Legends of Olympia : La Litanie du Passé - Une fraîche nuit étoilée
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Une fraîche nuit étoilée
Topic visité 358 fois
Dernière réponse le 10/03/2006 à 20:11

hs Par Tarra Averrod  le 04/01/2006 à 20:40

Une nuit, alors qu’elle était encore petite, Tarra se réveilla doucement.
Elle s’était endormi sur une longue branche d’arbre et avait profité d’un sommeil revigorant.

L’arbre en lui-même était haut et ces branches, longues et sinueuses, plaisait tant à Tarra qu’elle y trouvait souvent refuge.



Ce soir là le ciel était dégagé, il était tacheté d’une multitude d’étoiles semblables à des braises éparpillées sur une cape d’assassin.
La lune était haute dans le ciel, pleine et lumineuse.
Tarra contempla ce spectacle offert par la nature d’entre les rares feuillages de son arbre.


- Merci Gaïa pour ce cadeau…

Murmura elle de peur d’effrayer les autres habitants de l’arbre.
En effet , un pique vert avait trouver refuge dans une branche non loin de là qu’il avait habilement creusé .

Elle passa un long moment, une jambe dans le vide, adossée au corps de l’arbre, regardant la nuit et ces merveilles puis il vint une idée qui ne la quitta plus.



-petite flûte je crois que j’ai besoin de tes chants ce soir.

Elle attrapa alors l’instrument qui était accroché à sa ceinture et le porta à sa bouche avant de laisser l’inspiration de cette nuit noire l’envahir.


Elle joua pendant un long moment, une de ces mélopées placides dont elle avait le secret.

Tout au long de sa composition, Tarra pensa à ses frères et sœurs, qu’elle aimait tant.

Une larme coula le long de ça joue mais elle poursuivi.

Elle s’interrompit voyant que le crépuscule apparaissait calmement, et laissa place au doux chants des oiseaux etaux bruits de la forêt.




hs Par Mirie  le 05/01/2006 à 03:52

Bravo Tarra ^^ vivement la suite



nain Par Hellthor  le 05/01/2006 à 03:56

Un peu court, mais c'est déjà un bon début.
Continue comme ça.



Hellthor - GTN

hs Par Tarra Averrod  le 24/01/2006 à 21:31

Une fraîche nuit, Tarra avait trouvé refuge sur son arbre aux branches sinueuses.
Une légère brume emplissait la forêt, la lune était claire et cristalline.
Les blanches étoiles scintillaient dans le ciel d’une teinte noir intense qui surplombait le monde.

° Où êtes vous donc ?
Dans ce ciel étoilé ou peut-être...°

Tarra somnolait à cette heure tardive, de multiples pensées traversaient son esprit, mais la journée avait été éprouvante, il lui fallais se reposer.

Elle tomba alors dans un sommeil qui ne mit pas longtemps à être tourmenté.
Elle fut projetée dans un étrange rêve : elle était à genoux,
Prononçait d’étranges phrases et semblait concentrée :





" Hadès...."
" L’enfer... "
" Je voudrait savoir, comprendre pourquoi.. "

Entourée de multiples bougies aux flammes colorées, elle semblait alors subir les effets d’une incantation mais pourquoi ?


"..."


Si quelqu'un avait pu voir le petit être cette nuit là, il aurait pu voir Tarra tourmentée, transpirant et se tordant tantôt dans une position tantôt dans une autre, les yeux crispés.


Elle se réveilla en sueur, les yeux écarquillés, dans une grande inspiration, haletant.


Ce rêve c’était la 9 éme fois qu’elle le faisait !
Pour Tarra pas de doute, cela avait une signification.
En effet elle se posait beaucoup de question sur un dieu .Oui mais jamais jusque là elle n’aurait penser lui adresser une prière.

°c’est absurde je ne puis° pensa elle.

Un frisson lui parcouru tout le corps à cette pensé.
Pourtant elle voulait réellement parler au dieu des Limbes.
La jeune femme sauvage rassembla son courage et tenta l’impossible : parler avec un dieu.

En effet elle se posait beaucoup de question à propos de la mort, ce phénomène l’impressionnait, mais ce qui la faisait frémir c’était son régisseur : Hadès.

Dans la fraîcheur de la nuit profonde, une voix clair et fébrile s’échappa de la bouche de la jeune femme :


-Hadès dieu de l’enfer,

Je ne suis qu’une simple femme sauvage, mon nom est Tarra...Tarra Averrod.

-Si j’ose vous adresser une prière ne m’en veuillez pas, trouvez y la pour vous toute mon admiration.

Tarra ressentait comme des flammes à l’intérieur d’elle-même tant elle était absorbée et concentrée par son acte. Par moment sa bouche laissait échapper un souffle brûlant.

