Legends of Olympia : La Litanie du Passé - Ces dessins qui emmènent loin!
Choix des forums  |  Revenir au forum  |  Page d'accueil

Ces dessins qui emmènent loin!
Topic visité 530 fois
Dernière réponse le 07/06/2007 à 22:57

elfe Par Aislinn  le 24/09/2006 à 13:40

HRP - chronique contant le concours de Zeus et ce qui en à découler entre le Caracal et les sourceurs - HRP


A l’ombre d’un large et majestueux hêtre, Aislinn était étendu, lové entre les protubérances épaisses de racines solides, l’elfe tenait une plume dans la main et s’essayait pensivement à noter quelques mots dans un vieux journal abîmé...

« A bien y penser, cette histoire fut cocasse et inattendue. Dire que j’ai développé un attrait passionnel pour l’art et le dessin en général serait un mensonge éhonté que mes manières et mon désintérêt flagrant pour ces matières ne pourraient cacher bien longtemps or cette fois-là, il en fut autrement…Je ne saurais dire pourquoi. Ma mémoire me joue décidément des tours car je ne pourrai non plus replacer avec précision le jour où nous avons tous lu ce courrier qui se résumait à :

« Jeune artiste en herbe, Maître ou encore apprenti ? Qui que vous soyez, Votre talent est peut-être celui qu’on cherche…Pour le plaisir de Zeus, le dessin architecturale le plus approprié au divin roi des rois et sa curie sera récompensé par la création de sa réalisation ! »

Bref, concis…je me rappelle avoir été le seul sur le moment à me sentir interpellé comme si ce message distillé à l’intrigue m’était précisément adressé. Chacun qui m’accompagne pourrait vous le dire ; il m’en faut moins pour exciter ma curiosité. Mes compagnons d’ailleurs ne manquèrent pas cette fois-là de s’en amuser croyant à une belle fumisterie organisée par un sombre prêtre de Zeus désireux de chercher de nouveaux plans pour une nouvelle demeure…

C’est ainsi que de façon inattendue, cette idée de projet s’insinua lentement dans mon esprit au point qu’il me fallut peu de temps pour avoir l’envie de m’y consacrer, moins pour la récompense potentielle que pour répondre à la simple question : je la voudrais comment moi ma demeure ?

Il est étonnant de voir avec le recul comment ma démarche dans ce projet a évolué au fil du temps, quelle horreur de me revoir à mes débuts copier et m’inspirer dans leurs grandes lignes des bâtiments délabrés de Na’Helli. Un cruel manque d’inspiration qui se mua en un sursaut d’orgueil d’un pseudo artiste tout à fait incomplet et médiocre ! En fait, ma réponse vint inopinément au sortir d’une taverne poisseuse (!!), où passablement imbibé d’alcool et affalé au sol, j’eus le déclic…Pourquoi participer si ce n’est toi qui le fait ? Où est ta démarche personnelle ? Est-ce si dure de trouver l’angle d’attaque pour un dessin ? Toutes ces questions qui ne cessaient de me tarauder trouvèrent réponses ce soir là par un simple jeu de perspectives. Dès le lendemain, mes compagnons, perplexes, me virent jeter mes honteuses premières ébauches qui suintaient subitement à mes yeux de beaucoup de malhonnêtetés et d’hypocrisie. Je me rappelle encore leur avoir dit :

« J’étais dans l’erreur depuis le début ! Il ne s’agit pas simplement de faire ce dessin vulgairement mais de le faire correspondre à ce que je suis ! …je sais maintenant ce que je veux ! »
« Et es-tu obligé de dessiner pour cette blague ? »
« J’irai jusqu’au bout ! »

Heureusement qu’intrinsèquement le ridicule ne me fait pas fuir, combien de fois j’ai pensé aux artistes chevronnés à qui j’allais être confronté, mais convaincu de tenir le bon concept, je ne voulais pas reculer et au contraire, je m’appliquait pour chaque dessin, tantôt m’inspirant de la robustesse d’un roc, de l’élégance d’un arbre, des gravures sur les ailes des papillons, … pour tenter à chaque fois de l’intégrer dans un dessin d’une demeure somme toute bien classique…. Je sais où est ma place et elle n’est pas en tant qu’avant-gardiste architectural! Bientôt mes ébauches s’accumulèrent mais je me résolus bien vite à n’en garder que cinq. Celles-ci furent alors envoyées à un obscur messager, embauché pour l’occasion sans doute…..

