Les Ruines de Tyrdras | |
Topic visité 378 fois Dernière réponse le 07/10/2006 à 00:58 |
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Cette partie fait suite à la Chronique "Les Guerriers de l'Azur"
Chapitre XVI : CEREMONIE (an 2031 Saison du temps du reveil) Le soleil se levait sur le plateau Zagnadaran, dans un ciel clair, annonciateur d’une saison moins rigoureuse que la précédente. Dans la pâle lueur matinale, et malgré l’heure peu avancée, des géants sortirent de leur maison, déambulant vers les halles. Là Mormus et moi les attendions. C’était ma seconde fête de la terre. La première avait eu lieu deux ans auparavant, je n’avais alors passé que deux saisons à zagnadar, Je n’avais pu y participer l’année précédente appelé au chevet de mon père mourant. Et voilà que cette année, j’y participais en tant que maître de cérémonie, en tant que mentor de la Terre, aux côtés de l’autre géant emblématique de mon élément, le chef des sourceurs de Zagnadar, Mormus de Chtéüsse. Comme deux ans auparavant, Mormus avait mis des paniers à ressources confectionnés grâce à sa célèbre technique de tressage d’osier. Puis, ne voyant pas de nouveaux géants arriver pendant un temps, nous nous sommes décidés à nous mettre en route vers l’autel de la terre. Là, tous s’accroupirent et , silencieusement, plongèrent leurs mains dans la terre fraîche, remplissant leur panier et communiant avec leur élément à chaque poignée. Une fois les paniers remplis, la procession fit le tour de Zagnadar, pour bénir par cette terre les petits potager particulier de certain Zagnadarien, puis descendit en contrebas des falaises et des montagnes, dans la plaines pour irriguer de cette terre miraculeuse, les cultures des villages qui produisent la majorité des réserves de nourriture de Zagnadar. En descendant les montagnes, j’aperçus Tora, mon village natal au loin. J’eus une pensée pour mon père décédé un an plus tôt. Mais cette journée ne serait pas placée sous le signe de la tristesse. Quand nous sommes remontés sur le plateau, le soleil avait atteint son Zénith. Nous nous sommes dirigés alors à nouveau vers les halles ou nous avons rangé les paniers à ressources et pris un frugal repas. Puis nous allâmes piocher plus sévèrement dans les réserves de nourriture des halles afin de préparer le repas du soir. Il y a deux ans, nous avions utilisé les cuisines de la taverne, cependant comme celle-ci avaient subies l’année précédente les outrages des éléments comme la majorité des bâtiments de Zagnadar, elles n’avaient pas était réparées et étaient donc inutilisables. Cependant, nous avions un autre bâtiment d’envergure capable de nous fournir de quoi faire cuire les aliments. Aiolos, le forgeron de Zagnadar, mon maître d’apprentissage et mon logeur, ne vit aucune objection à nous laisser occuper son antre pour l’après-midi. Chacun y mettait tout son cœur. Mormus nous prépara sa fameuse recette de chèvres aux herbes. J’avais réussi à finir d’ôter les effets néfastes d’une potion sombrécorce pour l'occasion, l’eau de jouvence, une espèce d’hydromel bleu. Puis en fin d’après-midi, alors que les plats cuisaient, tous partirent chercher les tables de banquet et les arrangèrent. L’odeur des plats attira la foule et tout le monde se mit à table, attendant comme chaque année le fabuleux repas de l'an nouveau. Tout comme deux ans plus tôt, la soirée fut formidable, le banquet entraînant moult débats et occasions de s’amuser. Non, cette journée n’était définitivement pas placée sous le signe de la tristesse. [on t'♥ Boss]
Nous ne devons jamais verser de larmes. Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur. Elles constituent la preuve que garder un coeur ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir. |
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Chapitre XVII : EXPEDITION
(An 2031 Saison du temps du réveil) Depuis quelques saisons déjà, tout Olympia ne tournait plus autour que d’un sujet : la cité perdue d’Héliké. Un vieux fou prétendait en être sortit, tous s’afférer à trouver cette cité antique. Alors que les géants s’apprêtait a lancer une expédition massivement au sud de leur ville, des propos tenus par des olympiens a la grande assemblée nous informait de la position d’Héliké. Les Rocs avaient donc fait route vers le centre du monde connu, accompagnés de civils volontaires et d’une partie des sourceurs. Sur la route, j’avais d’ailleurs reçu la lettre d’un certain Zack qui souhaitait devenir mon élève. Un traité avait été envoyé au nain, et bien qu’il n’ait pas encore était ratifié par le peuple des mines de Radar Bek, les représentants des deux peuples semblaient l’appliquer de façon tacite invitant les rebelles à se joindre a leur cause. L’alliance faisait des ravages repoussant au loin les forces olympiennes les contraignant à se réfugier dans les jupons de Zeus, afin d’y trouver soin et protection. Les marais desquels émergeaient les ruines Tyrdras dégager, les géants purent commencer les fouilles autour des vestiges récemment mis à jour par les pluies torrentielles des saisons précédentes, pendants que les nains protéger le champ de fouille des Hommes sauvages et Olympiens a proximité. Chose à laquelle s’atella également Samir, ambasadeur Zagnadaran à Luminae, pensant pouvoir démeller le conflit. Les Hommes Sauvages ne voulant comprendre les mots de Samir pourtant simple : « Partez ou Mourrez ». Samir appliqua donc la seconde option, réglant son compte à son homologue sauvage : Mirie. Defagrator, suite à sa reconnaissance des lieux, établis une carte de ces ruines et la répartis en petites parcelles de quelques mètres carrés afin de faire des fouilles organisées, et de n’échapper à rien. Il répartit les géants en deux groupes pour ces fouilles. Leurs principal but était de trouver une possible entrée souterraine et la recherche de richesses ensevelies. La tache fut longue, difficile et pas très adaptés à la carrure des géants, mais ils leurs fallait absolument accomplir cela pour pouvoir progresser et en savoir plus sur ces ruines, son histoire et ses habitants. Tout indice même minuscule avait son importance, et leurs permettaient d’avancer dans leurs recherches. Les Sourceurs fournirent pioches, pelles, et tout autres matériels de déblais pour ces fouilles, ainsi que des outils pour des fouilles plus minutieuses. Un camp avait été dressé non loin de chaque ruine et le matériel y avait été entreposé. Les équipes avaient été constituées et chacun était à son poste, prêt à recevoir sa mission. Des binômes furent constitués ayant chacun une parcelle de ruine à inspecter. Deflagrator fit équipe avec moi, et forma les autres binômes. Chacun se vit attribuer une parcelle des ruines. Deflagrator et moi devions fouiller la parcelle numéro 1. Nous prîmes donc un seau, un tamis, des pioches, pelles, et une palette de petits outils, des pinceaux, petites brosses, et autres, et nous