-j’ose vous demander, à vous prince des limbes qui marché sur un tapis de braises ardentes couramment, l’effet que cela procure.

-Est-ce douleur et souffrance comme je l’ai entendu ?
-Ou bien ce ne sont que des contes pour effrayer les enfants du peuple sauvages, naïfs à leurs âges ?

-Merci ô dieu des enfers de m’avoir écouté, j’espère ne pas t’avoir importuné en simple mortel que je suis.

Tarra ouvrit les yeux, des larmes en coulèrent tant elle avait été impressionné par ce qu’elle venait de faire.

Peut être avait elle mal agit.

Sur ce elle tenta de trouver le sommeil, mais elle était tellement épuisée par ce qu'il venait de se produire qu’elle s’endormit aussitôt.






hs Par Tarra Averrod  le 01/03/2006 à 15:14


Nb : l’histoire que je cont ici se déroule peu de temps après la batailles opposant les nains aux hommes sauvages.
-Ha…les aléas de la guerre.


Tarra se trouvait à l’orée de la forêt, le vent soufflait dans les branches et secouait les feuilles dans un bruissement léger.
Par moment, une bourrasque offrait le spectacle d’une envolée de feuilles colorées allant se perdre dans le ciel.

Le soleil couchant créait lui aussi une ambiance suave à cette fin de journée et à cette fin de guerre pourtant si pesante.

Tarra, dont la cape dérobait, comme toujours, le visage, était pensive.
Assise en tailleurs la jeune femme sauvage laissait des mèches de se long cheveux noir retombée sur son visage.

De multiples pensées accablaient son esprit :


°hum... la guerre est déjà terminée…c’est une bonne chose. Je n’y ai pas pris part comme je l’ai promit à Hadès...°

alors la jeune fille se décapuchonna, écarta ses cheveux d’un noir puissant et regarda la soleil couchant tout en prononçant ces mots :



- Hadès, dieu que je respect plus que tous, sachez que je n’ai pas pris part à la guerre, je n’ai donc pas pu protéger les miens dans cette course effrénées ou les blessées affluent.

-J’avoue avoir tenté d’y participé, sachant pertinemment que la guerre n’est qu’une faiblesse de simples mortels qui croient se battrent pour une cause juste alors qu’il ne se rende pas compte que le peuple d’en face dit la même chose.

-Merci dieu des limbes pour tout vos efforts à mon égard, je crois saisir maintenant en quoi la mort peut-être utile, mais je sais aussi qu’elle ne doit pas être donnée délibérément.

Tarra sourire comme si elle voulait l’adresser au dieu des limbes en guise de remerciement pour ces conseils.





hs Par Tarra Averrod  le 01/03/2006 à 15:26


Nb : à ce moment, un groupe d’homme sauvages se trouvait près d’une petite montagne située entre Luminaë et Ordenum .J’en garde d’ailleurs l’agréable souvenir d’une rencontre avec Kilius, mais aussi Constantin, deux chevaliers noirs particulièrement " humain " si je puis dire cela de la sorte.


Tarra se retrouvait loin de chez elle, dans une contrée qu’elle ne connaissait pas jusque là.
D’étranger homme aux yeux orangers étaient en tarin de tailleurs la pierre dans le cœur d’olympia. La nuit tombait et Tarra s’était éloignée pour méditer.

Depuis un certain temps, Tarra se sentait mal et déroutée.

Sa famille semblait se déchirer sous ses yeux sans que ces agissement n’y face rien, et elle avait oser dire au prince des limbes qu’elle ne méritait pas d’entendre sa voix, alors que c’était elle-même qui était allée la demander.

Elle s’était assise en tailleur et avait fermée ces grands yeux vert sombre.
Ces cheveux noirs reflétaient le rayon de lune qui ruisselait doucement sur sa peau.


°pourquoi, est je dis cela... comment ai-je osée...lui que j’admire tant.°

Avec autant d’impertinence que de peur, Tarra adressa ce poème à Hadès :

Les flammes brûlantes et envoûtantes de l’enfer,
Les braises chaudes, carrasses et tendresse de l’outre monde,
Autant de chose que j’aimerai découvrir et qui me sidèrent,
Mais mes faiblesses d’être frêle et immonde,



Ne me permettent pas d’espérer de vous faire honneur,
Et malgré cela j’ai l’impertinence et l’audace,
De croire en vous de tout mon cœur,
Moi qui ai l’envie de marcher dans vos traces,

Puissiez vous un jours m’accepter en votre demeure,
Et que ce jour soit celui ou je vous aurai enfin fait honneur.

