Par Bleu le 28/08/2006 à 20:02 Me voila sur le front, avec une pas plus grande envie que ça de me battre, mais bon les ordres c’est les ordres, des nains sont à mes cotés, leurs haches luisent autant que leurs yeux, une lueur d’envie, d’envie de massacre. Ils sont sympa ces nains, ils viennent nous aider alors que l’Empire nous a déclaré la guerre, à nous rebelles, enfin, je comprend que l’empire veuille nous déclarer la guerre.
Il y a pas si longtemps des paladins se sont approchés des grandes fosses, alors nous les avons chassé, leur chef de groupe est tombé sous les coups, il s’est avéré ensuite que cet homme était plus que le chef de groupe mais le champion de l’impératrice, tu m’étonnes que ça à du chauffer à la cité, le fait est qu’ ils ont une façon bizarre de faire la guerre, ces olympiens, à peine on arrive, qu’ils s’enfuient avec de gros sacs pleins de fer et de cailloux qu’ils nous ont taxer dans les mines, et apparemment ils sont fiers d’eux. On a connut plus courageux comme adversaires. Le chef nain Kadrim a donné l’assaut hier, et voila que depuis cet ordre, une foule de nains s’élancent vers les fuyards, je suis pris dans la masse et, malgré moi je m’élance dans cette course poursuite ou les moins rapides tombent comme des mouches laissant derrière eux leurs précieuse cargaison.
Voila qu’un homme vêtue d’une armure frappée des armoiries de Lardanium, un vil ennemi à moi donc… fonce sur moi en hurlant : rebelle !! Je me demande comment il a fait pour me démasquer, peut être à ma beauté qui sais, je trouve la scène particulièrement ridicule je ne sais pas ce qu’il veut prouver en m’attaquant comme ça, il est tout blessé, du sang perle sur sont front, sa démarche est lourde et son épée pèse à ses bras endoloris. Il tente une attaque frontale, trop lente, je fais un pas sur le coté esquivant facilement cette attaque. L’homme emporté par son élan tombe à genoux dans l’herbe. Il me regarde, pas le temps de m’émouvoir, je lui enfonce mon épée dans le dos, l’armure n’offrit qu’une faible résistance sous l’impact et la colonne vertébrale encore moins, l’épée le traversa donc de part en part dans une giclée de sang abjecte, je retire mon arme d’un coup sec l’homme s’effondre, laissant voir une plaie béante dans son dos. Mon cerveau se bloque sur cette image immonde, je tourne la tête et vomis un grand coup, mélange de sang et de bile. Un nain me tape l’épaule, je vomis encore une fois puis me retourne vers le nain qui me regarde en souriant puis me sort avec un accent propre au nains :
-« Bah alors mon grand gaillard, la guerre c’est pas fait pour les femmes fleurs (c est ce que m’as marqué Word à la correction de femellette ^^) t’as pas finis de dégobiller si à chaque mort tes entrailles se nouent »
Puis il m’aide à me relever et repart en courant.
Femme-fleur, Femme-fleur, il est fou ce nain oh !!
