Legends of Olympia : La Litanie du Passé - Journal de bord
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Journal de bord
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Dernière réponse le 08/06/2007 à 22:18

humain Par Irina Tchekenkov  le 22/12/2006 à 23:06



La brume du matin était fraîche comme en cette saison dans cette région de Olympia. Irina n’avait que peu de temps pour elle mais pour une fois elle en avait. Elle se mit alors en tête de faire le tri dans ses affaires. C’est alors qu’au fin fond de son paquetage, un couverture cartonnée abîmée par la poussière du minerai de fer apparue. Intriguée elle saisit le livre jeta un coup d’œil sur la page illisible, souffla un grand coup. Après quelques toussotements et une fois le nuage de poussière dissipé; elle pu distinguer le nom de l’oeuvre… journal de bord.

Voilà déjà un grand moment, trois ans, que Irina avait débarqué, et jamais elle n’avait eu une minute à elle. Il lui prit alors l’envie soudaine de rattraper toute ces années perdues, les rattraper sur ce papier. Durant ces trois années tout de même perdu deux de leur membres avaient disparu… Le professeur O’Kelvin, tombé bêtement dans un ravin. Mais aussi le clerc Di Cristoforo qui lui après la pose de l’implant neuropsychique avait commencé a végéter, enfin méditer comme il disait, mais tout est-il c’est qu’il a fini par mourir de faim. Oui maintenant les membres de la mission étaient de moins en moins nombreux, les deux Maréchaux, Le caporal Ossë, Shanks et Irina. Une belle troupe de pieds nickelés.

La scientifique qu’elle est, ou plutôt qu’elle était lui a permis de passer les épreuves avec stoïcisme. Toutefois la vie sur Olympia n’a pas toujours été évidente. Pour commencer la base dans le nord de la planète offre un climat qui n’est guère hospitalier. Elle se rappelle encore la première fois que le maréchal avait donné l’ordre d’allez abattre du bois dehors. Elle avait bêtement ri, croyant à une blague vu la tempête qui sévirait bientôt, mais le maréchal était on ne peut plus sérieux. Elle avait du aller se récolter le bois par ce temps… accompagnée bien sur pour éviter les mauvaises rencontres…

Oui c’est une vie de soldat qu’elle a commencé ici, avec les armes aussi, lors des premiers heurts contre les peuples non civilisés. Mais l’utilisation d’un fusil à tout de même un aspect rassurant au vue de la distance et de la puissance de frappe. Et puis un jour est arrivé ou elle a donné la mort, et encore un jour, oui le goût du sang vient vite, l’humanité en chacun de nous peut vraiment vite disparaître le temps d’un combat.
Il y eu aussi les longues distances, très longues distances à parcourir pour des missions diplomatiques car sur ce monde où la guerre est la vie, on ne peut se permettre d’avoir que des ennemis pour rester en vie.
Devenir un soldat c’est bien, cela permet d’avoir une hygiène de vie certes, mais le corps de la mission restore hope n’était pas de tester la capacité des scientifiques a combattre. Elle avait jusqu’à présent eu trop peu de temps pour étudier, et après ils étaient trop peu pour se permettre ce genre de chose dorénavant.

Continuer ce journal pourrait bien être la seule occupation futile pour les mois à venir, Irina le continuera sûrement. Toutefois des cors de géants donnant des ordres viennent commencer à agiter cette fin de matinée, de plus une mission plus particulière attend les humains, rapidement elle refait son paquetage, et rejoint le groupe.



J'ai raccroché ma blouse pour mon armure; car la vie est faite de défis que l'on se doit de relever !