nous rendîmes sur notre parcelle et commencions les fouilles. Tous les autres géants suivirent le mouvement et les fouilles débutèrent rapidement en espérant que celle-ci nous délivre les secrets des ruines de Tyrdras… Mon ancien mentor et moi avions commencés nos fouilles en mettant des coups de pioches un peu partout pour tenter de trouver une faille, un objet… De temps en temps un crâne sortait du sol, ceux-ci ne ressemblait à aucune race existant sur Olympia. Un crâne bombé, une petite mâchoire, sorte d’Olympien des cavernes… Mais bizarrement, aucun autres ossements fut trouvé avec ces crânes. Je les ramenai au camp principal pour les faire étudier. Pendant ce temps, Deflagrator continuait de piocher, sortant de la caillasse sans importance, et des monticules de terre était renversés. Tout à coup, "Schliiing ! ! ! !" -Vindiou, qu’est-ce c’esteux qu’sa ! ? Def’ prit la pelle et enleva la terre, une pierre un peu brillante apparut. Des inscriptions s’y trouvaient… -Nom d’une pipe en bois, c’est quoi comme langage ça? Du Baragouin? Hey Death, viens donc par la ! J’aveux trouver quelq’chose! R’garde dont ça mon gars, si c’est pas une découverte! Aide-moi à enlever toute la terre qu’y a autour ! Qu’on puisse la virer ! Aussitôt dit, aussitôt fait ! Nous enlevâmes une bonne partie de la terre qui se trouvait autour, pour pouvoir retirer la pierre. Une fois finit, nous nous positionnions l’un à coté de l’autre, et essayèrent de soulever la pierre… La boue nous engloutissait doucement au fur et a mesure que nous tentions de soulever le bloc pierre massif. -Mazette, on s’engloutit ! Allons chercher du bois ou quelque chose qui nous permettrait de pas s’faire engloutir et finir en verre de terre géant! Nous ramenâmes quelques branches de bois assez solide et les mirent aux pieds pour diviser le poids sur le sol instable. Puis, nous retentâmes d’extraire le monolithe. ll pesait lourds, très lourds, les gouttes de sueur coulaient le long de leurs front. La pierre commençait doucement à bouger, quand une légère ouverture se créa entre le sol et la pierre, une brise en sortit… Etonné, Deflagrator et moi nous regardions, puis dans un élan de motivation levions entièrement la pierre du sol et la retournions de l’autre coté… L’immense pierre créa un brouhaha en frappant le sol. En dessous de cette pierre se trouvait un trou… -‘Tin, on y voit quedale la d’dans ! Death, va donc chercher l’Boss pour lui montrez not’ découverte ! Moi pendant c’temps j’vais voir si on voit pas quelques choses... Je partis en vitesse chercher Hardaway. Deflagrator s’approcha doucement du trou, c’était sûrement une issue pour entrer dans ces ruines… Il s’approcha lentement, mesurant chacun de ses pas, arrivé au bord du trou, il pencha la tête au-dessus du trou pour tenter d’apercevoir quelque chose… Seul un son se fit entendre… Harmonieux… mélodieux… d’une finesse rarissime, Deflagrator fut surpris d’entendre un si beau chant. Tellement il était occupé à entendre ces murmures qu’il ne s’aperçut pas que le sol était entrain de craqueler sous son poids… -C’est merveilleux… … Holà oh oh ah ah oh oh sa gliiiiiissse ! ! Crack ! Le sol venait de lâcher sous le poids de Deflagrator. La chute fut vertigineuse, il glissa le long du trou oblique, le cul dans la boue, la glissade lui paraissait longue, très longue, et sa vitesse augmentait de seconde en seconde. Plus il descendait, plus les chants semblaient nets. Une légère lueur apparut, montrant sûrement l’arrivée dans les ruines, la chute allait enfin s’arrêter. Biiiing ! ! Deflagrator venait de heurter un caillou qui se trouvait au dessus de sa tête et tomba assommer… Il finit sa course dans le marais, à l’intérieur des ruines. La vision flou, un mal de crâne horrible, la tête qui tourne, Deflagrator venait de se réveiller… trois créatures étaient autour de lui…D’après les légendes, se serait des sirènes… Deflagrator n’en revenait pas. D’aussi belle créatures se trouvaient dans ses ruines… laides. Leurs corps sublime, parfaitement sculpté, des formes parfaites, un visage lisse, des yeux de déesse, une chevelure doré. Deflagrator était tombé sous le charme, leurs voix mélodieuses le faisait planer… Il avait succombé au piège des sirènes… ces êtres vils. Quelques minutes après Deflagrator se releva. Une sirène lui assena un coup pour le remettre à terre… Des petites flammes scintillante apparurent alors dans ces yeux, et il se releva immédiatement, repoussant légèrement la sirène qui voulait la remettre de nouveau à terre. Il tenta de leur parler, mais elles ne répondirent pas… Gardant le silence total dans ce lieu maudit… Il s’empara ensuite d’un harnache" puis s’enfonça un peu dans les ruines à la recherche d’autres objet ou d’indice qui nous en dirait un peu plus sur Tyrdras. Il envoya une missive à ses amis pour les rassurer, et dirent à quelques-uns de descendre le rejoindre pour l’aider à fouiller à l’intérieur des ruines. Mais les sirènes continuaient leurs frappes sur Deflagrator, ce qui l’affaiblissait de plus en plus. Il attendait à présent ses amis, et continuait seul les recherches, en compagnie des sirènes qui l’attaquait encore et encore, sûrement jusqu'à ce qu’il tombe… Je venais de prévenir l'Oracle et étais encore avec lui quand nous reçûmes le message de Deflagrator. Ni une, ni deux, je retournais le plus vite possible au champ de fouille que je venais de quitter et sautais dans l'ouverture que nous venions de mettre à jour pour aller honorer la promesse faite à son mentor un peu plus d'un plus tôt. Je glissai pendant d'interminables minutes, puis atterris dans une mare de boue. Je jugeai d'un rapide tour de tête l'endroit et aperçut Deflagrator se rapprochant d'une des parois de la cavité, un sac débordant de pierres étincelantes sur l'épaule. Tout aurait était au mieux, si celui-ci n'avait pas était poursuivit par 3 femme dotée de grandes ailes qui semblait ne pas lui vouloir que du bien. Deflagrator m'ayant prévenu de la présence des sirènes via son message, je m'étais prémuni contre leurs chants en se mettant des bouchons de fioles dans les oreilles et en les maintenant par une solidité du roc partielle. J’envoyais un message aux guerriers de l'azur, puis bondis entre la sirène et mon ancien mentor. -Bon! Faut pas trainer! Je saisis à mon tour un harnachement. -Allez ! On se barre! Et alors que je me dirigeais vers la sortie, je vis Samir descendre par un autre tunnel en face de moi. Les sirènes semblaient être prête à se ruaient sur Deflagrator et moi. J’activais ma protection et fonçais dans les rangs de ces êtres à la voix si douce, mais alors même qu je m'éloignais, je me rendis compte que les sirènes m'avaient complètement ignoré pour aller dévorer Deflagrator déjà affaiblit. Je me retournais, dépité. J’avais failli à sa promesse... Mais c'est alors que je remarquais Kraztet qui venait d'arriver. Le chef des guerriers de l'Azur me lança. -Va vers la sortie! Jvais pas te laisser te faire bouffer par ces monstres! Je récupère les affaires de Def et on s'en va! Cette phrase me motiva. Je me retournais déterminé à sortir quand un coup de griffe vint entailler ma protection à l'oreille, laissant filtrer le chant mélodieux des sirènes. Je ne me sentais plus la force d'avancer, Je n’avais qu’une envie, rester ad vitam eternam auprès de cette être magnifique qui ne semblait chanter rien que pour lui. Je me ressaisis l'espace d'un instant, le temps de mettre la main sur ma bouteille de cote du feu-87 dans son sac. Passer dans un état de folie passagère, grâce à la médecine sombrécorce, m’immuniserait sûrement contre ces chants infernaux... Mais est-ce que Kraztet pourrait me porter si je ne m'en relevais pas? ![]() Fresque de famille: Les fouilles des ruines. [on t'♥ Boss]
