Malaise de sang. | |
Topic visité 469 fois Dernière réponse le 03/11/2006 à 10:43 |
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...................................................................................................................'' I ''........................................................................................................................
La rosé du matin vient s'ecoulé sur le sable tiéde, l'annonce d'une nouvelle journée, une nouvelle journée de marche. Dix jours, dix jours que ShadoWMonk marche dans les plaines désertique d’Olympias, dix jours que ses yeux sont fixés a l'est, dix jours qu’il tente de rejoindre Quatar….Ses jambes faiblissent….son souffle lui manque….Au loin un arbre ! Enfin, quelques heures de repos a l’ombre. Il s’allonge....... Une forte odeur de pomme lui remplit les narines….La saison des fruits semble avoir été fructueuse cette année. Mais l’odeur …. Cette odeur….il s’endort, il rêve, il se souvient… ********** ~~An 4074 (-34 selon le calendrier olympien)~~ ~~42eme jours de la saison des fruits.~~ ***** - Sïus Maknär ... - Quoi ? - C'est son nom, regarde ... Le disciple de Zeus tendit un bout de parchemin a son néophyte. - Maître ! Regardez ses oreilles ... - Hmmm .....Cela n'y change rien.... Soit, petit Maknär, désormais tu seras éduquer selon les stricte règles de nos créateurs et tu les adoreras tel qu'il ont souhaiter que nous le fassions afin que l'Olympe bénisse toujours le joyaux de l'empire .... Lardanium, et toi, petit olympien. C'etais sous ce couchez de soleil que les deux moines, apres une longuee journée de recolte, recoltairent le fruit d'une alliance raciale au pied de leur Temple. ********** ~~An 1 de l'âge de la découverte, calendrier olympiens.~~ ***** Cela fait dix ans que le petit Sïus fut recueillis par les moines du Temple. Dix ans qu'il trime sur les études monastiques qu'on lui impose. Dix ans qu'il répète matin et soir les même rituels...et en dix ans le jeune disciple commence a se lassez. - Que fait tu Sïus ? - Je ..... - Mais qu’est-ce que tu as dans les mains ? - Rien maître. - Donne moi ça tout de .... Sïus ! La dernière grenade que tu avait fabriquer a faillit faire perdre le bras au frère Maxus, donne ...Sïus !!! Le jeune disciple sortis en courant du Temple, les larmes aux yeux, serrant sa conception près de son coeur. Il courait, il courait si vite, si vite qu'il n'aperçut pas le socle de l'imposante statues de Zeus. Il trébucha. Son esprit s'éteignit... se calma...se mit au repos .... Il ressentait la douleur de la chute .... Intense ... mais aussi une voix qui se fondait dans un tonnerre des plus puissant, une voix qui frappait tel la foudre au plus profond de son crâne. - NOUS SOMMES EN DANGERS ! Le jeune olympien ouvrit les yeux en hurlant….. on venait de lui marchait sur la main. C'est en reprenant petit a petit ses esprit qu'il pus apercevoir une foule compacte se diriger vers le centre de la cité. - Qu’est ce qui se passe ? - Le Roi fait une déclaration !!! Sïus s'empressa de suivre la foule. Plus on s'approchait du centre de Lardanium plus le bruit assourdissant de la masse retentissait. Le Roi haranguait son peuple. Alors que Sïus s'avançait pour entendre ce qu'il se disait, il fut retenus par l'épaule. - Qu'Athéna me pardonne ... Le jeune disciple reçus une gifle magistrale de la part de son mentor ... mais rien n'y faisait, toute l'attention du jeune olympien étais porter sur le discours du roi. - Maître ... qu’est ce qu'il dit ? Le prêtre de Zeus fronças les sourcils quelque temps, signe d'une écoute attentive mais soudain se mit a fléchir du genou... - Maître ? Vous allez bien ? Le vieil olympiens regarda Sïus qui comprit que quelque chose de grave se passait. - Retourne au Temple au plus vite jeune Maknär, et implore le pardon de Zeus. - Mais que se passe t-il ? - Salminar, tu ne sait pas dans quoi tu t'engage ... - Maître ... La curiosité a toujours étais un des défauts majeurs chez les jeunes olympiens...le disciple interpella le premier citoyen hors de porte de vus de son mentor. - Dite sir, que se passe t-il ? - Hooo ! Voyez