Sergent médical

humain Par Irina Tchekenkov  le 30/12/2006 à 19:27

Les jours se sont écoulés depuis que la première page de ce journal a été grisée. Ces jours furent parmi les plus remplis et les plus stressants depuis l’arrivée sur Olympia. En effet le conflit qu’Irina imaginé était bien loin de la réalité. Les géants sont des êtres marchant au charisme, pouvant être brutaux, et n’ayant pas toujours une discipline militaire stricte au sens connu pour la Terre La contre attaque des elfes sembla un franc succès jusqu‘à un éparpillement progressif des soldats. Les combats ont été meurtriers, beaucoup de victime dans les deux camps. Et malgré la taille imposante des géants, Irina aussi menue fut-elle a aussi été prise pour cible et a pu se confronter à l’incroyable pouvoir de la ‘’magie’’


Le ciel était sombre, il faisait nuit, le souffle haletant, irina avait couru jusqu’à un bosquet qu’elle croyait sûr, bien que pour une fois sur l’avant de la ligne de front, elle s’imaginait suffisamment camouflée. Toutefois la nuit fut cauchemardesque. Une légère brise passait par moment rafraîchissant le visage rougi par l’air froid et l’effort physique. Cette brise dégagée de temps en temps les astres lunaires de la planètes, et au reflet de ce ‘’clair de lune’’

Merde, je dois avoir l’esprit embrumé des cailloux dans le ciel….

de multiples galets acérés et d’une grosseur allant d’un poing à un avant bras (d’humain) eurent la chance de la blesser.


Du sang, des nuages, une étrange mélopée à peine audible, pour sûr irina aurait préféré se confronter à la magie dans une autre situation, dans son sac simplement deux doses pour tenter de se guérir, à partir de ce moment la nuit fut longue, la peur constant de mourir, de recevoir le coup fatal par une autre attaque de ce genre.



Heureusement cela n’arriva pas, elle laissa alors sagement la ligne de géants repousser les elfes, restant en arrière et visant du plus loin possible au travers de sa lunette optique (zoom numérique x4 et optique x3, vision infrarouge)… toutefois les blessures étaient profondes et mettaient du temps à cicatriser. La douleur faisait grimacer chaque jour Irina au réveil. C’est alors qu’elle fut pour la seconde fois confronter à la force étrange qu’est la magie sur Olympia.


Les elfes semblait avoir été repoussé, et au dès potron-minet, une fine pluie réveilla Irina. L’eau rinçait son visage poussiéreux. Elle rafraîchissait le visage mais aussi le cœur, les gouttes pareil a des larmes glissaient sur la peau, passant sur les plaies toujours fraîches. Semblant d’abord nettoyer le sang séché qui été collé à la peau, la plaie paraissait soudain plus petite de ce fait. Mais une fois la peau lavée, la plaie continuait à se refermer jusqu’à ne laisser que quelques éraflures. La pluie cessa. Au loin la silhouette de l’impératrice olympienne était aisément devinable grâce à sa double lame.



J'ai raccroché ma blouse pour mon armure; car la vie est faite de défis que l'on se doit de relever !

Sergent médical

humain Par Irina Tchekenkov  le 07/01/2007 à 19:01

Une fin d’après midi comme une autre. Et pourtant, du temps libre, une envie d’esprit libre. Le soir va bientôt pointer et le soleil passer de l’autre coté des majestueuses crêtes. Ça avait été un jour sans pluie pour l’instant. Quelques nuages s’étaient formés dans le ciel, prenant des formes amusantes, ceux-ci poussés par le vent avaient fait courir leurs ombres sur les herbes des plaines qui entourent Zagnadar; pour finir par passer les montagnes en s’éventrant sur celles-ci, laissant une traînée moutonneuse aux endroits où ils avaient accroché.

La brise allait bientôt devenir plus fraîche au fur et à mesure que la soirée approcherait, mais pour l’instant elle était douce faisant follement danser les fleurs et naître des légères vagues parmi les hautes herbes. De temps à autre les feuilles d’un arbre se mettaient à siffler. Quelque chant d’insecte venait à son tour s’ajouter, créant une mélodie douce à l’oreille, mais dont la composition aurait pu donner la pire des cacophonies.

La lumière de fin d’après midi donnait des couleurs dorées aux lacs dans lesquels les montagnes se reflétaient. Ça et là, des animaux, venaient s’y abreuver, faisaient naître des demi-cercles troublant l‘onde.