Nous ne devons jamais verser de larmes. Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur. Elles constituent la preuve que garder un coeur ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir. |
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Chapitre XVII : TYRDRAS
(An 2031 Saison du chant du renouveau) Cela faisait maintenant quinze jours que j’étais entré dans les ruines de Tyrdras. Cela faisait également quinze jours que je maintenais sa solidité du roc activée pour se prémunir des attaques des sirènes. C’est cette même solidité qui m’avait permis de ne pas subir le même sort que tous les autres guerriers de l’azur, à savoir la mort…Pendant ces quinze jours, Orphée qui avait débarqué a l’autre bout de la cité était morte très vite à l’instar de Deflagrator. Les sirènes représentant une menace plus que sérieuse, nous avions donc essayé de sortir mais en vain, les pentes étaient trop abruptes pour pouvoir les escalader et espérer remonter a l’air libre. Kraztet était d’ailleurs mort en essayant d’en escalader une. A partir de ce moment, Laria, une jeune disciple de Bayo et moi avions essayer de dresser une carte des lieux, et avions envoyer nos relever aux autres Rocs. Puis, il y avait de cela deux jours, Samir avait déniché une échelle de lianes, mais s’était fait tuer en essayant de l’escalader. Je m’approchais chaque jour un peu plus de cette échelle espérant qu’elle serait assez solide pour un géant. Cela faisait donc 15 jour que je maintenais la solidité du Rocs. Mais bien que les gants d’Hardaway qui m’avais permis de la maintenir si longtemps, soient des artefacts puissants, 15 jours semblait être ma limite. En effet, j’avais déjà du utiliser ma compétence avant de rentrer dans la cité pour me protéger du feu olympien. Je pensais avoir récupérer avant d’entrer dans Tyrdras mais il n’en était rien. J’allais désormais devoir rester sans bouger, tapis dans un coin sombre, espérant que les sirènes de plus en plus nombreuses ne me verrai pas. Je me collais contre une paroi et relâchais mon armure de pierre qui tomba en morceau. De ma « cachette », je pouvais voir l’échelle de liane, telle une flèche verte atteignant la voûte de pierre de la cité, qui devait le ramener vers la surface. Vu la distance, j’aurais pu le faire en un jour. Connaissant mes limites, je choisis de me reposer une douzaine d’heure, priant pour que les sirènes s’acharnent sur d’autres… Cependant je n’y croyais guère…et ce pour deux raisons. La première était mon précieux chargement, duquel je n’avais pu me défaire. Les lanières de l’harnachements s’étaient emmêlées dans ma course et m’empêchais de saisir mon sabre pour combattre. La seconde était que les sirènes m’avaient observée pendant ces quinze jours, sans trop oser me frapper, sachant ma protection presque inébranlable pour l’avoir testée. En résumé, je m’attendais à tout sauf à ce qu’on me laisse tranquille. Mais quoi que je fasse, je ne pouvais continuer comme ça. Peut être pouvais-je repousser mes limites, et maintenir ma solidité encore un peu plus. Mais je savais l’accueil que me réservaient les olympiens au dehors. Si je tentais quelque chose de la sorte, j’arriverais exténué à l’extérieur et serais une proie facile pour tous ces charognards qui attendaient gentiment qu’on leur ramène le butin que j’avais sortit au prix de son sang et surtout de celui de tous les membres des guerriers de l’Azur … Je trouvais cela tellement injuste, après tous les efforts fait, ce serait d’autres qui en récolteraient les fruits. C’était tellement lâche de leur part… Mais tellement efficace. Je m’endormis rapidement, laissant la terre me remplir à nouveau de son énergie. Quand soudain, je fus réveillé par une caresse… J’ouvris légèrement les yeux et aperçus un visage féminin…Orphée était venu me chercher ? J’étais Mort ? Ou peut-être était-ce Laria, qui venait me demander des détails sur la carte, la plus précise possible des lieux, que nous avions essayer d’établir tout les deux ?…Et c’est en ouvrant un peu plus les yeux que je remarquais les deux grandes ailes de la femme. La main, toujours sur ma joue, s’enfonça sur la peau à nu, me perçant la joue. Une autre, à ma droite, m’asséna un coup de pied griffu dans la tête me faisant tomber dans la fange qui jonchée le sol. Un second coup de griffe m’atteint à l’estomac. C’est alors que je repris conscience et dans un sursaut, me levais, me laissais empaler un bras et courus vers la sortie en activant ma solidité du Roc, en espérant qu’il n’y aurait pas trop d’olympiens aux portes de la cité perdue. J’avais enfin atteint la surface. A mon grand soulagement, j’étais entouré de géants et de nains, des alliés. Les olympiens butaient encore sur un front un peu plus au nord, je pourrais donc m’échapper avec mon précieux butin…Du moins, je le croyais, a peine se dirigea-t-il vers le sud pour rejoindre les autres porteurs qu’un champion sauta à proximité de moi. Trop chargé, pour pouvoir parer, je ne pus qu’encaisser les attaques de celui que je reconnus comme l’un des meilleurs maîtres-lames d’Olympia, et donc l’un de ceux que je voulais dépasser: Magneus. Néanmoins, avec ma solidité activée, l’olympien me causais moins de tord qu’une sirène, pas de quoi l’inquiéter donc…Mais ma solidité semblait flancher quelque peu. Le repos avait était de trop courte durée, et les olympiens pourraient peut être si mettre à plusieurs. Je repensais à ce qui m’avait traversé l’esprit pendant ma pause à Héliké, les olympiens profitant des efforts des Guerriers de l’Azur, qui avaient ouvert la porte, exploré les ruines, fait une carte détailler avec l’aide de Laria, trouvé la sortie avec la contribution de Danos Olinbum et, au final, sorti un harnachement de cet enfer. Non ! Cela me semblait beaucoup trop injuste. Mais, c’est alors qu’un pigeon se posa sur lui, lui portant un message de l’oracle. Il disait ceci : « La quête d'Héliké, nous aurons la récompense que nous aurons mérité nous-mêmes. On quémande rien, on n'a besoin de rien de ces richesses. On y va pour la gloire, on en ramènera ce qu'on est capable d'en ramener. Je retournerai pas ma veste pour 3 babioles qu'on aura pas su rapporter nous-mêmes ! ». Je lus ces mots qui m’apportèrent un réconfort extrême. Je levais les yeux au ciel, soulagé. L ‘oracle avait raison, même si je mourais, leur honneur était sauf… Les géants avaient fait ce qu’aucune autre race d’Olympia n’avait pu faire. [on t'♥ Boss]