vous ça, un jeune disciple de Zeus, on est ton maître ? - Dite moi ce que le Roi a dit ! - Hooo ! Mais c'est qu'il a du caractère le petit ... et bien disons que nos dieux ont du souci à se faire. - Je ….. Je ne comprends pas. - Salminar a convaincus notre bon et cher Roi de partir en guerre contre les dieux. - ..... Mais pourquoi ? - Tu sait la politique, les ambitions, ils ont leurs raisons, mais je comprend ton desaroie mon petit, je comprend. - .................. - Dit jeune disciple, prie pour ma fille, elle est gravement malade. - Ce ... ce sera fait .... Lorsque Sïus revint au Temple il découvrit une centaine de moines, prêtres, disciples et néophytes assis, et pour certain implorant les dieux de leur venir en aide...Sïus fit de même. Une fois le rituel finit, il se dirigea vers son mentor... - Qu'allons nous faire maître ? Le vielle olympiens regarda son disciple avec des yeux tendre, ceux d’un père, ceux d’un homme qui voyait les générations futur avec plein d’espoir mais laissant paraître une certaine moquerie. - Hahahahahaha .... Pauvre idiot, on ne peut rien faire a part prier. - Mais maître, il doit bien y avoir une raison ou un moyen d'arrêter tout ça. - NON !! retourne dans ta chambre maintenant. C'est sur son chemin le menant à sa chambre que Sïus aperçut un moine jamais vu auparavant. Aussi bizarre que cela puisse paraître, le moine demanda a Sïus de s'approchez. C'est une fois a portez du jeune disciple que l'étranger lui abaissa capuchon et contempla ses oreilles. - Hmmm, c'est bien toi. - Qui êtes vous ? - Dit moi jeune Maknär, ta t'on déjà parlez d'Archeos Prim'Erath et des Tueuse de dieux ? - ...... Fin de la premiere partie. |
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........................................................................................................................'' II ''.................................................................................................................
Archeos Prim'Erath était connus de tous comme le dieu qui trahit l'Olympe, a l'instar il représentait pour certain le messager divin qui se libera de l'emprise de Zeus et revela au simple mortelle l'existence des Tueuse de dieux. Mais pour un autre, Archeos Prim'Erath était devenu un sujet d'étude des plus passionnant. Il y a douze jours que le jeune Sïus Maknär fut conduit vers les archives secrètes du Temple, des archives oublié de tous mais qui recèle en elles bien des mystères.... Cela fait maintenant douze longues nuits, qu'au soleil couché, Sïus se faufile tel une ombre dans la salle des archives. La soif de connaissance, la monotonie monastique ainsi que le plaisir de briser les interdits était ce qui le poussait chaque soir à prendre un risque énorme. Et ce soir son attention va se porter tout particulièrement sur un ouvrage de quelque pages ......''Emergences et croyances Quatarites''. Après avoir descellé le manuscrit, il s'installa avec sa bougie sous la table et commença sa lecture. Mais douze jours à répéter les même gestes éveille les soupçons de certain......la porte s'ouvrit avant mêmes que Sïus puisse poser ses yeux les sur première lignes. - Sïus, Sïus, Sïus....tu sait bien que la salle des archives est interdite au jeunes disciples la nuit. C’était l’archiviste du Temple, une personne auprès de qui Sïus passait beaucoup de son temps a s'imformer et etudier. Un sourire vient orner son visage. - Mais bon, si tu désire tant avancer dans ta formation ... cela restera entre nous. Tu lisais quoi ? - Euh ... je ... - Alors .... Emergences et croyances Quatarite ..........que ? Comment tu ? Tu ... tu as fouillé dans les archives secrètes ?? Qui t'en a donné l'accès ? - ..... - Répond ! .... Très bien, ne dis rien, le Grand Maître sera informé au plus tôt, il saura la sanction a t'infliger.... tu a commi une grave erreur jeune disciple. L’archiviste empoigna Sïus par le capuchon de sa robe et le traîna jusqu'a la chambre de grande instance ou siègait le Grand Maître. - Mais lâchez moi ! Lâchez moi ! Je sais tout ! Je sais pourquoi les dieux sont en danger, lâchez moi ! - Tss-tss, cesse tes sottises jeune disciple, elles ne te sauveront pas du châtiment mérité. Le lendemain, Sïus se vit infliger quinze coups de fouet et fût radié de l'Ordre du Temple. Il vivait désormais seul dans les vastes et sombres ruelles de Lardanium là ou nul n'ôse s'aventurer. ********** ~~An 4 de l'age de la Découverte.