A partir de là, l’histoire devint étonnante…

Bien des jours après, j’étais en train de camper (cela fait quelques semaines à cette date) lorsque mon regard fut attiré par une lumière intense qui vint de ma tente. Inquiet, je partis inspecter et avec stupéfaction, je vis tous mes plans et dessins de mes cinq ébauches disparus, envolés…mais à la place, je vis un sublime parchemin d’or scintillant avec un motif central en forme de foudre sur lequel était écrit ces simples mots :
Je ne veux savoir qu’une chose : où ?

Je ne pourrais décrire ma stupéfaction tant elle était totale et incroyable. J’en bégayais ! Quel plaisir éprouverait mes amis s’il savait que par peur de contrarier le Grand Zeus, j’ai tenté ridiculement de communiquer avec lui en bafouillant à son parchemin !!

« Euh ? C’est que…je ne m’attendais p…. »
« C’est un grand honneur …Alors ce n’ét…euh .ait pas…euhh.. une farce ? »
J’étais complètement perdu devant son silence, la panique n’était pas loin de s’emparer de moi ! Croyant finalement qu’il voulait juste ma réponse, je répondis plus fermement :

« Euh...C’est un chouette endroit ici, …non ? »

Après une heure de monologue, j’ai fini par comprendre qu’il me faudrait trouver un autre moyen de communiquer avec le bougre tout divin qu’il soit. J’étais passablement contrarié : il mettait pas la notice pour savoir comment communiquer ! »


************************************

- Aislinn ?
L’elfe absorbé à écrire se redressa et interrogea du regard celui qui venait de l’interrompre lorsque celui-ci continua :
- Je n’aime pas te déranger mais nos compagnons se languissent dans cette inaction, depuis cette histoire de guilde, nous en sommes réduit à camper dans cette clairière et tout le monde ronge son frein alors qu’à cette époque, on traque habituellement le gibier à la lisière Nord de la Grande Barrière (ndlr : autre nom utilisé par qlqs rares rôdeurs des lunes pour désigner les monts de la désolation). Personne ne comprend ce que tu fais et j’ai du mal à canaliser l’énergie de certains …Une mine réellement embarrassée empourprait son visage.

Aislinn, attentif, lui répondit rêveur :

- La vérité Aerendil…c’est que je ne sais pas quoi faire du don de Zeus et cela me torture l’esprit de trouver une réponse à une question que je n’arrive même pas vraiment à formuler… Est-ce que je fantasme ou suis-je dans le vrai? Tu me le rappelles cruellement ; nous bougeons sans cesse et jamais aucun de vous n’acceptera de s’établir où que ce soit durablement, alors que faire ? Vexer un dieu qui verra son présent dédaigné ou encore plus dangereux, s’essayer futilement à l’hypocrisie ? Dans les deux cas, nous pourrions le payer très cher…Il va nous falloir jouer avec finesse mais peut-on seulement jouer avec un dieu ?

- Je ne voyais pas les choses sous cet angle, je dois te l’avouer.

- Moi non plus jusqu’il y a peu…mais plus le temps passe et plus ce silence me fait frémir, croit-il à un mépris de ma part ? S’amuse-t-il au contraire de ma stupidité à ne pas pouvoir lui répondre ? Si je ne fais rien, que se passera-t-il ? J’aimerais croire que l’oubli l’ait saisi à mon sujet mais je n’oserais en prendre le risque : le courroux d’un dieu est une malédiction trop terrible pour qu’on pense à le tenter ! Oui Aerendil, je tremble à l’idée de lui déplaire….

- Ce que tu me dis là me bouleverse mon ami…en même temps, je ne sais pas quoi dire ou faire…L’elfe en face d’Aislinn se sentait soudain émut devant la gravité de la situation inattendue dépeinte par son ami. Aislinn lui répondit :
- Quelle sentiment d’impuissance désagréable, n’est-ce pas ? Aerendil ne répondit pas.