Nous ne devons jamais verser de larmes. Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur. Elles constituent la preuve que garder un coeur ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir. |
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Chapitre XIX : L’EMBUSCADE
(An 2031 Saison du chant du renouveau) C’est alors que l’impossible se produit. Alors que les olympiens avait l’air de laisser partir les porteurs, c’est un nain du nom de Blue qui vint achever Boargdanor, au bord de la mort. J’en restais abasourdi…. Je savais qu’il y avait eu des débordements lors de cette alliance entre rebelles, nains et géants. Particulièrement, à cause des rebelles…non, pas qu’ils aient posé des problèmes politiques ou qu’ils se soient rebeller contre nous…à vrai dire c’était plutôt le contraire. Du fait que les rebelles soient des elfes et des olympiens, ils étaient pris pour cible par les nains et les géants…même mon ancien mentor, Deflagrator en avait achever un…Mais de là à ce que les nains s’en prenne aux géants pour récupérer les richesses d’Heliké…Une trahison ? Non ! Pendant que je restais pantois devant les évènements, Esdeiogrh un autre élève de Bayo s’était renseigné, les nains bannirent Blue et le tuèrent donnant le précieux chargement à Esdeiogrh en gage de notre alliance. . J’avisais les alentour, je repérais vite deux autres géants possédant un harnachement…Xou et Danos Olimbum, des sourceurs… Je regroupais les porteurs et les géants alentours. et les dirigeais vers le groupes de Mormus que je savais proche. Fort de sa capacité à parcourir de longues distances et de sa forme, Danos ouvrait la route à un groupe hétéroclite…Balgor, contremaître des sourceurs, Xou un autre sourceur qui portait lui aussi un harnachement mais été ressortit blessé de la cité, moi-même, mentor chez les rocs, portant aussi un harnachement et étant dans un état similaire à celui de Xou, Esdeiogrh, Rocs, élève de Bayo, également, et lui aussi porteur de richesse, Shinji, Humat et Einrich et Volrath, encore un élève de Bayo. Bientôt, nous atteignîmes le groupe de Mormus, composé du Rocs, Fredericus, de la sourceuse Keldus, de Goriht et de Zack mon nouvel élève…. Les derniers porteurs arrivaient, et quelques éclaireurs ouvraient la voie vers l'est, il était temps pour la colonne de se mettre en route. L'armée olympienne contournait le marais et serait bientôt sur les géants. Les derniers pigeons furent envoyés vers Zag pour que des troupes fraîches se portent à leur rencontre. Lorsque le signal du départ fut donné, Mormus et les autres combattants entourèrent les porteurs, à l'affût du moindre signe de danger aux alentours. Le rythme était soutenu mais nul n'était laissé en arrière, nous savions tous que notre butin ferait des envieux et aucun de nous ne doutait que l'avancée serait tôt ou tard compromise par une attaque ou l'autre. Laissant derrière nous les remugles infects de la maudite tourbière, nous avalions les lieues du pas cadencé de ceux qui ont un but. Peut-être que cette détermination pourrait en intimider plus d'un ? Les premières journées dans la plaine ne suscitèrent rien qui vint contredire cet espoir. Les rares voyageurs se révélèrent courtois et ne portèrent aucun intérêt particulier au lourd chargement que nous transportions avec nous. Les messages des éclaireurs étaient également rassurant dans leur constance : "rien à signaler" disaient-ils. "Poursuivez sans crainte". C'est au soir du troisième jour, tandis que nous cherchions un lieu défendable où bivouaquer que notre groupe tomba sur cet étrange petit olympien qui souriait assis sur le bord de la route. Se raidissant et portant la main à leurs armes les membres de l'avant-garde se dirigèrent vers lui avec méfiance et vigilance. "Un salminarite d'après l'marque ed'sa t'nue" Me lança discrètement Mormus, "ça m'inspire pô des masse el'confiance". J’acquiesçais avec gravité organisant le campement alors que les gardes interrogeaient l'objet de leurs soupçons. L'Olympien se présenta comme Omura, Ombre de Salminar, de passage et ne se prétendit animé d'aucune mauvaise intention à l'égard de la caravane. "Cela ne vous dérange pas si je reste à proximité" ajouta-t-il à la cantonnade. "Au beau milieu des Rocs et des Sourceurs, les autres n'en reviendront pas, quand je leur raconterai". Il affichait un grand sourire décontracté et tenait ses mains ouvertes, loin de ses armes. "La route est à tous", lui répondit-on, "si tu ne nous veux pas de mal, il ne t'en arrivera pas non plus". D'un commun accord Mormus et moi dépêchions des sentinelles autour du campement. Ce type souriait trop, personne n'avait confiance, mais il semblait seul et notre but n’était pas de casser de l’olympien mais de ramener notre chargement a Zagnadar, pas d temps à perdre donc. Le camp venait à peine d'être établit, quand soudain, ce que nous présentions se produisit, un olympien se jeta sur eux virevoltant avec sa lame, il asséna moult coup d’épée à Xou déjà affaibli par sa promenade dans Héliké. Une de ses alliées, Nikita frappa Mormus, qui pourtant, n’avais pas de richesse…Mormus essaya d’exploiter cette faille. S’il pouvait faire en sorte que les olympiens s’en prennent à lui plutôt qu’aux porteurs, le gardien de la terre pourrait les retenir assez longtemps ici, grâce à la Solidité du Roc, et les porteurs pourraient atteindre Zagnadar sans être inquiétés. Il chercha donc à provoquer l’olympien, pour qu’il le prenne pour cible. -Tu n’as donc pas le courage d’assumer tes opinions et de te battre à la loyale lâche d’olympien ! -Lâche…ou plus malin… allez savoir ? Il s’agissait d’Omura… -Charognard surtout !