~~ ***** Cela fait quatre ans que Sïus Maknär ère dans Lardanium qu'il connaît désormais comme sa poche. Au fil du temps il s'est noué d'amitié avec nombre de personnes indésirables local qui lui enseignèrent différentes techniques de vol et de discrétion afin de subvenir à ses besoins vitaux. Ses journées se résumaient à voler, travaillais dans les champs et dormir dos a la taverne. En ce temps la, Salminar, après avoir perdu la guerre qu'elle avait engagé contre les dieux, parvient enfin a ce qu'elle désirait depuis bien longtemps; devenir Impératrice. Ses lois étaient dur, séches et martial, en quelque mois elle fit tripler les effectifs militaire olympien crispant encore plus les tensions entre les races d'Olympias et c'est dans ce contexte que Sïus fût recruté de force pour ses talents d'éclaireur et d'artificier et fût rapidement intégré dans les rangs des Chasseurs de l'Empire. Et sa première mission ne fût pas des moindre : participer a la traque du traître Dakon et ramener sa tête a l'Impératrice .... Échec total. Les Chasseurs de l'Empire furent dissouts et réintégrés en tant que bataillon régulier de l'armée. Les année s'écoulèrent....,la monotonie s'installait en lui, les derniers vestiges de son passé de disciple s’évanouissaient dans l’oublie et pourtant, un nom restait gravé dans sa mémoire depuis vingt-quatre ans : Archeos Prim'Erath. C'est aujourd'hui le jours ou chaque soldats a le droit une a permission ! Et ce soir ne sera pas un soir comme les autres : une vieille connaissance lui a donné rendez-vous a la taverne, une personne qu'il rencontra vingt-quatre ans auparavant dans un sombre couloir du Temple, une personne qui lui révéla pour la première fois l'existence de Quatar et de son dieu protecteur. Fin de la seconde partie. |
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......................................................................................................................'' III ''..................................................................................................................
La soirée était fraîche et calme, dans les ruelles de la Cité Blanche on ne pouvait entendre que les pas lourds des veilleurs de nuits. Un seul endroit faisait exception à cette harmonie de silence nocturne: la taverne; un lieu ou fumer de violette et odeur de bière se mélange au brouhaha de bagarres et de pauvres êtres en état d'ivresse. Mais malgré tout ce bruit, deux personnes, assises dans un sombre recoin de la battisse, paraissait imperturbable. - Pourquoi vouliez-vous me voir ? - ......Tu sais Sïus.... cela va faire maintenant vingt-quatre ans que je t'observe et je dois avouer que ta radiation du Temple a mis à mal ma mission..... Mais tu es toujours en vie, bien portant et plutôt .... jeune. Nous avons donc toujours besoin de toi. - Besoin de moi ? Pourquoi faire ? Et c'est qui ''nous'' ? - Chuuuut, moins fort jeune Maknär, les tavernes n'ont jamais étaient lieu propice pour dévoiler des secrets. - Pourquoi êtes vous ici en face de moi alors ? - Je voulais simplement te prevenir que dans huit saisons, vers la fin de l'Engourdissement, olympiens et elfes vont s'affronter dans la plaine Basileus. - Et alors ? Des batailles j'en ai connus .... Le vieil olympiens se pencha vers Sïus. - Pas comme celle-ci .... Salminar et le Conseil de Na'helli sont entrain de réunir toute leur troupes éparpillées à travers Olympias..... se sera une guerre tel que tu n'en as jamais vus dans le passé..... - Et pourquoi me prévenir ? - Parce que je te le répète, nous avons besoin de toi. Saches que pendant la bataille, tes ennemis ne sont pas forcément ceux que tu crois. - Je ne comprends pas... - Hooo, je crois que tu comprends très bien, depuis tout petit tu ressens un malaise, un malaise au plus profond de ton sang. Les