il lui serait impossible de sortir de cette cité...



Oeil pour oeil, dent pour dent.

geant Par Deathscythe, le Piétineur  le 12/05/2006 à 19:36

Cela faisait maintenant quinze jours que Deathscythe était entré dans les ruines de Tyrdras. Cela faisait également quinze jours qu’il maintenait sa solidité du roc activée pour se prémunir des attaques des sirènes. C’est cette même solidité qui lui avait permis de ne pas subir le même sort que tous les autres guerriers de l’azur, à savoir la mort…

Mais bien que les gants d’Hardaway qui lui avait permis de la maintenir si longtemps, soient des artefacts puissants, 15 jours semblait être la limite de Deathscythe, qui avait déjà du utiliser sa compétence avant de rentrer dans la cité pour se protéger du feu olympien. Le mentor de la Terre pensait avoir récupérer avant d’entrer dans Tyrdras mais il n’en était rien.

Il allait désormais devoir rester sans bouger tapis dans un coin sombre, espérant que les sirènes de plus en plus nombreuses ne le verrai pas. Il se tapit contre une paroi et relâcha son armure de pierre qui tomba en morceau. De sa « cachette », il pouvait voir la pente douce qui devait le ramener vers la surface…vue la distance, il pourrait le faire en un jour…connaissant ses limites, il choisit de se reposer une douzaine d’heure, priant pour que les sirènes s’acharnent sur d’autres…

Cependant il n’y croyait guère…et ce pour deux raisons. La première était son précieux chargement, duquel il n’avait pu se défaire. Les lanières de l’harnachements s’étaient emmêlées dans sa course et l’empêchait de saisir son sabre pour combattre. La seconde était que les sirènes l’avaient observée pendant ces quinze jours, sans trop oser le frapper, sachant sa protection presque inébranlable pour l’avoir testée. En résumé, le mentor de Terre s’attendait à tout sauf à ce qu’on le laisse tranquille.

Mais quoi qu’il fasse, il ne pouvait continuer comme ça. Peut être pouvait-il repousser ses limites, et maintenir sa solidité encore un peu plus. Mais il savait l’accueil que lui réservé les olympiens au dehors. S’il tentait quelque chose de la sorte, il arriverait exténué à l’extérieur et serait une proie facile pour tous ces charognards qui attendaient gentiment qu’on leur ramène le butin que Deathscythe avait sortit au prix de son sang et surtout de celui de tout les membres des guerriers de l’Azur …

Deathscythe trouvait cela tellement injuste, après tous les efforts fait, ce serait d’autres qui en récolteraient les fruits. C’était tellement lâche de leur part…mais tellement efficace.

Il s’endormit rapidement, laissant la terre le remplir à nouveau de son énergie. Quand soudain, il fut réveillé par une caresse…il ouvrit légèrement les yeux et aperçut un visage féminin…Orphée était venu le chercher ? Il était Mort ? Ou peut-être était-ce Laria, avec qui ils avaient essayer d’établir une carte la plus précise possible des lieux, qui venait le réveiller ?…Et s’est en ouvrant un peu plus les yeux qu’il remarqua les deux grandes ailes de la femme. La main toujours sur sa joue s’enfonça sur la peau à nu, lui perçant la joue. Une autre, à sa droite, lui asséna un coup de pied griffu dans la tête le faisant tomber dans la fange qui jonchée le sol. Un second coup de griffe l’atteint à l’estomac. C’est alors qu’il reprit conscience et dans un sursaut, se leva, se laissa empaler un bras et courut vers la sortie en activant sa solidité du Roc, en espérant qu’il n’y aurait pas trop d’olympien aux portes de la cité perdue.

Le guerrier de l’Azur avait enfin atteint la surface. A son grand soulagement, il était entouré de géants et de nains, des alliés. Les olympiens butaient encore sur un front un peu plus au nord, il pourrait donc s’échapper avec son précieux butin…Du moins le croyait-il, a peine se dirigea-t-il vers le sud pour rejoindre les autres porteurs qu’un champion sauta à proximité de lui. Trop chargé, pour pouvoir parer, Deathscythe ne put qu’encaisser les attaques de celui qu’il reconnut comme l’un des meilleurs maîtres-lames d’Olympia, et donc l’un de ceux qu’il voulait dépasser. Néanmoins, avec sa solidité activée, l’olympien lui causait moins de tord qu’une sirène, pas de quoi l’inquiéter donc…Mais sa solidité semblait flancher quelque peu. Le repos avait était de trop courte durée, et les olympiens pourraient peut être si mettre à plusieurs.