- Il vaut mieux que je te laisse, je ne fais que te distraire et m’en voudrais de continuer…Aislinn lui sourit, reconnaissant de son attention. Aerendil allait se retirer lorsqu’il rajouta sur un ton plus jovial : ah...j’oubliais, les flèches achetées à Zagnadar n’ont pas la côte ; trop grossières, Tinwilarie dit même qu’elles sont souvent mal équilibrées et s’en servirait pas pour curer les dents d’un olympien !

Aislinn éclata de rire à la plaisanterie et enchaîna : Si les sourceurs entendaient pareils propos sur la qualité de leurs marchandises, j’en connais qui deviendraient vert ! Les deux elfes rirent à nouveaux et se séparèrent.

'Les sourceurs, quelle bande de joyeux drilles ceux-là' !

Pensif quelques secondes, Aislinn se redressa d’un bond.
...Mais j’y pense….en voilà une idée !!



hs Par Alpha  le 24/09/2006 à 17:49

Vraiment rien à dire très belle chronique !



-= Alpha ~ Serviteur du puissant Hades =-
L'efficacité ne dépend pas de la taille de l'armée,
Mais du professionnalisme des hommes qui la composent....

~> IQuatar and i believe in Hades.

geant Par Morgoth  le 24/09/2006 à 20:11


Morgoth, revenant d’une dure journée de labeur s’était dirigé vers la grande assemblée pour écouter les multiples ragots, les discours qui ne mènent à rien ou presque. Ça l’amusait de voir les différentes races s’accuser, se disputer, se chamailler comme des gosses.

Il allait toujours au même endroit, au nord des discussions, assis sur une caisse en bois. Il posait comme à chaque fois son sac à côté et somnolait.

Ce jour là, il avisa un nain, un tout petit, tout rabougrit, le visage marqué par l’âge. Il avait toujours exprimé de la sympathie pour ce peuple et il lui demanda gentiment.

- Hep toi, oui toi, le nain, t’as pas une pierre pour aiguiser ma pioche ? Ce serait sympa.
- Il se prend pour qui le grand machin, moi j’écoute et j’ai pas le temps de te passer mes affaires.


C’est très aimable un nain en colère. Enfin bon, Morgoth ferma les yeux, et bercé par les paroles, s’endormit. Une brise fraîche et quelques gouttes de pluie le réveillèrent. Des éclairs jaillirent du ciel, l’un d’eux frappa au centre de l’Assemblée. Mais Morgoth ne regardait pas, on venait de lui voler des pièces d’or.

Une voix caverneuse retentit :

Oyez, oyez simples mortels!

Un géant, plus grand qu’un géant, barbu, vêtu d’une toge blanche se tenait au centre, là même où était tombé l’éclair. Zeus, le Dieu du ciel. Il fit taire l’assemblée, même si ce n’était pas vraiment nécessaire et continua.

Moi Zeus dieu des dieux d'Olympia vient annoncer le début d'un concours d'architecture qui récompensera les plus grands créateurs!

Chaque faction devra dessiner les plans de la Guilde de leur rêve, ce bâtiment qui sert à la fois de coffre fort et de défense aux factions d'Olympia, celui qui me fera les plus beaux plans, verra ce bâtiment doté gratuitement et divinement aux siens!

Pour ceux qui ne sont d'aucune faction et veulent participer au concours, s'ils remportent l'épreuve, pourront soit faire don de leur construction, ou la garder et faire appel à leur privilège plus tard.

Architectes d'Olympia, confirmés ou néophytes, bonne chance, que le meilleur gagne.
Il n'y a pas de limite au nombre de participants, indépendants ou par faction.


Morgoth s’était redressé pendant le discours. Un concours organisé par le dieu du ciel ! Bon c’est vrai, Zeus c’est pas grand-chose comparé aux Eléments, mais c’est pas rien. On gagnerait un bâtiment pour notre guilde, autre chose que notre cabane !

Morgoth était décidé, il fallait gagner ce concours, coûte que coûte. Il courut à la cabane des sourceurs, en parla avec certains d’entre eux puis se mit à l’ouvrage. Il étala de grandes feuilles de papier, achetées aux elfes puis se mit à dessiner.