olympiens te dévisagent chaque moment où tu abaisse ce capuchon ... tu n'es pas comme eux, et tu le sais. - Ils ont apprit à vivre avec. - Eux oui, toi non ! Tu ne te sens pas à l'aise en leur compagnie, le simple fait que tu vieillisses plus lentement que tes semblables t'incommode .... Mais sache que je suis le remède à ton malaise. L'Olympien mis la main à sa poche et en sortit un long bout d'étoffe bleu sombre. - Tiens, prends ce bandeau, le jour de la bataille fait en sorte qu'il soit bien visible..... - Euh .... je ... - Adieu jeune Maknär, je doute que nous nous revoyons .... Peut-être dans une autre vie. L'olympien sortit de la taverne le pas forcé laissant Sïus seule face à une serveuse. - Je te sers quelque chose, beau soldat ? ********** ~~An 19 de l'âge de la découverte~~. ~~27eme jours de la saison de L'Engourdissement~~. ***** - SOLDATS DEBOUT !!! L'ordre avait claqué au milieu de la nuit. Les soldats étaient tous frigorifiés. En cette fin d'année les basse températures arrivent, les terres détrempées à cause des pluies précédentes ont tendance à geler, devenant aussi dure que la pierre. - Que se passe t-il General? - Nous partons en guerre mes petits ! - Mais ... mais General, nous sommes le seul bataillon présent au sien de Lardanium cette saison. - Hahahahahaha! Preparez vous et qu'sa saute ! C'est en donnant des coups de bottes dans les soldats encore assoupis que le General marcha vers la muraille et fut rejoint par quelques hommes de mains encore tout endormis qui s'empressait de s'equiper au plus vite, ignorant totallement ce qui étais entrain de se passer. - Regardez mes enfants, regardez .... - Mais Géneral nous ne .... Le soldat laissa tomber son épée et fit un pas en arrière : devant lui dans la plaine Basileus s'étendait jusqu'à l'horizon des centaines de milliers de soldats, les bannières de l'Empire flottant au vent. - .......................... - .......................... - .......................... - ALLEZ MES PETITS ! Ils n'attendent plus que nous ! C'est les yeux exorbités a la vue de cette armée titanesque que le bataillon d'éclaireur s'empressa de rejoindre les immense formations - General... - Que veux-tu Maknär ? - Si nous nous apprêtons à partir en guerre, pourquoi ne pas nous avoir solliciter pour repérer les positions et les effectifs ennemis ? Le General regarda son soldat et s'esclafa. - Hahahahahaha.... pas besoin de repérer leur position, nous savons exactement ou il se trouve et ils nous l'on bien fait comprendre, cela dit, leur effectifs exact nous sont inconnus. - De toute manière General, je ne vois pas comment notre ennemis, même avec le plus fin stratège pourrait vaincre une tel armée, nous sommes tellement .... - Tu te trompes Maknär, ils sont plus nombreux que nous ! - Que .... comment est-ce possible ? - Je ne sais pas et je me moque de le savoir ,maintenant retourne dans les rangs immédiatement ! - A vos ordres General. - Au fait Maknär, c'est quoi ce bout de torchon bleu que tu portes au bras ? - Ha ... euh ... rien mon General - Hooo, je vois. Tu salueras la belle de ma part à notre retour ! AAhahahahahaha ! Le retour....Sïus n'en etait pas si sûr, les paroles du vieil olympien adorateur d'Archeos Prim'Erath résonne encore dans sa tête ........................ - Sïus ! - ...... -Sïus ! - Quoi ? .... - Arrête de rêver et avance ... - Ho ! ... pardon .... - Et cache moi ses oreilles non de Zeus !! Tu veux qu'on te prenne pour l'ennemi ou quoi ? ... Tu sais très bien que le Général.... Les mots de son compagnon d'armes s'évanouissant dans le vide et l'insouciance, c'était donc ça, ils allaient faire la guerre aux elfes, une guerre parmis tant d'autre, mais celle-là a un goût particulier, celle la, il le sait, sans savoir ni comment ni pourquoi, le bouleversera à jamais. Fin de la troisième partie. |
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...................................................................................................................'' IV ''........................................................................................................................