Tarra s’allongea ensuite, et tenta de trouver le sommeil.




hs Par Tarra Averrod  le 01/03/2006 à 15:40


Nb: ce petit discour, je l'ai tenu lors d'une assemblée...le sujet était rude à defendre : malentendu entre un olympien ami à moi, et des hommes de mon peuple...assez dur a denfendre comme je le disais.

Tarra voyant qu'il y avait du grabuge lors d'une discutions non loin de son lieu de méditation décida de ce joindre à celle ci.

°ha..un Olympien blesser par des homme de mon peuple...ouiiii !
J’était là…..Quelle domage ils ne comprendront donc jamais....°

Puis elle eu une pensée pour son dieu et se leva d'un air résolu.

Une fois à porté de voix, elle se décapuchonna découvrant son paisible visage, ces yeux sondèrent l’assemblée puis elle déclara :


Bonjour à tous,

-J’en connais certain d’entre vous mais cela n’a pas d’importance particulière.
Je ne viens pas pour défendre les intérêts de mon peuple, ni celui d’un être en particulier, mais juste pour vous dire une chose qui pourrait peut-être mettre un terme à tous ce remue-ménage.

Elle sourit naturellement et ajouta :

Je sais déjà ce que certain se disent :

- « Ouaaii !!! Mais qu’est ce qu’elle veut la petite dame !! Elle ne peut pas retourner à sa cueillette !!? »

-que ceux là ne s’inquiète guère, je ne m’éterniserai pas.

Donc tiens juste à dire, qu’attaquer une personne implique une certaine responsabilité, et une certaine réflexion préalable.
Dehors ce n’est pas une jungle sans merci, c’est la terre d’Olympia, ou chaque peuple vit, et à ce droit de vivre.
Alors je pense qu’il faut vraiment se considérer autre qu’un être normal pour penser avoir le droit de dérober la vie d’un autre être.

Puis elle pris un air grave et déclara :

Il existe un dieu, vous le connaissez certainement, qui régit les limbes et s’occupe des habitants d’Olympia qu’il reçoit dans son royaume, afin de les remettre sur pied.

J’ai l’audace de parler en son nom,
Et de vous dire que la mort ne ce donne pas pour des raisons toutes faites, car cela est strictement inutile, vous ne vous rendez pas compte de vos actes ?!!

Pour un caprice, un problème que l’on peut régler en parlant calmement, cela peut même crée des liens entre les peuples, et bien au lieu de ça, on se donne le droit de voler la vie d’un autre.

Ma volonté comme celle de beaucoup d’être qui respecte le travail accomplis par les dieux qui nous offre tous ce que nous possédons, c’est que vous puiser, tous ici présent et même plus si possible, vous respecter et vivre en paix.

Ensemble ou séparément, mais en paix.



Merci d’entendre cela, de le cogiter, et peut-être si j’ai de la chance, d’en faire votre opinion.

Puis la jeune femme sauvage, remit doucement sa cape sur ça tête, dissimulant de nouveau son visage, et repartit comme elle était venue.





hs Par Tarra Averrod  le 01/03/2006 à 15:45

Ce soir, la nuit était fraîche, Tarra tremblotait dans ça petite cape sombre.
Elle était calme, et songeait :


°haaaaa......si seulement il pouvait m'entendre ...ou q'il puisse être...Hadès dieu des enfers, maître de mes pensées...°

puis les larmes se mirent à jaillir de ces petits yeux clairs,
elle commença à déclamer d'un triste voix basse:




Petite goûte de songe,
Douce caresse due au mensonge,
Souffrance insoutenable du coeur,
Image translucide de l'intérieur.

Les larmes de tristesse,
Petites fleurs colorées bleues qui poussent sans cesse,
Abreuvées par une âme tourmentée,
Qu'une flamme sans merci ne laisse en paix.

Une larme, du sang,
N'est de pas la même chose pourtant,
L'une de tristesse, l'autre de douleurs,
Mais ces deux liquides, ne coulent ils pas tout deux lorsque l'on se meurent ?




elfe Par Stavros  le 01/03/2006 à 19:34

Bravo Tarra, c'est magnifique !! j'adore !



olymp Par Kilius  le 06/03/2006 à 18:20

Que dire devant cette prose...Magnifique sa c'est du RP!



[Chevaliers Noirs]

Par Google  

hs Par Tarra Averrod  le 08/03/2006 à 17:07

Une image était restée gravée dans l’esprit de Tarra.
Ce jours là, elle n’eu pas le temps de réaliser la chance qu’elle eu de rencontrer son dieu.

Elle y repensait à chaque fois qu’elle tentait de méditer laissant vagabonder son âme, qui prenait plaisir à s’évader dans des songes noirs et d’éphémère rêve :


°Un jour peut-être …….je vous contemplerai de nouveau…. °songeait elle souvent.