L’odeur de terre chaude montait au nez lorsque l’on se rapprochait du sol, rappelant à chacun des souvenirs d’enfance. Qu’il était agréable après toute cette agitation de pouvoir poser sa main sur une pierre et ainsi capter la chaleur du minéral qui avait pris le soleil toute la journée.



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Sergent médical

olymp Par Valten - Boulet de Sigdil  le 07/01/2007 à 19:09

symphatique...mais manque un peu de dialogue
j'aurais bien vue la dissection d'un Elfe dans ce genre de chro
bonne continuation...



[Ambassadeur Pour Kazad][7° compagnie]
Ne vous Battez pas pour vos vie!Ni pour votre famille!Ni pour votre Seigneur!
Non!Battez vous pour un Idéal...
Moi j'ai trouvé cet idéal

humain Par Midnightknight  le 09/01/2007 à 12:28

J'en ai mis pour 8 dans ma chro, on va pas tous faire sur le même modele non? C'est sympa aussi quand ça jacte pas 3 heures



The world has grown cold
Now that you've gone away

Teamwork: share Victory, share Defeat.

elfe Par Elendil  le 09/01/2007 à 12:44

on peux aussi disséquer des humains si tu veux valten
nan,sérieusement,j'aime bien,bravo



humain Par Irina Tchekenkov  le 09/01/2007 à 16:19

J'en ai mis pour 8 dans ma chro, on va pas tous faire sur le même modele non? C'est sympa aussi quand ça jacte pas 3 heures***

mis pour 8 ? de la dissection d'elfe?
même modèle ?

j'ai cherché a plagier personne je signale, ensuite ce dernier passage se voulait volontairement narratif, un peu de calme et de comtemplation après les combats... et puis avec qui causer tout mes amis humains sont morts, je suis triste quand même

pour ce qui est des dialogues, ben c'est un journal de bord, donc c'est pas vraiment le propre d'un journal de bord.

merci Elendil



edit après le message de Minuit: pour pas polluer mon journal de bord bon ben j'avais pas compris (doit être a cause de la nervosité des partiels); j'en déduis un compliment de la part de Mid alors merci



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Sergent médical

humain Par Minuit  le 09/01/2007 à 17:11

Mis pour 8 => des dialogues. Sors pas le fusil à pompe Irina ce n'était pas un reproche de la part de Mid, au contraire.



~ L'Onde est ainsi faite que les destins retrouvent toujours leur chemin. ~

humain Par Irina Tchekenkov  le 23/01/2007 à 15:24

Après avoir quitter la ville de Zagnadar, le voyage a été un peu rude. En effet la famille Lanraaz est quelque peu belliqueuse, voir vraiment trop belliqueuse… la rencontre avec celle-ci fut donc…Bref rien de très amusant, rien de trop douloureux non plus. Les quelques contusions disparaîtraient avec le temps de toute manière.
Le périple a ensuite continué bon train en direction de Lardanium.

Durant ce temps, les autres humains se battaient à la mine d’après ce que Irina pouvait capter par moment, les ennemis semblaient être des quatarites… aucune difficulté, donc pas d’inquiétude. Toutefois c’est avec un sourire amusé que notre scientifique abattit un des leur, alors que celui-ci ramassait paisiblement des plantes… Œil pour Œil, Dent pour Dent dit l’adage. Après cet acte de patriotisme non moins infâme, on se rend compte que tuer est un jeu très plaisant est que l’on y prend vite goût, toutefois l’adrénaline ne reste pas assez longtemps lorsque l’ennemi est trop faible.
Le voyage jusqu’au premier avant-poste humain durant encore une bonne semaine, quelques importuns ayant tendance à vouloir voir l’humaine de trop près, eurent de temps à autres, la chance de voir une balle traverser la chair tendre de leur mollet, ou bien marchèrent par inadvertance sur une mine, appâter par ce qu’ils avaient cru être le reflet brillant d’une bourse de pièces d’or.