Je n’ose regarder le cadavre à coté de moi, pourquoi est-ce que je lui ait ôté la vie ? Pourquoi, faut il que nous nous entretuons, pourquoi l’idée de liberté qui nous hante, fait elle naître chez nos ennemis un si grand sentiment de dégoût. Pendant que je suis en train de réfléchir les autres sont déjà tous partis et je suis tout seul dans cette grande plaine jonché de cadavres, le spectacle est peu ragoûtant, il y a là des hommes, des femmes, des vieillards, des plus jeunes, des nains, des elfes, des olympiens. Je prends peur, quel gâchis toutes ces femmes mortes. Et voila que je me met à courir sans même l’avoir commandé à mes jambes, je cours, j’aperçois Kardim au loin, il me hurle quelque chose, mais je ne comprends pas ce qu’il dit, comprenant mon incompréhension, il se tape la tête d’agacement et pointe le doigt devant lui. Alors je l’aperçois, à quelques mètres de moi, une boite de conserve sur pattes, blindé de la tête au pied portant une arme bizarre que je ne saurais vous décrire, à en voir l’état de son armure je comprend que l’humanoïde devant moi à subit de nombreuses attaques, à vrai dire, un nombre exceptionnel de coups, à sa démarche chancelante je comprend rapidement que la carapace mobile est sur le point de mourir. Soit, je serais Bleu le charognard aujourd’hui.Je m’élance et porte un coup en concentrant toute ma force dans l’attaque sur l’armure vivante qui, dans un grand « Zboiiingggg » s’effondre, mort. Tous les nains assistant à la scène m’applaudissent, ils semblent apprécier le spectacle d’un jeune homme assez maniéré essayant de taper dans un bloc de ferraille, je les enmer***. Je suis dégoûté de cette violence, et lui pourquoi est il mort ? Et pour quelle cause ? Peut être qu’à cause de cet idéo nous devenons pire que Salminar elle-même ? Je ne peux supporté cette idée, je préfère mourir, je ne veux plus rien savoir,plus rien voir, alors je cours, je cours droit dans les lignes ennemies, lâchant mon arme au passage, je m’infiltre dans cette masse d’olympiens, d’hommes semblables. Sommes nous si différents ? Au début ils sont déconcertés, que fait cet abrutit dans leurs rangs :désarmé, les larmes aux joues.
-« C’est qui ce gars ? demanda celui qui semblait être le chef de la résistance olympienne.
Un des soldats crie mon nom et dit que je suis un rebelle. Le chef me regarde dans les yeux, une lueur de fierté passe dans son visage et puis dit à ses hommes : « Abattez ce traître, ce chien… A ce moment là un flot de coups s’abat sur mon corps, mon visage. C’est la fin. Je n’ai qu’un seul regret, un si beau corps, un si beau visage, mutilé à ce point c’est pas normal ça !
Je suis à présent dans un endroit tout noir, il fait sombre, ça pue, et puis j’ai la dalle, mes vêtements sont déchirés. J’ hurle à l’injustice, comment est il possible que moi , qui suis si raffiné, qui ai tant de classe, me sois-je retrouvé dans une telle situation ? Alors, je sens une présence dans mon dos… Je me retourne et là, je vois un homme plus grand que moi, mais qui n’est pas un géant. Ses habits sont frais, il sent bon, tout de cet homme respire l’assurance, il émane une puissance inimaginable, alors que je le contemple comme une apparition, l’être prit la parole d’une voix suave, sucré, forte, d’un autre monde :
- Bonjour à toi, je suis Hadès, maître de ces lieux, tu m’as dérangé par tes cris. Que t’arrive t’il, pourquoi cris tu ?
Je n’allais quand même pas bassiner ce cher Hadès avec mes petits problèmes de bien être.
- Je hurle à l’injustice de ce monde !
- Toutes les personnes qui arrivent ici hurlent à l’injustice…
- Oui mais vous êtes un dieu, ne pouvez vous rien contre ce monde ou les hommes, les frères se battent et s’entretuent juste pour des idées divergentes ?
- Et toi que fais tu pour que ça change ? Pourquoi voulez-vous toujours que nous changions les choses, nous les Dieux. Agis-tu, toi?
- Mais je n’ai aucun pouvoir, aucune force, je voudrais ne plus voir tant d’horreur.
- Tu ne veux plus voir tant d’horreur ?
- Oui ce serais, même, mon désir le plus hardant.
Hadès eut un rire à faire trembler de peur le plus courageux des soldats. Soit ! Aujourd’hui ton vœu va être exaucé. Hadès leva sa main et m’appliqua une gifle, mais au lieu que sa main me fracasse la joue, celle-ci passa à travers ma tête et lorsqu’elle ressortit… Il fit tout noir.
-Hahahahahaha !!!!!!! Voila ! Maintenant tu ne verras plus toutes ces horreurs.
- Que… que… que m’as-tu fais ?
