-Hé mon gars ! ! !Commence à faire froid pas vrai ?
-Pour sûr Tobias…Que veux tu c’est la saison…
Valten discuter avec Tobias, un Paria comme lui de la société Olympienne…
Tobias bien plus âgé que Valten et ses cheveux était d’un blanc immaculé.
Ceci était en parti du à la neige qui tombait en abondance.
-Ouais mon gars mais il n’empêche…passe-moi un peu d’anti-gel !
Le vieil homme tendit la main pour prendre la bouteille d’Eau de Vie que lui tendait Valten alors que le Vent glacial soufflait désespérément…
-Nom de Zeus fait un froid à calmer toutes les catins de la Rue Est !
Il eut un éclat de rire parmi les compagnons de Valten….Combien était il sous ce dans cette sordide ruelle à essayer d ‘échapper au froid par des abris de fortunes ?
Cinq ? Six ? Peu être d’avantage…Tous était des compagnons d’infortune, si l’un avait un problème, les autres l’aideraient. C’était ainsi le code des clochards, quand on ne pouvait plus compter que sur soit même, on pouvait toujours être épauler par l’un de ses pairs…Une microsociété s’était créer par la force des choses….
Le pire c’est que ces hommes qui étaient avec Valten n’étaient pas des voleurs, malfrats ou autres voyous. Non…la plupart étaient d’ancien soldat de l’Empire. Certains des camarades de Valten n’étaient même pas sortit de l’adolescence. L’Empire Oublié vite ses frères…
Valten soupira et but une nouvelle gorgée de l’alcool qui venait de faire le tours du groupe. Il avait froid, horriblement froid, il tremblait sous son manteau…
La Nuit était tombée et la température aussi…Déjà, les flaques d’eau boueuse gelée…
Grelottant un peu plus, l’olympien se recroquevilla un peu plus sur lui-même dans une position fœtale. Les paroles de ses « amis » devenaient de plus en plus sourdes, leurs voies s’éloignés. De plus en plus…De plus en plus….