L'aube... le vent frais du matin se lève. La plaine Basileus commence petit à petit à s'illuminer. Les doux rayons de soleil viennent caresser les visages de chaque soldats tel un père faisant ses adieux à ses fils. La journée va être sanglante. Cela fait trois heures que l'armée est en position prête à recevoir les hordes elfiques qui allaient vraisemblablement se déverser sur eux. Phalangistes et piquiers en première ligne, archers à l'arrière et soldats d'élites sur les flancs, bref, une formation classique pour une bataille de grande ampleur. - Général ! C'était un éclaireur partis il y a deux heures espionner l'avancer des troupes ennemis. - Qui y'a t-il ? Vous les avez repéré ? - Oui général, ils approchent venant du sud-est près du bosquet mais ... - Bon préparons nous ...... il y a quelque chose d'autre soldat ? - Oui général, nous sommes tombé sur un elfe, nous lui avons posé quelque questions, il dit ne rien savoir, nous l'avons capturé au cas ou ... - Excellent ! Amenez-le moi. Quatre olympiens arrivèrent traînant derrière eux un elfe enchaîné jusqu'au cou, il avait le visage en sang et son epaule semblait dissloqué. - Je voit que vous l'avez bien interrogé Hahahahahaha... bien bien, dit moi jeune elfe, combien etes vous la bas ? L'elfe regardas le géneral, son corps etais salement amoché, il eu malgrés tout la force de parlez. - Tlévelgarann'muly slaoguié'ammanenn guyé.... - Qu’est.ce qu'il dit ? ...... Maknär ! Vient la tout de suite et traduit moi ce que dit cette vermine. Sïus arriva en courant et s'attardas longuement sur le visage ensanglanté de l'elfe. - Allez Maknär, dit nous tout ce qu'il sait, je crois que toi et lui avait quelques points en .... commun ...Hahahahahaha Le général mit ses doigts en pointe et les portas a ses oreilles, toute l'avant garde se mit à rire aux éclats. Ne prêtant nul attention a ses moqueries, Sïus se pencha sur l'elfe et commença à lui parler avec le peu d'elfique qu'il avait apprit au Temple il y a bien longtemps. - Alors, qu’est-ce qu'il dit ? - Il dit ne rien savoir, c'est un explorateur général, son nom est Here'al Tanuil, il dit ne rien savoir de l'armée elfique de Na'helli. - Mensonge ! Que des mensonges ! Je vais te montrer comment on fait parlez ces vermines Maknär. Le général assenât un puissant coup de pied dans l'estomac de l'elfe qui aurait pus rouler sur deux metres si il n'était pas retenus par les chaînes qui laceraient sa peaux. - Alors comme ça tu ne sait rien misérable ... tu va voir ... L'olympiens se saisit de son glaive. - Meurt espèce de ... Soudain dans la plaine retentit le son de milliers de cors. L'ennemie était arrivée. Le général s'empressa de retourner a son post et fit face à son armée. - SOLDATS ! Mes frères ! Vous entendez ce bruit ? C'est l'appelle aux armes, l'appel a la fureur, l'appel au sang ! Mes frères, aujourd'hui tout l'olympe nous regarde, soyons digne de nos dieux, aucune trompettes, aucune lames, aucun cris ne nous fait peur ! LES DIEUX SONT AVEC NOUUUUS !!! L'armée olympienne cria et fit retentir ses tambours de guerre dans un vacarmes assourdissant. Le sol se mit a trembler. - En avant marche. - Général, que fait-on de l'elfe ? - Mettez le à l'arrière garde. - A vos ordres général. L'armée olympienne se mit en marche près à faire face aux elfes que l'on commençait à apercevoir à l'horizon. Au bout de quelque minute les cors elfique se turent... - Continuez à avancer soldats, nous ne ........ Qu’est-ce que ? Une ombre s'abattit sur les olympiens, quelque chose venait de voiler la face du soleil. - ............... - FLEEEEEEECHES !!! - A COUVEEEERT !!! Les olympiens eurent a peine le temps de lever leurs boucliers, pour ceux qui en avait, qu'une pluie de fleches s'abattit sur eux. - NE VOUS ARRETER PAS !!! L'armée olympienne marchait tant bien que mal vers les positions ennemies alors que les flèches continuaient de tomber en trombe. Les boucliers éclataient, les soldats hurlaient et le sang coulait à flot mais ils avançaient quand même. C'est après avoir perdu le quart de leur effectif que l'armée de Salminar arriva au front à quelques mètres des elfes. - POUR L'EMPIRE, HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ... Les olympiens percèrent les rangs elfiques comme un cris en plein silence. Les armes s'entrechoquèrent dans un bruit semblable a mille forgerons entrain de frapper leur lames. Têtes, bras, jambes jonchait le sol sur lequel Sïus avançait petit a petit quand soudainement des