Tout d’abord, il réalisa des esquisses, puis des idées germèrent dans son esprit (tordu). Il réalisa deux projets, où l’on pourrait stocker des ressources, de l’or. L’un avait l’allure d’un temple dédié aux éléments, où des passages souterrains menés à des coffres bien protégés.

L’autre projet était une tour entourée d’un petit mur d’enceinte. Des pioches étaient accrochées de part et d’autre de la seule porte. Une tourelle dissuadait les intrus.
Les plans finis, il les montra à ses amis.

Il prit son meilleur pigeon, un gros, gris avec des motifs noirs sur les ailes. Vole vers l’olympe, vole. Le pigeon ne se le fit pas dire deux fois, il s’envola vers la montagne. Il n’était pas encore hors de vu lorsqu’un éclair le happa. Les plans arrivèrent bien au dieu du ciel, mais le pigeon fut carbonisé.


Il ne restait plus qu’à attendre. Il passa ainsi une journée sur la terrasse de la taverne des Sourceurs. Peine perdue. Comme si le maître de l’Olympe allait lui répondre immédiatement.

Les journée suivantes, il vagabonda, arrachant des plants de mandragore ou transportant des poutres de plusieurs pieds de long. Il en arriva même à oublier ce concours. Pourtant il n’avait pas rêvé. Il avait bien vu Zeus s’adresser aux mortels d’Olympia. Ce n’est pas comme s’il avait reçu une lettre.

Les journées passèrent et il arrêta d’espérer. Ce n’était qu’une farce des Dieux, ce n’était pas la première fois. (Poséidon et ses poissons^^). Mais un jour, alors qu’il arpentait le nord de la forêt des Cendres, à la lisière de celle-ci, il vit apparaître un rouleau de parchemin dans les feuilles mortes, dans un grand éclair de lumière.

Un parchemin tout simple, vierge. Morgoth s’en empara. Des reliures apparurent sur les bords du parchemin. Des éclairs se dessinèrent dessus. Des lettres apparurent :

Êtes-vous Morgoth ?

Oui, je suis Morgoth, répondit-il. Mais rien ne se passa.

Morgoth chercha un moyen de communiquer avec mais bientôt, il y renonça. Il fourra le parchemin dans sa poche et se dirigea vers Zagnadar.

L'oracle saura quoi faire.



Apprenti grenadier, explorateur et géant avant tout

Voyageur de la plaine.

geant Par Morgoth  le 13/10/2006 à 18:03

Morgoth arriva devant l’Oracle, toussota…

- Salutations, Hardaway, je m’excuse pour le dérangement, mais j’ai quelque chose à te demander.
- Vas-y, qu’est ce qu’il y a ?
- J’ai reçu ça. Morgoth montre le parchemin.
- Et c’et quoi le problème ?
- Ben je sais pas vraiment comment lui répondre.
- Allez, passe le moi qu’on voit ce qu’il en est.


Hardaway prit le parchemin puis, buvant une gorgée de l’atroce mixture, rentra en transe. Morgoth attendait patiemment. Hardaway était concentré, en état de transe profonde. Il devait trouver la solution.
Mais le temps passa, une heure, deux heures. Toujours rien. Morgoth commençait à vraiment en avoir marre. Il s’assit, dos au mur. Malheureusement, il s’endormit.

Il se sentit s’envoler, il ouvrit les yeux pour se trouver face au visage d’Hardaway. Celui-ci le tenait par le col de sa chemise. Il luisait d’une lueur rouge, des flammes dans les yeux. Il tenait Morgoth au-dessus du sol.

- J’en reviens pas, criait-il. Ça fait trois heures que je cherche la solution et elle était toute bête.
T’es vraiment stupide. T’y as même pas pensé…


Point positif, il avait trouvé la solution.

Hardaway se mit à secouer le jeune géant tout en continuant de le traiter d’idiot.

- T’as même pas pensé à écrire ! Suffisait d’écrire à la suite pour qu’il te réponde.

Voilà la solution. Il s’esquiva vite, attrapa le parchemin et s’enfuit, évitant de justesse le filet de gladiateur.



