Legends of Olympia : La Litanie du Passé - Mémoires de Constantin
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Mémoires de Constantin
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Dernière réponse le 15/11/2006 à 22:50

olymp Par Constantin Commode  le 15/11/2006 à 14:45

MEMOIRES DE CONSTANTIN


La première perte apportée par la guerre, c’est la loi. Lors d’un conflit, le vainqueur à le droit d’imposer toute les conditions au vaincu, et cela s’applique à toute les nations.

Lorsque j’étais encore un Chevalier Noir aux services de Slash, je fus envoyé dans les montagnes qui bordent le territoire homme-sauvage. Je me souviens encore avoir tout fait pour préserver une paix difficilement établie avec ce peuple. De longs mois à m’égosiller, à vivre comme un gueux pour un résultat décevant. La guerre éclata et emporta de nombreuses vies dans son sillage, aussi bien des Olympiens que des hommes-sauvages. Deux super puissances ne peuvent vivre en paix l’une à côté de l’autre, il faut donc la domination d’une seul. Ainsi cette super puissance pourra répandre sa domination et veiller à ce qu’aucun peuple, qu’aucune cité d’importance moindre ne trouble la vie si fragile des êtres d’Olympia. L’hégémonie d’Olympia est la seul solution. Une cité, ou une confédération alliée sous un but et une idéologie commune doit imposer ses lois aux autres cités, pour maintenir une paix durable et profitable pour tous. Si ces même cités ne se soumettent pas à l’autorité de la confédération, elles devront être anéanties ou affaiblies, seul moyens de donner raisons à ceux qui menacent la paix.


I - Diplomatie extérieur

Certains peuples sont trop instables pour leur accorder une confiance quelconque, tandis que d’autres, par une Histoire remarquable ou par des coutumes et codes appréciables, méritent toute mon soutien ou mon honneur.

Les hommes-sauvages, êtres perfides et crasseux, ayant pour seul habitat une forêt sombres et pestilentiel, ne doivent recevoir aucun témoignage de gratitude ou de respect. Leur bas niveau de vie font naître au plus profond de même un sentiment de jalousie, d’envie, qui les poussent à conquérir et à détruire pour leur propre intérêt. Un tel peuple doit être maintenu à son état actuel ou totalement détruit, pour éradiquer toute menace.

Une autre race est a traiter de la même manière : les elfes. Bien qu’ils soient d’une race noble, les elfes ont une âme perverse. Leur immortalité leur donne un sentiment d’invulnérabilité, de supériorité, ils poussent ainsi le risque jusqu’à ses dernières limites, et même plus loin encore. La tentation de provoquer la mort est inéluctable, la notion de temps et de peur absente, ils menacent donc eux aussi la paix d’Olympia.

Une race tout aussi noble est cependant plus nuancée réside sur Olympia.. Les Olympiens, peuple aussi polyvalent qu’inventif mérite toute mon attention. Il existe deux grands types d’Olympiens.
Les Ordenumiens, vivant à l’ouest d’Olympia, exilés de Lardanium, ont développé un instinct combatif et guerrier. Les durs conditions de vie leurs ont clairement montré la fébrilité de la vie et de la paix. Une idéologie remarquable en est né. Lutter courageusement pour la survie par les moyens les plus efficaces ont fait d’eux un des peuples les plus dignes qui soit.
A contrario, les Lardaniens doivent être considérés avec égard. Leur domination ratée et la perte du contrôle d’Ordenum font d’eux un peuple dangereux. Il est probable qu’avec le temps ils souhaitent étendre de nouveaux leur volonté sur d’autre cités. Cette même volonté peut être bénéfique si elle est utilisée à bonne escient.

A l’est d’Olympia réside un peuple, les Géants. Avantagés par leur force démesurée et leur carrure effrayante, ces êtres ne sont pas à prendre à la légère. De plus, Zagnadar a fortement développé l’économie, créant ainsi d’immenses richesses, nerf de la guerre. La volonté de réussite fait des Géants une race honorable, généralement loyaux envers leurs paroles. Il serait profitable à n’importe qu’elle cité d’améliorer ses relations avec eux, de les aider autant qu’ils aident, afin de créer un lien incassable qui mènerai à la domination.

J’en viens enfin au plus petits être qui peuplent Olympia : les Nains. Leurs taille est, certes, ridiculement petite, mais leur honneur et leur force compense largement ce désavantage. Bien que parfois bourru et rarement élégants pour les yeux d’un elfes ou d’un Olympien, les nains représentent ceux en qui l’on peut faire le plus confiance. Leur caractère facilement irritable fait des Nains un ennemi héréditaires des hommes-sauvages, pervers et arrogant. Tout ennemi des hommes-sauvages aurait donc tout intérêt à soutenir les Nains, qui, je n’en doute pas, sauront s’en souvenir.

Dans chaque race existe des éléments qui ne correspondent pas aux descriptions faites, des exceptions à la loi de la nature. Des elfes peuvent faire preuve d’une grande sagesse autant des Olympiens peuvent être aussi pitoyable qu’un homme-sauvage. Il faut donc prendre garde et ne pas traiter certains être comme leur race devrait l’être.