- je t’ai enlevé la vue, tu ne voulais plus voir, tu ne verras plus. Dit-il. Et, sur ce, il disparut. Me laissant à mon désespoir…Dans ces ténèbres qui m’entouraient à présent.
Il y a pas si longtemps des paladins se sont approchés des grandes fosses, alors nous les avons chassé, leur chef de groupe est tombé sous les coups, il s’est avéré ensuite que cet homme était plus que le chef de groupe mais le champion de l’impératrice, tu m’étonnes que ça à du chauffer à la cité, le fait est qu’ ils ont une façon bizarre de faire la guerre, ces olympiens, à peine on arrive, qu’ils s’enfuient avec de gros sacs pleins de fer et de cailloux qu’ils nous ont taxer dans les mines, et apparemment ils sont fiers d’eux. On a connut plus courageux comme adversaires. Le chef nain Kadrim a donné l’assaut hier, et voila que depuis cet ordre, une foule de nains s’élancent vers les fuyards, je suis pris dans la masse et, malgré moi je m’élance dans cette course poursuite ou les moins rapides tombent comme des mouches laissant derrière eux leurs précieuse cargaison.
Voila qu’un homme vêtue d’une armure frappée des armoiries de Lardanium, un vil ennemi à moi donc… fonce sur moi en hurlant : rebelle !! Je me demande comment il a fait pour me démasquer, peut être à ma beauté qui sais, je trouve la scène particulièrement ridicule je ne sais pas ce qu’il veut prouver en m’attaquant comme ça, il est tout blessé, du sang perle sur sont front, sa démarche est lourde et son épée pèse à ses bras endoloris. Il tente une attaque frontale, trop lente, je fais un pas sur le coté esquivant facilement cette attaque. L’homme emporté par son élan tombe à genoux dans l’herbe. Il me regarde, pas le temps de m’émouvoir, je lui enfonce mon épée dans le dos, l’armure n’offrit qu’une faible résistance sous l’impact et la colonne vertébrale encore moins, l’épée le traversa donc de part en part dans une giclée de sang abjecte, je retire mon arme d’un coup sec l’homme s’effondre, laissant voir une plaie béante dans son dos. Mon cerveau se bloque sur cette image immonde, je tourne la tête et vomis un grand coup, mélange de sang et de bile. Un nain me tape l’épaule, je vomis encore une fois puis me retourne vers le nain qui me regarde en souriant puis me sort avec un accent propre au nains :
-« Bah alors mon grand gaillard, la guerre c’est pas fait pour les femmes fleurs (c est ce que m’as marqué Word à la correction de femellette ^^) t’as pas finis de dégobiller si à chaque mort tes entrailles se nouent »
Puis il m’aide à me relever et repart en courant.
Femme-fleur, Femme-fleur, il est fou ce nain oh !!