Apprenti grenadier, explorateur et géant avant tout

Voyageur de la plaine.

elfe Par Aislinn  le 07/06/2007 à 22:57

La cabane des sourceurs, Aislinn n'aimait pas vraiment s'y rendre : éloignée des bois où il aimait paresser, distante de plusieurs jours notamment par une plaine morne où chacun qui plus est, se voit exposé trop inutilement et dangereusement à son goût pendant la traversée...non, la perspective de s'y rendre, malgré la convivialité des géants, cela n'enchantait pas réellement l’elfe...Est-ce que les sourceurs le savaient, Aislinn s'en souciait peu au final car loin de l'insulte, qui a-t-il plus de normal que d'aimer son propre chez soi? Pourtant ce matin-là, Aislinn arriva devant l'endroit l'air radieux, habillé avec élégance et soin, plus qu’à son 'habitude. L’elfe se tenait droit devant la cabane aux sourceurs. Celle-ci trônaît fièrement en amont d’une petite colline qui surplombait un de ces petits monts élancés qui donnait à Zagnadar, de par ce côté, une allure faussement trompeuse de mamelons fermes et nourriciers…Aislinn s’en amusa. Un large sourire illuminait son visage à l’idée de revoir Mormus et les sourceurs. Leur sens commercial rendait toujours radieux Aislinn, et aujourd’hui, il en sourirait encore……

Le vent était bien vif lorsqu’Aislinn arriva, l’elfe ne se fit pas annoncer mais il savait sa présence connue depuis plusieurs lieux. « Dans cette région, les vents murmurent et guettent… » Pensa le mage dont les connaissances sur la culture des géants ne s’imprégnaient que d’une sommaire et grossière littérature mais assez fouillée néanmoins pour savoir que l’Air est un des élément maîtrisé par nombres de géants….Aislinn ne put s’attarder à ces pensées plus longtemps ; un géant du nom de Balgor fit son apparition au loin sur une corniche voisine, celui-ci salua l’elfe avec aisance malgré l’inextricable équipement qui semblait l’harnacher lourdement et disparut. Vraisemblablement, Mormus n’allait plus tarder….

En confirmation, Mormus, tout sourire, déboucha de l’arrière colline l’instant d’après. De gestes amples saluait déjà Aislinn qui coupa court tout de suite à la théâtralité toute professionnelle de son ami…L’elfe s’était décidé, il n’achèterai rien cette fois, il était venu de Na’Helli pour autre chose…


« Bonjour à toi le sourceur...si je viens en cette belle journée, c'est qu'une idée me vient à l'esprit et je ne peux attendre pour vous en faire part!
Aislinn éclata de rire.

Je me suis laissé entendre dire que vous cherchiez à vous établir solidement et à relancer vos affaires...je ne puis pas bien expliquer : ni le comment ni le pourquoi mais une puissance de ce monde m'a accordé une faveur pour un petit service rendu, croyez moi: j'en ai été le premier surpris. Néanmoins, il se fait que je ne puis rien en faire de mon côté alors qu'elle pourrait être utile à quelques de mes amis. Sans tourner plus longtemps autour du pot, si vous cherchez à établir votre guilde sans autre frais que celui de dépenser un peu de salive ou d'encre pour m'en faire part, j'accèderai à votre demande bien volontiers et ce quelque soit les plans [icônes] que vous souhaitez utiliser.

En me présentant à vous avec ce présent, je voudrais à ma façon saluer le grand respect et la haute estime des miens pour votre communauté de sourceurs qui à su faire envier et imposer son grand savoir-faire. Morgoth et les autres sourceurs ont toujours été des plus cordiales et prévenants, il n'est pas de qualités plus plaisantes et plus nobles. Les miens ont été touché et veulent vous le faire savoir, bien que s'il devait arriver à ma petite bande et moi de nous fixer, je compte sur votre aide et savoir-faire pour ériger notre guilde, en attendant je préfère honorer des amis que de laisser pourrir un présent du prince de la foudre dans le fond de mon grenier…. Aislinn finit sa phrase dans un murmure à peine inaudible pour mormus, évoquant avec pudeur et peur le maître des dieux

Qu'en pensez-vous?


HRP: comme promis, je tente de finir petit à petit cette chro qui est l'élément essentiel des forts liens qui unissait le caracal aux géants, ca remonte à bien loin maintenant....:s