Mais voilà le voyage touchait à sa fin, au loin on voyait le toit de l’avant poste. Enfin le plaisir d’une bonne douche bien chaude. Plus de trois mois à rêver pouvoir se débarrasser de cette odeur de sueur et de fatigue, de sang et de terre. Trois mois d’un douloureux périple, exténuant à souhait allaient bientôt se faire oublier dans la vapeur de l’eau chaude de la douche, l’odeur partirait de la peau avec le savon que l’on rince, la fatigue de même. Le plaisir de pouvoir mettre autre chose que les godillots, sales et lourds, que dire encore si ce n’est le frisson qui envahira le corps tout entier lorsque après la douche, viendra le Tee-Shirt sec et chaud.
Et puis il reste un plaisir qui n’est pas des moindres, ce sera celui de demander aux copains comment c’était?



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Sergent médical

humain Par Irina Tchekenkov  le 18/05/2007 à 22:14

Lorsque la vie est rustique, elle ne nous laisse que peu de temps libre. Il faut faire avec ces aléas. Elle offre aussi des choses nouvelles. Le temps passé sur cette planète nous amène à développer davantage d’empathie pour ceux qui y vivent. On finit par s’attacher aux gens que l’on côtoie, à défaut d’être un animal politique l’homme est au moins un animal sociable. Ce mode de vie nous rend aussi plus dur . J’ai maintenant pris l’habitude de me prendre sans trop sourciller toutes sortes de cailloux magiques, picotements, ou bien douleur aiguë dans le torse… bref toutes les joies de la magie .

C’est d’ailleurs à cause de cela ( petit clin d’œil à Albel et Damahira) que j’ai le temps de griffonner dans ce cahier. À la lueur d’une chandelle, dans une auberge de Lardanium où je me repose pour panser mes blessures.

Cependant j’avoue ne pas savoir quoi raconter. Les combats n’ont pour l’instant pas d’intérêt réel, si ce n’est me faire penser que les dieux sont la clef d’un grand nombre de choses. Nous avons beau être des créatures qui sortent de l’ordinaire par notre apparence, finalement par notre comportement nous sommes comme tout les êtres de cette planète. Il faudra donc attendre pour attirer l’attention d’un dieu.

Que vais-je donc pouvoir consigner dans ce cahier alors? Un regard sur mes doigts finit par me donner une idée. En effet ceux-ci sont recouverts d’échardes qui ne sont pas encore parties. Quand je parlais plus haut de rustique, je ne mentais pas. J’ai d’ailleurs du prendre un peu en carrure. Je me demande même si ma blouse, déjà serrée n’est pas devenue trop petite. Voilà une éternité que je ne l’ai pas enfilée.

Ces doigts abîmés me rappellent le souvenir d’un mois entier, passé à vivre en pleine forêt en compagnie de Ossë et de Shanks. Un mois entier sans vrai hygiène, sans vraie nourriture déshydratée, sans vrais escarpins, sans vrai parfum raffiné. Tout ce temps à couper du bois, tailler du bois, scier du bois, empiler du bois. Si je rentre un jour sur Terre ou une autre planète civilisée, je tacherai d’avoir le moins d’objet dans cette matière.

Nous avions donc emmagasiné une quantité incroyable de …bois . Je crois que c’est Ossë qui eu l’idée de les empiler de manière à former une sorte de pyramide maya (des restes de cours sur l’ethnologie j’imagine) mais le résultat ressemblait plus à un bûcher pour sorcière. D’ailleurs la comparaison n’est pas loin d’être fausse. Vous allez comprendre.

En effet, alors que la corvée touchait à sa fin, que les ressources alimentaires (j’entend ici les ampoules de nutriment) s’épuisaient, il est arrivé un bien triste événement, mais je sais que beaucoup s’en amuseront. Je vais vous le conter brièvement. La nuit commençait à tomber, Ossë au sommet de la pyramide avec Shanks rangeaient les derniers troncs. Moi pour ma part j’assumais pleinement mon rôle de femme moderne en faisant la cuisine ( c’est à dire trouver les ampoules correctement dosées pour les besoins de chacun). C’est alors que j’entendis une insulte que seul une personne avec un bonnet avait l’habitude de prononcer.