II – Politique intérieure

Si une cité veut être efficace aussi bien économiquement que militairement, elle doit suivre certaines règles.
Tout d’abord, toute la population d’une cité doit être engagée dans l’effort de guerre. Tous, aussi bien des paysans que des nobles, doivent s’engager activement au développement de leur cité. Une logique simple mais efficace canalise cette force. Chaque domaine doit regrouper tout les habitants apte à une spécialité précise, s’unir et s’entraider par exemple pour l’économie ou la défense de la cité. Une seul personne ne peut diriger efficacement toute une cité, elle doit avoir des suzerains qui dirigent chacun un domaine, une fonction. Ainsi ces suzerains peuvent s’atteler efficacement à leur fonction, tout en étant surveiller par le chef de la cité. Pour que les dirigeants puissent travailler correctement, ils doivent avoir sous les ordres des soldats, des mineurs, des espions entraînés physiquement, mais aussi psychologiquement. Le moral et la volonté influence énormément la qualité du travail. Si un soldat n’a pas la ferme conviction du bien fait de son action, il ne sera d’une, pas aussi performant qu’il devrait l’être, mais surtout corruptible. Un entraînement mental et physique doit être mis en place dès le début de l’engagement d’une personne. Il aura ainsi les moyens de progresser plus rapidement, de connaître le fonctionnement de la cité, mais il sera surtout prêt à réagir ou à s’adapter à toute éventualité.


III – Un meneur exemplaire

Lorsque j’étais un Chevalier Noir, j’étais certains de me battre pour une noble cause. Ma foi dura de longues années, à servir fidèlement Ordenum. Mais avec le temps, ma volonté régressa et je fini par abandonner ma famille. Sans vouloir dénigrer un être aussi puissant que Slash, je pense que cela est du en partie à cause de lui. Sa forte personnalité me menait toujours plus loin, mais son absence me manquait peu à peu. J’en conclue qu’un excellent chef se doit d’être au plus prêt de ses hommes. Les soldats doivent se sentir aimer, du moins soutenu. Même si un charisme envoûtant habite un chef, il ne peut se reposer la dessus. De plus, un meneur ne doit jamais demander à ses hommes ce que lui même ne peut faire. Il faut être intransigeant, savoir prendre des décisions difficiles, être autoritaire lorsque la situation l’exige, mais jamais un chef ne doit humilier l’un de ses hommes ou perdre leur confiance. La franchise est le meilleur moyen de palier à ce problème. Être direct avec ses hommes sans passer par quatre chemins, même si la mort est inéluctable, mais leur donner la certitude que cette mort ou cette action est nécessaire.


IV – Le parfait guerrier

Tuer sans regret, aimer sans douter, voici le parfait guerrier. Un bon guerrier doit aimer ce qu’il fait, néanmoins trouver cela normal et profitable pour les siens, aussi bien l’exécution d’une personne que l’espionnage d’une cité. Tout guerrier doit savoir obéir aux ordres, tels qu’ils soient, du moment que cela est bénéfique pour son entourage, sans pour autant cacher ses émotions, qui doivent être misent en avance lorsque le moment se faire sentir. Un lien unique doit relier tout les guerriers unis sous le même blason, sous un but commun. Un sentiment fraternel doit les animer à tout moment de la journée, dans toute les situations. L’un se bat pour l’autre, l’autre fait de même. Que la victoire soit assurée ou que la mort les attendent, tout guerrier doit se battre aux côtés de ses frères et sœurs, de front, pour provoquer la victoire ou mourir ensemble. La fuite est lâche et synonyme de mort, physique et moral. Cet acte est le pire qu’il soit, trahir ceux qui ont placé leur confiance, leur vie, mérite à mes yeux, la mort.
L’Amour est un sentiment universel et inaliénable, personne en est dispensé, même les pires bourreaux qu’Olympia puisse porter. Cet un fait qu’il faut prendre en considération et a étudier de prêt. L’Amour peut pousser un être à accomplir des hauts faits d’arme, que ce soit pour une personne ou pour une cause. Mais l’Amour peut aussi causer la perte de plus solide être qui soit. C’est pourquoi il faut accueillir ce sentiment sans honte ni peur, mais le plus important et de savoir s’en passer si cela vient à manquer à ou disparaître. Tout guerrier devrait posséder cette faculté.
Un autre sentiment doit habité tout guerrier : la haine. La haine de l’ennemi permet l’exécution de tâches difficiles sans sourciller, la haine mène à la victoire et à la domination. Si ce sentiment est absent, un soldat doit cependant obéir aux ordres, qui guident les actes vers la réussite.
Enfin, un guerrier se doit d’être intelligent. Montrer son aversion à une personne n’est pas forcément ce qu’il y a de plus efficace. En revanche, cacher cette haine derrière une apparence sereine si ce n’est sympathique, permet d’anéantir un ennemi par tout les moyens possibles, aussi lâches soient-ils. Certains diraient que cette hypocrisie est malsaine, mais l’hypocrisie permet de réussir plus facilement une tâche, et du moment que la parole ou l’honneur n’est pas trahi, alors cela ne peut être que favorable.





olymp Par Shadowmonk  le 15/11/2006 à 22:50

Hmmm, c'est bien beau tout ca Constantin mais j'aurait plutot appele cette chro : '' Code de Constantin '' ce qui me parrait plus logique vus que les memoires relatent des faits d'une maniere chronologique et étaler, mais bon ... continue ... ta perception des races exterieure est pas mal ... encore faut-il trouvé une description concensuelle sur les Quatarites ! ^^