I. Un exemple parmis tant d'autre.

Sud de Zagnadar la capitale géante, la nuit est tombée depuis quelque temps, Un jeune garnement s'acharne encore sur un bloc de pierre dans la carrière, il frappe de toute ses forces pour essayer de récupérer cette ressource, les éclats saute de toute part, le plaisir de participer à la reconstruction de la ville se lis sur son visage. Il ne ralentis pas son allure, des gouttes de sueur perle pourtant le long des ses joues.

Samir revient de la ville, pénètre dans la carrière par une échelle au nord de celle-ci, s'avance et s'arrête à la vue du jeune. Il l'observe durant quelques minutes, l'air sombre et secouant la tête de gauche a droite de temps a autre. Le vieux géant s'avança de quelque pas et apostropha le géant :

"Hé toi !"
Après quelque coup supplémentaire sur la roche le jeune posa sa pioche et se retourna pour répondre :
"Quoi ? Ta besoin de quelque chose l'ancien!"
Samir qui ne supportait pas que l'on lui rabache son age et qui avait déjà son idée en tête lui cria sur un ton autoritaire
"Casse toi !"
Le jeune interloqué ne sus quoi répondre et ne pu émettre qu'un gazouillis qui ne ressemblé à aucun mot connu sur Olympia. Samir profita de cette ouverture pour continuer.
"Aller magne toi, prend ta pioche et retourne chez ta mère, c'est l'heure pour toi d'allait au lit !"
Le jeune géant qui n'était pas préparé à entendre de tel propos ne fit qu'obéir et quitta le chantier sans demander son reste …


II. La naissance d'un jeune

Une 50ene de ronde de saison avant notre ère, Une géante du nom de Anga donne naissance à un garçon, elle le nommera "Samir", il aurait pu être un joli bébé géant, potelé, les joues rose, le regard d'un bleu azur mais le destin lui vouer de nombreuses moqueries, il n'avis pas jugé nécessaire de lui offrir des cheveux ainsi ce bébé était chauve.

Mais les parents ne regardent pas aussi loin et pour eux toute blague de mauvais goût de nos voisins de l'époque n'étaient que jalousie et perfidie. Ils élevèrent donc Samir comme n'importe qu'elle autre enfant de son age. Dans sa première année Samir partait déjà sur les épaules de son paternel couper le bois pour l'hivers (il ne faisait que rester sur ces épaules bien entendu). A 2 ans il participé activement au tache ménagère, ramasser le petit bois pour le déposer au pied de son père qui se prenait irrémédiablement les pied dedans, il cueillais les bais sauvage de grosse baies rouge immangeable que sa mère remplacé par des fraise dans les gâteaux sans que son fils ne le voie. Rien ne pouvait rompre la tranquillité de cette famille.