… Embrayais-je. Néanmoins, c’était peut-être malin…Mais attendons la suite… -Je ne pense pas que cela soit d’ors et déjà gagné, mais j’espère bien avoir tout calculé…D’autres part une mission est une mission et peu importent les moyens, seul sa réussite compte. Répondit l’olympien, presque du tac au tac. Mormus cracha au visage de l’olympien. -La fin est une chose…mais les moyens montre ta nature. A cette juste remarque, digne des plus grands, je m’emportais -Toute mon unité s’est fait tuée pour sortir ces richesses d’Héliké ! Mettez-vous à ma place ! Ne trouveriez vous pas injuste que l’OdS se sacrifie pour une mission et que celle-ci échoue ? Omura essuya le cracha de Mormus, toujours avec le même rictus sur le visage et se prépara à attaquer de nouveau. Ni une ni deux, les autres géants réagirent…Keldus tenta sa chance mais l’olympien était trop agile…Zack, mon jeune et inexpérimenté disciple, profita du déséquilibre de l’olympien suite à son rétablissement pour lancer une de ses bolas dans un tir impeccable qui n’échoua que par l’écart du à la distance, le bolas passa au ras des cheveux de l’olympien surpris…d’un peu plus prés, l’arme l’aurait étranglée. L'olympien nous regarda, Mormus et moi, avec dédain. -Puisque de toute manière l'effet de surprise et passé je peux vous divulguer quelques informations qui pourrons peut être vous aider à comprendre... -Au début, je partais vers Héliké pour aider mes frères, qui cela dit en passant, on était attaqué pour vous et les nains alors qu'ils étaient affaiblie par la guerre face aux Elfes. Sur la route, j'ai reçu un message disant de rendre à un endroit et d'essayer d'arrêter les Géants rentrant à Zagnadar avec des trésors d'Héliké. J'ai donc travaillé plusieurs jours sur un moyen de vous arrêter avec les ressources mis à ma disposition. Je suis donc partie en éclaireur pour vous observer je n'ai pu en déduire qu'une chose qu'il fallait absolument qu'on vous prennes par surprise. Quand tout fut mis en place je me suis donc mêlé à votre groupe en vous faisant croire que nous recherchions des plantes et que je ne vous voulez aucun mal. J'admets que c'est lâche mais avais-je vraiment le choix face à des adversaires tel que vous? "Les fins sont une chose, les moyens révèlent ta nature." Les moyens que j'utilise visent à tenter de préserver les membres du groupe. Ils ne sont pas justes pour l'adversaire en effet mais imaginez si on avait pas réussi à vous prendre par surprise... On serait mort inutilement et surtout bêtement. Et d'ailleurs puisqu'on en ai à demander à l'adversaire de ce mettre à la place de l'autre, mettez vous à ma place. Regardez autour de vous, que voyez vous?... Je le laissais finir ses explications et répondit, outré, sur un ton qui mêlait colère et mépris. -Les géants ont ouvert Héliké, toute mon unité, les Guerriers de l'azur, s'est faite tuer par des sirènes pour que je puisse sortir ces richesse de là... Nous avons fait des cartes, trouvé la sortie,... et ça pourquoi ramener 4 bats sur la vingtaines que comporte Héliké... On vous en a pas laisser assez? Vous en voulez encore plus? D'autre part, Tes intentions étaient claires comme de l'eau de roche... Seulement nous n'avions aucun intérêt à nous prendre à toi... Parce que notre but est de ramener le plus vite possible ses richesses à Zagnadar. On n’a pas le temps de jouer avec vous. Mais vous n'arriverez pas à prendre nos bats, et que vous y arriviez ou non cela ne change rien... Personellement, je n'avais rien contre les olympiens jusqu'à maintenant... J'admirai même certains Chevaliers Noirs... Mais quand je vois comment vous agissez maintenant, de manière aussi détestable, qui vous pousse à voler le fruit du travail des autres... C'est donc ça la politique de l'empire!!... Je pense que vous venez de vous mettre une partie du peuple géant réellement à dos… Pour rien en plus, car ces richesses sont notre et le resteront ! On ne se battait contre vous que pour ramener quelques richesses et on comprenait que vous fassiez pareil... Mais en nous assassinant de cette manière, c'est nos efforts, le sacrifice de nos amis que vous tentez d'annihiler... Et pour répondre à votre question... effectivement, je vois beaucoup de géants autour de moi et une paire d'olympien qui essaye vainement de nous ratraper... Et bien Omura...Je serais tenté de vous conseiller de fuir tant qu'il est encore temps...mais je sais votre attachement a votre "mission", je ne vous ferez donc pas cette insulte… [on t'♥ Boss]
Nous ne devons jamais verser de larmes. Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur. Elles constituent la preuve que garder un coeur ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir. |
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Chapitre XX : CONTRE-ATTAQUE
(An 2031 Saison du chant du renouveau) Je fis un pas en arrière, signalant à mes compagnons d'armes d'attaquer. L’olympien attaqué de tout côté ne savait plus où donner de la tête et ce n’est que de justesse qu’il évita le coup de sac de Xou qui chercher à se venger. Mais toujours le sourire aux lèvres, il ne put éviter Goriht qu’il le planta par deux fois de sa lame, c’est alors que profitant de l’immobilité de l’olympien, Balgor, invoqua les esprits pour maudire l’ennemi puis lança une bolas qui noua les pieds d’Omura et le fit chuter. Après notre discussion, je ne put s’empêcher de tourner l’olympien en ridicule. -Joli coup Gorith…Magnifique tir Balgor…à qui maintenant ?? -Ahahah…tout se déroule selon mes plans…Le prochain sera Frédéricus…vous êtes si prévisibles. Je haussais les sourcils d’abord d’étonnement, en effet Frédéricus était le plus habile des géants restant, il serait donc le prochain à frapper pour blesser encore plus gravement l’olympien qui ne pourrait parer dans son état. Puis cet étonnement se transforma en une indifférence et une froideur des plus totale. -Et alors, qu’est-ce que tu crois que ça va changer ?? Fredericus ne laissa pas le temps à l’olympien de me répondre, et lui asséna un coup magistral. L’olympien se releva le visage ensanglanté. -Pour moi, ça ne changera plus rien…que je meurs ou non, j’ai déjà rempli mon office. Et l’olympien tenta de s’enfuir. -Zack ! Stoppe-le ! Rugis-je, à l’intention de mon élève. Zack s’interposa entre l’olympien et le trou que le cercle de géant laisser béant, et asséna à son tour un coup de bâton à l’adversaire…bien que l’adversaire soit beaucoup plus expérimenté et que mon élève soit beaucoup plus doué au tir, les frappes ne manquèrent pas leur but : l’olympien, trop préoccupé à essayer de fuir… -On a pas fini de discuter tous les deux…Si par-là tu fais allusion aux Sombres exécuteurs ou a un quelconque ralentissement ou affaiblissement…alors tu as échoué… Omura sourit…mais ce sourire n’étais plus un sourire narquois…il semblait heureux …ou dépité… -Il semble que vous ayez raison Deathscythe…j’ai lamentablement échoué…Néanmoins je suis heureux car j’ai réussi à tenir tête à sept géants bien entraînés… Je regardais autour de lui…Il était vrai que seul mon élève n’avait pas l’air très expérimenté dans le groupe…et encore…sur cette mission, il m’avait épaté, il avait d’ailleurs achevé un Chevalier noir du nom de Bahel’…Il progressait à une allure folle. J’avais eu l’impression de me revoir plus jeune, Zack me rappelé comme moi-même j’étais quelques années auparavant, lors de ma première formation à Tora, avant d’être pris comme élève par Deflagrator… Je reportais mon attention sur l’olympien lui confiant. -Si tu as pu nous tenir tête ainsi, c’est parce que nous n’avions pas l’intention de te combattre même si nous nous doutions que tu préparais un sale coup. Si tu avais passé ton chemin, rien de tout ça ne serait arrivé… Ne pouvant dégainer mon sabre, je me concentrais et créais de petites excroissances aux bouts des doigts de sa main droite. D’une dizaine de centimètre tranchante, pointue et tout aussi noires que le reste de sa protection, les fameuses « Griffes du Roc » des Sombrécorces. -Mais si tu es heureux temps mieux…et je le suis aussi car crois-moi…je ne fais vraiment pas ça par plais… Je n’eus pas le temps de finir ma phrase. Je venais de me faire déchirer l’épaule par une lame…un second coup vint me frapper le flan. Heureusement, la solidité du roc était toujours activée et avait considérablement réduit les dégâts. Je ne pus néanmoins pas se retenir de cracher une gorgée de sang. Encore un champion. Je reconnaissais Van, un autre membres de l’OdS. J’enrageais. -Saleté, de champion ! Mais vous pouvez pas vous tenir tranquille au lieu de me sauter dessus tout le temps !! -Mais !? Il a pas sauté… intervint Zack. [on t'♥ Boss]