Ossë s’était en effet pris la jambe entre deux troncs et était coincé. Shanks bon soldat voulu l’aider et mit en marche son épée à surcharge. Manque de chance, un léger court circuit à l’allumage provoqua une flammèche qui embrasa un tronc sur lequel des traces de salpêtres étaient décelables. L’incendie était dorénavant certain. La panique gagna notre scientifique prisonnier qui finit par se libérer du piège dans lequel il s’était mis, en se tortillant de manière ridicule; tandis que Shanks avait déjà commencé à descendre de la pyramide. Le feu se répandait rapidement mettant en péril la vie de notre homme-asticot. Celui-ci n’eu alors pas d’idée plus inspirée que courir à travers le mur de flammes pour rejoindre l‘escalier qui avait été aménagé pour aller au sommet. L’influence des séries américaines est parfois un vrai fléau. Il finit donc par arriver en bas, roussi et … dégarni de son bonnet ainsi que de quelques mèches de cheveux.

Nous avions donc perdu un mois de labeur, un magnifique bonnet style Cousteau et quelques mèches de cheveux. Voilà les valeurs auxquelles on tient ici à présent, le travail, le couvre-chef et les poils. Je pense pouvoir dire que la vie est vraiment, vraiment devenue rustique.



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Sergent médical

Par Google  

humain Par Irina Tchekenkov  le 08/06/2007 à 22:18

Petite histoire d’une bien terrible légende.

Il fut dans les environs de 400 après JC pour le calendrier terrien primaire, un chef de guerre du nom d’Atilla. Il dirigea un peuple germanique très craint, les huns. Une légende veut qu’il soit le fléau de dieu, que l’herbe ne repousse jamais derrière lui, etc… Ce dernier point a longtemps retenu mon attention je l’avoue. Je me suis toujours imaginée que pour le mythe il utilisait l’un de ses hommes pour tondre l’herbe derrière lui. Je me savais naïve, mais je ne voyais pas vraiment comment une telle légende pouvait naître autrement.
J’ai depuis peu trouvé ma réponse. Cela est du à l’immense chance que j’ai de connaître son pendant sur Olympia. Il est en effet un homme sur cette planète derrière qui l’herbe ne repousse pas. Cet homme est le lieutenant Eniera Ossë.
J’imagine que le lecteur de mon journal (quel qu’il soit, vaurien m’aillant dépouillée ou bien membre d’un quelconque état-major effectuant un contrôle de censure) se trouve soudain sous le choc de cette découverte. Certains doivent déjà se demander si suite au malencontreux évènement relaté dans les pages précédentes il n’est pas devenu une flammèche permanente enflammant le sol derrière lui partout où il passe. Je rassure tout le monde, il est bel et bien éteint, propre, et à même retrouver un bonnet de rechange .
Non, si l’herbe ne repousse pas derrière cette homme c’est parce qu’il a pris la mauvaise habitude depuis peu de perdre en permanence des bourses de pièces d‘or partout où il va (dans l‘espoir secret de prendre au piège un jour un parfait imbécile). Cela a pour effet d‘attirer à notre suite tout les déshérités, gueux et autres mendiants que le monde porte. Ceux-ci ont trouvé une manne providentielle et leurs passages répétés pour fouiller le sol finissent par creuser un véritable sentier.
Atilla était-il donc un fin stratège comme Ossë qui cherchait à se faire attaquer par derrière, une personne terriblement généreuse ou un fou?
Cette histoire est bien sûre très anecdotique mais il n’y a guère d’événement majeurs m’ayant concernée et afin de m’assurer que l’encre de mon crayon ne s’était pas figée je devais écrire un petit texte.
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Au travers des pages de ce journal certains des évènements décrits sont inspirés des faits du plateau mais parfois enjolivés ou interprétés par le personnage D'Irina.



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