Ce soir, inspirée par la vague de clarté que la lune projetait sur la plaine endormit, Tarra entreprit un poème en son honneur :


-Je me questionne encore,
Sur le royaume des morts,
Est-ce un endroit sublime,
Ou de terrifiantes abîmes ?



-Y respire t-on de l’air ?
Ou quelques parfums éphémères,
De jasmin, de safran ou d’oublie ?
A quoi y ressemble la nuit ?

-J’aimerai tant fouler le sol,
De cet endroit qui m’affole,
M’émerveille et m’happeur,
Comme un rêve en couleur.

-Moi qui vous admire,
De ma place de mortelle qui un jours ou l’autre expire,
J’espère toujours faire votre honneur,
Comme il se doit lorsqu’il en sera l’heure.




hs Par Tarra Averrod  le 09/03/2006 à 21:21

NB: cela se produisit juste après une réponce du dieu des limbes à l'égard de Tarra.

Tarra ne pu contenir sa joie, et dès que le morceau de papier fut consumé, elle poussa un cris de joie qui raisonna comme un écho dans toute la plaine :

-YaOuOuu !!!!!!!!
Elle faillit bien réveiller tout les autres, qui dormaient paisiblement, et qui lors de son cri d’exclamation sursautèrent quelques peu. Alana sa sœur se retourna dans sa couverture.

°Tarra Averrod, toi la petite Tarra…tu vas enfin réaliser ton rêve !!!!! Ce n’est pas croyable !!°
Pensa t-elle après coup.

°je ne peux pas rester les bras ballants, il me faux lui répondre. °
Se dit elle.

Il était environ minuit, la lune faisait pleuvoir de ça clarté sur la plaine et se reflétait dans les multiples goûtes d’une fraîche rosée. Tarra s’éloigna un peu du groupe, pour ne pas gêner les dormeurs et s’installa confortablement dans l’herbe humide.



Elle entama une réponse poétique :


-Dieu que je ne me lasse d’admirer,
Merci pour cette ultime liberté,
Que vous m’offrez de venir visiter,
Votre royaume qui ne cesse de m’intriguer.






hs Par Tarra Averrod  le 10/03/2006 à 20:11

Tarra sentit une sensation bizarre la traversée de part en part.
C’était comme si elle était transportée part une étrange force, qu’elle ne contrôlait plus aucun de ces faits et gestes.

"....."

°ouaaaa je vais voir les limbes...est-ce un rêve ?° se mit elle à penser.

Mais elle ne rêvait pas, car soudain tous s’obscurci autours d’elle, l’air vint à lui manquer, une chaleurs presque insoutenable s’empara de son corps lui rappelant les grandes vagues de soleil qu’elle rencontrait parfois l’été sur Olympia.

Tarra tenta de trouver l’équilibre dans sa respiration afin d’être prête à parcourir les limbes et qui sait peut-être à rencontrer Hadès...

Soudain, une puissante lumière rougeoyante la sortit de ses pensées :

"...."

Elle venait certainement d’entrer dans le royaume des morts.

°hoaoao... ?!°

Une foule d’émotions se succédèrent alors dans le cœur de la petite femme sauvage, qui sans vraiment en croire ses yeux, contemplait du mieux qu’elle pouvait, le royaume de l’outre monde.

La teinte la plus présente était le rouge, lui succédait le orange puis le jaune. Il faisait chaud, très chaud, l’air était rare mais parfumée d’une senteur indescriptible que Tarra n’avait jamais rencontrée jusqu’alors.

Soudain une voix vint troubler la jeune mortelle dans ça conteplation :


-Salutations Tarra.

"....."

Tarra se retourna lentement tant elle était effrayée et en même temps comblée par cette surprise.

Une pensée résonnait dans sa tête : ° peut-être vous contemplerai-je de nouveau…de nouveau…de nouveau... °

Les sentiments qui s’emparèrent alors d’elle étaient poussés à l’extrême telle que personne ne l’avait jamais vu dans un tel état de bonheur.


-bonjour...j'ai quelques chose pour vous.



Dit-elle en s’agenouillant et en baissant la tête.Elle déposa une rose aux pieds du prince des limbes.
Sur les épines de cette rose, Hadès pu découvrir des traces de sang car la jeune femme sauvage, tant elle eu été effrayer l'avait serée de toute ses forces.


elle rassembla son courage,et leva la tête:


-merci pour tout, vous avez réalisé mon rêve le plus cher et vous ne ceserez jamais de m'impressionner, sachez que je vous prillerai jusqu'à ce qu'il ne m'en soit plus donné la force.

Puis la jeune femme sauvage esquissa un sourir de reconnaisance, se rencapuchonna,et empreinta les couloirs de la mort.