Nous ne devons jamais verser de larmes. Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur. Elles constituent la preuve que garder un coeur ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir. |
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Chapitre XXI : LE MARCHE
(An 2031 Saison du chant du renouveau) Je restais abasourdit. Le champion venait de placer sa lame sous ma gorge. Je restais d’un calme placide. Lors de mes entraînements pour devenir assassin, il avait été soumis à ce genre de conditions… -Ton champion pourra jamais traverser ma Solidité du roc avec ça… L’olympien tenta alors de négocier, le champion retira sa lame, me permettant de me dégager. Je reculais jusqu’à Xou et tournais la tête pour murmurer quelques mots à l’oreille de Xou… -Ecoute-moi, bien…il existe une botte secrète à la technique de charge des géants du feu…Deflagrator me l’a enseigné il y a bien longtemps…il suffit de partir dans une direction et de donner un appui vers la cible pour faire une charge aérienne…cela permet également de charger en zigzag…quand je me retirerai, tu l’achèveras avec ça…. Le géant du feu écarquilla les yeux avant de lâcher un « bien ! chef… » à peine audible. -Bien… continua l’olympien …Je le concède, je suis au bord de la mort… Mais, nous avons vu que nous avions tout de même sévèrement blessé deux de vos porteurs, dont votre personne. Que diriez-vous d’une fin heureuse où tout le monde survit ? Je demande à mes hommes de se retirer et vous me laisser vivre d’accord ?? J’avais été formé pour être un assassin, je me devais d’être impitoyable… néanmoins, j’avais, par la suite, suivi l’entraînement de Deflagrator, qui m’avait inculqué des valeurs plus nobles. Qu’aurez fait un Chevalier noir ?... La réponse était si évidente que la question que je venais de me poser me sembla absurde. Puis, tous ces gens qui venaient se plaindre de leur mort, sur la grande assemblée, me revinrent en tête. Acte perpétrés par des ennemis qu’on pourrait leur qualifier d’héréditaire…Et si pour une fois, un peuple pouvait passer pour des gens bien qui ne tue pas à tour de bras ne pensant pas qu’à déchiqueter l’ennemi… Cette idée me plaisait beaucoup… Quel coup d’éclat pour les géants !…Un de plus… Mais cet olympien pouvait très bien me tromper, après tout, il n’avait plus rien à perdre, soit il mourrait bientôt, soit on lui laissait le temps de fuir, et si il utilisait ce temps pour monter une offensive, il mourrait quand même…mais Je sentais que cet olympien ne voulait vraiment pas mourir… -hmm…On a largement les moyens de t’écraser toi et ton champion avant que vous ayez le temps de préparer une autre offensive efficace…Où est notre intérêt ? Vous permettre de vivre c’est vous donner une possibilité de nous arnaquer !…Enfin avec une trahison comme celle-là, on aurait de quoi traîner la réputation de toute votre race dans la fange pendant des années… -Si je meurs,… tu meurs… Me répondit Omura. L’olympien semblait penser que le champion m’avait sévèrement touché, mais il n’en étais rien, de plus, le champion et l’agresseur pouvaient être achevé de manière très rapide. Un autre point important qu’Omura ignorait…J’avais demandé à Mormus de veiller sur moi et à tout instant, si il constatait que j’étais mortellement touché, il avait ordre de m’achever et de récupérer mon chargement…Personne ne pourrait alors empêcher Mormus, en pleine forme et avec sa solidité, de rejoindre Zagnadar. De plus, je n’aurais pas supporté d’être tué par un olympien dans de telles circonstances… -Ok, lança Omura…Van, Nikita partez c’est un ordre s’il y en un qui doit mourir ici c’est moi partez ! -Omu s’ils te tuent, nous voulons pouvoir te venger, nous restons !… Répliqua son champion A croire qu’il veut la mort de son leader. Pensais-je. -A quoi pensiez-vous au juste en nous attaquant ? Si vous aviez tout simplement passé votre chemin tout ceci n’aurait pas eu lieu… -Vous comprendrez plus tard…Tout ce que je peux vous dire, c’est que Xou aurait du mourir, il y a quelques jours déjà…mais nous avons eu quelques petits problèmes de communications. -Le même Xou aurait pu t’achever à l’instant. Mais il lui manquait une information pour ça…et je viens de lui la donner… L’olympien repris ce sourire narquois qu’il avait arboré toute la journée alors que le soleil se couchait. -Tu aurais tord de me sous-estimer, je ne pense pas que Xou seul puisse venir à bout de moi… -Et toi tu aurais tord de sous-estimer les sourceurs, ils sont dotés d’une force colossale, indispensable à leur occupation…tu peux peut-être survivre à un olympien, mais à un géant, cela m’étonnerais. -je sais de quoi sont capables les géants. Dit alors l’olympien montrant ses diverses blessures et contusions. -ça ? Rétorquais-je… Tu n’a jamais eu à encaisser les frappes de nos géants les plus fort ! J’avisais Keldus qui avait manqué l’olympien. Si elle l’avait touchée, il aurait compris. Je repris. -Je suis à peu prêt dans ton état que je sors d’un Entraînement avec Samir. Comme si l’olympien avait lu dans mes pensées, celui-ci dit… -Si vous m’épargnez, je ferai l’éloge de votre clémence ! Tout Olympia vous admirera pour votre magnanimité. Ouais ! Et pour notre crédulité aussi ! Pensais-je à ce moment, sentant l’entourloupe. Mon regard froid, comme toujours malgré sa couleur chaude, laissa supposer le pire à l’olympien. -Vous allez donc me tuer. L’olympien se résigner. Toujours sur un ton indifférent, Je lui dis… -On verra…Moi, je ne suis pas le chef, je gère et coordonne les troupes, mais celui à qui revient la décision politique, c’est Mormus, le gardien de la Terre, siégeant au conseil de Zagnadar… Ton arrogance lui a d’ailleurs fort déplut… Je doute qu’il décide de te laisser en vie C’est donc fini pour toi… Néanmoins, Esdeiogrh et son mentor Bayo que j’avais contacté pendant la journée étaient plutôt d’avis de le laisser en vie, et cette idée n’était pas pour me déplaire. Cependant, les risques étaient trop grands. -Voilà ce que je te propose. Dis-je