Deathscythe repensa à ce qui lui avait traverser l’esprit pendant sa pause à Héliké, les olympiens profitant des efforts des Guerriers de l’Azur, qui avaient ouvert la porte, exploré les ruines, fait une carte détailler avec l’aide de Laria, trouvé la sortie avec la contribution de Danos Olinbum et, au final, sorti un harnachement de cet enfer. Non ! Cela lui semblait beaucoup trop injuste. Mais, c’est alors qu’un pigeon se posa sur lui, lui portant un message de l’oracle. Il disait ceci :

« La quête d'Héliké, nous aurons la récompense que nous aurons mérité nous-mêmes. On quémande rien, on n'a besoin de rien de ces richesses. On y va pour la gloire, on en ramènera ce qu'on est capable d'en ramener.
Je retournerai pas ma veste pour 3 babioles qu'on aura pas su rapporter nous-mêmes ! ».

Deathscythe lut ces mots et leva les yeux au ciel, soulagé. L ‘oracle avait raison, même s’il mourait, leur honneur était sauf… Les géants avaient fait ce qu’aucune autre race d’Olympia n’avait pu faire.



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Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur.
Elles constituent la preuve que garder un coeur
ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir.

geant Par Morgoth  le 13/05/2006 à 11:21

Ce la faisait une semaine que Morgoth pataugeais à l’intérieure de la citée, il avait d’abord fallu qu’il s’habitue à l’obscurité. Il était tombé à côté d’un nain de massive stature. Il ne l’avait tout d’abord pas reconnu, mais en s’approchant, il put distinguer son visage. C’était Kardrim, le gardien des Anciens. Il grommelait à propos de l’eau. Morgoth plongea dans la « flotte » et se mit à nager. Elle était glacée. Il repéra Abbadon devant lui. Mais tout à coup, il vit une créature fendre les airs. Ses griffes étincelaient. Elle tomba sur le dos d’Abbadon tout en chantant. Le sourceur était hypnotisé par ce chant et n’arrivait même plus à se défendre. Morgoth courut, dégaina son épée et sauta sur le dos de la créature. Celle-ci se retourna et regarda le géant. Ses yeux étaient d’un bleu intense comme celui de la mer d’émeraude. Son visage était parfait. Ses longs cheveux blonds ondulaient sur son dos et descendaient jusqu’au bas de celui-ci. Sa peau était parfaite. Le géant aurait arrêté son geste s’il n’avait su comment elle réagirait. Il frappe de toutes ses forces. Mais la sirène était bien plus agile. Elle para le coup sans aucune difficulté. Le deuxième, elle s’amusa à sauté juste au-dessus de la lame. Morgoth entraîné dans son élan ne put contrer les griffes meurtrières. Elles rentrèrent sans difficulté dans la chair du géant.

Les bouches oreilles étaient en position, mais il arrivait à percevoir un peu le chant des sirènes. La sirène allait frappait une troisième fois lorsqu’une masse tomba tout près avec un grand cris. Morgoth plongea dans les marais pour se cacher. Le nouvel arrivant était un nain. Il se remit bien vite sur pieds. Il frappa la sirène et la toucha. La deuxième frappe fut parée de justesse. Il s’appelait Tyger. La sirène recula de quelques mètres. Les trois êtres se dévisagèrent toute la nuit, vu la lumière qui décroissait par le trou d’entrée. Au petit matin, il y eu une attaque fulgurante de la chimère. Elle bondit à côté du nain et l’embrassa sur la joue. Il fut tout de suite charmé. Puis elle sauta sur les épaules du géant et ses serres lui labourèrent de nouveau le dos. Elle avait beau essayé de le charmer, rien n’y faisait, il n’entendait pas ses chants.
Les jours qui suivirent furent une véritable poursuite. Ils coururent, se cachèrent, se retrouvèrent. Dans un creux boueux, le géant tomba nez à nez avec un gros crapaud. Celui-ci se tenait sur un objet qui paraissait plutôt lourd. Le géant rangea son épée et empoigna l’objet. C’était un bât d’Héliké, il en avait déjà entendu parler. Il resta caché dans ce creux bouseux un bon moment. Mais bientôt, il vit bouger les hautes herbes. La superbe créature était de retour. Tel un lapin, il détala. Mais souvent, il se prenait des coups de griffes.

Le problème, c’est que dans la citée, il y avait bien plus qu’une sirène. Il aperçus deux géants dans la pénombre. Il y avait Hardaway et Fléolf. Tous les deux saignaient abondamment. Et il y avait au moins une dizaine de sirènes. C’était foutu, il ne passerait sûrement pas la nuit. Résigné, il s’assit sur le sol. Il était de toute manière trop fatigué. Il vit l’Oracle tombé.
Dans un dernier soupir, l’Oracle avait dit que l’honneur des géants étaient sauf et que l’on avait réussi une prouesse. Cette phrase était entrée dans la tête du géant bien qu’il ait les oreilles bouchées. Etait-ce un développement du shamanisme ?
Il murmura :
« Gloire au peuple géant »

Il entendit quelqu’un siffler derrière lui. Une sirène l’avait découvert. Elle lui fit un baiser sur le front, Morgoth se retrouva immobilisé. Il attendit son destin



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Voyageur de la plaine.

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