olympiens firent entendre leurs cris parmis tout les hurlements.... - Au secours ! HAAAAAaaaa .... - TRAITRES ! - Au secours !.... - Mais d'ou ... HAAAAAAaaaa .... Le signal d'alarme venait de sonné. - Que se passe t-il soldat ? - Je ne sais pas général, il semblerait que nous ayons des problèmes à l'arrière. Un olympiens ensanglanté tomba au pied du général. - Ils .... ils ... des traîtres ... qu ... quatarites ... Les yeux du général s'exorbitèrent - Soldaaaats ! Des traîtres se sont glisser parmis nous ... Valdamus, Oxia, rappelez vos hommes et suivait moi. - Mais, général, comment savoir qui sont les traîtres ? - C'est simple, tuez toutes les têtes inconnues. - Euh ... à vos ordres généraux. Les olympiens combattaient maintenant sur deux fronts, l'un face à eux, l'autre au sien même de leur armée. - Phalangistes au front, archers sur les cotés, les autres suivait vos lieutenants au centre et massacrez moi c'est traîtres ! La bataille faisait rage, les cadavres se comptait maintenant par milliers, au loin, le porte drapeau du troisième bataillon courus loin du front entraînant derrière lui toute les troupes. - Fuyéééééé, ils sont trop nombreux, fui.. Ce fut ses derniers mots, une flèche lui pénétra entre les deux yeux, la flèche était olympienne. Les lâches n’étaient pas épargnés. Alors que l'arme olympienne était clairement en déroute et que toutes les troupes fuyaient vers le nord, un groupe d'olympiens vêtus d'épaisses plaques de cuir noir faisait volte face et fonçait plein sud sur le front, a leur coté des combattants a l'armure d'or et d'argent. Les chevaliers noirs accompagné des paladins qui était tout deux supposé gardez les flancs venait de rejoindrent le coeur de la bataille. Fin de la quatrieme partie. |
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...................................................................................................................'' V ''........................................................................................................................
Le front regagna d'intensité et de violence, les troupes olympiennes combattaient désormais au coté de leurs idoles, de leurs légendes dont les récits les ont bercé toute leur enfances, leur furie éparpillait leurs ennemis comme autant de feuilles mortes. Le moral etait au plus haut. - Aaahahahaha ... regardez les fuirent comme des lapins,Hahahahaha... je croit qu'il est tant de .. Une flèche d'ébonite finement aiguisée vint se loger d'un trait dans l'épaule droite du général, il l'arracha d'une main provoquant ainsi une profonde hémorragie. Il fut rapidement transporté a l'arrière. - Laissez moi, j'irais seule, battez vous, battez vous jusqu'a la mort. Sur son chemin il croisa Sïus. - Maknär ! Suis moi, nous allons nous amusez avec le prisonnier, Hahahahahaha .... - General, je ne croit pas que ... - C'est un ordre Maknär, suis moi ! Le general suivit de prés par Sïus se dirigea vers l'arrière garde où était détenu le prisonnier. L'arrière garde était un bataillon polyvalent, servant à la fois de couverture en cas de retraite mais aussi d'hôpital pour blesser et de zones pour les captures de guerre. Mais à ce stade de la bataille, chaque soldat voulait sa minute de gloire, tous étaient au front, il ne restait plus que quatre gardes ont assuré les arrières centraux. Alors que les deux olympiens continuait a marchait vers l'arrière, Sïus observait à quelque mettre de lui le combat central de l'armée, des quatarites c’était bel et bien glissé dans leurs rangs. Qui sont t-ils ? Que veulent-t-ils ? Sïus ne parvenait pas à cerner ces traîtres qui pourtant l'avait intrigué et même fasciné dans son enfance. Mais quelque choses attira son attention, des bandeaux, ils portaient tous des bandeaux de couleur sombres au cou et au bras, c'étais sûrement le moyens qu'il avait pour se reconnaître les un les autres. - Maknär ! Ne reste pas là pauvres abrutis, tu veux te faire tuez ? Il nous faut ... Maknär attention ! Un quatarite se dressa devant Sïus, mais au moment de lui portez le coup qui lui aurait étais fatal, le quatarites posa ces yeux sur le morceaux de tissus accroché au bras de Sïus, le sabre de l'ennemis semblait suspendus en l’air comme si le temps c’étais arrêté.... ils se regardèrent.... Sïus cherchait dans les yeux de son assailant de la pitié, de la compassion ou meme de la peur, mais quelque chose qui puisse justifié le fait que son ennemis ne l'ai pas tués. - General Non ! Le general