alors. Tu ordonnes à tes hommes de partir. Toi tu restes ici en otage, tu ne bouges pas…Xou et moi nous partons un peu plus au nord-est, et quand on est assez loin, si toi et tes amis vous avez bien étaient gentils et respecté les consignes on te laisse en vie ça te va ?? -Oui. Dit l’olympien. Il avait accepté trop vite à mon goût. -Très bien. Quand était programmée votre attaque ? -Nikita devait lancer son assaut vers le zénith lunaire et Van à besoin de récupérer jusqu'à demain…Mais je n’ai qu’eux sous mes ordres. Un pigeon atterrit sur mon épaule. Le gardien de -=Terre=- avait été informé de la présence de sombre exécuteurs et de chevaliers noirs. Il sentait que l’OdS se retirait pour mieux nous faire achever par d’autres… -Je suis désolé, mais je te l’ai dit, je ne suis pas le chef et Mormus ne vous fait pas confiance, il pense, que d’autres olympiens nous achèveront. -mais je n’y peux rien -Je le sais bien. Je ferais mon possible…Commence donc par aller ranger tes affaires, avec un peu de chance l’attaque sera décalée…Mais tâche de bien respecter nos accords… -Merci, d’avoir essayé de m’aider ou de m’avoir aidé… Je répondis par un signe de main Mormus était au camp et ne voulant prendre de décision sans l’aval de mon gardien, j’avais finit les négociations sur ce gros point d’interrogation.…Chaque camp avait peur que l’autre trahisse. Omura retourna à son campement et Je fis de même, lorsque arrivant au bivouac géant, je vis Mormus baillant se diriger vers moi. -Paraît qu’tu voulions m’vouèr… J’avisais le feu derrière le gardien de -=Terre=-, duquel Esdeiogrh, Balgor et Einrich leur lançaient des regards curieux -Y’a plus dans cinq têtes que dans deux…c’est ce qu’on dit non ? Je montrais le feu du menton à Mormus qui acquiesçait. Nous nous approchâmes alors de l’âtre.(Chapitre XXI (Annexe)cf bas du sujet) Les débats battaient leurs pleins. Les instructions fusaient. Jusqu’à tard dans la nuit quand Xou, qui montait la garde vint voir ce qu’étais cette attroupement à une heure aussi tardive de la nuit. -Ben ? qu’est ce que vous faite les gars ? Demanda Xou avant de pousser un cri à déchirer les ténèbres. Ayant quitté son poste de garde, Nikita en avait profité pour s’introduire dans le camp et blessé grièvement Xou, rompant les accords établis avec Omura. Cette enflure d’Omura, il avait donc prévu tout ça depuis le début. C’était le signal pour les autres géants…Je l’avais promis à Xou, lorsque j’avais lancé l’opération « Omura must die »…Nous aurons sa tête avant qu’ils aient la tienne avais-je dit… et c’est alors que Balgor pris sa pioche et se dirigea vers Omura. Il asséna un puissant coup que l’olympien parra de justesse en roulant au sol, il n’eut pas cette chance pour le second qui ne fut pas loin de lui amputer un bras. -Attendez ! Attendez ! hurla l’Olympien… elle m’a désobéit, laisser moi vous aider à l’achever… Je fus étonné par la différence entre Omura et moi…nous étions tous deux grièvement blessé, mais j’étais prêt à mourir pour sauvé mon groupe et mon chargement, alors qu’Omura était prêt à tuer son groupe pour survivre…Le « nombrilisme » olympien dans toute sa splendeur… Mormus intervint alors. -‘Vec ct’e genre ed’ comporte-mentage, serions lui rend’ servage que edl’envoyer à Hades. Qu’il deuv respondre ed’ça d’vant les ceusses ed’sa race…ceusses-là le jugerions surement pô digne d’esteuve Salminarite… Au final, Omura avait sauvé sa peau, mais au prix de sa crédibilité. Ses troupes, qu’il avait promis de rappeler, refusèrent de lui obéit à leur grand tord, ils périrent tous deux sous les coups des même géants qui avaient mis à mal Omura… Xou et moi étions maintenant hors d’atteinte, nous avions rejoint le groupe de Kimon, chef des golems ardents, le groupe de l’oracle et des frères Endor. C’est alors que l’impossible se produit une seconde fois. Le même nain, qui avait déjà tué un géant pour obtenir son butin, sortit des bois, acheva Xou et récupéra son bat. C’est alors qu’il remarqua, la petite demi-douzaine de géants autour de lui, qui l’envoya chez Hadés grâce à Danos. Kiryak, un W&R, était le nouveau porteur du bat de Xou…Pauvre Xou, il avait survécu aux olympiens pour mourir comme ça…Néanmoins, les géants promirent au nain, avant de l’envoyer en enfer, qu’ils se reverraient et que l’issue ne serait pas différente de cette fois. Au même moment, ma protection s’effondra une seconde fois, mais cette fois rien d’alarmant, j’étais hors de danger, protégé par une dizaine d’autres géants…Plus rien ne semblait pouvoir arrêter les quatre porteurs géants qui filaient vers la cité des montagnes : Zagnadar… [on t'♥ Boss]
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Chapitre XXII : TOUT CA POUR CA
(An 2031 Saison du chant du renouveau) Nous avancions, nous les quatre porteurs de Zagnadar. Nous avions quitté Mormus et les autres voilà trois jours. Le gardien de -=Terre=- et moi nous étions séparer au milieu de la nuit. Nous avions décidé que tous les escorteurs maintenant nombreux établiraient une position pour stopper l’avancée olympienne et nous permettre de nous enfuir. Nous avions reçu un message ce matin même. Les olympiens s’étaient cassé les dents sur le campement de fortune de nos amis et après avoir bataillé trois jours durant s’étaient retirer constatant que nous étions déjà loin. C’est donc calmement que nous, les porteurs nous rentrions à Zagnadar. Quand tout à coup, Danos piqua un sprint en criant. -Le dernier arrivé paye sa tournée !! Ni une ni deux, j’accélérais le mouvement, passant presque sans les voir prés de mon groupe au champ de mandragore et arriver deux jours avant les autres. Pendant notre escapade dans les ruines, l’oracle avait chargé des agents de nous dénicher un expert. Je me rendais donc a l’endroit indiquer par l’oracle dans son pigeon. J’y trouvais une vieille tente, remplit d’armes antiques, d’objets bizarres semblant dater de toutes époques, et de choses et d’autre. Et au milieu de toutes ces antiquités, une autre vieillerie, un petit géant rabougri. Dés le premier contact j’ai senti que je n’allais pas l’aimer. -Ah enfin ! ça fait huit jours que je poirote ici à vous attendre… J’en restais abasourdit. Est-ce qu’il avait une idée d’où j’étais, il y a une semaine, et d’où j’étais depuis deux saisons. Je décidais de ne pas relever, j’avais envie d’en finir avec ce harnachement qui m’entravait et me pesait. -C’est ça, c’est ça. Répliquais-je, faisant tomber une dague de ma manche et sectionnant les sangles, laissant tout le fatras se répandre au sol. Le vieux géant s’agenouilla et commença à examiner l’ensemble. -Ce sont de belles pièces que vous m’amenez là… je vous en donne 200 pièces. N’ayant pas la force de négocier j’acceptais son offre. J’allais sortir quand il me dit. -Tout compte fait, je préférerais avoir un peu plus de temps pour l’examiner, si cela se trouve, il vaut bien plus. Je levais les yeux au ciel