Je n’ose regarder le cadavre à coté de moi, pourquoi est-ce que je lui ait ôté la vie ? Pourquoi, faut il que nous nous entretuons, pourquoi l’idée de liberté qui nous hante, fait elle naître chez nos ennemis un si grand sentiment de dégoût. Pendant que je suis en train de réfléchir les autres sont déjà tous partis et je suis tout seul dans cette grande plaine jonché de cadavres, le spectacle est peu ragoûtant, il y a là des hommes, des femmes, des vieillards, des plus jeunes, des nains, des elfes, des olympiens. Je prends peur, quel gâchis toutes ces femmes mortes. Et voila que je me met à courir sans même l’avoir commandé à mes jambes, je cours, j’aperçois Kardim au loin, il me hurle quelque chose, mais je ne comprends pas ce qu’il dit, comprenant mon incompréhension, il se tape la tête d’agacement et pointe le doigt devant lui. Alors je l’aperçois, à quelques mètres de moi, une boite de conserve sur pattes, blindé de la tête au pied portant une arme bizarre que je ne saurais vous décrire, à en voir l’état de son armure je comprend que l’humanoïde devant moi à subit de nombreuses attaques, à vrai dire, un nombre exceptionnel de coups, à sa démarche chancelante je comprend rapidement que la carapace mobile est sur le point de mourir. Soit, je serais Bleu le charognard aujourd’hui.Je m’élance et porte un coup en concentrant toute ma force dans l’attaque sur l’armure vivante qui, dans un grand « Zboiiingggg » s’effondre, mort. Tous les nains assistant à la scène m’applaudissent, ils semblent apprécier le spectacle d’un jeune homme assez maniéré essayant de taper dans un bloc de ferraille, je les enmer***. Je suis dégoûté de cette violence, et lui pourquoi est il mort ? Et pour quelle cause ? Peut être qu’à cause de cet idéo nous devenons pire que Salminar elle-même ? Je ne peux supporté cette idée, je préfère mourir, je ne veux plus rien savoir,plus rien voir, alors je cours, je cours droit dans les lignes ennemies, lâchant mon arme au passage, je m’infiltre dans cette masse d’olympiens, d’hommes semblables. Sommes nous si différents ? Au début ils sont déconcertés, que fait cet abrutit dans leurs rangs :désarmé, les larmes aux joues.
-« C’est qui ce gars ? demanda celui qui semblait être le chef de la résistance olympienne.
Un des soldats crie mon nom et dit que je suis un rebelle. Le chef me regarde dans les yeux, une lueur de fierté passe dans son visage et puis dit à ses hommes : « Abattez ce traître, ce chien… A ce moment là un flot de coups s’abat sur mon corps, mon visage. C’est la fin. Je n’ai qu’un seul regret, un si beau corps, un si beau visage, mutilé à ce point c’est pas normal ça !
Je suis à présent dans un endroit tout noir, il fait sombre, ça pue, et puis j’ai la dalle, mes vêtements sont déchirés. J’ hurle à l’injustice, comment est il possible que moi , qui suis si raffiné, qui ai tant de classe, me sois-je retrouvé dans une telle situation ? Alors, je sens une présence dans mon dos… Je me retourne et là, je vois un homme plus grand que moi, mais qui n’est pas un géant. Ses habits sont frais, il sent bon, tout de cet homme respire l’assurance, il émane une puissance inimaginable, alors que je le contemple comme une apparition, l’être prit la parole d’une voix suave, sucré, forte, d’un autre monde :
- Bonjour à toi, je suis Hadès, maître de ces lieux, tu m’as dérangé par tes cris. Que t’arrive t’il, pourquoi cris tu ?
Je n’allais quand même pas bassiner ce cher Hadès avec mes petits problèmes de bien être.
- Je hurle à l’injustice de ce monde !
- Toutes les personnes qui arrivent ici hurlent à l’injustice…
- Oui mais vous êtes un dieu, ne pouvez vous rien contre ce monde ou les hommes, les frères se battent et s’entretuent juste pour des idées divergentes ?
- Et toi que fais tu pour que ça change ? Pourquoi voulez-vous toujours que nous changions les choses, nous les Dieux. Agis-tu, toi?
- Mais je n’ai aucun pouvoir, aucune force, je voudrais ne plus voir tant d’horreur.
- Tu ne veux plus voir tant d’horreur ?
- Oui ce serais, même, mon désir le plus hardant.
Hadès eut un rire à faire trembler de peur le plus courageux des soldats. Soit ! Aujourd’hui ton vœu va être exaucé. Hadès leva sa main et m’appliqua une gifle, mais au lieu que sa main me fracasse la joue, celle-ci passa à travers ma tête et lorsqu’elle ressortit… Il fit tout noir.
-Hahahahahaha !!!!!!! Voila ! Maintenant tu ne verras plus toutes ces horreurs.
- Que… que… que m’as-tu fais ?
- je t’ai enlevé la vue, tu ne voulais plus voir, tu ne verras plus. Dit-il. Et, sur ce, il disparut. Me laissant à mon désespoir…Dans ces ténèbres qui m’entouraient à présent.
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