bondit sur le quatarite puis d'un rapide tour de force lui asséna un puissant coup a la nuque ... le quatarites s'effondras et rampât pour ramasser sa lame.... il la trouvas sous le pieds du general... - Pitié .... - PITIE ? On est sur un champs de bataille, pas dans une cours de recréation ! Le quatarite fut décapité d'une tel violence que ses yeux se fermèrent après que sa tête ai quitté son corps. Quelques instants plus tard, les deux olympiens arrivèrent essoufflé à l’arrière garde et se dirigèrent devant les prisonniers. - Comme on se retrouve vermine, j'en ai plus qu'assez de toi et ceux de ton espèce ... Le general se tourna vers Sïus. - Tue le, mon épaule souffre. - Mais general, c'est contraire au règles de .. - TUE LE MAKNAR ! C'EST UN ORDRE ! Maknär, se nom résonna dans la tête du prisonnier qui entrouvrit les yeux. Sïus se tenait devant lui près a lui tranchez la tête, quand soudain il prit la parole. - Maknär...Tléslyarinn sla ojanguion... tléslyma'arinn sla... kevlélett gan ull' tléneliregann sla ker loss... manya. Sïus recula d'un pas. - Qu'est-ce que tu attends ? TUE LE ! - ......................... Non. -Misérable traître, soldat arrêté le ! Les quatre gardes se jetèrent sur Sïus. Le premier ne fit pas long feu, sûrement une jeune recrue, il se retrouva au sol l'estomac ouvert. Combinant a la fois force olympienne et agilité elfique, Sïus se saisit de l'épaule du garde de gauche et s'en servit d'appuie pour asséné un violent coup de botte dans la figure de son assaillant de droite qui s'écroula a terre le coup brisé. Plus que deux. Sïus para de justesse le glaive d'un adversaire, et rapidement se pencha en avançant pour se retrouver derrière son ennemi qui fit volte face pensant tranchez la tête de Sïus qui grâce a un magnifique jeux de jambes et un peut de chance esquiva la lame et planta la sienne dans le ventre de son assaillant. Plus qu'un. - Ou est t-il ? L'elfe cria en direction de Sïus qui, en une fraction de seconde, inclina la tête, une flèche lui siffla à l'oreille. Le dernier garde avait eu le temps de se saisir de son arc, avant même de décochez sa seconde flèche il reçus une dague en plein coeur. C’était finit. Le general avait eu le temps de s'enfuir et n'allais pas tarder à revenir avec toute une cohorte. Sïus prit l'elfe sur son dos et marchas vers le nord, marcha loin du carnage qui faisait rage derrière lui. Nul ne sait comment la bataille prit fin et qui en sortit vainqueur, mais une chose est sûre, Sïus Maknär était désormais hors la loi, revenir en arrière lui était impossible, il a fait son choix, est-ce le bon ? Il y réfléchira plus tard, mais maintenant... il fallait fuir.... et loin. Fin. |
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Quelle belle plume tu as là!
J'attend avec impatience tes futures chroniques, qui seront je l'espère, aussi croustillantes! |
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Que c'est long , mais que c'est bon XD ...
Par contre, comme beacoup d'autre lecteurs surement j'aimerait savoir ce que Here'al Tanuil dit a Sïus en elfe pour qu'il se mette dans cet état la. ! |
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pas mal,pas mal mais ya encore du boulot pour que ce soit plus épique et immersif je suggére un nouveua personne nommé crieg!!! |
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Haaaa avant toi Crieg, c'est au tour de sa soeur dont on va parler ... Moi!
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Oh les jeunes on se calme , un petit suppot et au lit !!!
exellent shadowmonk !!! exellent |
Par Google   |
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Bon allez... Puisque vous vous le demandez tous et que la traduction provient bien sûr du langage elfe que je suis en train de créer pour LoO, je vous donne les réponses :
"Tlévelgarann'muly slaoguié'ammanenn guyé..." "Je ne vois pas de quoi vous voulez parler." "Tléslyarinn sla ojanguion... tléslyma'arinn sla... kevlélett gan ull' tléneliregann sla ker loss... manya." "Je connais ce nom... Je le connais... Epargne-moi et je te mènerai à ta... soeur." Mais bravo Shad', tu m'avais caché que c'était moi qui disais tout ça... Super bien écrit en tous cas ![]() Prenez garde à ceux que le Monde dota de conscience ; ce sont les plus versatiles des êtres, et leur coeur peut cacher beaucoup de bien comme le mal le plus absolu. |
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Ca y est ! Enfin je suis venue lire, c'est sympa Shad' ... |