légèrement exaspéré. Mais ne demandant qu’à me reposer, je n’insistais pas, lui rendais l’or et m’apprêtais à me saisir du sac quand je me souvins que j’avais coupé les sangles. -Et bin… J’vais rire… Je traînais mon harnachement jusqu'à la forge temps bien que mal. Et alors que j’arrivais à la forge, pensant pouvoir me reposer, je la trouvais en pleine ébullition, apparemment des travaux d’agrandissement y avaient commencé récemment. -J’vais jamais pourvoir dormir avec tout ce bordel, moi… Je regardais mon sac avec dépit, je n’avais pas envie de le tirer à nouveau jusqu'à la caserne. Tant pis. Me dis-je. Je rentrais dans le chantier. -Halte là !On ne passe pas. Je commençais à être passablement irascible. Je me retournais vers mon interlocuteur qui s’avéra être une garde intérieur de la cité. -J’habite ici. -Pas mon problème ! Le chantier est interdit au civil. -Justement, j’suis pas un civil mon gros. Je sortais mon blason. Deathscythe, mentor de -=Terre=- chez les Rocs, ça te dit quelque chose ? ou t’es pas au courant ? -Excusez-moi monsieur ! Mais même si je vous laissais rentrer, tout est en branle-bas ici. Je soupirais et me remis à tirer mon chargement jusqu'à la caserne. J’arrivais enfin a mon bureau, posais ma main sur le mur du fond et activais la solidité du roc, ouvrant ainsi une porte dérobée, seul accès à mon logement de fonction à la caserne. J’y entreposais le sac et m’effondrais sur le lit. -Quel bordel cette histoire, j’vous jure… Suite: "Choix Elementaires" [on t'♥ Boss]
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Et ba il t'en aura fallu du temps pour parler de la raison qui te pousses à vouer cette haine immense à omura ! ![]() Bien rédigé sinon !! [Famille Falk]
La Liberté est enfin à portée ! |
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HRP/:bah j'ai eu un prob de connec en rentrant de vacances ça fait deux trois semaines que j'avais pu de connec ![]() ![]() A au fait grand merci a toi légan... t'es le premier qui attend que la chronique soit finie pour poster... MERCI!:/HRP [on t'♥ Boss]
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^^ pas de problème, j'attends de voir comment tu décriras ma compétence spéciale alliée ^^ [Famille Falk]
La Liberté est enfin à portée ! |
Par Google   |
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t'inquiéte pas je vais lui filler un coup de main pour ce parragraphe là legan, j'ai encore la rage ![]() Sinon death comme toujours trés plaisant a lire ![]() [on t'♥ Boss]
Samir [Gardien élementaire -=FEU=-] Rocs de Zagnadar La ou la terre tremble, un geant n'est jamais loin ! |
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Désolé de remonter les vieux sujets, mais je viens de retrouver un vieux truc en faisant du ménage ^^... petits remerciements a Mormus, Balgor, Xou, Esde et Einrich avec qui on avait passer une nuit de folie sur MSN pour passer nos Bats ^^ voilà un petit condensé de notre conseil de guerre...
N.B.: Mormus connecté ça vallait bien une chro ^^... Chapitre XXI (Annexe) : LE MARCHE : CONSEIL DE GUERRE (An 2031 Saison du chant du renouveau) Nous nous approchâmes alors de l’âtre… et résumions la situation a Esdeiogrh, Balgor et Einrich. -Keldus, s’apprête à lancer son assaut…on fait quoi ?? Dit alors Esdeiogrh. -On l’abat ? Demandais-je. -Moi j’soyions pour… Dit Mormus -C’est pas justeuh…il était pour moi normalement… Protesta Balgor en contemplant sa pioche …mais temps pis… -On a encore besoin de tes bolas demain pour ralentir son champion, Balgor. Argumentais-je. Mais, il m’a dit qu’il avait encore de la ressource…s’il ne meurt pas, Esdeiogrh, tu l’achèveras…Après son attaque je voudrais que Keldus revienne à l’arrière garde pour bloquer l’autre éclaireur…Nikita - Pfiou…Hey chef…J’ai besoin de repos moi…Jvous rappelle que je porte aussi un de ces trucs. Esdeiogrh désigna son bat posé quelques mètres plus loin. Mais qu’est ce qu’ils ont bien pu foutre là-dedans pour que ça pèse aussi lourd ?! -Ok, bon s’il survit, Balgor l’achève…Mais garde des forces…Mon élève ne pourras pas toucher ce champion à moins que nous l’affaiblissions beaucoup et vous êtes les deux seuls du groupe à utiliser des bolas… -On pourrait le bloquer, le champion ? proposa Mormus -Et moi je pourrais le maudire... Dit Esdeiogrh. -Nos malédictions ne sont pas assez puissantes. Répondit Balgor. -Quant au champion, répliquais-je, c’est inutile d’essayer de le bloquer, il sautera par au-dessus de nos lignes de défense. Le seul moyen de l’immobiliser efficacement c’est de le plaquer au sol et de pu le laisser bouger. -Bon demain matin, tu ne perd pas une seconde. Me dit alors. Dés que tu as bougé, de notre position, je leur bloquerai le passage et couvrirai tes arrières. -Esde’ quand t’esque tut’ bougions ?? Faudrais qu’tu soyions interpositionné entre Death’ et l’aut Salminarite, pour qui l’essaye de provoquer un asquident ed’chantier. Met bien ton casque Death ! Dit Mormus -Une ptite heure après Balgor je pense, histoire d’apporter du renfort mais sans trop m’exposer, jvous rerapelle que j’en porte un aussi. Esdeiogrh montra a nouveau son bat. Mais si de toute façon Omura est mort… -Bon j’récapitulions. Keldus cogne et va s’interpositionnée sur nikita. Balgor tue Omura et fait ed Van un Sac ed’neu. Esde, bouge et s’interpositionne sur Omura s’il a pas eu d’asquident ed chantier… -Boss…Je crois que Keldus va le finir, elle broie de la salpêtre à mains nues, c’est pas un olympien qui va l’arrêter. Confia Balgor à Mormus. -Dans es cas là, faite du plaquage de saliminarite toi et esde immobilisaient-le. Je leur souhaite bonne chance aux salminarites, sans leur chef ça va être coton. -Faite quand même attention au deux autres… Conseillais-je. Un d’entre eux et un champion et la jeunette à l’air de cogner plutôt fort même si c’est loin d’être Keldus… -Elle est pas résistante. Contesta Esdeiogrh. -Et pour l’autre, on a des bolas…belle invention… Renchérit Balgor. -Et si vous avez besoin, j’ai des potions. Finit Mormus. -Alors, on est d’accord…Allons les poutrer !! Dis-je, galvanisant mes hommes. Un pigeon se posa sur l’épaule de Mormus. Le gardien déplia le petit bout de papier attaché à la patte du volatile. Mormus éclata de rire tendant le bout de parchemin à deathscythe qui le lu à haute voix : Je regarde les heures tourner et je regarde mes hommes qui ne bouge toujours pas malgré mes ordres Puis-je avoir un délai? Je promet de pas bouger et de rendre les armes. Omura -hmmm…Il ment ! Décréta Mormus. -Oui ! Réponds-lui ça : « Tu mens ! » J’aimerai bien voir ce qu’il va opposer à ça. Dénigra Balgor avec un ricanement. -Au fait, en parlant de délai, que fait Keldus ?? Demandais-je. -C’est vrai ça. Confirma Mormus C’est alors que… Xou, qui montait la garde, vint voir ce qu’étais cet attroupement à une heure aussi tardive de la nuit. [on t'♥ Boss]
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