Valten s’étira, jamais au grand jamais il n’avait si bien dormi…
Il ouvrit lentement ses paupières, et ne put réprimer un léger cri d’exclamation. Il n’était plus dans la sombre ruelles avec des camarades d’infortune, il était dans une chambre assez coquette, dans un lit frais !
Il passa sa main sur le visage et se rendit compte qu’il était rasé, et même qu’il était propre !
Ne comprenant pas, il voulu se lever quand un petit garçon déboula de nul part pour bondir sur son lit en cria :
-Papa est réveillé ! ! !Comment il va mon Papa ? ? ! ?
Valten resta figé devant cet enfant, celui-ci devait le prendre pour un autre…Ce n’était pas possible autrement.
Il entendis une voie familière s’élevée, une voie qui lui était chère, la voie de Ariane, sa femme défunte :
-Alors chérie ! On Embrasse pas son fils ?
Valten resta immobile d’effrois…Ce…. Ce n’était pas possible, elle était morte enceinte de son fils ! Ce ne pouvait être-t-elle ! Pourtant, trait pour trait, elle lui ressemblait…
Ariane haussa les épaules d’interrogation et s’approcha de l’olympien pour lui donner un tendre baiser. Ce baiser, seul Ariane aurait pu le donner, Valten voyait dans sa tête les images de ce temps passé ensemble...
Il demeura silencieux et Ariane ajouta :
-Et bien ma Chérie ! C’est le contrecoup de la maladie qui te rends si silencieux ?
-Quel…Quelle maladie ? demanda Valten, la gorge noué
-Tu as était attend d’une pneumonie…Tu es resté inconscient presque une saison…Nous avons crut que tu ne reviendrais jamais…
La voie de sa femme avait quelque chose de triste, l’olympien demeura muet…Qu’était la réalité ? avait il juste fait un immense rêve ? Ou le rêve se déroulait il sous ses yeux ?
-Allez vas t’habiller…Ton Père et ton frère t’attendent en Bas !
Le cœur de Valten se figea… Il allait revoir son père défunt et son frère…Ulrich…
Il se leva rapidement et se dépêchas de s’habiller, il descendit l’escalier quatre à quatre.
Une fois en Bas il ne vit rien…Il soupira, il devait être dans un rêve, il avait espérait mais l’espoir était le premier pas vers la déception.
Soudain, il entendis une voie, cette voie ! Une voie forte, emplie de bonne humeur de gentillesse !
-Bah alors Nom de Zeus tu vas te bouger Valten !
L’olympien se retourna et le vit, Ulrich, le Paladin ! Ulrich était aussi grand que lui bien qu’il soit de deux ans son aîné, il était bien bâtit et au moment où il lui parlait, il était engoncé dans une sublime armure de plates dorées, le symbole des Paladins gravé sur son plastron, il regardait son frère avec ses yeux empli de malice :
-Bah alors ! On dirait que tu as vu un fantôme !
Valten était paralysé…C’était Ulrich son frère disparut ! Celui pour lequel il avait parcourut Olympia ! Il était là !
Il entendis une nouvelle voie, celle de son père, son père qui était mort il y avait de cela moins de 10 lunes…
-Bah alors les enfants ! On va le voir ce défiler !
Des larmes se mirent à couler sur le visage de Valten, pour la première fois depuis presque deux Ans il était Heureux…Il sentait une bouffé de joie l’envahir…
Le petit garçon lui tira la manche et dit :
-Pourquoi tu pleures Papa ?
-Pour…Pour rien, juste une poussière dans l’œil…
Valten sentit alors les bras de sa bien aimé l’enlacé et tout les eux s’embrassèrent tendrement…C’était ici le bonheur, ici la réalité…
-Regards ton frère ! J’ai envie que tu me fasses des petits enfants toi aussi !
-Papa on en a déjà discuter et je….
-Ho je sais je sais Sir Ulrich est occupé par ses Hautes Fonctions de Paladin Serviteur de Salminar de l’Empire te tout le tralalalalalala…
-Allons-vous n’aller pas vous disputer ! Allons à la fête plutôt !
-Oui ! ! !Tonton Ulrich tu me porte sur tes épaules !
-Allez ! Viens Mauvaise troupe ! Le cheval en partance de la Maison de Papa et en direction de la fête va bientôt partir ! !
L’enfant rit et grimpa sur les épaules de son oncle.
Valten sourit et caressa les mains de sa chair et tendre bien-aimée, il regarda ces mains et émit un cri d ‘étonnement, elles étaient Bleue !
Il regarda sa femme, du gel était apparu dans les cheveux de sa femme, il regarda son père, son frère et son fils…
Eux aussi semblaient avoir passé un moment dans le froid et la neige…
Il entendis des cris au dehors, des cris qui l’appelait :
« Valten ! !Bordel Petit Valten ! Valten répond moi ! »
L’Olympien jeta un regard d’incompréhension à sas famille, Ulrich et son fils approchèrent de Ariane ainsi que son vieux père :
-Vas
-Les
-Rejoindre
-Frérot !
Valten les regards, de la neige se formé sur leurs épaules et leurs lèvres devenaient Bleues :
-Je…Je…Non…je suis bien ici !
-Nous
-Sommes
-Mort…
-Tu le sais
-Bien Pourtant
-Papa…
-Mais, je. je…
Toute sa famille hochèrent la tête…
Ariane approcha et embrassa tendrement Valten, son fils lui sauta au cou et le serra très fort, son vieux père lui fit une accolade et enfin, son frère, Ulrich l’enlaça avec beaucoup de tendresse
-Vas Mon Frère…Nous nous reverrons peut être un Jour…
La vision de Valten se fit trouble, les contours de ses parents se firent de plus en pus trouble…
Ils disparurent et les ténèbres emportèrent Valten

L’Olympien rouvrit les Yeux, tout ses compagnons d’infortune autour de lui :
-Bordel amener lui un Godet il revient à lui ! ! ! gueula le vieux Tobias
Il y eut un bruit, les sens de Valten était engourdis et il sentit la chaleur de son corps remonter lorsqu’il trempa ses lèvres dans un breuvage d’origine inconnu…
-Ben mon Gars ! On a crut que tu allais y rester…
Valten demeura silencieux…Etait-ce des larmes de tristesse ou des larmes dut au froid qui coulait sur son visage ?
Nul ne pouvait le dire…
On venait encore une foi arrachée une partie de son âme…Une partie de lui…
Il contempla le blanc immaculé de la neige…
Il avait eu une Deuxième Chance…

J'adore

éhéhéhéhéh encore un moment triste de la vie de Valten!

Encore une fois, Valten, bravo! J'adore toujours autant lire tes chroniques elles sont magnifiques (malgré les quelques fautes d'orthographe )

...héhéhéhhé les fautes c'est pas ma faute (...=>:door